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WRC : toujours 14 rallyes en 2026, la Croatie de retour, pas les États-Unis
WRC : toujours 14 rallyes en 2026, la Croatie de retour, pas les États-Unis

Le Figaro

time13 hours ago

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WRC : toujours 14 rallyes en 2026, la Croatie de retour, pas les États-Unis

Le WRC a dévoilé son calendrier pour la saison 2026. Toujours 14 rallyes au programme, la Croatie remplace celui d'Europe centrale. Monte-Carlo ouvrira le bal. L'édition 2026 du Championnat du monde des rallyes WRC comptera 14 manches, comme cette année, selon le calendrier officiel publié jeudi dans lequel la Croatie fait son retour à la place de l'Europe centrale. La saison débutera par le traditionnel Rallye Monte-Carlo du 22 au 25 janvier et se terminera le 14 novembre en Arabie saoudite, qui accueillera son premier rallye en clôture de la saison 2025. Après la manche inaugurale dans le sud de la France, les pilotes iront sur les routes enneigées du nord de la Suède puis affronteront les pistes piégeuses du Kenya. Suivront ensuite trois courses en Europe, en Croatie, aux îles Canaries et au Portugal, avant un détour par l'Asie pour le Rallye du Japon, qui sera avancé à fin mai au lieu de sa date habituelle en novembre. Publicité Un rallye aux États-Unis en 2027 ? Ce déplacement a pour but de limiter le nombre de rallyes consécutifs sur terre où le leader du championnat a le désavantage de devoir ouvrir la route et balayer la piste pour ses adversaires. Par ailleurs, la Rallye d'Italie passera de début juin à début octobre, devenant ainsi l'avant-dernière manche de la saison, mais le lieu de l'épreuve n'a pas été annoncé. Organisée sur terre en Sardaigne depuis vingt ans, la course pourrait se disputer sur asphalte à Rome. Le retour aux États-Unis, où le WRC n'a plus fait étape depuis 1988, était pressenti pour 2026 dans le Tennessee mais il n'aura finalement pas lieu avant au moins 2027.

« Un rien peut faire sortir un véhicule de sa trajectoire » : après le drame, les rallyes face au défi de la sécurité
« Un rien peut faire sortir un véhicule de sa trajectoire » : après le drame, les rallyes face au défi de la sécurité

Le Parisien

time4 days ago

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« Un rien peut faire sortir un véhicule de sa trajectoire » : après le drame, les rallyes face au défi de la sécurité

« C'est un concours de circonstances. » Cédric Robert, ancien pilote Peugeot en WRC et participant au rallye de la Fourme, se montrait fataliste, après la mort de trois spectateurs dans un accident lors de la première spéciale de l'épreuve auvergnate, ce samedi 26 juillet. Sur le tracé de 7,20 km reliant Baffie et Fontlobines dans le Puy-de-Dôme , une pilote de 22 ans a percuté trois personnes dans un champ après une sortie de route. Deux frères de 60 et 70 ans sont décédés, ainsi qu'un père de famille de 44 ans. Cet accident ravive la question de la sécurité dans le sport automobile, et plus particulièrement dans le rallye , une discipline déjà endeuillée l'année précédente sur la même épreuve avec la mort d'un commissaire de course.

Gap comme centre névralgique, une super-spéciale tracée sur le circuit de F1... Le parcours du Rallye Monte-Carlo 2026 dévoilé
Gap comme centre névralgique, une super-spéciale tracée sur le circuit de F1... Le parcours du Rallye Monte-Carlo 2026 dévoilé

L'Équipe

time6 days ago

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Gap comme centre névralgique, une super-spéciale tracée sur le circuit de F1... Le parcours du Rallye Monte-Carlo 2026 dévoilé

Entre son départ et son arrivée organisés en Principauté, la 94e édition du Monte-Carlo, du 22 au 24 janvier 2026, sillonnera les routes de nombreux départements français, avec la ville de Gap comme centre névralgique. C'est le jeudi 22 janvier que les moteurs rugiront en spéciale pour la première fois de la saison 2026. Même si le prochain calendrier du WRC n'a pas encore été dévoilé, il est de coutume que le Monte-Carlo ouvre la saison. Après un shakedown la veille du côté de Gap et un podium de départ sur le Quai Albert 1er à Monaco en début d'après-midi, les concurrents du 94e Rallye Monte-Carlo disputeront trois spéciales dans les Alpes-Maritimes et les Alpes-de-Haute-Provence pour remonter vers Gap, qui sera à nouveau la plaque tournante de l'épreuve avec le parc d'assistance. Le vendredi 23 janvier, trois spéciales seront tracées dans la Drôme et les Alpes de Haute-Provence, toutes à parcourir deux fois pour former la plus longue étape du Monte-Carlo avec près de 130 kilomètres contre le chrono. La journée suivante, celle du samedi 24, sera a contrario la plus courte, avec seulement 78 kilomètres de spéciales (3 ES) avant de retourner en Principauté pour la grande innovation de cette édition 2026 : une super-spéciale tracée sur la partie basse du circuit F1, comme en 2008. L'épreuve se terminera le dimanche avec deux spéciales à parcourir deux fois dans l'arrière-pays de Nice, en passant par les mythiques Col de Braus et Col de Turini, avant le podium final à Monaco, sur le Port Hercule. Oliver Solberg fait le show après sa victoire pleine d'autorité au rallye d'Estonie

Oliver Solberg fait le show après sa victoire pleine d'autorité au rallye d'Estonie
Oliver Solberg fait le show après sa victoire pleine d'autorité au rallye d'Estonie

L'Équipe

time20-07-2025

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Oliver Solberg fait le show après sa victoire pleine d'autorité au rallye d'Estonie

Arrivé trop tôt en catégorie reine en 2022, le Suédois, fils de Petter, champion 2003, a parfaitement saisi sa deuxième chance, ce dimanche, avec une incroyable victoire en Estonie, tout en gardant sa personnalité volubile. Dans la famille Solberg, il y avait déjà le père (Petter, champion du monde des rallyes 2003), la mère (Pernilla) ainsi que tout un tas d'oncles, tantes et cousins ayant roulé à plus ou moins haut niveau en rallye. Et voici maintenant que le fils, Oliver, est entré à son tour dans l'histoire du WRC avec sa première victoire à ce niveau, ce dimanche en Estonie. Son avènement n'est pas, en soi, une surprise tant son avenir a semblé tracé pendant des années. Mais le timing, à l'occasion d'une one-shot avec Toyota, et la manière (9 spéciales gagnées sur 20) ont bluffé. « Il nous a fait subir à tous les pilotes à temps plein du WRC une vraie humiliation », glissait Ott Tänak, deuxième, sur le podium, dans un sourire qui ne masquait pas la réalité de son propos. Ses esprits retrouvés après avoir célébré cette victoire pleine d'émotions avec ses proches, Solberg répétait, lui, plusieurs fois combien ce succès lui prenait les tripes parce que lui et son copilote, Elliott Edmondson, avaient « travaillé depuis si longtemps » pour l'obtenir. Propos étonnant du troisième plus jeune vainqueur de l'histoire à 23 ans et 9 mois ? Pas tant que ça. Le Suédois, qui a pris la nationalité de sa mère, a toujours baigné dans le rallye, se voyant offrir sa première voiture à cinq ans. Et il roule en compétition depuis 2017. À l'image d'un Kalle Rovanperä (avec lequel il partage la spécificité d'avoir un père vainqueur en WRC), Solberg avait débuté en Lettonie, jeune (à 16 ans). En 2017 également, il avait choisi d'intégrer l'Autosport Academy FFSA au Mans, y passant trois ans et côtoyant des pistards tels que Théo Pourchaire, Arthur Leclerc ou Victor Martins à l'époque. Avec quelques conseils d'Ogier Sa carrière était alors sur une trajectoire linéaire (titre en Lettonie en 2019, première victoire en ERC, le Championnat d'Europe, en 2020...). Quelques piges réussies en 2021 dans la catégorie reine lui permettaient même de décrocher un volant à plein temps chez Hyundai, à 20 ans, pour 2022. Le crash, alimenté par plusieurs grosses sorties de route, est violent. Sans la moindre victoire de spéciale (il a obtenu la première vendredi), ni podium, il est congédié par la marque coréenne avant même la fin de saison. Toujours soutenu par Monster, la boisson énergisante (qui a aussi accompagné son père dans sa carrière en rally-cross), il repasse par la case WRC2 mais y loupe le titre d'un rien en 2024. Il est en larmes lorsqu'il réalise que cette couronne lui échappe, avec le sentiment de subir un nouveau coup d'arrêt sans savoir, alors, si une nouvelle chance viendra un jour, à ce niveau ou au-dessus. S'il a su la saisir avec une maîtrise étonnante ce week-end, Solberg n'a pas changé de personnalité - qui rappelle d'ailleurs celle de son père - au fil de ces mésaventures. Avec ses émotions à fleur de peau, son langage « imagé » (il a encore écopé de 2000 € d'amende avec sursis pour avoir utilisé le mot « Fuck » lors d'une interview devant public en marge du rallye) et ses analyses aussi approfondies que sincères à l'arrivée des spéciales, il apporte un vrai vent de fraîcheur. C'est aussi le cas sur les réseaux sociaux où il est très actif et compte quasiment autant d'abonnés (350 000) que la plupart des cadors de la discipline (seul Rovanperä est largement devant à 468 000). Mais ce sont bien ses résultats, nourris par une vraie soif d'apprendre auprès des meilleurs (il n'a pas hésité à téléphoner à Sébastien Ogier avant le rallye pour lui demander un maximum de conseils), qui devraient lui offrir - a minima - de nouvelles piges en Rally1. En attendant, c'est en WRC2 qu'il s'alignera en Finlande dans deux semaines, de quoi garder les pieds bien sur terre.

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