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Cigarettes, alcool...Zaz revient avec un nouvel album libérée de ses excès
Cigarettes, alcool...Zaz revient avec un nouvel album libérée de ses excès

Le Figaro

timea day ago

  • Entertainment
  • Le Figaro

Cigarettes, alcool...Zaz revient avec un nouvel album libérée de ses excès

De retour avec un sixième opus intitulé Sains et saufs, prévu pour septembre, la chanteuse de 45 ans a évoqué ses addictions passées et se dit réconciliée avec elle-même. Après une pause de trois ans, Zaz est revenue sur le devant de la scène cette année en participant à l'émission « The Voice » sur TF1. Un retour marqué par l'annonce d'un sixième album intitulé Sains et saufs qui sortira le 19 septembre prochain. Quinze ans après son plus grand succès, Je veux, une ode manouche à la liberté, l'artiste de 45 ans, ancienne chanteuse de rue aux 5 millions d'albums vendus et 2 milliards de streams, se dit réconciliée avec elle-même, étant venue à bout de ses mauvaises habitudes. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour « Je picolais pas mal et je fumais, j'avais plein de béquilles partout. J'avais l'alcool festif mais souvent j'allais dans le mur. J'étais jamais satisfaite et en plus j'avais peur de me tromper, de faire les mauvais choix », a notamment confié l'artiste à l'AFP. La chanteuse explique qu'au-delà de ses addictions, elle s'épuisait à vouloir jouer les «super-héros». « J'ai créé je ne sais pas combien de projets pour aider (notamment via son association Zazimut, NDLR), j'ai mis mon pognon, pour moi c'était logique, il fallait donner. Je ne savais pas mettre des limites, comme dans ma vie tout court. J'ai toujours été dans l'excès, je suis intense et absolue.» Publicité Duos avec Vianney et Raphaël Le premier confinement au moment de la pandémie a constitué un salutaire point de bascule. « J'ai chopé le Covid, j'ai fait un jeûne de trois jours donc j'ai arrêté de boire, de fumer, ça a eu un grand impact.» Au-delà d'un retour à une vie plus saine, ce sevrage lui a permis de « réapprendre à s'aimer ». « En arrêtant tout ça, je me suis respectée, je me suis reconnue, je me suis valorisée », témoigne celle qui se réjouit de revenir à la musique. Dans son nouvel opus, le premier avec le label indépendant parisien Tôt ou tard, elle sera accompagnée par plusieurs artistes tel que Vianney avec qui elle a fait The Voice, Raphaël ou encore Noé Preszow.

« Je ne fuis plus mes émotions, je les affronte » : Zaz se confie avant la sortie de son formidable album
« Je ne fuis plus mes émotions, je les affronte » : Zaz se confie avant la sortie de son formidable album

Le Parisien

time11-07-2025

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  • Le Parisien

« Je ne fuis plus mes émotions, je les affronte » : Zaz se confie avant la sortie de son formidable album

« Je pardonne pour oublier/Je pardonne pour respirer/Pour arrêter de remuer/les couteaux dans mes plaies. » Le sixième album de Zaz , qui sortira le 19 septembre, commence par un coup de poing, une mise à nu qui file le frisson mais pas le bourdon. Une chanson autobiographique et universelle, comme ce disque qui va marquer la rentrée et la carrière de la chanteuse. « Sains et saufs » est son meilleur album depuis le tout premier, en 2010, un raz de marée qui avait dépassé les deux millions de ventes dans le monde. Sa grande voix écorchée et sa personnalité explosive ont trouvé les grandes chansons qu'elles méritent. Six sur 12 sont signées du jeune belge Noé Preszow , une de Vianney et trois de Raphaël, qu'elle retrouve quinze ans après « Éblouie par la nuit ».

« Paris en chansons » : les fausses notes de Mireillle Dumas
« Paris en chansons » : les fausses notes de Mireillle Dumas

Le Figaro

time04-07-2025

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  • Le Figaro

« Paris en chansons » : les fausses notes de Mireillle Dumas

L'émission dresse un catalogue de titres qui ont largement contribué à la légende de la capitale sans convaincre sur le fond ni sur la forme. Mireille Dumas a choisi de nous parler d'un temps que les moins de trois, voire quatre fois 20 ans ne peuvent pas connaître : une époque où les touristes se bousculaient dans un Paris en fête, où l'on cultivait le luxe, les plumes et les paillettes. Il était alors possible de profiter de la lumière de l'aube pour flâner le long de quais de la Seine, où les vagues d'embouteillages ne faisaient pas encore partie du quotidien. Au fil des images de ce documentaire défilent des chansons qui ont largement contribué à la légende de la capitale. L'idée n'est pas nouvelle. Elle a régulièrement été exploitée dans les livres et les médias. Elle a le mérite de mettre en valeur un patrimoine indiscutable. Elle permet aussi d'évoquer d'heureux et tendres souvenirs dans la mémoire des plus anciens. Et elle offre aux nouvelles générations la possibilité de découvrir des refrains dont ils ont forcément entendu des bribes. Publicité Des archives aussi classiques que les couplets qu'elles évoquent permettent de retrouver Maurice Chevalier, Charles Aznavour, Charles Trenet et quelques autres évoquant leur ascension. À ces témoignages d'hier s'ajoutent ceux, récents, de Zaz et Patrick Bruel. Ils ont repris Paris sera toujours Paris ou Mon amant de Saint-Jean en les adaptant aux rythmes d'aujourd'hui sans déflorer l'esprit des compositeurs d'origine. Un succès aussi fort qu'inattendu les en a récompensés. Mireille Dumas a rédigé les commentaires qui ponctuent l'ensemble. Les erreurs historiques sont minimes, voire insignifiantes, mais sur des images en noir et blanc, on était en droit d'attendre des propos hauts en couleur et un contenu plus approfondi. Vous n'apprendrez pas, par exemple que la diffusion des Champs-Élysées de Joe Dassin a largement dépassé le cadre de la plus belle avenue du monde. Son créateur l'a enregistrée en anglais et en allemand. Au Japon, elle est devenue un outil de promotion de l'ambassade de France. À Moscou, elle s'est retrouvée en tête du hit-parade devant les Beatles… À lire aussi «Le wokisme peut m'agacer aussi»: Mireille Dumas réagit au coup de gueule de Michel Sardou À Paris, l'un des premiers succès d'Yves Montand figure, bien entendu, au programme. Son auteur, Francis Lemarque, alors inconnu, est cité, mais il aurait été peut-être élégant de rappeler que celui qui a joué les intermédiaires pour présenter les deux hommes n'était autre que Jacques Prévert. Montmartre est présent à travers deux lieux de légende, le Moulin-Rouge et la place Dalida. Le premier affiche complet deux fois par soir sept jours sur sept, et la statue rendant hommage à celle qui nous a quittés beaucoup trop tôt est le monument de la Butte le plus visité par les étrangers, juste derrière le Sacré-Cœur. Aujourd'hui encore, ses inconditionnels essuient une larme en écoutant son interprétation de Je suis malade. Serge Lama l'a créé, mais, dans un premier temps, le titre a été effacé par le succès des Petites femmes de Pigalle qui figurait sur le même album. Qualifié de « chanson cocasse », le titre est rappelé dans cette promenade en images où un GPS aurait été bien utile. Mireille Mathieu, Joséphine Baker, Mistinguett, Christophe Maé et Vanessa Paradis figurent en vrac dans ce catalogue de mélodies. Elles ont bercé bien des générations, mais, à travers cette évocation, on a du mal à ne pas s'endormir. La Ville Lumière méritait sans doute un meilleur éclairage.

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