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OL : sept jours pour trouver 200 millions d'euros, le défi gigantesque de Michelle Kang
OL : sept jours pour trouver 200 millions d'euros, le défi gigantesque de Michelle Kang

Le Parisien

timea day ago

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  • Le Parisien

OL : sept jours pour trouver 200 millions d'euros, le défi gigantesque de Michelle Kang

Comment réunir 200 millions d'euros en une semaine ? C'est l'équation posée à l'OL depuis la décision de la DNCG de rétrograder le club en Ligue 2 . Pour éviter la chute et rester en Ligue 1 , Lyon doit, selon L'Équipe , injecter 100 millions d'euros sur ses comptes avant l'appel prévu ce jeudi 10 juillet, et présenter 100 autres millions en garanties solides. Un contre-la-montre à très haut risque. Le plan de sauvetage peut reposer sur deux leviers : des ventes de joueurs, mais aussi une injection immédiate de fonds de la part des actionnaires. Et c'est bien ce deuxième levier qui sera déterminant. Car même en arrivant à vendre dans l'urgence plusieurs éléments à forte valeur, l'OL ne pourra répondre, seul, à l'exigence de la DNCG. Et surtout, le temps joue contre le club.

Péladeau offrait 1 $ pour acheter Transat
Péladeau offrait 1 $ pour acheter Transat

La Presse

timea day ago

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Péladeau offrait 1 $ pour acheter Transat

M. Péladeau estime que l'entente annoncée le 5 juin dernier entre Transat et la Corporation de financement d'urgence d'entreprises du Canada (CFUEC), une société fédérale, devrait être soumise au vote des actionnaires de l'entreprise québécoise. Pierre Karl Péladeau a tenté d'acheter Transat A. T. à cinq reprises depuis l'automne dernier. Il aurait même offert une bouchée de pain en avril dernier dans l'espoir de placer le spécialiste du voyage d'agrément à l'abri de ses créanciers pour le restructurer – ce qui aurait pu faire perdre gros aux actionnaires. Le secret entourant les multiples tentatives de l'homme d'affaires survenues au cours des neuf derniers mois a été levé, vendredi, dans le cadre de l'affrontement judiciaire qui l'oppose à la compagnie à l'étoile bleue. Actionnaire de la société mère d'Air Transat, M. Péladeau tente de faire suspendre une entente annoncée le 5 juin dernier par la société mère d'Air Transat avec le gouvernement fédéral – son principal créancier – afin de réduire sa lourde dette. L'accord a fait décoller l'action du voyagiste à la Bourse de Toronto. Le magnat des télécommunications allègue que l'on ne joue pas franc jeu avec les actionnaires en ne leur offrant pas l'occasion de voter sur l'accord, qui pourrait entraîner une dilution à terme. Les avocats de la compagnie se demandent si la conduite de l'actionnaire mécontent ne cache pas d'autres objectifs. « Le 29 avril, il offrait d'acheter la compagnie pour une contrepartie de 1 $ pour l'ensemble des actions pour ensuite effectuer une procédure de restructuration en vertu de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC) », a révélé Me François Giroux, qui représente Transat, devant la juge Chantal Corriveau. Ce scénario de restructuration judiciaire, s'il s'était concrétisé, aurait pu aller jusqu'à écarter les actionnaires de Transat du portrait. Ils auraient pu essentiellement perdre l'ensemble de leur mise dans la compagnie. À la fin avril, la dette du voyagiste et transporteur aérien était supérieure à 800 millions. Même l'achetant pour 1 $, M. Péladeau aurait eu à injecter des sommes significatives dans le fonds de roulement. Sa dette étant appelée à diminuer considérablement, Transat a vu son titre s'envoler sur Bay Street depuis un mois. Il s'est apprécié de 72 %, pour clôturer à 2,83 $, vendredi. Ce cours est bien au-delà du prix de 80 cents par action offert par M. Péladeau le 9 octobre dernier, a illustré Me Giroux. « L'augmentation du cours de l'action et l'assainissement du bilan de la société rendent une nouvelle tentative d'acquisition par M. Péladeau extrêmement plus onéreuse », a-t-il souligné, devant la magistrate. Acteur d'envergure Par l'entremise de sa société La Financière Outremont, M. Péladeau dit détenir environ 9,5 % des actions de la société mère d'Air Transat. Cela le place au deuxième rang des plus importants actionnaires, derrière le Fonds de solidarité FTQ (11 %). PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE Par l'entremise de la Financière Outremont, une société privée, Pierre Karl Péladeau est le deuxième plus grand actionnaire de Transat. L'homme d'affaires lorgne le spécialiste du voyage d'agrément depuis 2019. À l'époque, il avait multiplié les sorties publiques pour inciter les actionnaires du voyagiste et transporteur aérien à rejeter l'offre d'achat d'Air Canada. Ce mariage avait finalement échoué au printemps 2021 et M. Péladeau avait par la suite abandonné l'idée d'acquérir Transat. Il faut remonter au 5 juin dernier pour mieux comprendre l'origine de la dispute judiciaire. Transat dévoilait un accord financier avec la Corporation de financement d'urgence d'entreprises du Canada (CFUEC) qui se décline en plusieurs volets. Concrètement, son énorme dette de 772 millions en prêts de secours obtenus du gouvernement fédéral pendant la pandémie de COVID-19 doit être sabrée de moitié, à 334 millions, par l'entremise d'une série de transactions. Une partie de la dette du voyagiste et du transporteur aérien peut être convertie en actions privilégiées. Ultimement, ce mécanisme permettrait à la CFUEC de détenir près de 20 % des titres de Transat – un aspect qui contrarie M. Péladeau. Si ce scénario devait se confirmer, Ottawa deviendrait le principal créancier ainsi que le plus grand actionnaire de Transat. Devant la juge Corriveau, l'avocate de la Financière Outremont, Jessica Harding, a répété à maintes reprises que la demande d'injonction ne visait pas à faire dérailler l'accord entre Transat et la CFUEC. « La dispense sur laquelle se base Transat n'est pas applicable, a-t-elle plaidé. On demande simplement d'avoir le droit de se prononcer sur cette transaction-là. Il y a des éléments qui méritent d'être expliqués aux actionnaires. « Me Giroux ne voit pas les choses du même œil. « Ce n'est pas le recours d'un actionnaire qui tente de faire valoir ses droits, c'est le recours d'un actionnaire déçu de ne pas avoir pu acheter la société, d'avoir vu toutes ses offres rejetées parce qu'insuffisantes et qui dépose un recours stratégique. » La juge Corriveau a pris l'affaire en délibéré.

S'estimant lésés, un millier d'actionnaires minoritaires d'Atos assignent le groupe informatique en justice
S'estimant lésés, un millier d'actionnaires minoritaires d'Atos assignent le groupe informatique en justice

Le Figaro

time2 days ago

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S'estimant lésés, un millier d'actionnaires minoritaires d'Atos assignent le groupe informatique en justice

Réservé aux abonnés INFO LE FIGARO - Organisés en collectif, ils estiment que la direction et les commissaires aux comptes ont dissimulé la situation financière réelle de l'entreprise, les induisant ainsi en erreur. Ils demandent réparation. Ses avocats la présentent comme la plus grosse «class action» de l'histoire, s'agissant d'une société cotée en France. Plus d'un millier d'actionnaires d'Atos s'estimant lésés par la dégringolade boursière du groupe de l'informatique ces dernières années, s'organisent en vue d'une action collective qu'ils vont engager contre Deloitte et Grant Thornton, les commissaires aux comptes de l'ex-pépite tricolore. À découvrir PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech Selon nos informations, le groupe Atos a reçu jeudi soir une assignation en référé, déposée par le cabinet Vermeille & Co, spécialisé dans la défense du droit des investisseurs, qui représente les intérêts d'un collectif d'actionnaires. Dans ce courrier consulté par Le Figaro, les plaignants entendent prouver que les dirigeants d'Atos « ont délibérément dissimulé la situation financière réelle du Groupe Atos, vraisemblablement de connivence avec les Commissaires aux Comptes.» À leurs yeux, ces fautes comptables alléguées ont eu pour effet d'induire en erreur les actionnaires dans leur…

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