Dernières actualités avec #adaptation


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5 days ago
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Ces 6 adaptations de Stephen King validées par… Stephen King
CULTURE - Dans la famille des auteurs les plus adaptés sur petit et grand écran, il y a William Shakespeare, et juste derrière, Stephen King. Un attrait qui ne s'essouffle pas au fil des années. HBO Max a mis en ligne la série L'Institut le dimanche 13 juillet, tandis que les cinéphiles ont pu découvrir les premières images de Glen Powell dans la peau du protagoniste de The Running Man au début du mois. L'écrivain américain a vu plus de 50 œuvres adaptées de ses livres sortir en salles ou à la télévision. Il y en a certaines qu'il a totalement désavouées comme Shining de Stanley Kubrick ou Firestarter de Keith Thomas. D'autres en revanche, qu'il a choisi d'adouber. Carrie La toute première adaptation de Stephen King est aussi l'une des meilleures d'après lui. Sorti en 1976, le film Carrie au bal du diable de Brian de Palma reprend l'intrigue du roman de l'écrivain alors inconnu. Humiliée en plein bal de fin d'année par ses camarades qui lui versent un seau de sang de cochon sur la tête, la lycéenne décide de se venger en usant de ses pouvoirs de télépathe. Comme le rappelle Slashfilms, l'écrivain avait déclaré en 1983 qu'il trouvait « le film de Brian de Palma génial, et bien meilleur que le livre » car l'adaptation est d'après lui « dépourvue d'une certaine forme de lourdeur présente dans le roman. » Stand By Me Réalisé par Rob Reiner, le long-métrage Stand By Me, sorti en 1986, est l'un des préférés de Stephen King. Le « coming of age movie » qui se déroule dans les années 50, suit le destin de quatre ados joués par Wil Wheaton, Corey Feldman, Jerry O'Connell et River Phoenix qui partent à la recherche du cadavre d'un jeune garçon disparu. Adapté de la nouvelle Le Corps, Stephen King avait déclaré à Rolling Stone que ce film était la meilleure adaptation de l'une de ses œuvres : « C'est tellement fidèle au livre. Le film a le même potentiel émotionnel, et c'est bouleversant. J'en ai pleuré, parce que c'est autobiographique. » Misery Misery, réalisé aussi par Rob Reiner, est de l'aveu de Stephen King l'une de ses adaptations préférées, classée dans son top 10 dans le livre Stephen King Goes to the movies. Le film sorti en 1990 met en scène James Caan et Kathy Bates. Un écrivain à succès est secouru après un accident de voiture par l'une de ses fans, infirmière de profession. Mais celle-ci se révèle être une dangereuse psychopathe. Le film a valu à Kathy Bates l'Oscar et le Golden Globe de la meilleure actrice. James Caan avait confié à Entertainment Weekly que lors de la projection du film, captivé par l'histoire, l'auteur avait crié « attention, elle a un flingue » durant l'une des séquences cultes du long-métrage. Les Évadés Sorti en 1994, Les Évadés est l'une des adaptations de l'auteur les plus cultes malgré un échec commercial. Le film réalisé par Franck Darabont suit la relation entre deux détenus : Andy Dufresne (Tim Robbins) et Ellis Boyd « Red » Redding (Morgan Freeman). Lorsque le jeune banquier est emprisonné pour le meurtre de sa femme et de son amant, il clame son innocence avant de tenter de s'acclimater à la vie dans les couloirs du pénitencier de Shawskank. Comme le rappelle Screen Rant, Stephen King avait déclaré à l'occasion de la nomination du long-métrage à l'Oscar du meilleur film en 1994 : « Franck Darabont n'a pas juste réalisé l'une des meilleures adaptations de mon travail, il a donné naissance à un classique. » The Mist The Mist de Franck Darabont est l'adaptation du livre Brume sorti en 1980. Dans le film sorti en 2007, un père de famille (Thomas Jane) enfermé dans un supermarché tente de survivre à l'arrivée d'un mystérieux brouillard et de créatures sanguinaires qui s'y cachent. Stephen King n'a jamais caché son admiration pour ce film, qui prend pourtant de grandes libertés avec le roman. Stephen King avait notamment été très admiratif de la fin choisie, alors que son livre n'en avait justement pas vraiment « C'était tellement anti-Hollywood, anti-tout, franchement, c'était nihiliste, j'ai adoré », avait déclaré l'auteur à Cinemablend. Ça Ça d'Andrés Muschietti a aussi récolté les louanges de l'auteur. Les parties 1 et 2 de l'adaptation du roman sorties en 2017 et 2019 avec Bill Skarsgard dans la peau du clown mangeur d'enfants ont conquis Stephen King. Comme le rappelle Metro, il avait déclaré à la sortie du premier : « J'espérais que ce serait bien, mais je n'étais pas préparé à ce que soit aussi génial. » L'auteur avait également aimé la mini-série de 1990 avec Tim Curry dans le rôle de Pennywise car justement, « il n'en attendait rien ». Parmi les autres adaptations validées par le maître de l'horreur lui-même, il y a Doctor Sleep, La Ligne Verte, The Dead Zone, Cujo, Le Fléau, Castle Rock ou encore The Outsider. On sort le pop-corn.


Le HuffPost France
5 days ago
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La série « En thérapie » d'Arte adaptée au théâtre et on sait déjà qui jouera le psy
THETRE - La série En thérapie, qui avait fait un carton sur Arte lors de sa sortie en février 2021, va avoir droit à son adaptation au théâtre. C'est le comédien Francis Huster qui jouera le rôle du psy, rapporte ce samedi 12 juillet Le Parisien qui l'a interviewé. Quarante représentations sont prévues à partir du mois de janvier 2026 au théâtre Antoine dans le Xe arrondissement de Paris. « J'interprète le psy et la pièce sera mise en scène par le jeune acteur Charles Templon », a-t-il confié au quotidien. Dans la série Arte d'Éric Toledano et Olivier Nakache, ce rôle principal était campé par l'acteur Frédéric Pierrot dans les deux saisons (la deuxième sortie en 2022). En thérapie est une fiction adaptée de la série israélienne Betipul créée en 2005 par Hagai Levi. Dans la quinzaine de pays où la série avait déjà été adaptée, le concept aussi singulier qu'original est le même : chaque épisode de 30 minutes met en scène un psy face à l'un de ses patients. Et le 5e jour, c'est le psy qui se rend chez son analyste à lui. Pas d'action, pas de casting à rallonge : les 30 minutes d'épisode sont un dialogue entre deux, parfois trois personnes dans une seule et même pièce. Programme chargé pour Francis Huster En ce qui concerne la pièce, on ne sait pas à l'heure actuelle quel format elle prendra, ni qui d'autre fera face au fauteuil du psy. Mais en attendant janvier prochain, si vous voulez voir Francis Huster, vous pourrez regarder l'émission de divertissement Murder Party au musée, diffusée le 16 juillet à 21h10 sur M6. Le comédien montera également sur les planches pour Hamlet au festival de Carcassonne, « puis je le reprends ensuite à Paris », précise-t-il au Parisien. Il sera également sur le tournage de la saison 3 de Zodiac sur TF1 en août. Le comédien a un programme bien chargé pour la suite également puisqu'il fera la voix d'Alexandre Dumas dans la comédie musicale La légende de Monte Cristo, mis en scène par Sergio Postigo, puis il est prévu au casting du prochain film de Claude Lelouch en 2026, « une sorte des Uns et les autres 2 », résume-t-il.


Le Parisien
6 days ago
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La série « En thérapie » bientôt adaptée au théâtre avec Francis Huster dans le rôle du psy
Cela promet d'être un des temps forts de la prochaine saison théâtrale. Alors que Francis Huster enchaîne les projets à la télévision, notamment à l'animation de l'émission de divertissement « Murder Party au musée » , un Cluedo géant diffusé le 16 juillet à 21h10 sur M 6, le comédien n'en oublie pas pour autant les planches. Et il sera à la distribution d'un projet qui va faire beaucoup parler : une adaptation au théâtre de la série d'Arte « En thérapie ». « Je fais En thérapie au théâtre Antoine (dans le Xe arrondissement de Paris) en janvier, la pièce de théâtre tirée de la série pour quarante représentations, nous a-t-il confiés. J'interprète le psy ( initialement incarné par Frédéric Pierrot ) et la pièce sera mise en scène par le jeune acteur Charles Templon ».


La Presse
6 days ago
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Critique de Fallait pas dire ça
Mariage improbable entre Bergman et Feydeau, Fallait pas dire ça est un écrin pour un duo d'interprètes de talent. Malheureusement, Denis Bouchard et Guylaine Tremblay font un retour sur scène avec une production très moyenne, et une adaptation poussive d'une comédie française à succès. Si « le rire est le propre de l'homme », croyait Rabelais, il est aussi source de grand isolement. Je ne me suis jamais senti aussi seul qu'à la première québécoise de Fallait pas dire ça, jeudi soir au théâtre Desjardins, à LaSalle. Alors qu'une bonne partie de la salle s'esclaffait en savourant les répliques de Diane et de Normand (le couple formé par Guylaine Tremblay et Denis Bouchard), d'autres spectateurs, comme moi, esquissaient à peine un sourire… Voir sur scène l'excellente Guylaine Tremblay hurler une réplique comme « J'ai peut-être pas de bizoune, mais j'ai des couilles ! » dans une adaptation bancale d'une comédie française, cela me rend soudainement nostalgique de La petite vie… PHOTO JOSIE DESMARAIS, LA PRESSE Denis Bouchard, sur la scène du théâtre Desjardins Adaptation de la pièce Fallait pas le dire, de Salomé Lelouch, qui a tenu l'affiche plus de deux ans en France, avec Pierre Arditi et Évelyne Bouix, la version québécoise met en scène deux banlieusards venus célébrer leur 30e anniversaire de vie conjugale dans un condo de luxe loué sur Airbnb, au centre-ville de Montréal. Or, une surprise les attend à leur arrivée : le lieu est dépouillé de tout meuble… Un quiproquo propice pour démarrer une intense joute verbale entre amoureux, assis sur leurs valises, en sirotant du vin blanc. Du coq à l'âne Sans filtre, l'homme et la femme vont tout se dire. Ils sautent du coq à l'âne et abordent une pléthore de sujets : l'argent, la politique, l'identité de genre, l'avortement, le VIH, le voile islamiste, la chirurgie esthétique, les masculinistes… et le gâteau des anges « trop sec » de la belle-mère. PHOTO JOSIE DESMARAIS, LA PRESSE Denis Bouchard et Guylaine Tremblay, sur la scène du théâtre Desjardins À la fois tendres et teintés de mauvaise foi, leurs débats illustrent surtout une grande et belle complicité. Ce qui a convaincu sans doute le duo d'interprètes de se lancer dans cette production qu'il va tourner à travers le Québec, durant près d'un an. Et de signer l'adaptation et la mise en scène, en plus de jouer. En entrevue, Bouchard et Tremblay ont souligné qu'on peut parler de « réécriture », car ils ont profondément remanié l'œuvre originale. Tant dans la forme que dans le fond. « À l'origine, c'étaient des sketchs [entrecoupés de noirs]. Pour nous, c'était sans intérêt. Ça nous semblait beaucoup plus intéressant que ce soit un couple qui lance une discussion et qui passe, comme on fait dans la vie, d'un sujet à l'autre », a confié la comédienne. À mon avis, ce choix nuit à la production. Le public est bombardé de mots durant 80 minutes sans interruption. Le spectacle ne respire pas et c'est difficile de s'attacher aux personnages. PHOTO JOSIE DESMARAIS, LA PRESSE Guylaine Tremblay signe avec Denis Bouchard l'adaptation et la mise en scène. Bien sûr, ce spectacle (très) grand public n'est pas mauvais. On assiste à de bons numéros comiques – les amants qui discutent de leur consommation de pornographie, en feignant l'orgasme, par exemple. Or, un regard extérieur aurait sans doute aidé à nuancer le jeu, à lier les scènes entre elles, à doser l'émotion… Dans l'état actuel, on voit sur scène deux virtuoses du jeu qui carburent à plein régime, pour livrer une partition qui tourne en rond. Dommage. Consultez la page de la pièce

Le Soir
6 days ago
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L'Espagne s'organise face à la chaleur : comment la Belgique pourrait s'en inspirer
Face aux étés de plus en plus étouffants, les Espagnols adaptent leurs rythmes de vie, allègent leur alimentation, misent sur l'ombre et la ventilation, et profitent d'espaces publics pensés pour le rafraîchissement. Une organisation collective bien rodée qui témoigne d'une culture de la chaleur profondément ancrée. De quoi inspirer les Belges, de plus en plus souvent confrontés à des journées chaudes ? Changer de rythme C'est presque une seconde nature pour les Espagnols dès que les thermomètres frôlent ou dépassent les 40 degrés en été : comme des caméléons, ils modifient leurs habitudes. Tout le rythme de la société évolue, facilitant une nouvelle organisation estivale. Les écoles ferment généralement leurs portes entre le 20 et le 24 juin. Dès début juillet, la plupart des travailleurs passent à la journée intensive, entre 8 et 15 h. La sieste trouve forcément tout son sens durant ces après-midi à l'ombre des stores.