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Au cinéma, l'été 2025 sera celui de toutes les peurs
Au cinéma, l'été 2025 sera celui de toutes les peurs

24 Heures

time16-07-2025

  • Entertainment
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Au cinéma, l'été 2025 sera celui de toutes les peurs

Accueil | Culture | Cinéma & séries | Leurs budgets sont raisonnables et ils rapportent gros. Les films d'horreur vont déferler jusqu'à la fin de l'été. Chic! Publié aujourd'hui à 09h37 «I Know What You Did Last Summer», la nouvelle génération. Sony Pictures En bref: L'été 2025 ne se contentera pas d'être chaud. Il sera aussi sanglant. Contrairement à de précédentes saisons, cette année, à compter de la mi-juillet, un certain nombre de films d'horreur inédits seront à l'affiche, pour le plaisir des ados et de quelques grands. Et cela au rythme d'environ un titre par semaine jusqu'en septembre. Adolescents en ligne de mire Le genre peut en effet s'avérer rentable. Appâtant un public majoritairement adolescent, ces films se montent généralement avec de petits budgets et ne coûtent donc pas cher. Pas de stars au générique, donc pas de cachets exorbitants, des récits relativement minimalistes, sans ces effets hors de prix que l'on retrouve dans la plupart des blockbusters, films d'action ou de science-fiction. Des durées raisonnables (autour des nonante minutes), ce qui permet aux exploitants de prévoir plusieurs séances dans la journée, parfois même d'affilée, et des scénarios faciles et binaires qui ne font pas ou peu appel à la réflexion. Nous sommes presque dans l'application de recettes , et c'est vrai que pour les films d'horreur, ce raisonnement prévaut. Cela démarre ce mercredi avec le remake ou plutôt la suite de «Souviens-toi… l'été dernier» 1 et 2 («I Know What You Did Last Summer»). Un slasher soigné et prévisible qui cultive un certain classicisme . L'Australie, gage de qualité Le 23, on pourra découvrir l'un des chocs de la Quinzaine des cinéastes cannoise, «Dangerous Animals» de Sean Byrne, qui nous vient d'Australie, ce qui est souvent un signe de qualité pour le film d'horreur. Souvenons-nous de l'éprouvant « Wolf Creek » de Greg McLean, d'ailleurs jamais sorti en Suisse (trop violent?). «Dangerous Animals», des jeunes filles qui servent de nourriture aux requins. Pathé «Dangerous Animals» est un film de requins dans la lignée des «Dents de la mer» et dans lequel un pêcheur enlève de jeunes touristes filles, les séquestre puis les donne à manger aux requins, non sans filmer complaisamment ces séquences de mise à mort pour se constituer une banque d'archives. C'est assez dépravé et suffisamment méchant pour plaire. Bien fait et efficace, le film mérite en tout cas le détour. Le 30, «Bring Her Back», des jumeaux Danny et Michael Philippou, se centre sur deux ados découvrant l'horrible rituel de leur famille d'accueil. Cette production australienne a déjà la réputation d'être le film d'horreur le plus terrifiant de l'année. On n'a pas encore vu, donc le suspense reste entier. De son côté, le «Dracula» de Luc Besson, qui sortira le même jour, ne bénéficie pas d'un bon bouche à oreille. Étonnant? «Bring Her Back» des Philippou, la terreur au rendez-vous. Sony Pictures Releasing Le 6 août, «Weapons» de Zach Gregger semble reposer sur un mystère via l'histoire d'un groupe de 17 enfants qui tous disparaissent la même nuit. C'est typiquement de l'horreur à suspense, du moins à première vue. Le 13 août, le premier long-métrage de Michael Shanks, «Together», conte une histoire de fusion de corps et d'esprit au sein d'un jeune couple qui a déménagé à la campagne. Le film sera présenté à Locarno avant de sortir. Il manquait encore des histoires de clown tueur pour que le panorama soit à peu près complet. Ce sera chose faite le 20 août avec «Clown In A Cornfield» d'Eli Craig, un slasher dont les ados seraient les victimes. C'est également ce jour-là que sortira le dernier film de Julia Ducournau, «Alpha» , qui explore à nouveau le body horror et nous a surtout fortement divisés à Cannes. Dans «Clown in a Cornfield», des ados en danger. Temple Hill Entertainment Enfin, un nouveau volet de «Conjuring: Last Rites» (le 9e!), signé Michael Chaves, qui n'en a mis en scène que deux autres, sera à l'affiche le 4 septembre. De nouveaux dossiers de chasseurs de fantômes qui devraient nous faire sursauter. «Conjuring», l'éternelle traque des fantômes. Warner Bros L'été 2025 au cinéma Pascal Gavillet est journaliste à la rubrique culturelle depuis 1992. Il s'occupe principalement de cinéma, mais il lui arrive aussi d'écrire sur d'autres domaines. En particulier les sciences. A ce titre, il est également mathématicien. Plus d'infos @PascalGavillet Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

«Ce n'était pas des vacances» : Hélène, mère de deux ados, a dit stop aux étés chez ses parents à La Baule
«Ce n'était pas des vacances» : Hélène, mère de deux ados, a dit stop aux étés chez ses parents à La Baule

Le Figaro

time13-07-2025

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  • Le Figaro

«Ce n'était pas des vacances» : Hélène, mère de deux ados, a dit stop aux étés chez ses parents à La Baule

«Ce n'était pas des vacances» : Hélène, mère de deux ados, a dit stop aux étés chez ses parents à La Baule «Ce n'était pas des vacances» : Hélène, mère de deux ados, a dit stop aux étés chez ses parents à La Baule «Ce n'était pas des vacances» : Hélène, mère de deux ados, a dit stop aux étés chez ses parents à La Baule L'été réunit les générations, pour le meilleur ou pour le pire. Derrière les retrouvailles, les vacances mettent parfois les équilibres familiaux à l'épreuve. Le Figaro donne la parole à ses lecteurs à travers une série de portraits qui racontent, sans détour, comment les liens se resserrent ou se délitent.. Pendant des années, Hélène, mère au foyer, a enchaîné les étés entre La Baule et le golfe du Morbihan, chez ses parents puis chez ses beaux-parents. Elle pensait faire au mieux pour ses enfants. Jusqu'au jour où elle a réalisé dit stop. L'été réunit les générations, pour le meilleur et parfois pour le pire. Entre retrouvailles joyeuses, plannings millimétrés, tensions éducatives ou vieilles rancunes qui ressurgissent, Le Figaro donne la parole à ses lecteurs. À travers une série de portraits, ils racontent comment les vacances peuvent resserrer ou bousculer les liens familiaux. Hélène a élevé ses enfants à temps plein pendant vingt ans. Et chaque été, comme les 14 millions de parents en France, elle a dû les occuper pendant les deux mois de vacances scolaires. Plutôt que de rester à Paris, elle a préféré les emmener au bord de la mer, entre la maison de ses parents à La Baule et celle de ses beaux-parents, côté Morbihan. Sur le papier, elle avait tout pour être comblée : deux maisons, un décor idyllique, l'océan, l'école de voile au bout de la rue, les cousins dans les parages. L'embarras du choix, en apparence. En réalité, les vacances ont souvent ressemblé à un marathon. Son mari ayant peu de congés, Hélène s'est retrouvée en première ligne. Elle a enchaîné les semaines entre susceptibilités à ménager, remarques désobligeantes, exigences implicites, et désaccords éducatifs entre frères et sœurs. Avec le temps, elle a vu se creuser un véritable fossé entre les générations. Pendant des années, elle a privilégié les vacances de ses enfants plutôt que de s'imposer. Elle s'est faite discrète, pensant que c'était le prix à payer pour que tout le monde soit heureux. Jusqu'au jour où elle a dit stop. Deux ans plus tard, elle fait partie de nos lecteurs qui ont accepté de raconter leurs étés en famille. Elle revient sur ce qui l'a poussée à tout envoyer valser, et sur ce que cette décision a changé, durablement. Deux maisons, deux ambiances À La Baule, ses parents possèdent…

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