Dernières actualités avec #adultère

Le Soir
3 days ago
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Astronomer fait appel à Gwyneth Paltrow pour gérer le scandale suite à l'infidélité de son PDG au concert de Coldplay (vidéo)
Andy Bryon et Kristin Cabot ont été surpris en train de commettre un adultère lors d'un concert de Coldplay. Installés dans les bras l'un de l'autre, ils sont apparus en gros plan sur l'écran géant du stade, pris au piège de la célèbre Kiss Cam. En se voyant filmés, ils se sont rapidement écartés et cachés, laissant planer le doute sur la nature de leur relation. Une spectatrice présente au concert a capté la scène et posté la vidéo sur TikTok. Celle-ci est rapidement devenue virale, récoltant plus de dix millions de likes. Les internautes, curieux, ont mené l'enquête pour identifier le couple. Ils ont découvert que l'homme n'était autre qu'Andy Bryon, PDG de la société tech Astronomer, et que la femme à ses côtés était Kristin Cabot, directrice des ressources humaines de la même entreprise. Problème : tous deux sont mariés… mais pas l'un à l'autre.


Le Figaro
4 days ago
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Après le scandale de la Kiss Cam, Gwyneth Paltrow devient la porte-parole temporaire d'Astronomer dans une vidéo humoristique
L'ex-femme de Chris Martin est apparue dans une vidéo humoristique partagée, vendredi 25 juillet, par l'entreprise pour tenter de clore l'affaire. Une stratégie saluée par les internautes. Après avoir partagé plusieurs communiqués au sujet de l'affaire d'adultère entre Andy Byron et Kristin Cabot, dévoilée au concert de Coldplay, Astronomer change de stratégie. Vendredi 26 juillet, l'entreprise a partagé une vidéo humoristique, sur son compte LinkedIn, mettant en scène Gwyneth Paltrow, ex-femme de Chris Martin. «J'ai été engagée à titre très temporaire pour parler au nom des plus de 300 employés d'Astronomer», a déclaré celle qui a été mariée au leader de Coldplay de 2003 à 2014. Elle a alors poursuivi en expliquant qu'elle était chargée de répondre aux nombreuses questions que l'entreprise avait reçues ces derniers jours. Une phrase s'est ensuite affichée sur l'écran : «Q : Oh Mon Dieu ! Qu'est-ce que c'est que ce bordel...». Ignorant ce commentaire, Gwyneth Paltrow a continué son discours et a décrit les services proposés par la société, tout en évitant les questions inconfortables. «Nous avons été ravis de voir autant de personnes s'intéresser à l'automatisation des flux de données», a ajouté l'actrice, plaisantant par rapport au côté viral de l'affaire et à l'intérêt considérable du public pour cette histoire. À lire aussi Quand une Kiss Cam fait tomber un PDG : ce que dit l'affaire Astronomer sur la rigueur américaine au travail Publicité «Merci de votre intérêt» Une autre question est ensuite apparue sur l'écran. «Q : Comment se porte votre équipe sur les réseaux sociaux ?». «Oui ! Il reste encore de la place disponible pour notre événement Beyond Analytics en septembre !», s'est exclamée la mère d'Apple (21 ans) et Moses (19 ans), ignorant à nouveau la question. «Et maintenant, nous allons recommencer à faire ce que nous faisons le mieux... offrir des résultats révolutionnaires pour nos clients. Merci de votre intérêt pour Astronomer.» Avec comme message caché derrière ces paroles : l'affaire est terminée, merci de passer à autre chose. Dans les commentaires, les internautes ont salué les équipes des relations publiques et du marketing pour cette vidéo qui permet de clore toute cette histoire. Mercredi 16 juillet, lors d'un concert de Coldplay à Foxborough dans le Massachussetts, Andy Byron, PDG d'Astronomer, et Kristin Cabot, directrice des ressources humaines de cette même société, avaient été filmés par une Kiss Cam, la femme enlacée dans les bras de son amant. Complètement paniqués lorsqu'ils ont vu leur silhouette sur les écrans géants du stade, Andy Byron a plongé au sol pendant que Kristin Cabot s'est retournée pour cacher son visage. Une réaction qui a très vite donné au public un indice sur la nature de leur relation. La vidéo est alors devenue virale et les internautes ont réussi à retrouver l'identité de ces deux personnes. Cette affaire d'adultère, mais surtout de relation amoureuse entre collègues, a été prise très au sérieux par Astronomer, qui a, dans un premier temps, lancé une enquête interne et démis Andy Byron de ses fonctions de PDG. Ce dernier a finalement démissionné, tout comme Kristin Cabot.


Le HuffPost France
22-07-2025
- Entertainment
- Le HuffPost France
En plein concert d'Oasis, Liam Gallagher tacle Coldplay et sa kiss cam « sournoise »
MUSIQUE - Liam Gallagher met les pieds dans le plat. Dimanche 20 juillet, la star d'Oasis était en concert avec son frère et les autres membres du groupe de britpop à Manchester, où elle a fait un clin d'œil bien à sa manière à l'affaire qui agite le monde des médias et des réseaux sociaux, celle d'un adultère surpris en plein show de Coldplay. « Est-ce qu'il y a des amoureux dans la salle ? », a lancé l'artiste de 52 ans, connu pour ses saillies provocatrices (voir la vidéo plus bas). Il précise : « ne vous inquiétez pas, nous n'avons pas de putain de caméras sournoises comme Coldplay. On s'en fout de savoir avec qui vous baisez, avec qui vous vous mélangez, avec qui vous frissonnez ou avec qui vous vous tripotez. » Lire aussi La « kiss cam » du concert de Coldplay est déjà la séquence la plus virale de 2025 La référence est claire. Il parle, ici, de la vidéo d'Andy Byron et Kristin Cabo, le patron et la DRH de la start-up américaine Astronomer, qui ont été affichés en flagrant délit d'adultère sur grand écran sur le jumbotron d'un concert de Coldplay près de Boston, à la mi-juillet. Depuis, la séquence a fait le tour du monde. Elle a été vue plus de 120 millions de fois sur TikTok, a donné lieu à une quantité monstre de mèmes, a entraîné la suspension du patron de cette entreprise spécialisée dans l'IA, mais a aussi contribué à une campagne de dénigrement public à l'égard des deux protagonistes (ou de leur entourage), note le Washington Post. De son côté, le chanteur de Coldpaly Chris Martin, qui avait dans un premier temps ironisé en apercevant leur attitude embarrassée devant les caméras du concert de son groupe, a pris la parole. Sur la scène de la première date suivant l'épisode, il a rappelé quelques modalités non sans faire un sous-entendu : « nous allons utiliser nos caméras et montrer certains d'entre vous sur le grand écran. Alors s'il vous plaît, si vous n'avez pas encore fait votre maquillage, faites-le maintenant »...


Le Figaro
22-07-2025
- Business
- Le Figaro
Quand une Kiss Cam fait tomber un PDG : ce que dit l'affaire Astronomer sur la rigueur américaine au travail
DÉCRYPTAGE - Après le scandale de la Kiss Cam, Andy Byron, le PDG d'Astronomer, a été démis de ses fonctions temporairement, avant de démissionner. Éclairages avec l'avocat en droit du travail Avi Bitton. Elle est devenue, en l'espace de quelques heures, l'une des affaires d'adultère les plus commentées au monde. Mercredi 16 juillet, lors du concert de Coldplay au Gillette Stadium à Foxborough (Massachussetts), une caméra a filmé une scène qui n'avait pas pour but d'être rendue public. Et pour cause, le couple enlacé qu'elle capte alors, attendant leur baiser public (le concept de ces caméras appelées «kiss cam»), panique, l'homme plongeant au sol pendant que la femme se retourne pour cacher son visage. «Soit ils ont une liaison, soit ils sont juste très timides», commente sur scène Chris Martin, le leader de Coldplay, quelques minutes avant que la vidéo se retrouve publiée sur réseaux sociaux. Très vite, l'extrait devient viral et les internautes réussissent à retrouver l'identité des deux personnes : Andy Byron, PDG d'Astronomer, une entreprise spécialisée dans l'intelligence artificielle et de Kristin Cabot, la directrice des ressources humaines de cette même société. Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Quand les internautes découvrent que le directeur de l'entreprise est marié et père de famille, la machine s'emballe et même le conseil d'administration d'Astronomer publie un communiqué, vendredi 18 juillet, dans lequel il explique qu'Andy Byron a été démis de ses fonctions le temps qu'une enquête interne soit menée. Au lendemain de la publication de ces informations, l'entreprise annonce finalement la démission de son PDG à Page Six . Peut-être parce qu'on est en France, l'une des questions que l'on s'est alors posées à ce moment-là, c'est : pourquoi de telles mesures au sujet de cette histoire qui résulte de la vie privée de deux salariés consentants ? Comme l'explique Me Avi Bitton, avocat en droit du travail en charge de nombreux dossiers franco-américains, les relations amoureuses entre collègues aux États-Unis sont souvent mal perçues - bien plus qu'en Europe. «Et la plupart du temps prohibées. Il s'agit d'un tout autre traitement de la situation qu'en droit français», nous explique-t-il. De plus, selon lui, l'affaire ayant pris de grandes proportions médiatiques, l'entreprise n'a pas eu d'autres choix que de mettre en place certaines mesures. À lire aussi Au travail, 8 employés sur 10 ont déjà flirté ou vécu une relation amoureuse Publicité Pas de loi mais des règles strictes Comme l'explique Me Avi Bitton, aux États-Unis, aucune loi n'interdit «formellement les relations amoureuses entre collègues». «Mais les entreprises imposent des politiques internes strictes pour leurs salariés, quelle que soit leur position hiérarchique, pouvant aller jusqu'à l'interdiction de la relation ou l'obligation de la déclarer au service des ressources humaines», ajoute-t-il, citant l'exemple de McDonald's qui inscrit dans son règlement intérieur : «Afin d'éviter des situations qui pourraient avoir un impact négatif sur le cadre de travail, les employés qui ont un lien hiérarchique direct ou indirect n'ont pas le droit de nouer de relation sentimentale ou sexuelle», précise l'avocat. De plus, le mouvement #MeToo a incité de nombreuses sociétés à durcir leur règlement dans un élan de protection de leurs employés. «Des codes de conduites sont souvent adoptés par les sociétés, dans un contexte social où les normes morales influencent fortement la vie en entreprise, notamment sous l'impulsion du mouvement #MeToo», continue Me Avi Bitton. Enquête interne et mise à pieds Lorsqu'une relation amoureuse entre collègues d'une même entreprise aux États-Unis est révélée, elle soulève rapidement des préoccupations, «notamment en cas de soupçon de harcèlement ou de conflit d'intérêts», indique l'homme de loi. «L'objectif est de vérifier les faits de manière neutre et de prévenir tout risque juridique ou d'atteinte à l'équilibre du climat de travail», ajoute Me Avi Bitton. Pour que l'enquête se déroule sous les meilleurs auspices, les protagonistes sont alors placés en congés temporaires. Me Avi Bitton compare cette suspension à ce que l'on appelle en droit français, «une mise à pied à titre conservatoire». Il s'agit d'une procédure disciplinaire qui permet à l'employeur (ici, le conseil d'administration d'Astronomer) de suspendre temporairement le contrat de travail d'un salarié (ici, le PDG de l'entreprise, Andy Byron) en raison d'une faute grave. «Le PDG a été placé en congé temporaire afin de garantir la confidentialité, d'éviter toute pression sur les témoins et de maintenir un climat de travail serein pour les autres salariés», ajoute l'avocat au Barreau de Paris. Il précise alors que si Andy Byron n'avait pas démissionné, il aurait tout de même pu se faire renvoyer. Un licenciement justifié «par le non-respect d'une règle». «C'est notamment le cas de l'entreprise Intel qui, en 2018, a remercié son PDG, Brian Krzanich, parce qu'il avait entretenu une relation amoureuse avec une salariée», explique Me Avi Bitton, précisant que le règlement au sujet des relations amoureuses entre collègue avait été instauré dans cette entreprise en 2011, et que ces règlements concernent «tous» les salariés. Des codes de conduites sont souvent adoptés par les sociétés, dans un contexte social où les normes morales influencent fortement la vie en entreprise, notamment sous l'impulsion du mouvement #MeToo Me Avi Bitton, avocat en droit du travail au Barreau de Paris Et en France ? Contrairement aux États-Unis, la France est loin d'appliquer les mêmes règles concernant les relations amoureuses entre collègues. Me Avi Bitton rappelle notamment l'article 1121-1 du Code du travail, qui protège la vie privée des salariés et décrit que «nul ne peut apporter aux droits des personnes et aux libertés individuelles et collectives de restrictions qui ne seraient pas justifiées par la nature de la tâche à accomplir, ni proportionnées au but recherché». En droit français, les relations amoureuses entre salariés d'une même entreprise ne sont donc pas interdites. «Les collègues de travail, quel que soit leur lien hiérarchique, sont libres d'entretenir une relation amoureuse. Plus encore, une règle qui viserait à l'interdire serait contraire à leur droit», ajoute Me Avi Bitton. Il précise toutefois qu'une attention particulière peut être portée par l'entreprise s'il y a un risque de conflits d'intérêts, ou «de trouble caractérisé de l'entreprise». Ainsi, interdire une relation amoureuse entre deux salariés pourrait se justifier par la nature du travail, par exemple pour des raisons de sécurité ou de relations avec une certaine clientèle. Mais les mesures prises dans cette situation doivent être proportionnées à la situation et non excessives. Un équilibre se doit d'être maintenu entre les exigences professionnelles et les droits individuels des salariés.


La Presse
22-07-2025
- Business
- La Presse
Infidélité à un spectacle de Coldplay
Les romances au bureau suscitent la fascination, surtout quand elles sont extraconjugales et filmées en direct. Est-ce que l'adultère consentant d'un président et d'une vice-présidente des ressources humaines filmés à un spectacle de Coldplay doit absolument être puni ? Jusqu'à coûter son emploi au grand patron ? Des spécialistes se prononcent. La responsabilité accrue d'un PDG Tous les gérants d'estrade ont leur opinion sur l'intelligence stratégique de l'ex-PDG d'Astronomer Andy Byron et le niveau de jugement de la vice-présidente des ressources humaines Kristin Cabot, qui doit faire respecter les politiques d'entreprise, notamment celles au sujet de l'amour au bureau. Alors qu'ils assistaient au spectacle de Coldplay au Gillette Stadium à Boston, le 16 juillet, la foule – puis le monde entier – a vu M. Byron enlaçant Mme Cabot. Plutôt que de rester impassible en se voyant sur grand écran, la vice-présidente s'est vite caché le visage et le PDG a quitté le cadre. Un comportement louche, qui a enflammé les réseaux sociaux. Selon les experts en gouvernance et en ressources humaines consultés par La Presse, la démission du PDG pris en flagrant délit d'adultère avec sa subalterne était inévitable. Même de vraies excuses publiques – une fausse lettre a circulé sur les réseaux sociaux – n'auraient servi à rien. « Le fait que ce soit un PDG, il a une responsabilité encore plus grande de respecter les règles de l'entreprise et de montrer l'exemple », affirme Sylvie St-Onge, chercheuse à CIRANO et professeure titulaire au département de management à HEC Montréal. « Aux États-Unis, c'est mal perçu d'avoir une relation avec un subordonné », poursuit-elle. C'est ce qu'a indiqué entre les lignes l'entreprise sur LinkedIn en annonçant la démission de son PDG. « On s'attend à ce que nos dirigeants établissent la norme en matière de conduite et de reddition de comptes, et récemment, cette norme n'a pas été respectée », a écrit Astronomer. « Le PDG avait sans doute peu d'options réalistes s'il souhaitait éviter d'entraîner l'entreprise dans une crise prolongée », soutient de son côté Amélie Dubois, consultante en ressources humaines, qui souligne que dans les circonstances, la démission peut être vue comme un geste de responsabilité. Des comptes à rendre, adultère ou non S'ils avaient tous deux été célibataires, ils auraient eu des comptes à rendre tout de même. Certaines entreprises au Canada et aux États-Unis ont des politiques claires au sujet des relations amoureuses au bureau alors que d'autres se contentent de règles informelles, mais les amoureux doivent déclarer leur liaison. Les entreprises sont plus prudentes lorsqu'un supérieur hiérarchique ou un professionnel en relation d'aide est impliqué. Car au-delà de l'abus d'autorité du PDG, qui a un pouvoir sur la rémunération et l'évaluation du rendement de sa vice-présidente des ressources humaines, il y a aussi le climat de travail teinté de favoritisme – réel ou pas – qui est à risque, de même que les dossiers confidentiels discutés sur l'oreiller. L'apparence de conflit d'intérêts est flagrante. « À des niveaux inférieurs, lorsqu'il y a une situation d'autorité, on va transférer l'un des membres en romance dans un autre département. Mais c'est quasiment impossible au niveau de la direction », soutient Sylvie St-Onge. Annie Boilard, présidente du Réseau Annie RH, est d'avis que si l'histoire s'était déroulée au Québec, le PDG aurait pu poser des actions avant l'épisode au spectacle de Coldplay pour éviter d'avoir à démissionner. « Il aurait pu dévoiler sa relation à une personne en autorité, comme au conseil d'administration, explique Annie Boilard. Impliquer une tierce personne pour évaluer la performance et gérer les aspects de la rémunération de la responsable des RH. Il aurait pu aussi s'engager à respecter les politiques de l'entreprise, notamment pour la prévention du harcèlement, et respecter son obligation de loyauté envers l'employeur afin de préserver la réputation et l'image de l'entreprise. » La vice-présidente des RH doit-elle démissionner ? La vice-présidente des RH était toujours en poste au moment où ces lignes étaient écrites. Haute responsable de l'éthique organisationnelle et du climat de travail, elle n'est pas obligée de quitter l'entreprise, mais comme elle a entravé ses propres politiques, sa crédibilité risque d'être au point mort. Pourra-t-elle la réanimer ? « Même si la romance ne sera plus au sein de l'entreprise, va-t-elle encore pouvoir assumer son rôle vis-à-vis le personnel, ses collègues, la direction et le nouveau président ?, demande Sylvie St-Onge. C'est une situation quasi impossible pour elle d'oublier tout ça et d'appliquer une politique sur la romance au bureau. » « Ce n'est pas nécessairement la relation elle-même qui pose un problème, mais bien le contexte, les fonctions occupées, et la perte potentielle de confiance », soutient Amélie Dubois, consultante en ressources humaines. Le C.A. doit jouer son rôle Le conseil d'administration ne peut pas rester les bras croisés dans une crise de la sorte, affirme Alexandra Langelier, vice-présidente exécutive de l'Institut sur la gouvernance d'organisations privées et publiques (IGOPP). Les membres doivent se rencontrer rapidement, explique-t-elle, et afficher publiquement les actions qui sont mises en place. « Le C.A. doit montrer rapidement qu'il est conscient de l'enjeu de réputation pour l'entreprise, voire de sa pérennité. « Ça peut même être dangereux pour l'entreprise, parce qu'il y a beaucoup de réactions en ce moment, il y a des moqueries, de la frustration, les employés réagissent, il en va vraiment de la réputation de l'entreprise. » Dans son rôle habituel, le C.A. doit s'assurer qu'il y ait des politiques qui encadrent les relations intimes, amoureuses ou de proximité entre différents employés ou dans une situation de hiérarchie et un plan d'action précis, explique-t-elle. « Le C.A. ne fait pas de passe-droit même s'il s'agit du PDG et de la vice-présidente des ressources humaines. »