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12 morts dans des frappes de l'armée israélienne, qui dit avoir ciblé le Hezbollah
12 morts dans des frappes de l'armée israélienne, qui dit avoir ciblé le Hezbollah

La Presse

time15 hours ago

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12 morts dans des frappes de l'armée israélienne, qui dit avoir ciblé le Hezbollah

Malgré un accord de cessez-le-feu, Israël mène régulièrement des frappes sur le Liban, principalement dans le sud. 12 morts dans des frappes de l'armée israélienne, qui dit avoir ciblé le Hezbollah (Jérusalem) Des frappes israéliennes dans la région de la Békaa, dans l'est du Liban, ont fait 12 morts mardi, selon l'agence de presse officielle libanaise (ANI), l'armée israélienne disant avoir visé des cibles du mouvement pro-iranien Hezbollah dans le secteur. Agence France-Presse « Des avions de chasse ennemis ont mené des raids sur la zone de Wadi Fara, dans le nord de la vallée de la Békaa, dont l'un a visé un camp de déplacés syriens, causant la mort de 12 martyrs parmi lesquels sept Syriens, et faisant huit blessés », a rapporté l'ANI. « Les complexes militaires qui ont été frappés étaient utilisés par l'organisation terroriste du Hezbollah pour former et entraîner des terroristes à planifier et à mener des attaques terroristes contre les troupes [israéliennes] et l'État d'Israël », a affirmé l'armée. Le communiqué précise qu'une opération militaire israélienne menée en septembre 2024 a entraîné la mort des commandants de la force Radwan à Beyrouth et dans le sud du Liban, mais que « depuis lors, l'unité s'efforce de rétablir ses capacités ». « Le stockage d'armes et les activités de l'organisation terroriste Hezbollah sur ces sites constituent une violation flagrante des accords entre Israël et le Liban et représentent une menace future pour l'État d'Israël », ajoute encore le communiqué militaire. Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a déclaré que ces dernières frappes constituaient « un message clair » adressé au Hezbollah et au gouvernement libanais « qui est responsable du respect de l'accord » de cessez-le-feu. « Nous frapperons tous les terroristes et contrecarrerons toute menace pesant sur les habitants du nord et sur l'État d'Israël, et nous riposterons avec une force maximale contre toute tentative de reconstruction », a-t-il déclaré dans un communiqué. Un accord de cessez-le-feu a mis fin à la guerre entre Israël et le Hezbollah le 27 novembre 2024. Malgré cet accord, entré en vigueur après plus d'un an d'hostilités et deux mois de guerre ouverte ayant fortement affaibli le mouvement soutenu par l'Iran, Israël mène régulièrement des frappes sur le Liban, principalement dans le sud. L'armée israélienne affirme viser le Hezbollah dans ses bombardements et accuse les autorités libanaises de ne pas agir suffisamment pour le désarmer. En vertu de l'accord de trêve, le Hezbollah devait retirer ses combattants au nord du fleuve Litani, à quelque 30 kilomètres de la frontière israélienne, seules l'armée libanaise et les forces de maintien de la paix des Nations unies devant être déployées dans le secteur. Israël, qui devait de son côté retirer complètement ses troupes du Liban, les maintient toutefois dans cinq positions du sud du pays, qu'il juge stratégiques.

Influenceur food et star sur TikTok, il cuisine pour l'armée suisse
Influenceur food et star sur TikTok, il cuisine pour l'armée suisse

24 Heures

time18 hours ago

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Influenceur food et star sur TikTok, il cuisine pour l'armée suisse

Le soldat bernois Oluyomi Scherrer, suivi par plus de 16 millions de personnes sur le réseau social, a offert une vitrine à l'armée en cuisinant pour ses camarades. Publié aujourd'hui à 11h48 Engagé comme cuisinier militaire jusqu'à la fin du mois de juin, Oluyomi Scherrer est devenu un ambassadeur de l'armée sur les réseaux sociaux (photo d'archive). Raphael Moser De son pseudo @thispronto ou @drpronto , Oluyomi Scherrer est l'un des influenceurs les plus suivis de Suisse, avec ses plus de 16 millions de followers sur le réseau social TikTok. Le Bernois âgé de 26 ans se met en scène sur l'app en train de préparer de bons petits plats, qu'il servait à ses camarades du bataillon logistique 51 de l' armée suisse jusqu'il y a encore quelques semaines, relate «20 minutes» . En tenue B, son éternelle casquette noire vissée sur la tête, on le voit préparer les repas des autres soldats, notamment des kilos de pâtes carbonara, dans une vidéo qui comptabilise plus de 3 millions de vues. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Engagé comme cuisinier militaire jusqu'à la fin du mois de juin, Oluyomi Scherrer est ainsi devenu un ambassadeur de l'armée sur les réseaux sociaux. Au début de son service, il raconte à nos confrères de «20 minutes» qu'il n'avait pas l'autorisation de tourner ses vidéos dans les cuisines de la caserne. Puis, l'institution a compris les bénéfices d'une vitrine sur les réseaux sociaux et a commencé à collaborer avec des créateurs de contenu. L'armée a même posté l'une de ses séquences cuisine son compte Instagram. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Influenceur culinaire à plein temps Le jeune homme, cuisinier de formation, a commencé à produire des vidéos en 2020 et s'est fait connaître avec sa technique de découpe des ingrédients pour ses recettes sur le dos d'un iPad. Oluyomi Scherrer estime être l'un des premiers influenceurs à imaginer des contenus gastronomiques sur l'application. Libéré de son service, il est désormais créateur de contenus à plein temps. À lire aussi sur l'armée suisse Newsletter «Gastronomie & Terroirs» «24 heures» suit depuis toujours l'actualité gastronomique et culinaire. Recevez, chaque vendredi, une sélection d'articles sur la restauration, la cuisine, les produits du terroir et le vin. Autres newsletters Laurène Ischi est journaliste au sein de l'équipe digitale de Tamedia. Après un bachelor en lettres à Lausanne, elle a obtenu son master à l'Académie du journalisme et des médias de l'Université de Neuchâtel en 2021. Elle se passionne pour les sujets de société et a travaillé pour «Femina» pendant 4 ans.­ Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Paris : pour attirer, l'armée de terre mise sur des jeux et des défis
Paris : pour attirer, l'armée de terre mise sur des jeux et des défis

Le Parisien

timea day ago

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Paris : pour attirer, l'armée de terre mise sur des jeux et des défis

Le président Emmanuel Macron a insisté ces derniers jours sur la nécessité de se doter d'une armée puissante face aux menaces extérieures. Et en ce lundi 14 juillet, jour de défilé, l'armée avait organisé, à l'Hôtel des Invalides, une grande journée de rencontre avec le public. L'occasion de tenter de recruter des candidats. Et à ce petit jeu de séduction, l'armée de terre se démarque et multiplie des approches originales. Par des influenceurs en treillis sur les réseaux sociaux, mais aussi des défis sportifs. Cette fois, le parcours du combattant a été adapté au public. « C'est une manière ludique de les tester et de les intéresser », indique le chef d'escadron Cédric. L'an dernier, cette même journée de rencontre et de recrutement avait débouché sur 80 rendez-vous dans les centres d'Ile-de-France et une vingtaine de jeunes recrutés. Mais tous les participants aux jeux et défis sportifs ne sont pas forcément en âge de prendre un poste dans l'un des 117 métiers que compte l'armée de terre. « Pour les plus jeunes, on plante une petite graine. Pour les ados, on a déjà des parcours et des formations. Et les adultes, qu'ils soient parents en quête d'une orientation pour leur enfant ou jeunes candidats, ces activités constituent une bonne entrée en matière pour discuter », poursuit le chef d'escadron. Le stand avec le parcours du combattant, baptisé « dé-terre-mination », n'a pas désempli de la journée. Au programme, des tractions. « Il faut rester avec le menton au niveau de la barre pour pouvoir regarder deux images et jouer au jeu des sept erreurs », précise l'un des instructeurs en treillis, motivant les participants. Après un chemin d'agilité, des pompes et des flexions, les participants doivent essayer de toucher une cible avec un pistolet laser. « On leur apprend à tenir une arme », précise un autre instructeur. Mais pour Léonard, 15 ans, c'est la compétition avant tout. « J'ai fini dans les meilleurs temps, savoure cet habitant de Thiais (Val-de-Marne). Là, j'entre en seconde, mais dans quelques années, m'engager pourrait m'intéresser. » Roberta, 7 ans, et Jesse, 10 ans, ont pour leur part surtout envie de gagner des cadeaux. Et une médaille de fabrication-maison est offerte à tous. « On avait découvert cette journée spéciale l'an dernier et on était revenu avec plein de petites choses », rigole Jesse. « Mais pas sûr que je fasse la guerre quand je serai plus grande, parce que j'ai déjà prévu de faire trois métiers », poursuit sa sœur qui se verrait bien dans le domaine médical. « On a des postes dans ce secteur-là. Dans l'armée, on peut aussi être comptable, financier, ingénieur, tente d'amadouer le chef d'escadron Cédric. Mais ce qui nous fait défaut, ce sont surtout les métiers de maintenance et de cybersécurité, car nous sommes en concurrence avec les entreprises privées. Et l'armée, servir son pays, ça reste un réel engagement. » « Ça me plairait de travailler avec eux. Il y a plein de choses intéressantes à faire et à voir », glisse Jesse, quelque peu séduit.

Défilé du 14 Juillet : un jeune militaire se blesse à l'oreille avec son sabre
Défilé du 14 Juillet : un jeune militaire se blesse à l'oreille avec son sabre

Le Figaro

time2 days ago

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Défilé du 14 Juillet : un jeune militaire se blesse à l'oreille avec son sabre

Blessé à l'oreille, un jeune aspirant de l'École militaire interarmes (EMIA) a continué de défiler ce lundi matin sur les Champs-Élysées, sous les yeux des téléspectateurs intrigués par le sang coulant le long de sa joue. Un incident discret mais remarqué s'est produit lors du défilé militaire du 14 Juillet, ce lundi matin sur les Champs-Élysées. Alors que les caméras suivaient les troupes en marche, plusieurs téléspectateurs ont signalé qu'un jeune militaire présentait une blessure visible à l'oreille, avec du sang coulant le long de sa joue. Loin de quitter les rangs, l'aspirant a poursuivi sa marche sans faillir, le regard droit, au pas avec ses camarades. Il s'agit d'un élève officier de l'École militaire interarmes (EMIA), l'un des établissements de formation des futurs cadres de l'armée de Terre, basé à Coëtquidan. Contactée par Le Parisien, l'armée de Terre s'est voulue rassurante : le jeune homme «va bien», la blessure étant apparemment sans gravité. Publicité Ce moment, aussi furtif que saisissant, intervient alors que l'EMIA a fait tristement parler d'elle ces derniers jours. Dimanche, un autre élève officier de cette école, qui devait participer au défilé, est décédé à Paris après une chute accidentelle depuis un pont. Le drame s'est produit alors qu'il rentrait, en civil, du bal des délégations militaires organisé traditionnellement en amont de la cérémonie. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes du décès.

Le défilé d'une armée « prête au combat » pour le 14-Juillet
Le défilé d'une armée « prête au combat » pour le 14-Juillet

La Presse

time2 days ago

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Le défilé d'une armée « prête au combat » pour le 14-Juillet

(Paris) Des militaires en treillis et casque lourd à bord de leurs blindés : le défilé du 14-Juillet à Paris a mis lundi en avant une armée « prête au combat », au lendemain de la promesse d'Emmanuel Macron d'accroître encore les dépenses de défense face « à un monde plus brutal ». Mathieu RABECHAULT Agence France-Presse Organisé comme une « vraie opération militaire » selon le gouverneur militaire de Paris, le général Loïc Mizon, le défilé reflète cette année la gravité des menaces pesant sur la sécurité du continent. « Jamais depuis 1945 la liberté n'avait été si menacée », a affirmé dimanche le président français Emmanuel Macron devant un parterre de hauts gradés, en évoquant notamment la « menace durable » que fait peser la Russie sur le continent. La revue nationale stratégique publiée lundi postule qu'« il est désormais clair que nous entrons dans une nouvelle ère, celle d'un risque particulièrement élevé d'une guerre majeure de haute intensité en dehors du territoire national en Europe ». « Celle-ci impliquerait la France et ses alliés en particulier européens, à l'horizon 2030, et verrait notre territoire visé en même temps par des actions hybrides massives », précise le document. Drones et systèmes anti-aériens En conséquence, malgré les efforts d'économie, la France compte renforcer son effort budgétaire pour la défense, en ajoutant des dépenses de 3,5 milliards d'euros en 2026 puis à nouveau 3 milliards supplémentaires l'année suivante, de sorte que le budget défense du pays aura quasiment doublé en dix ans, pour atteindre près de 64 milliards d'euros en 2027. Une augmentation des dépenses militaires que 72 % des Français semblent prêts à soutenir, selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro publié lundi. Lors du défilé sur la prestigieuse avenue parisienne des Champs-Élysées, l'armée française a voulu mettre en valeur sa « crédibilité opérationnelle » et sa « solidarité stratégique » avec ses partenaires. « L'armée de Terre défile en brigade bonne de guerre, c'est-à-dire prête au combat », a ainsi expliqué sur la radio RTL le général Mizon. Des soldats de la 7e brigade blindée ont défilé en tenue de combat à bord de chars Leclerc, de canons automoteurs Caesar ou de blindés de combat VBCI, équipés de leur casque lourd et gilet pare-balles. Les drones ou les systèmes anti-aériens SAMP/T ont également été en vue. PHOTO LUDOVIC MARIN, AGENCE FRANCE-PRESSE Lors du défilé sur la prestigieuse avenue parisienne des Champs-Élysées, l'armée française a voulu mettre en valeur sa « crédibilité opérationnelle » et sa « solidarité stratégique » avec ses partenaires. Paris se veut capable de déployer cette année si nécessaire une brigade-soit plus de 7000 hommes avec toutes les munitions et la logistique en dix jours. En 2027, l'ambition est de faire de même pour une division (plus de 20 000 hommes) en 30 jours. Tête de morse Pour incarner les partenariats de la France ont défilé une compagnie belgo-luxembourgeoise, la force binationale franco-finlandaise, composant la force de réaction rapide de la Finul, la mission de l'ONU au Liban, ou encore l'équipage de la frégate Auvergne, qui a effectué plusieurs déploiements en Baltique et en Arctique afin de soutenir les opérations de l'OTAN. Précédés de la Patrouille de France et du défilé aérien, plus de 450 militaires indonésiens, dont les musiciens d'un « drumband », en uniforme bigarré et la tête couverte d'un casque de pilote, d'une tête de tigre, d'aigle, de morse ou de requin suivant leur corps d'appartenance, avaient ouvert le défilé devant le président français Emmanuel Macron et son homologue indonésien Prabowo Subianto, ainsi que l'émir du Koweït Mechal al-Ahmad al-Sabah. PHOTO LUDOVIC MARIN, AGENCE FRANCE-PRESSE Emmanuel Macron et son homologue indonésien Prabowo Subianto Paris a conclu un partenariat stratégique avec Jakarta pour peser dans la zone indo-pacifique. Des membres du service militaire volontaire (SMV) et du service militaire adapté (SMA) de Nouvelle-Calédonie, des dispositifs de formation et d'insertion dans l'emploi ont également été mis à l'honneur, alors qu'Emmanuel Macron dit vouloir donner « un nouveau cadre » pour que « la jeunesse ait l'occasion de servir ». Auparavant, au pied de l'Arc de Triomphe, le chef de l'État avait remis au président du Comité de la flamme, à l'occasion de son centenaire, un glaive servant à raviver chaque soir la flamme du soldat inconnu, représentant les combattants français tombés au combat. Les animations du défilé ont également célébré le centenaire du Bleuet de France, institution créée en 1925 pour œuvrer à la solidarité avec le monde combattant en distribuant des bleuets en tissu.

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