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« Vraiment atypique » : les serres de Beaudreville, premier tiers-lieu agriculturel de l'Essonne
« Vraiment atypique » : les serres de Beaudreville, premier tiers-lieu agriculturel de l'Essonne

Le Parisien

time5 hours ago

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« Vraiment atypique » : les serres de Beaudreville, premier tiers-lieu agriculturel de l'Essonne

Prenez 6 000 m2 de serres désaffectées, ajoutez-y un apiculteur passionné, une association dynamique pour y installer des artistes et des porteurs de projets du monde agricole, saupoudrez d'une petite touche de fantaisie et vous obtiendrez le premier tiers-lieu agriculturel de l'Essonne. Aux serres de Beaudreville de Gometz-la-Ville, la recette fonctionne depuis déjà cinq ans… et s'étoffe même au fil des années.

Financée par l'extrême droite, comment l'association de parents traditionaliste tisse sa toile à l'ouest de Paris
Financée par l'extrême droite, comment l'association de parents traditionaliste tisse sa toile à l'ouest de Paris

Le Parisien

time2 days ago

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Financée par l'extrême droite, comment l'association de parents traditionaliste tisse sa toile à l'ouest de Paris

En se rendant à un café des parents organisé par une association de soutien à la parentalité, au collège des Ormeaux, Astrid Brobecker n'avait aucune arrière-pensée. Cette mère de famille, élue d'opposition (EELV) à Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine), a pourtant très vite déchanté. « Avec d'autres parents, on s'est vite senti mal à l'aise, se souvient-elle. Il n'y avait rien de choquant mais la présentation faisait très surannée et genrée : les garçons ceci, les filles cela… » L'intervenante de l'association qui se présente sur LinkedIn comme « consultante formatrice et psychopraticienne » adepte d'une « approche intégrative » fait défiler des diapositives devant une quinzaine de parents. Le thème de la séance de ce 10 avril 2025 : « L'hygiène de vie des ados ». À en croire la présentation, les garçons ont besoin de « produits tout-en-un pour aller plus vite » et les filles ont un « intérêt pour les parfums, les soins, etc. » Dans une autre diapositive, il est indiqué que la dysphorie de genre est un des risques liés à la surexposition aux réseaux sociaux.

La justice acte l'existence de «risque grave pour les salariés» d'UFC-Que Choisir
La justice acte l'existence de «risque grave pour les salariés» d'UFC-Que Choisir

Le Figaro

time3 days ago

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  • Le Figaro

La justice acte l'existence de «risque grave pour les salariés» d'UFC-Que Choisir

La justice a débouté mardi la direction de l'association UFC-Que Choisir qui contestait l'existence d'un «risque grave pour les salariés» formulé par le CSE et la demande d'une expertise externe, d'après une décision consultée par l'AFP. L'association d'aide aux consommateurs emploie 130 personnes, d'une part ceux qui s'occupent des titres de presse, d'autre part les salariés chargés des actions juridiques, politiques et des affaires publiques, ainsi que de l'appui aux associations locales. «C'est dans cette partie qu'il y a les plus gros problèmes», notamment du «stress généré par une surcharge de travail» ou un «dénigrement du travail réalisé», expliquaient en mars des représentants du CSE à l'AFP. Les élus du CSE de l'association ont voté à l'unanimité fin 2024 une résolution selon laquelle il existe «un risque grave pour la santé et la sécurité des salariés de l'ensemble des services du département de l'action politique, soit 25 personnes environ». Ils ont décidé dans cette même résolution de recourir à une expertise externe. Publicité Risque grave La direction contestait cette délibération, et avait saisi la justice. «Nous avons avec le CSE un différend sur la méthode et c'est la raison pour laquelle nous avons introduit un recours», avait indiqué à l'AFP le directeur général délégué de l'association, Jérôme Franck. «L'expertise, sollicitée en séance et sans débat, portant sur un seul département de 15 personnes environ sur un effectif total de 130 collaborateurs, ne repose selon nous sur aucune démonstration factuelle 'd'un risque grave, identifié et actuel'», expliquait-il. Le tribunal judiciaire de Paris a débouté mardi la direction de sa demande d'annuler la délibération du CSE, la jugeant «régulière». L'association a également été condamnée à payer 3.500 euros à son CSE. «Malgré l'absence de justification d'un absentéisme notable ou d'indicateurs chiffrés permettant de constater une surcharge de travail, le département action politique connaît une situation de turn-over inhabituelle dans son service études et lobby», a noté le tribunal. «Si l'existence de risques psychosociaux est inhérente à toute organisation collective du travail, de manière plus prégnante encore dans une entreprise de services fondée sur une action militante spécifique, leur gravité est ici relevée», ajoute-t-il. Joint par l'AFP, le directeur général délégué de l'association, Jérôme Franck, a indiqué mardi «prendre acte de cette décision», et a souligné «qu'aucun indicateur permettant de constater» un risque grave pour les salariés «n'a été reconnu».

Viandes, fruits, légumes… Pourquoi nous mangeons chaque jour 250 litres d'eau « invisible »
Viandes, fruits, légumes… Pourquoi nous mangeons chaque jour 250 litres d'eau « invisible »

Le Parisien

time4 days ago

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Viandes, fruits, légumes… Pourquoi nous mangeons chaque jour 250 litres d'eau « invisible »

88 % des Français coupent le robinet pendant qu'ils se lavent les dents. Un réflexe anti gaspi de base. Mais à en croire une étude dévoilée par le WWF, ce qui sort de nos tuyaux à la maison n'est que la partie émergée de ce que nous consommons. L'association écologiste estime qu'en plus des 150 litres d'eau quotidiens utilisés par chaque Français pour boire, se laver et faire la vaisselle, nous engloutissons 500 litres d'eau « invisible », dont la moitié au travers des aliments que l'on… mange.

200 animaux recueillis en une journée : dans le Val-de-Marne, triste record pour les amis des bêtes
200 animaux recueillis en une journée : dans le Val-de-Marne, triste record pour les amis des bêtes

Le Parisien

time13-07-2025

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200 animaux recueillis en une journée : dans le Val-de-Marne, triste record pour les amis des bêtes

Trente degrés au thermomètre et c'est à coup sûr un paquet de martinets noirs juvéniles qui tombent de leur nid. « Ils nichent sous les toits, qui deviennent de vraies fournaises, explique Céline Grisot, la directrice de l'association Faune Alfort. S'il fait 30 degrés, il fait le double sous les toits, et les oisillons se jettent dans le vide. » Le sort de ces oiseaux est l'une des raisons pour lesquelles Faune Alfort tire plus que jamais la sonnette d'alarme : ce mois de juillet — et plus largement la saison — représente pour son équipe une situation totalement « inédite ».

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