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Viandes, fruits, légumes… Pourquoi nous mangeons chaque jour 250 litres d'eau « invisible »

Viandes, fruits, légumes… Pourquoi nous mangeons chaque jour 250 litres d'eau « invisible »

Le Parisien4 days ago
88 % des Français coupent le robinet pendant qu'ils se lavent les dents. Un réflexe anti gaspi de base. Mais à en croire une étude dévoilée par le WWF, ce qui sort de nos tuyaux à la maison n'est que la partie émergée de ce que nous consommons.
L'association écologiste estime qu'en plus des 150 litres d'eau quotidiens utilisés par chaque Français pour boire, se laver et faire la vaisselle, nous engloutissons 500 litres d'eau « invisible », dont la moitié au travers des aliments que l'on… mange.
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time13 hours ago

  • Le Parisien

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« C'est épouvantable, on suffoque ». Le temps a beau être à la pluie, les températures redescendues, Annie*, une habitante du quartier Firmin Gemier à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), ne se remet pas de la canicule . Elle n'est pas la seule. Cette retraitée fait partie des locataires de l'OPH d'Aubervilliers, une quinzaine d'irréductibles, qui se sont déplacés ce mardi 22 juillet devant le siège de l'OPH à l'appel de « Locataires ensemble » pour demander des conditions de logement plus dignes. Le sentiment général est résumé par Catherine (le prénom a été changé) , la voisine d'Annie : « On crève de chaleur ».

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time14 hours ago

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Une petite victoire pour les parents d'élèves de l'école Jules Ferry à Chartres ( Eure-et-Loir ). Les arbres des deux cours d'école, maternelle et primaire, sont sauvés. Au moins provisoirement. Retour en arrière : un orage accompagné de vents à plus de 100 km/h a causé de nombreux dégâts sur plusieurs secteurs de Chartres, le 13 juin dernier . Quelques riverains avaient dû être relogés après l'envol d'un toit. Parmi les conséquences de cet épisode violent, plusieurs arbres avaient été endommagés dans deux écoles de la ville, les établissements Jules Ferry et Farman. Dans l'école Farman, la chute d'un peuplier avait arraché des fils électriques. À Jules Ferry, deux arbres avaient fini couchés et un autre menaçait de tomber. Après un tour des écoles, la ville avait décidé d'abattre tous les arbres de l'école Jules Ferry, « pour des questions de sécurité », rappelle-t-elle. Heureusement, lors de l'orage, il n'y avait personne quand un tilleul s'est allongé en travers de la cour, mais c'était un vendredi soir. Abattre tous les arbres ? « Une aberration », s'étrangle Lydia Boucherfa, parent d'élève qui a aussitôt lancé une pétition. « On a bien vu avec la canicule début juillet que la cour d'école sans végétation et sans les tilleuls serait devenue une fournaise . On n'a pas envie de ça pour nos enfants », clame-t-elle. Le texte a recueilli plus de 500 signatures. Si bien que les services municipaux ont consenti à rencontrer les parents et les enseignants début juillet. Résultat : le diagnostic des tilleuls a bien confirmé qu'un arbre malade devait être abattu cet été. Des analyses complémentaires seront menées sur un second arbre en août, et une décision sera prise avant le retour des enfants à la rentrée. « Nous avons été entendus. Tout ne va pas être rasé. La mairie s'est engagée à repenser les cours d'école, à les végétaliser , ce qui est une bonne nouvelle », se console Lydia Boucherfa. En février 2022, un lycéen du château des Vaux à Saint-Maurice-Saint-Germain (Eure-et-Loir) était mort écrasé par la chute d'un chêne. Deux autres avaient été blessés. De l'extérieur, l'arbre ne présentait aucun signe de faiblesse.

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