Dernières actualités avec #eau


Le Parisien
a day ago
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Cet accessoire à moins de 17 euros récupère toutes les saletés à la surface de votre piscine
L'été démarre à peine que les feuilles, insectes et autres saletés commencent déjà à s'inviter à la surface de votre piscine. Pour éviter d'y plonger l'épuisette à longueur de journée, un skimmer est un petit accessoire de piscine bien pratique. Il se fixe simplement sur le bord du bassin et collecte en continu tout ce qui flotte à la surface, avant que ça ne coule au fond. Résultat : une eau plus propre au quotidien, moins d'entretien manuel, et un vrai gain de temps, surtout quand on profite de la piscine tous les jours. Le skimmer de surface pour piscine INTEX 28000 est actuellement proposé à 16,99 euros chez Cdiscount, un prix accessible pour un accessoire de piscine discret, mais efficace, qui simplifiera clairement l'entretien de votre piscine pendant toute la saison estivale. Voici trois codes promo qui vont vous faire plaisir : Conçu pour se fixer simplement sur le bord des piscines hors-sol, le skimmer de surface pour piscine INTEX 28000 s'installe en quelques gestes grâce aux crochets fournis et s'adapte à la majorité des modèles tubulaires. Une fois branché sur le système d'aspiration, il récupère feuilles, insectes et autres impuretés avant qu'ils ne coulent au fond de l'eau. Son panier amovible permet de vider les déchets facilement, sans avoir besoin d'arrêter la filtration. Avec un diamètre de 40 mm et une longueur de 77 cm, il reste compact tout en couvrant efficacement la surface. C'est un accessoire de piscine simple, qui fonctionne en continu, sans programmation, et qui évite les corvées à répétition. Il est également fourni avec un adaptateur et un tuyau pour une mise en place rapide. En usage quotidien, il allège considérablement l'entretien du bassin et prolonge la propreté de l'eau, tout en restant discret au bord de la piscine. Cliquez ici pour retrouver l'offre Cdiscount sur le skimmer de surface pour piscine INTEX 28000 Les meilleures offres disponibles chez Cdiscount : Offre à durée limitée et dans la limite des stocks disponibles. Voir conditions sur le site Cdiscount


Le Figaro
2 days ago
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- Le Figaro
Rennes réduit la taille des piscines pour économiser de l'eau
« La ressource en eau peut être économisée en encadrant plus fortement la construction des piscines individuelles », selon la métropole de Rennes. Terminé les grands bassins. La métropole de Rennes décide d'encadrer la construction de piscines individuelles en limitant leur volume à 25 mètres cubes maximum, soit 3 mètres x 6 mètres environ (pour une profondeur moyenne de 1,4 mètre). Et elle rend également obligatoire l'installation d'un système de couverture, pour éviter l'évaporation de l'eau et limiter les remplissages répétés des bassins. Le Plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi), qui fixe les règles d'utilisation des sols pour tout projet d'aménagement ou de construction dans la métropole, est modifié pour la deuxième fois depuis son adoption en 2019 et prévoit que « la ressource en eau peut être économisée en encadrant plus fortement la construction des piscines individuelles ». Pas d'interdiction des piscines Même s'il ne s'agit pas d'une interdiction pure et simple de construire des piscines, cette réforme limite fortement leur taille. « Certaines communes avaient tenté d'interdire totalement les piscines. Ce n'était pas notre intention et de toute façon, ce n'est pas légal. Notre volonté, c'est de limiter leur volume, dans l'intérêt collectif », explique Laurence Besserve, la vice-présidente de Rennes métropole déléguée à l'urbanisme, à 20 Minutes . La mesure dissuadera-t-elle les propriétaires de faire construire une piscine, si celle-ci est plus petite ? Un maire a déjà interdit toute nouvelle demande de construction de piscines du 9 mars au 30 avril 2023, à Elne, près de Perpignan (66), afin d'anticiper toute pénurie d'eau induite par la sécheresse. Pour le maire communiste, Nicolas Garcia, les chantiers de forage présentent un « risque de contamination des nappes » et les piscines, un « épuisement très rapide des nappes quaternaires ». Quelles économies d'eau réelles cette mesure permettrait-elle de dégager ? Contacté, le service presse de la métropole de Rennes n'a pour le moment pas donné suite à notre demande. La récupération des eaux pluviales sur les toitures devient obligatoire. Elle sera réutilisée pour l'arrosage des espaces extérieurs ou pour les sanitaires. Rennes revoit massivement ses dispositions concernant l'urbanisme. Un espace extérieur privatif est obligatoire dans chaque futur logement (balcon, terrasse ou loggia de 4 m²) depuis fin 2022.


Le Figaro
2 days ago
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- Le Figaro
PFAS : l'eau du robinet interdite à la consommation dans 16 communes de la Meuse et des Ardennes
La consommation d'eau du robinet sera interdite dans les jours à venir dans quatre communes de la Meuse et 12 des Ardennes après la découverte de taux anormaux de PFAS, dits «polluants éternels», ont indiqué les préfectures. La consommation d'eau du robinet pour la boire ou préparer des biberons sera interdite à partir du jeudi 10 juillet dans douze communes des Ardennes comptant un total de 2800 habitants, a indiqué vendredi la préfecture des Ardennes dans un communiqué cosigné avec l'Agence régionale de santé du Grand Est. Avant cela, la même mesure s'appliquera dès samedi, à quatre communes de la Meuse, 620 habitants à elles quatre, selon un communiqué de la préfecture publié jeudi soir. Aucune des deux préfectures ne précise la durée de cette interdiction. Publicité Tous les villages concernés dans la Meuse sont situés au bord du même cours d'eau, le Loison. Les communes touchées dans les Ardennes se situent quant à elles toutes dans le sud du département, à proximité de la rivière Meuse ou de l'un de ses affluents. Des taux de PFAS largement supérieurs aux seuils légaux Ces restrictions font suite à la découverte de taux de PFAS supérieurs à la limite légale de 100 nanogrammes par litre (ng/l) dans l'eau distribuée. Une loi sur les polluants éternels promulguée début 2025 prévoit notamment d'inclure les PFAS dans le contrôle sanitaire des eaux potables. La préfecture des Ardennes reconnaît que, dans les communes du département touchées, «la concentration totale des 20 principaux PFAS dépasse, de façon persistante et très importante, la limite réglementaire». Selon France 3 et le média Disclose, dans 17 communes à cheval entre la Meuse et les Ardennes, les taux de PFAS détectés dépassent de 3 à 27 fois cette limite, jusqu'à 2.729 ng/l à Villy (Ardennes). Un record en France. La source utilisée par le village de Villy est si polluée qu'on «ne peut pas la traiter, on ne peut pas rattraper le taux», regrette Richard Pilbiche, son maire. Interrogations sur l'origine de ces PFAS Les PFAS, pour substances per- et polyfluoroalkylées, dits «polluants éternels», peuvent avoir des effets délétères sur la santé humaine: augmentation du taux de cholestérol, cancers, effets sur la fertilité et le développement du fœtus, etc. Massivement utilisés dans l'industrie depuis le milieu du XXe siècle, par exemple pour fabriquer des poêles antiadhésives, des vêtements imperméables ou des cosmétiques, ils sont, comme leur nom l'indique, extrêmement difficiles à éliminer une fois dans l'eau ou les sols. Publicité En l'occurrence, «la pollution pourrait être liée à l'épandage, sur des parcelles agricoles situées à proximité des captages d'eau potable, de boues papetières susceptibles de contenir des PFAS», selon les deux préfectures, bien que «cette origine reste à confirmer». Mesures de prévention La préfecture de la Meuse demande aux communes concernées, «personnes responsables de la production et de la distribution d'eau, d'assurer la distribution de bouteilles aux habitants». Pour Villy, cela représente une dépense de 18.000 euros sur un an. «On va payer l'eau 100 fois plus cher» que si elle était captée à la source, assure-t-il. Le préfet des Ardennes enjoint les communes touchées «à mettre en place, dans les meilleurs délais, un plan d'actions pour réduire de façon satisfaisante le taux de PFAS dans l'eau et rendre de nouveau l'eau conforme aux normes en vigueur.»


Le Parisien
3 days ago
- Science
- Le Parisien
« Polluants éternels » : l'eau du robinet interdite à la consommation dans quatre communes de la Meuse
La consommation d'eau du robinet sera interdite à partir de samedi dans quatre communes de la Meuse. En cause ? La découverte de taux anormaux de PFAS, dits « polluants éternels » , comme indiqué par la préfecture dans un communiqué. La consommation d'eau du robinet , pour la boire ou préparer des biberons, sera interdite dans les communes de Juvigny-sur-Loison, Louppy-sur-Loison, Han-lès-Juvigny et Remoiville, 620 habitants à elles quatre, selon un communiqué de la préfecture publié jeudi soir, qui ne précise pas la durée de cette interdiction. Tous ces villages sont situés au bord du même cours d'eau, le Loison. Cela fait suite à la découverte de taux de PFAS supérieurs à la limite légale de 100 nanogrammes par litre (ng/l) dans l'eau distribuée. Selon France 3 et le média Disclose, dans 17 communes à cheval entre la Meuse et les Ardennes, les taux de PFAS détectés dépassent de 3 à 27 fois cette limite, jusqu'à 2 729 ng/l à Villy (Ardennes). Un record en France. Selon ces mêmes médias, la préfecture des Ardennes s'apprêtait à prendre des mesures similaires pour les communes polluées dans ce département. Les PFAS, pour substances per- et polyfluoroalkylées, dits « polluants éternels », peuvent avoir des effets délétères sur la santé humaine : augmentation du taux de cholestérol, cancers, effets sur la fertilité et le développement du fœtus… Massivement utilisés dans l'industrie depuis le milieu du XXe siècle, par exemple pour fabriquer des poêles antiadhésives, des vêtements imperméables ou des cosmétiques, ils sont, comme leur nom l'indique, extrêmement difficiles à éliminer une fois dans l'eau ou les sols. En l'occurrence, « la pollution pourrait être liée à l'épandage, sur des parcelles agricoles situées à proximité des captages d'eau potable, de boues papetières susceptibles de contenir des PFAS » , selon la préfecture de la Meuse, bien que « cette origine reste à confirmer ». « Il revient aux communes précitées, personnes responsables de la production et de la distribution d'eau, d'assurer la distribution de bouteilles aux habitants selon les modalités qu'elles définiront », précise la préfecture.


Le Figaro
3 days ago
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- Le Figaro
Forages à sec, bassins privés d'eau... à Volvic, l'État accusé d'avoir favorisé des prélèvements d'eau excessifs
La justice administrative se penche sur les conditions d'attribution des autorisations de pompage accordées à l'usine d'embouteillage locale de Danone. L'État a-t-il accordé des autorisations de prélèvements d'eau «excessifs» à Volvic ? Le tribunal administratif de Clermont-Ferrand examine vendredi le recours du propriétaire d'une pisciculture qui accuse les autorités d'être responsables de l'assèchement de ses sources. Édouard de Féligonde, propriétaire de cette pisciculture classée monument historique, réclame 32 millions d'euros à l'État, affirmant que ce tarissement est lié aux prélèvements de Danone pour son usine d'embouteillage d'eau minérale Volvic. Depuis 2017, plusieurs mois par an, les sources situées en aval des forages de Danone sont à sec, les bassins privés d'eau s'effondrent et l'exploitation a dû cesser. Or c'est le préfet qui délivre les autorisations de prélèvements : celles-ci s'élèvent à 2,389 millions de mètres cubes par an, Volvic prélevant juste en dessous de ce seuil. Après une première baisse de 10% en 2022, la préfecture du Puy-de-Dôme a procédé fin avril à une nouvelle réduction de 5% de l'autorisation annuelle. À lire aussi Perrier, Vittel, Hépar, Volvic… Les grandes sources d'eau minérale françaises luttent pour leur survie Publicité «Une situation explosive à court terme» Mais pour Édouard de Féligonde, les autorisations «sont ajustées en fonction de ce que Danone pompe». «C'est une situation explosive à court terme, puisque l'eau ne coulera plus aux sources(...) d'ici 2036 et cela sera donc un assèchement de la pisciculture, mais aussi de 3.600 hectares de terres en aval de chez moi», écrit-il dans un courrier transmis à la commission d'enquête sénatoriale sur les pratiques des industriels de l'eau en bouteille. Trois associations environnementales (Preva, Frane et FNE63) ont par ailleurs déposé vendredi 27 juin un recours devant ce même tribunal pour dénoncer les autorisations de prélèvements d'eau «excessifs» et leurs conséquences sur l'environnement. Trois ans après avoir épinglé les «carences» de l'État, le rapporteur public devrait demander cette fois au tribunal de rejeter la requête d'Edouard de Féligonde. Le rapporteur public est un magistrat qui conseille les juridictions administratives. Celles-ci suivent souvent, mais pas toujours, ses avis. Lors d'une première audience en 2022, l'État avait fait valoir que le préjudice résultait «d'un facteur climatique, en l'espèce un phénomène de sécheresse ». Le tribunal avait réclamé deux nouvelles expertises pour pouvoir se prononcer : l'une en hydrogéologie pour «évaluer le débit des sources et son évolution», l'autre financière pour chiffrer le préjudice lié à la perte d'exploitation et à la détérioration de la pisciculture. Le groupe Danone a indiqué qu'il ne «commentait pas des éléments de dossiers en cours». Il rappelle toutefois avoir réduit à Volvic ses «prélèvements de -15% entre 2017 et 2024» et s'être engagé à le faire davantage en cas d'alerte sécheresse.