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Benedict Cumberbatch dénonce le « gaspillage » qui règne à Hollywood
Benedict Cumberbatch dénonce le « gaspillage » qui règne à Hollywood

Le Figaro

time3 days ago

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Benedict Cumberbatch dénonce le « gaspillage » qui règne à Hollywood

« Vous n'avez pas besoin de donner de bouteilles en plastique à l'équipe... Nous sommes aux XXIe siècle », dénonce l'acteur britannique. En pleine promotion du long-métrage Les Roses, adaptation du roman La Guerre des Roses de l'écrivain américain Warren Adler, l'acteur Benedict Cumberbatch est revenu sur la « face sombre » de Hollywood. Invité le 22 juillet du podcast Ruthie's Table 4, l'acteur connu pour son rôle de Doctor Strange, a qualifié l'industrie cinématographique « d'extrêmement gaspilleuse ». Pour incarner son personnage de superhéros, Benedict Cumberbatch était contraint de consommer cinq repas par jour et grignoter des aliments riches en protéines comme des œufs durs, du fromage, du beurre d'amande et des craquelins : « Même si vous vous sentez fort, confiant et endurant, je trouve ça horrible de manger au-delà de son appétit [...] Je me dis, mais qu'est-ce que je fais ? Je pourrais nourrir une famille avec la quantité que je mange ». Publicité L'acteur a ensuite pointé du doigt l'empreinte carbone causée par la production de films : « Quand vous pensez aux constructions de décors non recyclés, aux transports, à la nourriture, aux logements mais aussi à la quantité d'électricité pour créer une lumière diurne et constante dans un studio. C'est beaucoup d'énergie ». Des efforts restent à faire sur les plateaux Si Benedict Cumberbatch reconnaît qu'il existe une « hypocrisie » de la part des acteurs et des studios lorsqu'ils s'expriment sur l'écologie, l'acteur incite à sa propre échelle au respect de l'environnement : « Les gens peuvent rapporter leurs propres gourdes d'eau [sur les plateaux de tournages] et boire au robinet si c'est une bonne source. Vous n'avez pas besoin de donner de bouteilles en plastique à l'équipe... Nous sommes aux XXIe siècle ». Après la sortie de la comédie dramatique Les Roses le 27 août, Benedict Cumberbatch enfilera à nouveau son costume de Doctor Strange dans Avengers Dooms dont la projection est prévue pour 2026.

Le gaspillage qui paralyse nos soins à domicile
Le gaspillage qui paralyse nos soins à domicile

La Presse

time4 days ago

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Le gaspillage qui paralyse nos soins à domicile

Les soins à domicile sont paralysés par la bureaucratie, déplore notre éditorialiste. Le gaspillage qui paralyse nos soins à domicile Voici l'histoire d'un ergothérapeute qui a parfois l'impression de travailler dans la maison des fous des 12 travaux d'Astérix tellement la bureaucratie des CLSC est aberrante. Il perd une grande partie de ses semaines à faire des démarches inutilement compliquées, au lieu de se consacrer pleinement aux soins à domicile. Par exemple, ça peut lui prendre une dizaine d'heures pour obtenir un ambulateur – une sorte de marchette avec des freins –, alors qu'il ne lui faut qu'une dizaine de minutes pour obtenir le même équipement pour une personne couverte par la SAAQ ou la CNESST. Qu'est-ce qui prend autant de temps ? Il faut remplir de longs formulaires, visiter le patient à plusieurs reprises… Lorsque celui-ci est prestataire de l'aide sociale, c'est encore plus compliqué. L'ergo doit faire d'autres démarches fastidieuses pour que l'aide sociale rembourse une partie de l'ambulateur qui vaut environ 300 $. Un programme gouvernemental en rembourse une autre partie. Mais on s'entend qu'à la fin, c'est le même contribuable qui paie la facture. Et cette facture est gonflée à cause du temps perdu par l'ergothérapeute. Au bout du compte, ses services professionnels et son kilométrage coûteront peut-être trois ou quatre fois plus cher à l'État que la valeur de l'équipement lui-même. Du vrai beau gaspillage ! Et après on se demande pourquoi on paie beaucoup d'impôt et qu'on a du mal à obtenir des services ! « Je vous confirme que c'est long et qu'il y aurait moyen de rendre ça plus simple », dit Marie-France Jobin, directrice du développement et de la qualité de l'exercice à l'Ordre des ergothérapeutes du Québec. Ça fait des années que ce programme existe. Des travaux d'optimisation sont en cours. Mais ce n'est pas simple non plus, car il faut modifier des règlements qui sont eux-mêmes compliqués. Bref, la complexité est enrobée d'une autre couche de complexité. Si seulement cette histoire d'ambulateur était un cas à part. Pas du tout ! Les soins à domicile sont paralysés par la bureaucratie. Selon les estimations de Santé Québec, certains professionnels (ergothérapeutes, physiothérapeutes) consacrent le plus clair de leur temps à des activités non cliniques : déplacements, coordination, documentation et installation d'équipements. Au bout du compte, ils passent seulement de 25 à 35 % de leur semaine auprès des patients. C'est extrêmement préoccupant. D'autant plus que 18 000 Québécois se languissent en attendant un premier soin à domicile, presque deux fois plus qu'au début de 2019. Et récemment, des bénéficiaires se sont fait couper des heures de services, alors que Santé Québec est en quête d'économies de 1,5 milliard de dollars. PHOTO JACQUES BOISSINOT, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE La ministre déléguée à la Santé et responsable des Aînés, Sonia Bélanger Le cabinet de la ministre déléguée à la Santé et responsable des Aînés, Sonia Bélanger, assure qu'il n'y a eu aucune directive ministérielle visant à réduire les heures des soins à domicile. Au contraire, les budgets ont été augmentés. Mais le tableau de bord du réseau de la santé démontre que le nombre cumulatif d'heures en soutien à domicile a légèrement baissé (-1,2 %) depuis un an. Il faut toutefois reconnaître que la Coalition avenir Québec n'a pas lésiné sur les soins à domicile. Depuis son arrivée au pouvoir, en 2018, la CAQ y a injecté 2,6 milliards additionnels, une hausse de 40 %. Et le nombre d'heures de services a bondi de 78 %. Mais en réduisant le gaspillage, on pourrait en offrir beaucoup plus. Le gouvernement en est conscient. Il vient de lancer le projet VSAD+ (Valorisation du soutien à domicile) pour réduire les tâches non essentielles et libérer du temps clinique. Après 140 journées sur le terrain et la consultation de 325 intervenants, on voit déjà des améliorations. Prenez les travailleuses sociales. Au lieu de faire une évaluation annuelle systématiquement, dans tous leurs dossiers, on leur demande de le faire seulement lorsque l'exercice est cliniquement pertinent. Cette directive a permis une réduction des évaluations exhaustives de 15 à 20 % dans plusieurs territoires. Le temps gagné a pu être réalloué à des interventions plus utiles. On pourrait aller tellement plus loin. Si on confiait davantage de tâches à des techniciens ou d'autres personnes-ressources, on libérerait l'horaire des ergos et des physios. Pas besoin d'un professionnel pour installer une barre dans la salle de bain ! D'autres intervenants peuvent très bien le faire, avec un guide d'aide. Si on reconnaissait les ergos et les physios à la hauteur de leurs compétences, on déchargerait les médecins qui sont souvent appelés en renfort pour rien. Pourquoi exiger une attestation médicale afin que la RAMQ rembourse les frais d'un chien d'assistance ? Si les CLSC organisaient les tournées à domicile avec des outils technologiques efficaces, on limiterait le va-et-vient mal planifié, on maximiserait les visites et on réduirait le remboursement du kilométrage pour l'utilisation du véhicule. En octobre prochain, la ministre Sonia Bélanger doit présenter sa politique nationale sur les soins à domicile. Ce plan sera critique pour l'ensemble du réseau de la santé. On pourrait libérer bien des lits d'hôpital en offrant des soins à domicile appropriés. Espérons que ce plan ne sera pas coincé par la machine bureaucratique.

Imprimante, lit, canapé... Cette aide méconnue de la CAF qui finance du mobilier et des appareils électroniques
Imprimante, lit, canapé... Cette aide méconnue de la CAF qui finance du mobilier et des appareils électroniques

Le Figaro

time22-07-2025

  • Business
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Imprimante, lit, canapé... Cette aide méconnue de la CAF qui finance du mobilier et des appareils électroniques

Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Alors que le gouvernement cherche des pistes pour redresser les comptes de la France, certains l'appellent à se pencher sur des dispositifs d'aide, dénonçant un «gaspillage» d'argent public. Faudra-t-il couper massivement dans les aides sociales pour remettre les comptes publics d'équerre ? François Bayrou l'a annoncé le 15 juillet dernier, il faut trouver 43,8 milliards d'euros, dont une écrasante partie viendrait d'une baisse des dépenses, pour réduire le déficit public. Jours fériés, retraités, remboursements des médicaments... Face à l'ampleur de la tâche, chacun sera mis à contribution, a prévenu le gouvernement, qui souhaite ainsi partager l'effort. La piste d'une «année blanche » pour 2026, évoquée par le premier ministre, va dans ce sens, en gelant le barème de l'impôt sur le revenu, de la CSG et aucune évolution des aides sociales. Dans ce contexte, le maintien de certains dispositifs interroge également, comme «l'aide à l'équipement ménager mobilier». Parmi la myriade d'aides sociales dispensées par les caisses d'allocations familiales (CAF), ce dispositif méconnu est proposé dans plusieurs départements. Concrètement, il permet d'obtenir une subvention et/ou un prêt sans intérêt pour équiper son logement ou acheter du matériel informatique. Lave-vaisselle, sèche-linge, imprimante, lit, canapé, salle à manger... Il est ainsi possible de recevoir plusieurs centaines d'euros d'argent public pour «acquérir du mobilier ou un appareil utile à la vie de tous les jours». Si la Cnaf n'évoque pas le nombre de départements qui mettent à disposition cette aide, le Figaro l'a repérée en Corrèze, dans l'Oise, les Hauts-de-Seine, à Paris, en Seine-et-Marne, en Isère, dans la Sarthe, l'Yonne, la Haute-Loire, le Nord ou encore dans la Vienne. Les critères d'attribution diffèrent quelque peu mais le principe reste le même.

Viandes, fruits, légumes… Pourquoi nous mangeons chaque jour 250 litres d'eau « invisible »
Viandes, fruits, légumes… Pourquoi nous mangeons chaque jour 250 litres d'eau « invisible »

Le Parisien

time21-07-2025

  • Science
  • Le Parisien

Viandes, fruits, légumes… Pourquoi nous mangeons chaque jour 250 litres d'eau « invisible »

88 % des Français coupent le robinet pendant qu'ils se lavent les dents. Un réflexe anti gaspi de base. Mais à en croire une étude dévoilée par le WWF, ce qui sort de nos tuyaux à la maison n'est que la partie émergée de ce que nous consommons. L'association écologiste estime qu'en plus des 150 litres d'eau quotidiens utilisés par chaque Français pour boire, se laver et faire la vaisselle, nous engloutissons 500 litres d'eau « invisible », dont la moitié au travers des aliments que l'on… mange.

Gaspillage : ne jetez plus les légumes trop petits, fendus ou moches, ils sont aussi bons que les autres !
Gaspillage : ne jetez plus les légumes trop petits, fendus ou moches, ils sont aussi bons que les autres !

Le Parisien

time07-07-2025

  • Science
  • Le Parisien

Gaspillage : ne jetez plus les légumes trop petits, fendus ou moches, ils sont aussi bons que les autres !

Souvent, une partie de la récolte finit délaissée ou jetée alors que la valeur nutritive, et même gustative, des légumes est intacte. Voici quelques gestes et idées simples permettent pourtant de limiter le gâchis. Les légumes grignotés par les limaces, tachés, petits ou difformes n'ont pas un aspect très engageant mais peuvent très bien se consommer, à condition que ce soit fait rapidement. Voici comment procéder : Au jardin, profitez de cette récolte pour couper les organes malades afin que la maladie ne s'étende pas au reste de la production. N'hésitez pas à arracher les plants trop atteints par la maladie ; Appliquez un traitement à la fois préventif et curatif, notamment contre les maladies fongiques comme du purin de prêle qui renforce les défenses immunitaires de la plante. Le lait écrémé (6 à 30 ml/l sur Cucurbitacées 1 fois/semaine) a un effet préventif contre l'oïdium. Ces produits sans aucune toxicité, rendent simplement les cellules plus aptes à freiner l'entrée du parasite ; Contrôlez l'humidité atmosphérique en protégeant la culture de la pluie ou en ôtant l'excès de feuillage. Paillez pour isoler les feuilles des éventuelles spores du sol. Les tomates fendues, atteintes de la maladie du « cul noir » ou encore brûlées par le soleil (zones durcies) peuvent se cuire pour créer des coulis, des sauces maison ou même être séchées. Ôtez avec soin les parties lésées qui peuvent donner mauvais goût à la préparation. Les courgettes géantes sont un classique dans un potager. Il suffit de partir quelques jours pour se laisser surprendre par la rapidité de croissance de ces légumes. La peau est devenue dure, les graines ont grossi. Il suffit de couper la courgette en deux dans le sens de la longueur, de creuser le centre avec une petite cuillère pour ôter les graines. Remplissez le creux avec une farce bien relevée et passez au four. La chair de la courgette très riche en eau évite que le plat ne s'assèche. Vous pouvez aussi prélever la chair pour en faire un potage ou façonner une tourte en ajoutant de feta ou du fromage de chèvre à la chair de courgette coupée en tranches. Un délice ! Essayez de nouvelles recettes rapides comme des pickles de courgettes. Prenez soin de faire dégorger les morceaux de courgette épépinés et sans la peau dans du sel pendant 2 heures avant de les mélanger à la sauce aigre-douce (vinaigre, sucre et curry). Les carottes cassées, difformes s'utilisent parfaitement en brunoise, râpées ou dans un bouillon. Si elles présentent des zones pourries ou grignotées, il suffit de les ôter lors de l'épluchage et lavage. Peu importe la forme, tant que le goût et la texture sont là ! Lorsque la récolte a été trop maigre pour préparer un plat suffisant ou que les légumes sont abîmés par une chute de grêle par exemple, récoltez le plus rapidement possible, triez, lavez, blanchissez les légumes si besoin (haricot vert) et constituez des poches de légumes à congeler. Elles constitueront des kits à ratatouille, à soupe ou à poêler dans un wok. Vous pouvez aussi réaliser des coulis de tomates mis en bocaux, congelés ou placés dans des petites bouteilles en verre avec un « bouchon d'huile ». Pensez à c ongeler en portions de manière à tout utiliser en une fois et à tout bien étiqueter. Vous gagnerez du temps cet hiver lorsque vous chercherez un plat rapide à faire. Vous pouvez aussi précuire pour gagner encore plus de temps. Les épluchures propres et les cœurs des légumes mous peuvent servir à l'alimentation des poules et des lapins. Les restes non utilisables sont mis au compost et serviront à fertiliser la terre : rien ne quitte le jardin sans être recyclé ! Il existe de multiples façons de valoriser les indésirables sous forme de chips de pelures, de pesto de fanes, de pickles de tiges. Les courgettes trop grosses peuvent se tailler en spirales élégantes, servir à confectionner des gâteaux, des cakes ou des paillassons frits… Le zéro-gaspi devient un terrain de créativité culinaire exceptionnel !

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