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« L'une des plus grandes raretés de notre planète » : un fragment de Mars à vendre aux enchères pour 4 millions de dollars
« L'une des plus grandes raretés de notre planète » : un fragment de Mars à vendre aux enchères pour 4 millions de dollars

Le Parisien

time2 days ago

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  • Le Parisien

« L'une des plus grandes raretés de notre planète » : un fragment de Mars à vendre aux enchères pour 4 millions de dollars

Et si vous achetiez un bout de la planète Mars ? Encore faudrait-il en avoir les moyens. La célèbre maison Sotheby's va mettre aux enchères à partir du 16 juillet le plus grand fragment de Mars sur Terre, pour un prix estimé à 4 millions de dollars, soit 3,42 millions d'euros. Comme le rapporte CBS News , la météorite à vendre, appelé NWA 16788, a parcouru 140 millions de kilomètres dans l'espace avant de s'écraser dans le désert du Sahara, où elle a été retrouvée dans la région reculée d'Agadez au Niger en 2023. « Les chances que cela arrive jusqu'ici sont astronomiquement faibles », a assuré Cassandra Hatton, vice-présidente de la science et de l'histoire naturelle de Sotheby's, dans une vidéo promotionnelle de la maison de vente aux enchères. Le morceau de roche martienne mis aux enchères par Sotheby's a probablement été délogé de la planète par l'impact d'un astéroïde. Les fragments de Mars trouvés sur Terre sont rares. Selon la maison de vente, seulement 400 des plus de 77 000 météorites officiellement reconnues trouvées sur Terre – soit environ 0,6 % – proviennent de Mars. Avec ses 25 kg à la pesée, NWA 16788 représente 6 % de ce que l'on possède venant de Mars sur Terre. « Les spécimens de la Lune et de Mars figurent parmi les plus grandes raretés de notre planète, car chaque morceau des deux tiendrait dans la soute d'un gros SUV », a écrit la maison de vente aux enchères dans un guide du collectionneur de 2022. « Ce n'est pas seulement une découverte miraculeuse, mais un ensemble de données massif qui peut nous aider à percer les secrets de notre voisine, la planète rouge », ajoute Cassandra Hatton. En attendant de trouver preneur, la météorite est exposée au public dans les galeries de Sotheby's à New York jusqu'au 15 juillet.

Olympiades d'astrophysique et d'astronomie : l'équipe de France sera 100 % féminine... et essonnienne
Olympiades d'astrophysique et d'astronomie : l'équipe de France sera 100 % féminine... et essonnienne

Le Parisien

time2 days ago

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Olympiades d'astrophysique et d'astronomie : l'équipe de France sera 100 % féminine... et essonnienne

gées de 18 et 17 ans, Charlène et Coline vont représenter la France lors de la 18e édition des Olympiades internationales d'astronomie et d'astrophysique (IOAA), organisées du 11 août au 21 août à Mumbai (Inde). Respectivement élèves de terminale au lycée de la Vallée de Chevreuse , à Gif-sur-Yvette (Essonne), et au lycée Blaise-Pascal d'Orsay, elles ont été sélectionnées pour former la première délégation française à participer à ce concours annuel réservé aux élèves de moins de 19 ans n'ayant pas encore entamé d'études supérieures. Cet été, les deux lauréates devront donner le meilleur d'elles-mêmes lors de trois épreuves — une théorique, une pratique et une consistant à analyser des données — à l'issue desquelles les candidates et candidats de près de 70 pays seront classés individuellement. Elles pourront compter sur le soutien infaillible d'Alain Cano, professeur de physique-chimie au lycée de la Vallée de Chevreuse et coordinateur de ce projet qui a pu voir le jour grâce au mécénat de la fondation Paris-Saclay et de l'Académie spatiale d'Île-de-France.

Cette astronaute de l'lSS a capturé un « farfadet », ce phénomène rare qui transperce le ciel
Cette astronaute de l'lSS a capturé un « farfadet », ce phénomène rare qui transperce le ciel

Le HuffPost France

time5 days ago

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  • Le HuffPost France

Cette astronaute de l'lSS a capturé un « farfadet », ce phénomène rare qui transperce le ciel

X ESPACE - C'est un événement très rare qu'a réussi à capturer l'astronaute Nichole Ayers depuis la station spatiale internationale (ISS), à 400 km au-dessus de la Terre. Alors que les scientifiques survolaient le Mexique et les États-Unis, ils ont pu observer un phénomène lumineux transitoire (ou « TLE » pour « Transient Luminous Event »), plus communément appelé « farfadet ». Nichole Ayers est parvenu à faire un cliché de ce moment qui n'a duré que quelques secondes. Sur celui-ci, on voit plusieurs branches électriques rouges se réunir en un seul éclair, tirant progressivement sur le bleu, pour finalement transpercer les nuages. Elle a ensuite partagé la photo sur son compte X jeudi 3 juillet, comme vous pouvez le voir ci-dessous. Elle y explique notamment que « les farfadets sont des TLE qui se produisent au-dessus des nuages ​​et sont déclenchés par l'intense activité électrique des orages situés en contrebas ». Dans son tweet, Nichole Ayers a ajouté : « La vue au-dessus des nuages ​​est magnifique, ce qui permet aux scientifiques d'utiliser ces images pour mieux comprendre la formation, les caractéristiques et le lien entre les TLE et les orages. » Ce cliché est d'autant plus important que l'origine de ces farfadets garde encore une part de mystère pour les scientifiques. C'est pour cette raison qu'en juin dernier, le CNRS a annoncé la création du « premier dispositif expérimental permettant de les reproduire en laboratoire ». En 2021 déjà, Thomas Pesquet alors commandant de l'ISS avait également immortalisé des phénomènes lumineux transitoires, dont des farfadets au-dessus de l'Europe. Sa photo, que vous pouvez voir ci-dessus, est néanmoins bien moins précise que celle prise par Nichole Ayers.

Le mystérieux signal radio qui a enflammé les astronomes provenait d'un satellite «zombie»
Le mystérieux signal radio qui a enflammé les astronomes provenait d'un satellite «zombie»

24 Heures

time03-07-2025

  • Science
  • 24 Heures

Le mystérieux signal radio qui a enflammé les astronomes provenait d'un satellite «zombie»

Accueil | Savoirs | Sciences | En juin 2024, des astronomes australiens avaient détecté un puissant signal radio, capable d'éblouir les capteurs et d'éclipser le ciel durant quelques nanosecondes. Théo Sivazlian Publié aujourd'hui à 20h26 Les antennes ASKAP, en Australie. KEYSTONE/EPA/REBECCA LE MAY AUSTRALIA AND NEW ZEALAND OUT Il y a un an, en juin 2024, l'excitation gagnait des astronomes australiens. Ils venaient de détecter à l'aide du radiotélescope ASKAP un étrange signal radio, si puissant qu'il a, le temps de quelques nanosecondes, ébloui les capteurs et éclipsé le ciel. «Nous étions tous très excités, pensant avoir découvert un objet inconnu à proximité de la Terre», a déclaré à CNN Clancy James, professeur associé à l'Institut de radioastronomie Curtin. en Australie-Occidentale. Les articles ABO sont réservés aux abonnés. S'abonner Déjà enregistré.e ou abonné.e? Se connecter

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