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«Contraction brutale» des levées de fonds pour les start-up françaises au premier semestre, indique une étude
«Contraction brutale» des levées de fonds pour les start-up françaises au premier semestre, indique une étude

Le Figaro

time19 hours ago

  • Le Figaro

«Contraction brutale» des levées de fonds pour les start-up françaises au premier semestre, indique une étude

Le nombre d'opérations de levées de fonds pour des start-up françaises baisse de 60% pour en cette première moitié d'année. Les montants levés sont également en baisse de 34%, selon l'étude d'In Extenso Innovation Croissance. Les start-up françaises sont en difficulté. Le nombre d'opérations de levées de fonds pour des start-up françaises a diminué de 60% au premier semestre 2025 sur un an, signe inquiétant pour la survie de nombreuses jeunes entreprises, selon le baromètre d'un cabinet de conseil publié mardi. Derrière cette «contraction brutale», qui concerne également les montants levés, en baisse de 34% par rapport à la première moitié d'année 2024, se cache une «recomposition profonde» du capital-risque français, notamment au profit de secteurs perçus comme structurants, indique l'étude d'In Extenso Innovation Croissance. Le capital-risque comprend les opérations de prise de participation par des fonds privés ou publics dans de jeunes entreprises prometteuses, non cotées en Bourse, dans l'optique de réaliser une plus-value conséquente au moment de la revente de cette participation. «En 2024, les tickets (montants investis, NDLR) les plus petits, ceux qui arrivent le plus tôt dans la vie des entreprises, avaient plutôt bien résisté», indique Nicolas Forey, président associé d'In Extenso Innovation Croissance. «Malheureusement, cette digue a cédé et on a un repli assez marqué en Europe et en France des investisseurs vers des tickets plus importants, et donc des niveaux d'entreprises plus matures, jugés moins risqués pour eux en termes d'investissement». Publicité «Potentiellement la survie» des start-up en jeu Au premier semestre, 65% des montants se sont concentrés sur des séries B ou au-delà (C,D, etc.) - c'est-à-dire un stade plus avancé de développement que les premiers pas d'une entreprise -, impliquant des montants de plusieurs dizaines de millions d'euros. Or, derrière cette polarisation et la baisse globale des montants levés, se joue «potentiellement la survie» des start-up, souligne Nicolas Forey. Le baromètre note également que la baisse du capital-risque est plus marquée en France qu'en Europe, où les montants levés n'ont reculé au total que de 12% (mais le nombre d'opérations de 44%). «L'incertitude politique qui perdure» peut expliquer cette différence, les investisseurs ayant «horreur du flou et de l'incertitude». L'intelligence artificielle (IA) est le seul secteur qui se démarque et subit moins de difficultés à mobiliser des financements. L'IA tire le marché mondial et capte près d'un quart des capitaux levés en France, selon le baromètre. «L'inconvénient est que l'IA aspire une bonne partie de la capacité d'investissement des fonds», note M. Forey. C'est «autant de millions d'euros en moins pour les autres secteurs», comme la fintech ou la santé, qui peinent à attirer de nouveaux financements.

Macron et Bayrou en légère remontée, mais 42 % des Français souhaitent une nouvelle dissolution
Macron et Bayrou en légère remontée, mais 42 % des Français souhaitent une nouvelle dissolution

Le Figaro

time3 days ago

  • Politics
  • Le Figaro

Macron et Bayrou en légère remontée, mais 42 % des Français souhaitent une nouvelle dissolution

Le président et son premier ministre connaissent un léger mieux dans le baromètre Ipsos-La Tribune Dimanche de juillet, avec respectivement trois et deux points de hausse. Mais leur popularité reste faible, sur fond de défiance persistante envers l'exécutif. Emmanuel Macron et François Bayrou grappillent respectivement trois et deux points de mieux concernant leur action en juillet, même si le niveau de satisfaction à leur endroit reste faible, selon un sondage Ipsos pour La Tribune Dimanche . Avec 24% d'opinions favorables, le chef de l'État regagne un peu d'oxygène dans ce baromètre mensuel, même si sa cote végète dans des étiages similaires à ceux de la crise des gilets jaunes fin 2018. Un regain attribuable notamment à une popularité en hausse chez les sympathisants écologistes (+15%) selon cette enquête, alors que le chef de l'État a fait la promotion ces dernières semaines de son bilan vert. Publicité À quelques jours de présenter ses orientations budgétaires, marquées par un net tour de vis pour tenter de redresser les comptes, François Bayrou reprend aussi quelques couleurs, après un printemps en chute libre. Mais avec 19% d'opinions favorables, il pâtit toujours d'une popularité bien inférieure à celle de tous ses prédécesseurs sous la Ve République. Le RN en tête Si Bruno Retailleau reste le ministre le plus apprécié - 36% des sondés jugent que le locataire de Beauvau est le meilleur du gouvernement - sa cote de présidentiable recule de quatre points par rapport à juin. Ils ne sont plus que 25% des personnes interrogées à se dire satisfaites en cas d'élection de l'actuel ministre de l'Intérieur en 2027, contre 27% à Édouard Philippe, et 33% au duo à la tête du Rassemblement national, Marine Le Pen et Jordan Bardella. Enfin, un an après la précédente, 42% des sondés se disent favorables à une nouvelle dissolution, et 31% contre - le reste n'ayant pas d'avis sur le sujet. Parmi les plus allants à un chamboulement au Palais Bourbon : les sympathisants RN, qui plaident à 51% pour... quand bien même leur chef de file Marine Le Pen serait interdite de se représenter par la justice. Ce sondage a été réalisé en ligne du 9 au 10 juillet 2025 sur un échantillon de 1000 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur entre 0,6 et 3,1 points.

+ 11 % en 2025 : pourquoi changer ses plaquettes de frein coûte toujours aussi cher
+ 11 % en 2025 : pourquoi changer ses plaquettes de frein coûte toujours aussi cher

Le Parisien

time08-07-2025

  • Business
  • Le Parisien

+ 11 % en 2025 : pourquoi changer ses plaquettes de frein coûte toujours aussi cher

Changer de disques. Se faire (aussi) les plaquettes. Cela pourrait ressembler à la to do list de l'été : nouvelle playlist et summer body. La réalité est plus prosaïque. Il est ici question de réparations mécaniques. Mauvaise nouvelle, selon les données du baromètre 2025, que nous dévoilons en exclusivité, les prix sont en hausse de 6,67 % sur un an. Le site de comparaison de devis et de prise de rendez-vous en ligne préfère voir le réservoir à moitié plein. « La progression ralentit après deux années d'inflation plus marquée » (+ 7,64 % en 2024, + 11,51 % en 2023), retient son porte-parole. Dans le détail, les prestations les plus affectées par le coup de chaud 2025 restent celles dites plus techniques, où le coût des pièces est dominant et les temps d'intervention plus élevés, comme le freinage (+ 11,05 %) ou la courroie de distribution (+ 12,16 %).

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