
+ 11 % en 2025 : pourquoi changer ses plaquettes de frein coûte toujours aussi cher
deux années d'inflation plus marquée
» (+ 7,64 % en 2024, + 11,51 % en 2023), retient son porte-parole.
Dans le détail, les prestations les plus affectées par le coup de chaud 2025 restent celles dites plus techniques, où le coût des pièces est dominant et les temps d'intervention plus élevés, comme le freinage (+ 11,05 %) ou la courroie de distribution (+ 12,16 %).
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
4 hours ago
- Le Figaro
PAC : Paris appelle l'UE à aller plus loin pour garantir son avenir
La réforme de la PAC inquiète Paris. Il faudra aller plus loin dans la négociation pour préserver les spécificités de la politique agricole commune (PAC) et donner de la visibilité aux agriculteurs, a prévenu le ministre français des Affaires européennes, Benjamin Haddad, contestant le projet en l'état de part flexible de financement proposée par la Commission européenne. «Nous serons particulièrement vigilants» sur les aides directes européennes aux agricultures, au cours des deux années de négociations qui s'ouvrent pour définir la politique agricole commune sur la période 2028-2034, a dit M. Haddad au journal Ouest France. «La proposition de la Commission préserve les paiements directs mais il faudra aller plus loin pour maintenir la spécificité de la politique agricole commune», a-t-il ajouté. La France, et plusieurs États membres, selon M. Haddad, contestent la place faite à l'agriculture dans le projet qui prévoit qu'une partie des financements européens soient versés dans un fonds spécifique où les États membres pourront décider eux-mêmes de flécher l'argent vers l'agriculture ou vers d'autres destinations. «Nos agriculteurs ont besoin de visibilité sur leurs revenus, et de stabilité sur la façon dont va être déboursé l'argent de la PAC. Évidemment que les États membres feront toujours de la question de l'agriculture une priorité. Mais je crois qu'il faut que notre vision pour l'agriculture soit vraiment inscrite très clairement dans ce budget européen. Nous avons été plusieurs États membres à le rappeler aujourd'hui au Conseil au commissaire au budget», a-t-il dit. Publicité L'Union européenne a détaillé jeudi sa proposition de réforme de la future politique agricole commune de 2028 à 2034, qui suscite l'ire de la profession. Elle prévoit un socle de 300 milliards d'euros sur la période, contre 387 milliards sur la précédente de 2021 à 2027. Mais la Commission réfute l'idée d'une baisse car elle propose un changement d'architecture budgétaire avec la mise sur pied de ce vaste fonds dans lequel pourraient piocher les États pour compléter. «Nous nous battrons pour chaque euro de la politique agricole commune : le maintien du revenu des agriculteurs – c'est-à-dire ce qu'on appelle l'actuel pilier 1 –, mais aussi toutes les aides à l'investissement – comme l'accompagnement à l'installation des jeunes agriculteurs – afin qu'elles ne soient pas diluées au sein d'autres revenus», a déclaré le ministre.


Le Figaro
6 hours ago
- Le Figaro
Budget : les leaders syndicaux, «très énervés» par les annonces de François Bayrou, se revoient au «1er septembre»
Pour l'heure, «personne n'est opposé à une mobilisation», affirme François Hommeril (CFE-CGC), mais les instances de chaque centrale syndicale doivent encore voter en ce sens. Les leaders des organisations syndicales, réunis vendredi après-midi, se sont dit «très énervés» par les pistes d'économies budgétaires présentées cette semaine par le gouvernement, et se donnent rendez-vous au «1er septembre» pour définir les contours d'une possible mobilisation. «On est tous très énervés» et «très peu motivés pour aller négocier», a déclaré à l'AFP Cyril Chabanier (CFTC), à l'issue de la réunion en vidéoconférence entre numéros uns syndicaux. L'exécutif les a hérissés en les invitant à négocier avec le patronat la possible «monétisation de la cinquième semaine de congés payés», la suppression de deux jours fériés ou une énième réforme de l'assurance chômage pour participer à l'effort budgétaire, censé dégager près de 44 milliards d'euros d'économies en 2026. «La facture est juste présentée aux travailleurs», s'agace Frédéric Souillot (FO), qui précise que les dirigeants syndicaux vont «se revoir le 1er septembre en intersyndicale pour parler de mobilisation». Publicité «Les annonces sont inacceptables» Pour Sophie Binet (CGT), «on a partagé une analyse commune: les annonces sont inacceptables». «Il y a un défaut de loyauté de la part du gouvernement», déplore-t-elle, renvoyant aux échanges que les leaders ont eu quelques jours avant les annonces de François Bayrou avec les deux ministres chargés du Travail (Catherine Vautrin et Astrid Panosyan-Bouvet). «Au cours de ces échanges, elles ne nous avaient rien dit» de toutes ces propositions, rappelle Mme Binet, qui avait appelé plus tôt dans la semaine à une mobilisation à la rentrée. Pour l'heure, «personne n'est opposé à une mobilisation», affirme François Hommeril (CFE-CGC), mais les instances de chaque centrale syndicale doivent encore voter en ce sens. «On voit bien qu'une fois de plus, le gouvernement veut nous instrumentaliser comme il l'a fait avec le conclave [sur les retraites, ndlr] et ce, uniquement à des fins de longévité», juge le leader de la CFE-CGC, assurant: '«on ne refera pas l'erreur du conclave». Et de poursuivre: «On va négocier sur quoi ? Pâques ? La cinquième semaine de congés payés qu'on nous prend ? C'est scandaleux !». «Le gouvernement doit retirer ces propositions !», s'exclame-t-il. Avant les discussions espérées début septembre, Astrid Panosyan-Bouvet, a invité les leaders syndicaux lundi et mardi. Si Marylise Léon (CFDT) et Cyril Chabanier (CFTC) doivent s'y rendre lundi, Sophie Binet et François Hommeril ont préféré décliner pour l'heure, ont-ils fait savoir à l'AFP.


Le Figaro
6 hours ago
- Le Figaro
Le logo de tri français attaqué par la Commission européenne
Bruxelles estime que la multiplication des normes nationales nuit à la bonne circulation des marchandises au sein du marché intérieur et à la constitution d'un secteur des déchets européens. C'est une annonce à première vue surprenante. La Commission européenne vient d'assigner la France devant la Cour de justice de l'Union européenne pour contester son étiquetage obligatoire « Triman » ! Né du Grenelle de l'Environnement de 2012 et finalement instauré en janvier 2015, ce logo à trois flèches est placé sur les produits ou emballages que les consommateurs sont priés de ne pas jeter comme une ordure ménagère quelconque mais de confier à une poubelle jaune ou un centre de recyclage. Le Français Stéphane Séjourné, commissaire européen chargé de la Prospérité et de la Stratégie industrielle, a lancé la fronde contre le logo Triman il y a quelques semaines, indiquant voir en ce petit signal une « barrière au marché intérieur », car « l'étiquetage enferme le produit dans le marché français ». L'argument a été repris par la Commission, dans son communiqué de jeudi. Elle indique avoir saisi la Cour de justice car elle estime « disproportionnées » les « exigences françaises » de cette signalétique, « un obstacle à la libre circulation des marchandises ». D'autres possibilités, « moins restrictives pour les échanges (commerciaux) entre les États membres, existent pour informer les consommateurs », affirme la Commission. Publicité L'Union européenne prévoit une signalétique harmonisée d'ici à août 2026 et qui devra être affichée sur tous les emballages à partir du 12 août 2028. Cette harmonisation facilitera les échanges commerciaux entre les États membres, tout comme l'émergence d'un secteur européen du recyclage.