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Plans collèges de Seine-Saint-Denis : la droite épingle le bilan du département et se prend les pieds dans le tapis
Plans collèges de Seine-Saint-Denis : la droite épingle le bilan du département et se prend les pieds dans le tapis

Le Parisien

time4 hours ago

  • Politics
  • Le Parisien

Plans collèges de Seine-Saint-Denis : la droite épingle le bilan du département et se prend les pieds dans le tapis

L'objectif du groupe Les Républicains au conseil départemental de Seine-Saint-Denis était clair : démontrer que la majorité de gauche emmenée par Stéphane Troussel (PS) n'a pas réalisé ce qu'elle avait promis en matière de collèges, et dans le même temps que les travaux engagés ont coûté bien plus cher qu'annoncé. Le résultat, c'est un document de 16 pages qui dénonce « un écart frappant entre les promesses et la réalité des annonces », « une dérive budgétaire inquiétante », « l'accumulation des malfaçons » et « un entretien courant des bâtiments qui s'avère défaillant ».

Est-ce « ésotérique » de parler de coupes en éducation ? Non, mais…
Est-ce « ésotérique » de parler de coupes en éducation ? Non, mais…

La Presse

time5 hours ago

  • Politics
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Est-ce « ésotérique » de parler de coupes en éducation ? Non, mais…

Le réseau scolaire a dépensé près de 1 milliard de dollars de plus que prévu l'an dernier. Est-ce « ésotérique » de parler de coupes en éducation ? Non, mais… Le gouvernement refuse de dire qu'il fait des coupes dans les écoles. La semaine dernière, le premier ministre François Legault a même affirmé qu'il trouvait « un peu ésotériques » ceux qui parlaient de compressions. Qu'en est-il vraiment ? La commande passée par Québec aux écoles de réduire leurs dépenses de 570 millions de dollars a suscité une levée de boucliers dans le réseau scolaire. Directions, enseignants et parents font front commun contre ce qu'ils qualifient de « coupes » dévastatrices en éducation. Mais le gouvernement refuse d'employer ce terme, préférant parler d'« effort budgétaire » ou encore de « mesure d'économie ». Techniquement, il est vrai qu'il n'a pas diminué le budget du ministère de l'Éducation. Les sommes allouées ont augmenté de 5 % par rapport à l'an dernier. Pour arriver à ce chiffre, le gouvernement a comparé le budget de mars dernier pour l'année 2025-26, soit 23,5 milliards de dollars, à celui de mars 2024 pour l'année 2024-25, soit 22,4 milliards de dollars. Mais dans les faits, il s'est dépensé beaucoup plus que prévu en 2024-2025. Selon un rapport du ministère des Finances publié la semaine dernière, les dépenses réelles en éducation ont atteint 23,4 milliards de dollars l'an dernier. C'est un milliard de plus que ce qui avait été prévu. En considérant ce qui a été réellement dépensé en éducation en l'an dernier (23,4 milliards) et le budget prévu cette année (23,5 milliards), on obtiendrait donc une hausse budgétaire bien moins moindre que 5 %. Certes, les dépenses réelles de l'an dernier incluaient des sommes non récurrentes (par exemple, le programme d'aide aux élèves touchés par les grèves), qui nuisent à la comparaison. En retranchant ces dépenses non récurrentes, qui représenteraient 400 millions de dollars, selon Québec, la hausse nette avoisinerait 2,5 %. Quand même, cela donne une idée de la hauteur du défi imposé au réseau. Depuis 2018, les cibles budgétaires sont « presque systématiquement » dépassées, souligne le cabinet du ministre de l'Éducation, Bernard Drainville. « On ne peut plus accepter ça », fait-il valoir. C'est précisément le message qu'il a transmis aux centres de services scolaires il y a quelques semaines. Pour respecter leur budget, ils devront trouver une façon de réduire leurs dépenses. Car si elles continuaient d'augmenter au même rythme, Québec projetait un dépassement des dépenses de 570 millions de dollars en 2025-2026. Et il a bien prévenu le réseau scolaire : dans le contexte financier difficile, aucun déficit ne sera autorisé. Choix difficiles En leur demandant de réduire leurs dépenses, Québec place les centres de services scolaires devant des choix difficiles. Après avoir payé les augmentations salariales, il reste peu de gras puisque les salaires représentent la majorité de l'enveloppe budgétaire. Conséquence : on mentionne des coupes dans les postes d'éducatrices spécialisées, de psychologues et d'orthophonistes, dans les activités parascolaires, l'aide alimentaire et les cours d'été. « Il n'y a pas d'autre façon de faire, il faut couper dans les services », affirme Ève-Lyne Couturier, chercheuse à l'Institut de recherche et d'informations socioéconomiques (IRIS), qui analyse les politiques publiques et l'économie du Québec. Le moment où l'annonce a été faite n'a pas aidé non plus. Les centres de services scolaires ont reçu leurs règles budgétaires quelques jours avant les vacances scolaires. « Il n'était pas minuit moins une, il était 2 h du matin », illustre Natalie Huchette, directrice de l'école secondaire Ozias-Leduc, à Mont-Saint-Hilaire. Pris par surprise, des membres de son personnel ont fondu en larmes en apprenant la mauvaise nouvelle. « Promettre des investissements pour ensuite annoncer des compressions, sans stratégie claire ni dialogue avec les leaders du réseau, témoigne d'un déficit de planification préoccupant », affirme Mme Huchette. Visions opposées Alors, est-ce ésotérique de parler de coupes ? Ça dépend de qui parle et de ce qu'on considère. Le gouvernement se défend en disant avoir augmenté les investissements en éducation chaque année, y compris cette année. Et il affirme que le nombre d'enseignants a augmenté plus vite (+21 %) que le nombre d'élèves (+8 %) depuis 5 ans. « Une augmentation moyenne du budget de plus de 7 % [annuellement] depuis qu'on est au gouvernement, c'est majeur et c'est surtout factuel », souligne le cabinet de Bernard Drainville. Mais sur le terrain, ce n'est pas ce qu'on ressent. Quand des écoles n'ont plus les moyens de leurs engagements financiers, on est « loin de l'ésotérisme », estime Nathalie Huchette. Avec la collaboration de Francis Vailles, La Presse

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Le Parisien

time7 hours ago

  • Le Parisien

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Arrivage Électro Dépôt : le Xiaomi Redmi Note 13 débarque chez l'enseigne à prix ultra-compétitif
Arrivage Électro Dépôt : le Xiaomi Redmi Note 13 débarque chez l'enseigne à prix ultra-compétitif

Le Figaro

time21 hours ago

  • Le Figaro

Arrivage Électro Dépôt : le Xiaomi Redmi Note 13 débarque chez l'enseigne à prix ultra-compétitif

Vous cherchez un smartphone intéressant sans faire exploser votre budget ? Bonne nouvelle : Électro Dépôt vient de recevoir un arrivage contenant le Xiaomi Redmi Note 13, proposé à moins de 180 euros sur son site. Dans la catégorie des téléphones d'entrée de gamme, Xiaomi est la marque de référence. Depuis de nombreuses années, le constructeur chinois propose certains des meilleurs rapports qualité-prix. Parmi eux figure le Xiaomi Redmi Note 13, un modèle disponible dans le dernier arrivage sur le site d'Électro Dépôt, au tarif de 179,90 euros. Pour simplifier votre paiement, il est possible de le régler en trois fois. Un folio est compris, pour profiter d'un rangement pour votre smartphone. La livraison à domicile est offerte à tous, mais si vous souhaitez le recevoir rapidement, sachez que vous pouvez le retirer sous une heure dans l'un des magasins Électro Dépôt proches de chez vous. Les bons plans smartphones du moment vu le web : Xiaomi Redmi Note 13 : l'un des meilleurs smartphones d'entrée de gamme à prix discount chez Electro Dépôt Le Xiaomi Redmi Note 13 est un téléphone idéal pour ceux qui ont des besoins simples, mais qui souhaitent tout de même de la qualité. Si vous cherchez un appareil avec un grand écran, bonne nouvelle : ce modèle est équipé d'une dalle AMOLED de 6,67 pouces, offrant des couleurs vives grâce à une définition FHD+ (2 400 x 1 080 pixels). Pour une utilisation plus fluide, il dispose également d'une fréquence de rafraîchissement de 120 Hz. Pour faire tourner vos multiples applications Android, vous bénéficiez d'un processeur Snapdragon 685, qui s'en sort même dans certains jeux mobiles. L'appareil photo est également bien équipé, avec la présence de trois capteurs, dont un grand-angle de 108 Mpx. Et grâce à sa batterie de 5 000 mAh, le Xiaomi Redmi Note 13 vous offre jusqu'à 20 heures d'autonomie en lecture vidéo et jusqu'à 23 jours en veille. Cliquez ici pour profiter de l'offre Électro Dépôt sur le Xiaomi Redmi Note 13 + Folio Contenu conçu et proposé par nos Experts Shopping. L'équipe Shopping du Figaro est indépendante de la rédaction. Les prix mentionnés dans cet article le sont à titre indicatif. Lorsque vous achetez via nos liens de vente, nous pouvons percevoir une commission d'affiliation.

« Il aurait dû retourner chez lui en Afrique du Sud » : Donald Trump tacle Elon Musk sur les subventions qu'il touche
« Il aurait dû retourner chez lui en Afrique du Sud » : Donald Trump tacle Elon Musk sur les subventions qu'il touche

Le Figaro

timea day ago

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« Il aurait dû retourner chez lui en Afrique du Sud » : Donald Trump tacle Elon Musk sur les subventions qu'il touche

Le président s'en est pris mardi, une fois encore, à son ancien allié pour les aides qu'il touche de l'État américain, sans lesquelles « il aurait dû fermer boutique ». Les deux hommes avaient paru vouloir mettre un terme à leur escarmouche publique après s'être écharpés sur les réseaux sociaux début juin. Mais la «big, beautiful» loi de Donald Trump sur le budget, qui met en relief les divergences profondes entre l'homme le plus riche du monde et le président MAGA, a donné lieu à un nouvel accrochage. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International Elon Musk est en croisade contre ce projet de loi, en passe d'être adopté par le sénat américain, qu'il a qualifié d'«abomination répugnante», et a multiplié les attaques sur X ce lundi, jusqu'à tard dans la nuit. «Il est évident, vu les dépenses ahurissantes du texte - qui augmente de manière record le plafond de la dette de 5.000 MILLIARDS DE DOLLARS -, que nous vivons dans un pays au parti unique: le parti des cochons qui se goinfrent», a-t-il par exemple dénoncé avant de promettre que si le projet de loi était adopté, il lancerait son propre parti, le «parti de l'Amérique». Publicité «Notre pays a besoin d'une alternative au parti unique démocrate-républicain pour que le peuple ait réellement une VOIX», a-t-il aussi écrit avant de traiter le président de menteur, sans le nommer, en publiant une image de Pinocchio. «Quiconque a fait campagne sur la PROMESSE de RÉDUIRE LES DÉPENSES, mais continue de voter sur la PLUS GRANDE augmentation du plafond de la DETTE de l'HISTOIRE verra son visage sur cette affiche lors des primaires de l'année prochaine», écrit aussi Elon Musk. Menaces de Donald Trump Donald Trump a finalement répondu à son ancien allié, le taclant pour les subventions qu'il touche de l'État américain, sans lesquelles, selon lui, «il aurait dû fermer boutique et retourner chez lui en Afrique du Sud». «Elon obtient peut-être plus de subventions que tout autre individu dans l'histoire, de loin, et sans ces subventions, Elon aurait probablement dû fermer boutique et retourner chez lui en Afrique du Sud», a cinglé mardi Trump sur son réseau Truth social avant de menacer. «Plus de lancements de fusées, de satellites ou de production de voitures électriques et notre pays économiserait une FORTUNE», a-t-il déclaré. «Peut-être devrions-nous demander à DOGE d'examiner cela sérieusement ? BEAUCOUP D'ARGENT À ÉCONOMISER !!!». À la suite de l'élection de Donald Trump en novembre, Elon Musk, qui avait fait campagne ardemment pour le candidat républicain, s'était vu confier la mise en place le département de l'Efficacité Gouvernementale (Department of Government Efficiency, abrégé en DOGE), une commission chargée de faire fondre, parfois brutalement, les dépenses publiques de l'État fédéral. Après avoir annoncé son retrait de l'administration américaine pour retourner à ses affaires, Elon Musk s'était montré rapidement critique de la «grande et belle loi» de Donald Trump sur le budget dont il juge qu'elle va creuser le déficit fédéral. «Serait-il le moment de créer un nouveau parti politique en Amérique qui représente réellement les 80 % du centre ?», avait-il tweeté après s'être écharpé avec le président américain début juin. «VOX POPULI VOX DEI. 80% ont voté pour un nouveau parti», a-t-il à nouveau averti mardi sur X repostant un sondage d'internautes, ajoutant que «tout ce que je demande, c'est que nous ne mettions pas l'Amérique en faillite».

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