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Le détenteur de 23 kg de cannabis et 49 990 euros en liquide attend son procès en prison
Le détenteur de 23 kg de cannabis et 49 990 euros en liquide attend son procès en prison

Le Parisien

timea day ago

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Le détenteur de 23 kg de cannabis et 49 990 euros en liquide attend son procès en prison

Quand on parle de 23 kg d'herbe de cannabis et de 49 990 euros en argent liquide, il est rare d'échapper à la détention provisoire. Et pourtant, c'est bien la faveur dont ont bénéficié deux habitants de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), qui ont comparu devant un juge des libertés et de la détention (JLD) du tribunal judiciaire de Meaux, jeudi. A l'origine de leurs ennuis judiciaires : un contrôle routier effectué avenue de l'Europe, à Courtry, dimanche soir, par les policiers du commissariat de Villeparisis. Le conducteur, âgé de 28 ans, n'avait pas pu expliquer pourquoi il se promenait avec la coquette somme de 49 990 euros conditionnés en liasses de billets, positifs au cannabis et à la cocaïne. Le jeune homme n'étant pas en mesure de justifier la provenance de tout cet argent, il avait été placé en garde à vue pour blanchiment. Une perquisition menée dans un appartement de Pontault-Combault, dont il avait la clé, avait permis la saisie de 23 kg d'herbe de cannabis. Un deuxième homme - chez lequel les policiers allaient découvrir un peu de cocaïne et de cannabis - avait également été interpellé à Champigny-sur-Marne. A l'issue de leur garde à vue, les deux jeunes avaient été placés sous contrôle judiciaire par le JLD, alors que le parquet de Meaux avait requis la détention provisoire pour ces deux récidivistes au casier judiciaire déjà chargé. C'est donc libres qu'ils se sont présentés à la barre du tribunal correctionnel de Meaux, qui devait les juger en comparution immédiate ce vendredi. Les prévenus ayant demandé un délai pour leur défense - ce qui est de droit-, l'audience a été renvoyée au 5 août. La substitute du procureur Myriam Khouas a de nouveau requis leur incarcération, en raison - entre autres arguments - de leur passé judiciaire : « Le logement dans lequel a été retrouvée la drogue sert de base à un trafic de stupéfiants. L'un des prévenus a minimisé son rôle même s'il a reconnu sa participation. Mais on sait qu'il donne des instructions à des livreurs et qu'il est en contact avec des clients. Quant au second, il a gardé le silence en garde à vue et a refusé de donner le code de son téléphone portable ». Le tribunal correctionnel de Meaux a suivi les réquisitions du parquet et a prononcé un mandat de dépôt à leur encontre. Dans les secondes qui ont suivi, des policiers sont entrés dans la salle d'audience et ont menotté les deux hommes, avant de les conduire en détention.

Coulommiers : douze trafiquants de drogue présumés derrière les barreaux
Coulommiers : douze trafiquants de drogue présumés derrière les barreaux

Le Parisien

time2 days ago

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Coulommiers : douze trafiquants de drogue présumés derrière les barreaux

Douze interpellations, douze mises en examen, douze incarcérations. C'est l'épilogue d'une enquête au long cours sur un trafic de cannabis d'ampleur, menée depuis plusieurs mois par la SCT ( Section de la criminalité territoriale, ex-Sûreté départementale) dans la région de Coulommiers. Des investigations auxquelles a participé le GIR 77 (Groupe interministériel de recherches) pour l'aspect patrimonial. A l'origine de cette affaire : des renseignements anonymes datant de l'automne 2023, désignant un habitant de Coulommiers comme étant un trafiquant de drogue d'envergure. Ecoutes téléphoniques, géolocalisations de lignes, sonorisations de voitures, surveillances physiques : les enquêteurs ont utilisé tous les moyens techniques à leur disposition pour identifier les lieutenants de cet homme, ainsi que quatre nourrices qui gardaient à domicile la drogue, importée depuis l'Espagne et le Maroc. C'est d'ailleurs lors d'un go fast que l'un des trafiquants a été interpellé par un autre service de police dans les Pyrénées-Orientales, le 17 juin dernier. Dans sa voiture, les forces de l'ordre ont saisi pas moins de 578 kg de cannabis ! Il a été écroué à l'issue de sa garde à vue. Le mardi 24 juin, les enquêteurs de la SCT - accompagnés de renforts de police - ont interpellé dix hommes et deux femmes, âgés de 21 à 60 ans, à leurs domiciles : à Coulommiers, à Beautheils-Saints et à Jouarre pour la Seine-et-Marne, mais aussi au Perreux-sur-Marne (Val-de-Marne) et dans l'Aube. Lors des différentes perquisitions, les policiers ont saisi 465 g de résine de cannabis, 55 g d'herbe, 4 g de cocaïne, 4 cachets d'ecstasy ainsi que 31 600 euros en liquide. A l'issue de leur garde à vue et de leur mise en examen pour trafic de stupéfiants, tous ont été placés en détention provisoire en fin de semaine dernière par un juge des libertés et de la détention du tribunal judiciaire de Meaux. Comme l'avait requis le parquet.

« Elle a probablement une dette de stupéfiants » : interpellée à Creil, une jeune dealeuse placée en détention
« Elle a probablement une dette de stupéfiants » : interpellée à Creil, une jeune dealeuse placée en détention

Le Parisien

time2 days ago

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« Elle a probablement une dette de stupéfiants » : interpellée à Creil, une jeune dealeuse placée en détention

La scène est connue et donne un goût de déjà-vu. En patrouille dans la rue Descartes de Creil, ce mercredi 2 juillet, une patrouille pédestre de policiers remarque un manège habituel dans ce secteur : un consommateur achète une petite quantité de drogue à un dealer, qui va chercher la marchandise sous une dalle en béton. Sauf que cette fois, le vendeur est une vendeuse, Zoé T., 21 ans, déjà connue des policiers pour le même type d'infractions. La jeune femme est interpellée, porteuse d'une petite quantité de cannabis et de 300 euros en liquide. Elle conteste en revanche être la propriétaire du reste des produits stupéfiants cachés sous la dalle. « Ça ne m'appartient pas, tout le monde le sait », souligne la jeune prévenue à l'audience de comparutions immédiates de ce vendredi. Elle n'ira pas plus loin dans ses explications. « Que faisait une jeune fille vivant dans le pavillon de ses parents à Rémy, plutôt sportive, en train de vendre du cannabis rue Descartes à Creil ? », interroge la substitute du procureur, Anaïs Boucher. « Ce sont de mauvaises fréquentations qui m'ont amenée ici », soupire Zoé T. Le problème, c'est que ces relations douteuses lui ont déjà valu deux condamnations pour les mêmes motifs, et une mise en examen dans un vaste dossier de trafic de stupéfiants, encore au stade de l'instruction. « Elle a échappé de peu à un placement en détention dans le cadre de ce dossier d'instruction en début d'année, relève la substitute du procureur. Depuis, elle a été condamnée en mai pour trafic de stupéfiants et on la retrouve aujourd'hui pour la même chose. Elle a probablement une dette de stupéfiants à régler et si elle ressort, on la retrouvera encore pour la même infraction. » Le tribunal a condamné Zoé T. à huit mois de prison ferme avec mandat de dépôt. Elle a également une interdiction de paraître à Creil pour une durée de trois ans.

Légalisation du cannabis: policiers et spécialistes font cause commune
Légalisation du cannabis: policiers et spécialistes font cause commune

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time2 days ago

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Légalisation du cannabis: policiers et spécialistes font cause commune

Légalisation du cannabis – Policiers et spécialistes des addictions font cause commune à Lausanne Le cannabis pourrait bientôt être légalisé en Suisse. Un essai pilote à Lausanne sert de modèle pour répondre à la violence croissante liée à la drogue. Benno Tuchschmid , Yvain Genevay Frank Zobel (à gauche), vice-directeur de la fondation Addiction Suisse, et Sébastien Dyens (à droite), chef de la brigade des stupéfiants de la police municipale de Lausanne, dans le magasin Cann-L, où la vente légale de cannabis est testée. YVAIN GENEVAY/TAMEDIA Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk En bref : L'expérience pilote Cann-L à Lausanne teste la vente légale de cannabis depuis 18 mois. Les experts constatent qu'un million de francs échappe désormais au marché noir local. Les consommateurs privilégient des produits moins dosés en THC pour leur santé. La violence liée au trafic de cannabis s'intensifie en Suisse romande. Le responsable de la brigade des stupéfiants de la police municipale de Lausanne savoure un expresso pendant que du cannabis est vendu à côté de lui. «Tout cela n'est pas naturel», dit Sébastien Dyens en souriant. Son métier est de lutter contre le trafic de drogue, mais aujourd'hui, le commissaire participe à une expérience réussie de commerce de stupéfiants. À ses côtés, Frank Zobel, l'un des experts en drogues les plus réputés de Suisse et vice-directeur de la fondation Addiction Suisse. «Un sachet de cannabis pour la photo?» plaisante-t-il. Tous deux éclatent de rire. Ils prennent la pose pour le photographe dans le magasin Cann-L. Depuis 18 mois, la Ville de Lausanne mène une expérience de vente légale de cannabis sous supervision scientifique. Il s'agit de l'un des sept projets pilotes en Suisse. Les experts et les politiciens espèrent que cela aura un impact significatif sur la réglementation à venir. La consultation sur la loi fédérale relative aux produits à base de cannabis débutera fin août. Cann-L est considéré, à l'instar du projet de Genève, comme un modèle de référence pour la légalisation du cannabis. Les deux sont pour une régulation stricte par l'État. D'après Barbara Gysi, conseillère nationale socialiste de Saint-Gall et présidente de la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique: «Cann-L est un projet passionnant, qui a déjà contribué de façon significative aux travaux législatifs par ses premières conclusions. Il montre comment des conseils peuvent mener à une consommation plus responsable.» Des éléments clés du projet lausannois figurent déjà dans celui de la loi fédérale. La vente de cannabis ne doit pas avoir pour objectif premier le profit. La publicité pour les produits contenant du cannabis est interdite. Les produits doivent être décrits de façon objective, sans inclure d'éléments liés à la marque. Les autorités cantonales sont responsables de l'organisation de la vente. Elles peuvent soit la gérer directement, soit accorder une concession à des particuliers. «Pendant trop longtemps, les drogues ont été considérées soit exclusivement sous l'angle de la santé publique, soit uniquement du point de vue de la police», explique Frank Zobel (à gauche). YVAIN GENEVAY/TAMEDIA Frank Zobel est l'initiateur du projet lausannois, alors que Sébastien Dyens, commissaire, fait partie du comité de l'association qui réalise l'essai. Leur collaboration peu ordinaire constitue le fondement de l'approche lausannoise. «Pendant longtemps, on a considéré les drogues uniquement sous deux angles: celui de la santé publique ou celui de la police Nous visons désormais à concilier ces deux approches», souligne Frank Zobel. Un million soustrait au marché noir Les deux hommes se connaissent bien. Ils ont déjà collaboré sur une grande étude portant sur le marché de la drogue dans le canton de Vaud. Elle a exposé avec précision le parcours de la substance, de son arrivée sur le marché local via les dealers jusqu'aux consommateurs, révélant ainsi l'ampleur du commerce et de la consommation de drogues dans le canton. Une approche unique en Suisse et en Europe. Le projet Cann-L étudie aussi l'impact de la légalisation du cannabis sur le marché noir. Nous avons estimé que durant la première année du projet, environ un million de francs de chiffre d'affaires a été soustrait au marché noir. «Ce chiffre augmente chaque année», ajoute le directeur adjoint d'Addiction Suisse. Actuellement, 1500 consommateurs sont inscrits auprès de Cann-L. D'après les sondages, deux tiers d'entre eux n'achètent plus jamais ou que très rarement sur le marché noir. La consommation globale est demeurée stable. Ce qui a changé, en revanche: les produits contenant moins de THC sont désormais plus fréquemment consommés, ce qui réduit les risques pour la santé. Voici à quoi ressemble un sachet de cannabis vendu dans le magasin lausannois Cann-L. À côté, on peut voir une carte de membre qui autorise l'achat et la possession de marijuana. FLORIAN CELLA/TAMEDIA On constate une évolution radicalement différente dans certains États américains tels que le Colorado et la Californie. Là-bas, depuis la légalisation, la consommation régulière de cannabis a nettement augmenté. Les produits sont désormais plus concentrés, moins coûteux et offrent une plus grande variété qu'avant le changement législatif. «Du point de vue de la santé publique, personne n'a intérêt à vendre des produits à lécher contenant du THC», indique Frank Zobel. En Allemagne, la légalisation a été appliquée de façon si hâtive qu'une grande confusion persiste encore aujourd'hui. Pour le commissaire Sébastien Dyens, «il est essentiel qu'une future loi soit facile à mettre en œuvre pour la police». Pendant longtemps, les policiers ont eu du mal à différencier le CBD légal du cannabis illicite. De même, l'application de la règle actuelle qui rend non punissable la possession de 10 grammes ou moins n'est pas facile à mettre en œuvre dans la pratique. Il est probable qu'une éventuelle loi n'entrera pas en vigueur avant 2030. Il est déjà certain que l'UDC lancera un référendum. Frank Zobel se montre optimiste. Une «fenêtre d'opportunités» s'ouvre maintenant pour parvenir à une réglementation à la fois «intelligente et durable». Le marché du cannabis Du point de vue de la police, cela reviendrait à conserver le statu quo, une situation qui inquiète. «Le commerce du cannabis est crucial pour nous, non pas pour le produit en soi, mais pour les individus qui opèrent dans l'ombre.» D'après les statistiques les plus récentes, 220'000 personnes en Suisse indiquent avoir consommé du cannabis durant le mois écoulé. En termes de volume, le marché du cannabis demeure le plus important marché de drogue. Il est partiellement contrôlé par des réseaux criminels internationaux bien structurés. En Suisse romande, les enquêteurs s'inquiètent de l'influence grandissante des gangs français, responsables d'une montée de violence dans le pays voisin. En 2024, 110 personnes ont perdu la vie en France dans des circonstances liées au trafic de drogue. Selon le policier, «le trafic de drogue en Suisse s'est énormément diversifié. La cocaïne et le cannabis peuvent aujourd'hui entrer dans le pays par les mêmes canaux et par les mêmes groupes.» La Suisse, qui était un pays exportateur de marijuana au début des années 2000, est aujourd'hui devenue importatrice, principalement de haschisch marocain. Les effets sont brutaux. Un marché noir toujours aussi violent En février, la police cantonale valaisanne a démantelé un réseau de trafic de drogue et arrêté 60 personnes, dont 20 mineurs. Le gang avait écoulé 500 kilos de haschisch et 2 kilos de cocaïne dans l'ensemble de la Suisse romande, pour une valeur marchande estimée à plus de 4 millions de francs. Au sein du groupe, on déplore des violences physiques, des menaces et du chantage. Ces dernières années, Lausanne observe aussi une augmentation de la violence associée au commerce illégal de cannabis. «Un préjugé existe selon lequel le trafic de cannabis serait moins violent que celui de la cocaïne. Cette idée n'est plus exacte, du moins pour une partie de ce trafic illicite.» La cité Aldrin de Sierre, un symbole de précarité miné par le trafic de drogue. CHANTAL DERVEY À Yverdon et à Grandson, dans le canton de Vaud, deux personnes ont perdu la vie, une en 2018 et l'autre en 2020, à la suite de transactions de cannabis qui ont dégénéré. Selon les deux experts, réglementer le commerce du cannabis en Suisse ne se limite pas à déterminer où quelques consommateurs achètent leur herbe. C'est aussi une solution potentielle face à la montée de la violence liée au trafic de stupéfiants. Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Se connecter Benno Tuchschmid est journaliste basé à Lausanne. Il a obtenu son diplôme de journalisme au MAZ en 2009 et a ensuite travaillé pour l'Aargauer Zeitung, la SonntagsZeitung et le SonntagsBlick, entre autres. Plus d'infos @BennoTuchschmid Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Les heures d'ouverture seront prolongées dans une vingtaine de succursales
Les heures d'ouverture seront prolongées dans une vingtaine de succursales

La Presse

time2 days ago

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Les heures d'ouverture seront prolongées dans une vingtaine de succursales

Le projet de prolongation des heures d'ouverture touchera des succursales de la SQDC dans les régions de Montréal, de Lanaudière, de la Rive-Sud, de Laval et de la Rive-Nord, de la Mauricie, de Québec, de l'Estrie ainsi que de Saguenay. Les heures d'ouverture seront prolongées dans une vingtaine de succursales (Montréal) La Société québécoise du cannabis (SQDC) a annoncé vendredi que les heures d'ouverture d'une vingtaine de ses succursales seront prolongées à partir du 3 août. La Presse Canadienne L'horaire des magasins sera dorénavant jusqu'à 22 h du jeudi au samedi, et jusqu'à 18 h les dimanches. Les établissements resteront ouverts jusqu'à 21 h du lundi au mercredi. Ce projet de prolongation des heures d'ouverture touchera des succursales dans les régions de Montréal, de Lanaudière, de la Rive-Sud, de Laval et de la Rive-Nord, de la Mauricie, de Québec, de l'Estrie ainsi que de Saguenay. « L'objectif de cette démarche vise à contrer davantage le marché illégal à un moment de la journée où la demande est présente et où les vendeurs illégaux sont actifs », a affirmé Jean-François Dulac-Lemelin, vice-président principal de l'expérience client à la SQDC, par voie de communiqué. « Près de 20 % de nos clients et clientes qui achètent du cannabis à l'extérieur de notre réseau invoquent les heures d'ouverture », a-t-il ajouté. La succursale du Vieux-Montréal fera toutefois exception, alors qu'elle offrira l'horaire prolongé dès son ouverture le 7 juillet. Ce nouveau point de vente deviendra la 107e succursale de la SQDC. La SQDC a précisé que ces heures d'ouverture entrent en vigueur grâce à l'adoption de la loi 8 (ou le projet de loi 85) qui modifie, entre autres, le Règlement sur les périodes d'admission dans les établissements commerciaux.

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