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Le Parisien
a day ago
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Mort de l'historien Jean-Pierre Azéma, grand spécialiste de la Seconde Guerre mondiale
L'historien Jean-Pierre Azéma a travaillé une grande partie de son existence sur la Seconde Guerre mondiale. Il s'est éteint lundi à l'âge de 87 ans. « Il est décédé hier à Paris », a indiqué Ariane Azéma à l'AFP, confirmant une information circulant sur le réseau social X. Homme de gauche, fils d'un collaborateur notoire, Jean-Pierre Azéma, connu pour son inséparable écharpe, était né à Paris le 30 septembre 1937. >> Plus d'informations à suivre…
Le Soir
5 days ago
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Stromae de retour avec un nouveau titre en duo (vidéo)
Plusieurs mois après le carton de « Ma Meilleure Ennemie » en featuring avec Pommpe, Stromae signe son retour en musique avec une nouvelle collaboration. Le chanteur belge chante sur le titre « Pardon », l'un des morceaux phares du nouvel album du chanteur nigérian Burna Boy, « No Sign of Weakness ». « C'est vrai, je l'admets/ Mais mieux vaux tard que jamais/ Mais personne n'est parfait/ Et si c'était à refaire, je le referais », chante en français l'interprète de Papaoutai, également crédité à la production.
Le HuffPost France
5 days ago
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Stromae de retour avec Burna Boy pour un nouveau duo de qualité, après le carton de son single avec Pomme
MUSIQUE - Loin de la scène, mais pas tout à fait des studios. Plusieurs mois après avoir fait un carton pour son single en featuring avec Pomme, Stromae signe, ce vendredi 11 juillet, son retour en musique avec une nouvelle collaboration aux côtés de la star de l'afrobeats Burna Boy, qui vient de dévoiler son nouvel album. Le titre en question s'intitule Pardon, et figure sur ledit disque du chanteur nigérian, No Sign of Weakness. « C'est vrai, je l'admets/ Mais mieux vaux tard que jamais/ Mais personne n'est parfait/ Et si c'était à refaire, je le referais », chante en français l'interprète de Papaoutai, également crédité à la production de ce morceau sur la culpabilité, les regrets et le pardon. Lire aussi DJ Snake fait monter sur scène Mylène Farmer lors de son concert à Nîmes devant une foule abasourdie Ce featuring renversant n'est pas le seul du nouveau projet de Burna Boy. Travis Scott, Shaboozey et même Mick Jagger, la star des Rolling Stones, y apparaissent. « Cet album XXL est la preuve que ma carrière ne montre aucun signe de faiblesse, bien au contraire », comme l'a expliqué l'artiste de 34 ans à Africanews. Avant d'ajouter : « Cette phrase est devenue mon mantra et celui de mon équipe. Quand on va s'acheter un burger, on se dit : 'no sign of weakness'. J'ai monté ce projet autour de cet esprit de liberté. » Figure incontournable de l'afrobeats, ce brassage musical entre sonorités actuelles et influences africaines, Burna Boy (Damini Ebunoluwa Ogulu de son vrai nom) a démontré au gré de ses multiples disques l'étendue de ses talents, de son répertoire aux confins du dancehall, du reggae et du rap, et sa confiance en soi, comme précédemment sur le titre I Told Them. Burna Boy à Paris Premier chanteur africain à remplir un stade aux États-Unis (le City Field de New York, en 2013), il a enflammé le Stade de France en avril dernier. Un concert « historique », d'après la presse française. Star mondiale écoutée par 22 millions d'auditeurs en moyenne par mois sur Spotify, il doit se produire, ce samedi, dans un cadre plus privé pour certains fans parisiens. La présence de Stromae n'est, elle, pas assurée. De retour en novembre dernier sur la bande originale de la série d'animation Arcane avec son titre Ma meilleure ennemie en duo avec Pomme (404 millions d'écoutes à ce jour sur Spotify), le chanteur belge s'est mis en retrait de la scène artistique pour des raisons de santé, bien qu'il se soit récemment lancé dans un nouveau projet : un remix de l'hymne du club de football Anderlecht.
