
Mort de l'historien Jean-Pierre Azéma, grand spécialiste de la Seconde Guerre mondiale
Jean-Pierre Azéma
a travaillé une grande partie de son existence sur la Seconde Guerre mondiale. Il s'est éteint lundi à l'âge de 87 ans.
« Il est décédé hier à Paris », a indiqué Ariane Azéma à l'AFP, confirmant une information circulant sur le réseau social X. Homme de gauche, fils d'un collaborateur notoire, Jean-Pierre Azéma, connu pour son inséparable écharpe, était né à Paris le 30 septembre 1937.
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À la naissance de leur premier enfant, les femmes ont 5 ans de plus qu'il y a 50 ans
Selon une étude publiée mercredi 16 juillet par l'Insee, les Françaises font moins d'enfants qu'avant et attendent plus longtemps avant de les faire. Face à l'effondrement de la natalité, Emmanuel Macron défendait en 2024 «un réarmement démographique». Mais les données les plus récentes montrent à quel point la dynamique actuelle est toujours à contre-courant. Selon le dernier rapport de l'Insee dévoilé mercredi 16 juillet, les femmes ont aujourd'hui leur premier enfant à 29,1 ans. Un âge qui ne cesse d'augmenter depuis plusieurs années déjà. Celui-ci représente 5,1 ans de plus qu'en 1974, et près d'un an de plus qu'en 2013. À lire aussi Ces Françaises qui ne veulent pas avoir d'enfants : «On se sent plus libre sans» Moins d'enfants, moins de certitudes Pourquoi cet allongement ? Jusqu'à la fin des années 1990, la réponse tenait en trois mots : contraception, études, emploi. Mais depuis les années 2000, d'autres facteurs prennent le relais, rapporte l'Insee. Il y a les incertitudes économiques, l'instabilité politique et l'anxiété environnementale. Autant d'éléments qui peuvent «conduire à reporter des décisions de fécondité», résume l'institut. Publicité Sans surprise, plus le premier enfant arrive tard, plus les suivants se font attendre. En 2023, les mères ont eu leur deuxième enfant à 31,6 ans en moyenne, soit près de cinq ans plus tard qu'en 1967. En revanche, le délai entre deux naissances évolue très peu : 4,2 années en moyenne, contre 4,1 dix ans plus tôt. Autrement dit, les projets familiaux sont plus tardifs, mais restent relativement rapprochés une fois engagés. Un désir d'enfant qui s'érode Ce report de la maternité s'inscrit aussi dans un contexte plus large : la baisse du désir d'enfant. Selon une enquête de l'Ined publiée début juillet, les jeunes adultes souhaitent moins d'enfants qu'avant et les familles nombreuses deviennent marginales. Les femmes de moins de 30 ans visent désormais en moyenne moins de deux enfants, contre bien plus dans les générations précédentes. Seuls 29 % des Français considèrent qu'avoir trois enfants ou plus est souhaitable, alors qu'ils étaient 50 % en 1998. La parentalité n'est plus un acquis mais un choix parfois différé ou écarté. Et la France n'est pas une exception. Dans l'Union européenne, l'âge moyen des femmes au premier enfant est de 29,8 ans, mais les écarts sont notables. Dans l'Europe de l'Est et les États baltes, par exemple, les femmes deviennent mères plus tôt, entre 26,9 et 28,9 ans. À l'inverse, le Sud de l'Europe affiche les maternités les plus tardives, avec un record en Italie : 31,8 ans à la première naissance.


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