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Les cloches de la Chaux-de-Fonds sonneront ce jeudi matin en mémoire de la tempête
Les cloches de la Chaux-de-Fonds sonneront ce jeudi matin en mémoire de la tempête

24 Heures

timea day ago

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Les cloches de la Chaux-de-Fonds sonneront ce jeudi matin en mémoire de la tempête

Deux ans après la tempête qui l'a dévastée, La Chaux-de-Fonds fait sonner ses cloches ce jeudi. Un temps symbolique qui rappelle la durée précise du phénomène qui a transformé la ville. Publié aujourd'hui à 10h56 La tempête a fait un mort sur la place de la Gare ce 24 juillet 2023. Valentin Flauraud/Keystone via AP Les cloches de la Ville de La Chaux-de-Fonds sonneront à l'unisson ce jeudi dès 11 h 25. Et cela pendant 6 minutes et 30 secondes, soit la durée du passage de la tempête qui a frappé les Montagnes neuchâteloises le 24 juillet 2023. L'année dernière, une action similaire avait eu lieu. «Elle vise à perpétuer le souvenir de cet épisode qui fait désormais partie de l'histoire de la Métropole horlogère et qui restera dans les mémoires des Chaux-de-Fonnières et Chaux-de-Fonniers», explique la Ville dans un communiqué diffusé mi-juillet. «Cette commémoration annuelle représente une occasion de célébrer la résilience et la reconstruction de notre ville, tout en honorant la mémoire de cet événement marquant», déclare le Conseil communal, cité dans le communiqué. Vitesse maximale enregistrée à 217 km/h Avec des rafales exceptionnelles – l'une enregistrée à 217 km/h par l'anémomètre de météo à l'aéroport des Éplatures –, la tempête a fait un mort sur la place de la Gare, des blessés et des dégâts considérables . Aux infrastructures et aux arbres notamment. Quelque 3000 sinistres ont été déclarés, pour un coût total de 117 millions de francs , selon les estimations de l'Établissement cantonal d'assurance et de prévention (ECAP). Quelque 1500 hectares de forêts et 110 hectares de pâturages boisés ont été abîmés. Une association, Des arbres pour rêver demain , avait été créée en quelques jours afin de reboiser la cité après la tempête. Le premier arbre financé par cette action avait été planté en novembre 2023 sur le site de la piscine des Mélèzes: un ginkgo biloba . Plus sur la tempête à La Chaux-de-Fonds Newsletter «La semaine neuchâteloise» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton de Neuchâtel, chaque vendredi. Autres newsletters Lea Gloor est journaliste au sein de la cellule digitale depuis février 2025. Elle est titulaire d'un Master en journalisme de l'Université de Neuchâtel depuis 2014. Plus d'infos @LeaGloor Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Ginette Kolinka donnera son nom à un jardin situé au cœur de Paris
Ginette Kolinka donnera son nom à un jardin situé au cœur de Paris

Le Parisien

time16-07-2025

  • Politics
  • Le Parisien

Ginette Kolinka donnera son nom à un jardin situé au cœur de Paris

L'annonce lui a été glissée dans le creux de l'oreille ce mercredi 16 juillet, journée de commémoration de la rafle du Vél d'Hiv , à laquelle elle tenait à assister. Ce matin, le maire (PS) de Paris Centre, Ariel Weil , a fait part de son souhait de voir un lieu du cœur de la capitale porter le nom de Ginette Kolinka , déportée d'Auschwitz et une des dernières témoins encore vivante à avoir vécu la Shoah. Avec l'assentiment de la maire (PS) de Paris Anne Hidalgo , Ariel Weil compte porter en septembre un vœu en conseil d'arrondissement, et espère une nomination du lieu à la fin de l'année, voire en début 2026. « Même si elle m'a dit qu'elle était toujours gênée par les honneurs qui lui sont faits, elle comprend ce geste », confie au Parisien Ariel Weil. Si le lieu reste encore secret, l'édile compte nommer un jardin « au cœur du Marais », actuellement en construction, en l'honneur de celle qui a vécu ses plus jeunes années rue Vieille-du-Temple ( IIIe et IVe arrondissements ) où ses parents tenaient un magasin, avant de devenir une figure du XIe , où elle vit toujours aujourd'hui à 100 ans passés. « Un de ses petits-neveux a longtemps tenu un bar rue Vieille-du-Temple. On avait déjà fêté un anniversaire dedans », se souvient Ariel Weil. Connue et reconnue pour les nombreux témoignages de ce qu'elle a vécu pendant la guerre, Ginette Kolinka poursuit ce qu'elle appelle sa « thérapie », en allant de lycée en lycée et de collège en collège pour parler et encore parler, plus de 80 ans après son arrestation avec sa famille, en mars 1944. Internée au camp de Drancy, sa famille sera déportée dans le camp d'Auschwitz-Birkenau un mois plus tard, avant de connaître deux autres camps. Ginette Kolinka survivra et retrouvera Paris en juin 1945. Depuis, et après s'être longtemps tue, Ginette Kolinka a écumé les routes de France pour raconter son vécu et son histoire. Et continue encore aujourd'hui, en fauteuil roulant. « Elle m'a dit qu'elle avait encore besoin de témoigner et qu'il faudrait trouver une date où elle est disponible, si elle est encore vivante, avec la bonhomie qui la caractérise », sourit Ariel Weil. « C'est rarissime d'avoir de donner le nom de quelqu'un d'encore vivant à un lieu de Paris . Mais on a bien conscience qu'elle fait partie des derniers témoins », poursuit le maire, qui n'a pas choisi la symbolique du jardin par hasard. « On veut un lieu de vie, où des choses poussent. Pas quelque chose de minéral », commente Ariel Weil, qui compte mettre en lien ce lieu avec un établissement scolaire voisin, pour permettre la transmission.

Bientôt un ou deux jours fériés en moins ? Quand le 8 mai perdait son statut pendant 20 ans
Bientôt un ou deux jours fériés en moins ? Quand le 8 mai perdait son statut pendant 20 ans

Le Parisien

time15-07-2025

  • Politics
  • Le Parisien

Bientôt un ou deux jours fériés en moins ? Quand le 8 mai perdait son statut pendant 20 ans

Curieuse histoire que celle du 8 mai, ce jour férié, déplacé puis enterré, avant de finalement ressusciter dans le calendrier des Français. Alors que l'idée de supprimer un jour chômé est régulièrement mise sur la table pour renflouer les caisses de l'État , retour sur l'histoire de cette commémoration, que certains présidents ont tenté de faire disparaître. Institué en 1953, ce jour férié célèbre la capitulation de l'Allemagne nazie à Berlin , dans la nuit du 8 au 9 mai. La signature de l'acte fixe officiellement la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe à 23h01. Ce jour historique deviendra férié en 1953, sous la pression des associations d'anciens combattants. Mais six ans plus tard, le général de Gaulle décide de remettre les Français au travail, le 8 mai. Dans une logique de réconciliation avec Berlin, il maintient uniquement les commémorations au deuxième dimanche du mois. « Aux yeux du général, l'Appel du 18 juin et le 25 août 1944, jour de la libération de Paris, comptaient davantage », soulignait en 2018 auprès du Parisien André Kaspi. En 1975, Valéry Giscard d'Estaing ira même plus loin. Le chef de l'État décide de supprimer tout simplement les commémorations du 8 mai. La mémoire des deux guerres sera désormais célébrée le même jour, celui du 11-Novembre. Pourquoi ce choix ? « Je me disais : On ne va pas ressasser indéfiniment une guerre que nous avons faite (…) On va se souvenir, mais on va se souvenir dans une perspective qui est la réconciliation européenne », avait défendu l'ancien président sur France 2, 20 ans après son geste. Cette décision déclenche aussitôt la colère des associations d'anciens combattants qui descendent dans la rue. Leurs revendications seront finalement entendues par François Mitterrand . À son arrivée à l'Élysée en 1981, le président socialiste charge son ministre des Anciens Combattants, Jean Laurain, de reprendre ce qu'il considère comme un « devoir de mémoire ». Le 2 octobre 1981, le 8 mai retrouve son caractère férié. En 2003, le 8 mai se retrouve à nouveau sur la sellette. Après la canicule historique qui a coûté la vie à 15 000 personnes, le gouvernement cherche un nouveau moyen de financer l'aide aux personnes âgées. Là encore, la suppression de ce jour revient sur la table. Tempête à nouveau des anciens combattants. Le gouvernement Raffarin tranche finalement pour transformer le lundi de Pentecôte en jour de solidarité. Et aujourd'hui ? Face à des finances publiques en berne, l'idée de supprimer un jour férié - et pourquoi pas le 8 mai - agite le gouvernement Bayrou. « Le 8 mai 1945 (…) fait partie de notre mémoire patriotique, au même titre que le 14 Juillet et le 11 Novembre, insistait auprès du Parisien, l'historien André Kaspi. N'oublions pas qu'elle correspond aussi avec la fin des camps de concentration. Tant qu'il restera des survivants, tant que la mémoire de cette guerre existera, il faut la conserver ».

La Bosnie commémore le génocide de Srebrenica
La Bosnie commémore le génocide de Srebrenica

La Presse

time11-07-2025

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La Bosnie commémore le génocide de Srebrenica

Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. (Srebrenica) Des milliers de personnes endeuillées ont commémoré vendredi à Srebrenica le génocide commis il y a 30 ans par les forces serbes de Bosnie, l'un des pires massacres perpétrés sur le sol européen depuis la Seconde Guerre mondiale. Rusmir SMAJILHODZIC Agence France-Presse Les restes de sept victimes ont été inhumés pendant les commémorations de cet épisode le plus sanglant du conflit intercommunautaire bosnien des années 1990. Ils comprenaient ceux de Sejdalija Alic, qui faisait partie des plus de 8000 musulmans tués par les combattants serbes de Bosnie qui venaient de s'emparer de cette ville de l'est du pays, le 11 juillet 1995. « Pas de mots pour le décrire » Sa petite-fille, Anela Anic, dont le père a aussi péri dans ce massacre et a été enterré plus tôt, assiste aux funérailles : « Je n'ai jamais vu mon père […] et, aujourd'hui, mon grand-père est enterré, juste quelques ossements, à côté de son fils », dit-elle. « C'est une profonde tristesse […]. Je n'ai pas de mots pour le décrire », ajoute cette femme de 32 ans en pleurs. Elle est née au début de l'année 1994 après l'évacuation de sa mère enceinte hors de Srebrenica par un convoi de la Croix-Rouge. PHOTO ARMIN DURGUT, ASSOCIATED PRESS Une fleur a été déposée sur le monument portant les noms des personnes tuées lors du génocide de Srebrenica, au Centre mémorial Srebrenica-Potocari, le 11 juillet 2025. Les corps des personnes tuées dans cette ville, à l'époque une enclave protégée par les Nations unies, avaient été jetés dans des fosses communes. À ce jour, 7000 d'entre elles ont été identifiées et enterrées tandis que quelque 1000 autres sont toujours recherchées. Essayant de dissimuler la gravité des crimes, les forces serbes bosniennes avaient organisé des opérations de déplacements de cadavres, souvent déchiquetés par les machines lourdes et transportés vers plusieurs fosses communes dites « secondaires », selon les experts. « Une pierre tombale à caresser » « Depuis 30 ans, nous portons la douleur dans nos âmes. Nos enfants ont été tués innocents dans la zone protégée de l'ONU. L'Europe et le monde ont observé, muets, la tuerie de nos enfants », explique Munira Subasic, la présidente de l'association des mères de Srebrenica, dont le mari Hilmo et le fils Nermin, 17 ans, ont alors péri. PHOTO AMEL EMRIC, REUTERS Des hommes portent un cercueil lors des funérailles de sept victimes du génocide. Un homme et une femme respectivement âgés de 19 ans et de 67 ans au moment du massacre font aussi partie des sept victimes enterrées sous des pierres tombales blanches après une prière commune au cours des commémorations au Centre mémorial Srebrenica-Potocari. Leurs familles ont patienté pendant plusieurs années avant de les inhumer, espérant que d'autres restes seraient retrouvés. Mais Mevlida Omerovic a décidé de ne plus attendre et a donné son accord pour l'enterrement des restes de son mari, Hasib, tué à 33 ans sur l'un des cinq lieux d'exécutions de masse au moment de ce massacre, le seul épisode du conflit bosnien (1992-1995) qualifié de génocide par la justice internationale. « Trente années sont passées et je n'ai plus rien à attendre », raconte Mme Omerovic, 55 ans, qui souhaite pouvoir se recueillir sur la tombe de son mari, même si, dans le cercueil, il n'y aura que sa mâchoire. En se rendant sur leurs sépultures, les proches des victimes essaient de trouver du réconfort. PHOTO ANDREJ ISAKOVIC, AGENCE FRANCE-PRESSE Des femmes prient parmi les pierres tombales du cimetière commémoratif du village de Potocari. « Je n'ai que cette pierre tombale à caresser, pour prier », déplore Sefika Mustafic, debout à côté des tombes de ses fils Enis et Salim, tous les deux adolescents quand ils ont perdu la vie. « J'aimerais rêver d'eux mais je n'y arrive pas, » ajoute-t-elle. Le déni serbe L'ancien combattant canadien Daniel Chénard, déployé là-bas avec les forces de maintien de la paix de l'ONU d'octobre 1993 à mars 1994, a assisté aux commémorations. Depuis des décennies, il est hanté par un sentiment de culpabilité. « Je me suis pardonné […]. J'ai trouvé la paix. J'ai toujours voulu leur dire [aux familles] je suis désolé […], je suis désolé de vous avoir abandonnés », dit-il. Avec les troupes de l'ONU, « on a fait ce qu'on pouvait […] mais en vrai la tragédie est arrivée », confie cet homme de 58 ans, en pleurs. Les anciens chefs politiques et militaires des Serbes de Bosnie, Radovan Karadzic et Ratko Mladic, ont été condamnés à la perpétuité par la justice internationale pour crimes de guerre et génocide. Mais la gravité de ce crime continue à être relativisée par de nombreux dirigeants politiques serbes, en Bosnie et en Serbie. L'ONU a créé en 2024 une Journée internationale de commémoration du génocide de Srebrenica, le 11 juillet, malgré les protestations de Belgrade et des Serbes de Bosnie. Le président de la Serbie Aleksandar Vucic a présenté vendredi ses condoléances aux familles des personnes tuées à Srebrenica au nom des citoyens de son pays, qualifiant le massacre de « crime terrible ». « Nous ne pouvons pas modifier le passé mais nous devons changer l'avenir », a-t-il publié sur X.

Londres commémore les 20 ans des attentats meurtriers de juillet 2005
Londres commémore les 20 ans des attentats meurtriers de juillet 2005

La Presse

time07-07-2025

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Londres commémore les 20 ans des attentats meurtriers de juillet 2005

Le maire de Londres, Sadiq Khan, et le premier ministre britannique, Keir Starmer, déposent des gerbes de fleurs au monument de Hyde Park. (Londres) Le roi Charles III, le premier ministre Keir Starmer et d'innombrables Londoniens ont souligné lundi le 20e anniversaire des attentats de 2005 dans les transports en commun de Londres, l'attaque la plus meurtrière contre la capitale britannique depuis la Seconde Guerre mondiale. Jill Lawless Associated Press Cinquante-deux personnes ont péri et plus de 770 ont été blessées lorsque quatre Britanniques, inspirés par Al-Qaïda, se sont fait exploser dans trois rames de métro et un autobus à l'heure de pointe du matin, le 7 juillet 2005. Il s'agissait des premiers attentats-suicides en sol européen. Deux semaines plus tard, quatre autres kamikazes ont tenté une attaque similaire, mais leurs engins n'ont pas explosé. Personne n'avait été blessé. Les attentats de juillet 2005 restent gravés dans la mémoire collective londonienne, et cet anniversaire a été marqué par des évènements tels qu'une cérémonie au mémorial du 7 juillet à Hyde Park et une cérémonie commémorative à la cathédrale Saint-Paul. À 8 h 50, au moment même où la première bombe a explosé il y a 20 ans, le premier ministre Starmer et le maire de Londres, Sadiq Khan, ont déposé des gerbes de fleurs au monument de Hyde Park, un ensemble de 52 colonnes d'acier commémorant les victimes. Dans les stations de métro proches du lieu des explosions, le personnel et les usagers ont observé une minute de silence. À Saint-Paul, 52 000 pétales blancs ont flotté du dôme de la cathédrale tandis que Thelma Stober, survivante, et Saba Edwards, dont la mère, Behnaz Mozakka, a péri dans les attentats, ont lu les noms des 52 victimes. Le doyen de la cathédrale Saint-Paul, Andrew Tremlett, a déclaré que les attentats avaient « laissé de profondes cicatrices dans l'âme de notre capitale ». « Ici, sous le dôme de cette grande église, si souvent symbole de résilience face à l'adversité, nous gardons dans nos cœurs la douleur du passé et l'espoir de l'avenir », a-t-il affirmé à l'assemblée de 1200 personnes. « Nous rendons grâce pour l'esprit de cette ville : son ouverture, sa persévérance et son refus inébranlable de laisser la haine l'emporter. » « Un profond sentiment d'injustice » Dan Biddle, qui a perdu ses deux jambes dans l'explosion d'une rame de métro près de la station Edgware Road, a confié que cette journée suscitait des émotions mitigées. « On est reconnaissant d'avoir survécu, on ressent une immense tristesse et un immense chagrin, mais on ressent toujours ce profond sentiment d'injustice qu'il n'y ait pas eu l'enquête publique suggérée ou qu'on n'ait pas examiné les circonstances de ce qui n'a pas fonctionné », a-t-il déclaré à la BBC. M. Biddle a également rappelé « l'acte de bravoure phénoménal » d'un passager blessé qui a rampé dans le tunnel, lui a administré les premiers soins et a contribué à lui sauver la vie. Le roi a déclaré dans un message que « ses pensées les plus sincères et ses prières les plus sincères accompagnent tous ceux dont la vie a été bouleversée à jamais lors de cette terrible journée d'été ». Il a ajouté que le pays pouvait s'inspirer du courage des services d'urgence et des autres personnes intervenues lors de l'attaque, ainsi que des « innombrables témoignages de courage et de compassion extraordinaires qui ont émergé des ténèbres de cette journée ». Charles a également salué « l'esprit d'unité qui a aidé Londres et notre nation à guérir ». « Alors que nous nous souvenons de ceux que nous avons perdus, profitons de ce 20e anniversaire pour réaffirmer notre engagement à bâtir une société où les personnes de toutes confessions et de tous horizons peuvent vivre ensemble dans le respect et la compréhension mutuels, en restant toujours fermes face à ceux qui cherchent à nous diviser », a-t-il soutenu. Dans un autre message, le premier ministre a affirmé que « ceux qui ont tenté de nous diviser ont échoué. Nous étions solidaires à l'époque, et nous sommes solidaires aujourd'hui ». Une menace toujours présente La ministre de l'Intérieur, Yvette Cooper, a déclaré que le 7 juillet 2005 avait été l'un des « jours les plus sombres » de l'histoire britannique. Elle a dit que, 20 ans plus tard, « le terrorisme extrémiste islamiste demeure la plus grande menace » pour la sécurité nationale, suivi par le terrorisme d'extrême droite et les nouvelles « menaces hybrides » provenant d'États hostiles, du crime organisé et des cyberattaques. Elle a assuré que le gouvernement « s'attaquerait sans relâche aux menaces qui pèsent sur notre sécurité nationale ».

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