Dernières actualités avec #conjoint


Le Figaro
2 days ago
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Quimper : un homme de 50 ans mis en examen après avoir avoué le meurtre sa femme
Après avoir lui-même signalé la disparition de la mère de ses cinq enfants vendredi, le suspect a finalement avoué aux enquêteurs avoir tué sa femme et dissimulé son corps dans un bois. Un homme âgé de 50 ans a été mis en examen pour meurtre sur conjoint, atteinte à l'intégrité d'un cadavre et modification de scène de crime ce lundi après avoir avoué le meurtre de sa femme, a appris Le Figaro de la procureur de la République de Quimper, confirmant une information du Télégramme. C'est pourtant ce même homme qui avait signalé la disparition de la mère de ses cinq enfants au commissariat de Quimper vendredi 18 juillet. Les premières investigations ont révélé que de nombreux effets personnels de la disparue âgée de 46 ans manquaient, effets personnels qui ont partiellement été retrouvés calcinés dans un local poubelle de leur logement de Quimper. Ce samedi 19 juillet, l'homme, dont l'enquête a révélé qu'il avait été aperçu transportant des sacs-poubelle entre ce logement et un second, a été interpellé et placé en garde à vue pour enlèvement et séquestration. Publicité Au cours de ses auditions, le mis en cause a déclaré avoir tué son épouse et dissimulé son corps dans un bois. Le corps de la victime a finalement été retrouvé par les enquêteurs ce dimanche soir. Une autopsie doit être pratiquée dans les prochains jours pour déterminer les causes de la mort. Son mari a été placé en détention provisoire après avoir été présenté à un juge d'instruction du tribunal de Brest ce lundi. Les charges dont il est accusé sont passibles de la réclusion criminelle à perpétuité.


Le Parisien
4 days ago
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Yvelines : Accro au protoxyde d'azote et à l'alcool, le dealer violentait sa compagne
Ce n'était pas la première fois, mais celle-là fut celle de trop. Le 15 juillet, cette jeune femme de 24 ans habitant à Fontenay-le-Fleury a décidé de dire stop aux coups qui pleuvent, aux injures et menaces assénées depuis plusieurs heures son conjoint. En plein milieu de la nuit, elle a appelé à l'aide les pompiers, qui à leur tour ont contacté les policiers face à l'agressivité que manifestait le concubin, ivre de surcroît. À leur arrivée au domicile conjugal, les forces de l'ordre découvrent des bouteilles d'alcool et du protoxyde d'azote . La jeune femme, souffrant d'un hématome à l'œil, est transportée à l'hôpital, tandis que son conjoint, âge de 24 ans, est placé en garde à vue. Quelques heures plus tard, la jeune femme, maman d'un enfant de 2 ans, raconte cette nuit de violence aux policiers. Tout avait commencé par une dispute. La jeune femme lui avait fait part de son intention de le quitter ne supportant plus son alcoolisme et sa dépendance au gaz hilarant. Elle lui avait également rappelé son comportement du 11 juillet. Seulement quatre jours plus tôt. Ce jour-là il était rentré ivre au petit matin, alors qu'elle partait travailler. Deux heures plus tard, elle recevait un appel de la nourrice inquiète de ne pas avoir la garde de leur fils. La jeune femme tentait alors de joindre son conjoint à plusieurs reprises. En vain. Elle rentrait alors précipitamment à son appartement et le découvrait endormi alors que leur enfant pleurait dans son lit. Furieux à l'idée d'une séparation, l'homme ivre l'avait alors menacée de mort, avait cassé tout ce qu'il trouvait dans l'appartement, puis s'en était pris à elle, la brutalisant , lui tirant les cheveux avant de s'effondrer dans la salle de bains. Et aux dires de la victime, ce n'était pas la première fois. Il l'avait déjà bousculée et étranglée par le passé. Lors de sa garde à vue, l'homme a reconnu ses addictions, mais nié avoir brutalisé sa conjointe. Une perquisition est alors réalisée dans son appartement avec l'objectif de s'assurer qu'il n'était pas en possession d'une arme, une précaution prise systématiquement en matière de violences conjugales . Dans le logement, les policiers découvrent un peu plus de 2 kg de résine de cannabis, 140 g d'herbe de cannabis, des sachets de conditionnement ainsi que deux balances de précision ainsi qu'un pistolet « gomme-cogne », une bombe lacrymogène et 400 euros en espèces. L'attirail complet du dealer. Le jeune homme a fini par reconnaître acheter le cannabis en Seine-Saint-Denis par lot de dix plaquettes de 100 g, les couper et les revendre au détail , depuis octobre 2024. Le tribunal l'a condamné ce jeudi à trois ans de prison dont un avec sursis. Il a été placé en détention à la maison d'arrêt de Bois-d'Arcy.


Le Parisien
5 days ago
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Pyrénées-Atlantiques : un homme poursuivi pour le meurtre de sa compagne remis en liberté après les résultats de l'autopsie
Poursuivi pour « meurtre par conjoint », après la mort chez lui de sa compagne, un homme a été remis en liberté ce vendredi et placé sous contrôle judiciaire, indique ce vendredi le parquet de Pau. Et pour cause : les premières conclusions de l'autopsie excluent « l'intervention d'un tiers dans la survenue du décès ». Lundi 14 juillet, sa compagne, âgée de 37 ans, avait été retrouvée sans vie dans l'appartement de son conjoint à Orthez, après que ce dernier a prévenu les secours. L'homme de 39 ans a admis « avoir mis une gifle assez forte à la victime vers 16 heures » , précisant toutefois que celle-ci était consciente. Il soutenait « que cette dernière ( avait ) pris des médicaments », selon le procureur. Le parquet a alors débuté ses investigations pour déterminer les causes du drame et a poursuivi l'homme pour « meurtre par conjoint ». Quatre jours après la mort de la jeune femme de 32 ans, les résultats de l'autopsie sembleraient donc aller dans le sens des déclarations du suspect initial. L'homme de 39 ans reste toutefois mis en examen pour « meurtre par conjoint » , et il reviendra au « juge d'instruction d'adapter en temps voulu les chefs de mise en examen ». « L'instruction, elle se poursuit cependant pour déterminer les causes exactes du décès. Une analyse toxicologique va notamment être ordonnée par le juge d'instruction », précise le parquet. Un certain nombre de médicaments ont été retrouvés sur les lieux, selon la même source. L'homme de 39 ans mis en cause avait déjà été condamné pour violences envers sa compagne. Il comptait par ailleurs neuf condamnations à son casier pour des affaires de stupéfiants et des violences aggravées.


Le Parisien
7 days ago
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Pyrénées-Atlantiques : un homme déjà condamné pour violences mis en examen pour le meurtre de sa compagne
Un homme de 39 ans, déjà condamné pour des violences envers sa compagne , a été mis en examen pour « meurtre par conjoint », a-t-on appris mercredi du parquet de Pau, confirmant une information de la presse locale . Une information judiciaire a été ouverte mardi et l'homme incarcéré dans l'attente de sa présentation vendredi à un juge des libertés et de la détention. Lundi, peu après 1 heure du matin, le mis en cause a appelé les secours, indiquant que sa compagne de 37 ans ne respirait plus, alors qu'elle se trouvait chez lui, dans un appartement à Orthez ( Pyrénées-Atlantiques ). L'homme de 39 ans a admis « avoir mis une gifle assez forte à la victime vers 16 heures, mais précise que celle-ci était consciente. Il dit l'avoir surveillée pendant la soirée et met en avant le fait que cette dernière a pris des médicaments », a indiqué mercredi le procureur de la République de Pau, Rodolphe Jarry. Un certain nombre de médicaments ont été retrouvés sur les lieux, précise le magistrat. Une autopsie sera réalisée jeudi par l'institut médico-légal de Toulouse pour déterminer les causes exactes de la mort. Le mis en cause, défavorablement connu par la justice avec neuf condamnations à son casier pour des affaires de stupéfiants et des violences aggravées, a été condamné en mars 2023 à six mois de prison avec sursis probatoire renforcé pendant deux ans pour violences conjugales envers la victime. Il avait aussi reçu une interdiction d'entrer en contact avec elle. Il n'avait pas fait l'objet de nouveau signalement ou de plainte de sa compagne depuis, précise le parquet. En 2023, 96 femmes ont été victimes de féminicide conjugal en France, un chiffre en baisse de 19 % par rapport à 2022, selon le dernier bilan du ministère de l'Intérieur publié fin novembre 2024.