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Quimper : un homme de 50 ans mis en examen après avoir avoué le meurtre sa femme

Quimper : un homme de 50 ans mis en examen après avoir avoué le meurtre sa femme

Le Figaro2 days ago
Après avoir lui-même signalé la disparition de la mère de ses cinq enfants vendredi, le suspect a finalement avoué aux enquêteurs avoir tué sa femme et dissimulé son corps dans un bois.
Un homme âgé de 50 ans a été mis en examen pour meurtre sur conjoint, atteinte à l'intégrité d'un cadavre et modification de scène de crime ce lundi après avoir avoué le meurtre de sa femme, a appris Le Figaro de la procureur de la République de Quimper, confirmant une information du Télégramme. C'est pourtant ce même homme qui avait signalé la disparition de la mère de ses cinq enfants au commissariat de Quimper vendredi 18 juillet.
Les premières investigations ont révélé que de nombreux effets personnels de la disparue âgée de 46 ans manquaient, effets personnels qui ont partiellement été retrouvés calcinés dans un local poubelle de leur logement de Quimper. Ce samedi 19 juillet, l'homme, dont l'enquête a révélé qu'il avait été aperçu transportant des sacs-poubelle entre ce logement et un second, a été interpellé et placé en garde à vue pour enlèvement et séquestration.
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Au cours de ses auditions, le mis en cause a déclaré avoir tué son épouse et dissimulé son corps dans un bois. Le corps de la victime a finalement été retrouvé par les enquêteurs ce dimanche soir. Une autopsie doit être pratiquée dans les prochains jours pour déterminer les causes de la mort. Son mari a été placé en détention provisoire après avoir été présenté à un juge d'instruction du tribunal de Brest ce lundi. Les charges dont il est accusé sont passibles de la réclusion criminelle à perpétuité.
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La saison a bien démarré au parc canadien Rêve de Bisons à Muchedent (Seine-Maritime) , à 15 minutes des plages de Dieppe. Les visiteurs se pressent pour découvrir les bisons, les daims, les loups européens et arctiques et le troupeau de mouflons « qui se porte bien, précise Guillaume Denis, cogérant. Nous attendons en ce moment l'autorisation pour pouvoir les transférer avec les bisons et l'accord pour ramener de Tchéquie cinq femelles afin d'avoir le plus grand troupeau en France ». Et la reconstitution de la grande plaine nord-américaine se poursuit avec l'arrivée des coyotes… Les visiteurs devront être très attentifs devant l'enclos du premier mâle coyote arrivé d'Île-de-France, « car c'est petit, filou et rapide », sourit Guillaume Denis. « D'ailleurs, il s'appelle Bip Bip, car il speede. C'est un mixte entre le renard et le loup. À l'état sauvage, ils vivent en meute de 10 à 15 individus que nous voulons reconstituer chez Rêve de Bisons. Pour nous, c'est l'aboutissement d'un combat administratif de cinq ans. J'ai passé aussi mon certificat de capacité. Nous serons donc le troisième parc à les intégrer avec le parc de Thoiry (Yvelines) et celui de Sainte-Croix (Moselle). » C'est d'ailleurs de l'Est de la France que va venir d'ici quelques semaines la femelle, du parc zoologique de Sainte-Croix. « Dans un premier temps, le couple sera mis dans un espace réduit adapté spécialement, car le coyote est un bon sauteur, pour qu'ils se rencontrent et se reproduisent. Nous espérons avoir des petits en mars/avril 2026 », reprend le cogérant. Le parc est ouvert tous les jours de la semaine de 9 heures à 19 heures avec possibilité de restauration « avec en nouveauté le snacking à la mini-ferme pédagogique ». « Nous proposons aussi des hébergements sous des tipis et des safaris pour aller au plus près des bisons et des daims à bord de camions GMC avec un dernier départ à 17h15, complète Guillaume Denis. Le mois d'août est la période de la reproduction et des combats entre les grands mâles. C'est impressionnant surtout en fin de journée. » Pour les passionnés, Rêve de Bisons propose également, pour 200 euros, « une demi-journée avec un guide pour découvrir nos métiers comme le contrôle des clôtures, le nourrissage des bisons, des mouflons ou encore des loups. Un accès VIP, assure le cogérant. Puis, après le déjeuner compris dans la formule, c'est visite libre. Pour cela, il faut réserver. »

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JUSTICE - Une mise au point on ne peut plus claire. Le président du tribunal judiciaire de Paris a dénoncé ce mercredi 23 juillet « l'opprobre jeté publiquement sur des magistrats » par la ministre de la Culture Rachida Dati, après son renvoi en procès, aux côtés de l'ex-patron de Renault-Nissan Carlos Ghosn, pour corruption et trafic d'influence. L'ex-Garde des Sceaux de Nicolas Sarkozy, elle-même magistrate de formation, a dénoncé mardi soir sur LCI une « procédure émaillée d'incidents » et vilipendé des magistrats qui « marchent » sur les droits de la défense et perpétueraient des « atteintes graves » contre ces derniers. Des déclarations qui n'ont pas du tout plu au président du tribunal judiciaire de Paris. Rappelant dans un communiqué le droit de « toute personne » à « apporter tout élément d'explication utile à l'appui de sa défense, au titre d'une prise de parole assurant le respect de sa présomption d'innocence », Peimane Ghaleh-Marzban a toutefois dénoncé « l'opprobre jeté publiquement sur des magistrats soumis au devoir de réserve et ne pouvant répondre à ces attaques ». Des saillies qui « jette[nt] le discrédit sur l'autorité judiciaire et sape[nt] la confiance légitime des citoyens dans la justice », est-il écrit dans le communiqué, qui souligne par ailleurs que « tout justiciable a la possibilité de former un recours contre une décision de justice le concernant ». Le procureur financier conteste les propos de Dati Le président du tribunal judiciaire de Paris n'est pas le seul à être monté au créneau. Le procureur de la République financier, mis en cause par Rachida Dati, s'est aussi exprimé ce mercredi. La ministre de la Culture a assuré sur LCI qu'il l'avait « reçue deux heures trente dans son bureau » et l'avait assurée de son désaccord avec les charges portées contre elle. « J'ai vu droit dans les yeux M. [Jean-François] Bohnert qui m'a dit que son parquet dysfonctionnait », a-t-elle affirmé mardi soir. Des déclarations contestées par le procureur financier, qui a réaffirmé dans un communiqué son « total soutien » aux magistrats du Parquet national financier (PNF) qu'il dirige, assurant avoir personnellement « validé l'analyse » de ses équipes demandant en novembre le renvoi en procès de la maire du 7e arrondissement, acté hier par les juges d'instruction. Rachida Dati et Carlos Ghosn contestent les accusations dans ce dossier judiciaire instruit depuis 2019 à Paris et aux lourds enjeux politiques, la ministre de la Culture étant également une potentielle candidate à la mairie de Paris. gée de 59 ans, elle sera jugée pour recel d'abus de pouvoir et d'abus de confiance, corruption et trafic d'influence passifs par personne investie d'un mandat électif public au sein d'une organisation internationale, le Parlement européen. « Nous allons faire appel dès aujourd'hui de cette décision », ont déclaré à l'AFP deux des avocats de Rachida Dati, Olivier Baratelli et Olivier Pardo, dont l'un des nombreux recours sur la prescription des faits qu'ils allèguent a encore été écarté mi-juillet. Rachida Dati est soupçonnée d'avoir perçu 900 000 euros entre 2010 et 2012 pour des prestations de conseil actées dans une convention d'honoraires signée le 28 octobre 2009 avec RNBV, filiale de l'alliance Renault-Nissan, mais sans avoir réellement travaillé, alors qu'elle était avocate et députée européenne de 2009 à 2019.

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