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« Je pensais que c'était le même prix » : à Paris, confondre tickets de métro et de bus peut vous coûter cher
« Je pensais que c'était le même prix » : à Paris, confondre tickets de métro et de bus peut vous coûter cher

Le Parisien

time5 days ago

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  • Le Parisien

« Je pensais que c'était le même prix » : à Paris, confondre tickets de métro et de bus peut vous coûter cher

Luc n'en revient pas. En visite à Paris, ce touriste belge retraité a choisi de prendre le bus pour relier la place de Clichy à la gare du Nord. Dans le bus, il a présenté son passe, sur lequel était chargé un ticket de métro (2,50 euros). Un signal rouge s'est affiché, mais le conducteur ne lui a rien dit et Luc est resté dans le bus, certain d'être en règle. À l'arrêt suivant, des contrôleurs sont montés et l'ont verbalisé.

Dispositif Stick'Air à Genève: «La moitié des conducteurs ne sont pas au courant»
Dispositif Stick'Air à Genève: «La moitié des conducteurs ne sont pas au courant»

24 Heures

time6 days ago

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Dispositif Stick'Air à Genève: «La moitié des conducteurs ne sont pas au courant»

Depuis ce mercredi, les automobilistes doivent avoir acheté et collé leur vignette «Stick'Air», qui permet, ou non, de circuler à Genève. Reportage chaotique à Frontenex où la police opérait un contrôle. Publié aujourd'hui à 11h10 Contrôle de la police municipale de Cologny, mercredi matin, au Plateau de Frontenex. CATHY MACHEREL En bref: Bouchon inhabituel sur le Plateau de Frontenex, ce mercredi à 8 heures. «La vignette Stick'Air? Mais c'est quoi, ça?», se demande une automobiliste. Au volant de sa petite voiture, elle patiente dans la longue file de voitures qui s'est formée, en direction de la ville. La conductrice ne comprend pas ce qui se passe. On lui apprend que la police opère le deuxième contrôle de l'histoire depuis l'introduction du macaron qui catégorise les véhicules selon leur degré de pollution. Seules les voitures les moins polluantes (catégorie 1,2 et 3) peuvent entrer à Genève en cas de pic de pollution. La mise en application du dispositif avait été décidée mardi après-midi par le Canton au vu des concentrations d'ozone dans l'air. Conducteurs peu informés À l'instar de cette dame, de nombreux conducteurs de voitures mais aussi de deux roues motorisés ne disposent pas du sésame leur permettant d'entrer dans le périmètre défini. «Je dirais que la moitié des gens ne l'ont pas, certains ne sont pas du tout au courant», explique l'un des trois agents de la police municipale de Cologny, en poste pour opérer les contrôles. Ils sont arrivés à 7h15 et resteront là une heure et demie. Conséquences: des dizaines de scooters sont garés sur le côté et achètent leur macaron en ligne, des voitures sont contraintes de faire demi-tour. Peut-être pour aller se garer hors périmètre, et prendre le bus, qui est gratuit aujourd'hui. C'est un peu le bazar… Dans la longue file d'attente, vers 8 h 30, une autre conductrice s'énerve au volant: «Je l'avais acheté cette vignette, il y a longtemps, mais je ne sais pas où je l'ai mise. Franchement, je dois aller au boulot, là, ils exagèrent!». Des conducteurs de scooters s'arrêtent et viennent se renseigner vers les agents quant aux démarches à suivre pour obtenir la fameuse vignette. «Nous sommes frappés par le manque d'information, cela fait quand même un moment que le dispositif est en vigueur», dit l'un des agents. Depuis 2020, mais les gens, visiblement, ont un peu oublié cette affaire. Il est vrai, souvenez-vous, qu'au moment de leur introduction, les Stick'Air étaient en rupture de stock; il y avait aussi eu des recours contre la mesure, de quoi y perdre son latin. De la prévention, pour l'heure Ce mercredi matin, les agents ont décidé de faire de la prévention. Mais dès demain, avertissent-ils les automobilistes, ils amenderont. Chose positive, relève le chef des agents: «Sur une heure et demie de contrôle, on n'a vu aucun véhicule avec une vignette 4 ou 5, donc des véhicules polluants qui n'auraient pas le droit d'entrer dans le périmètre. Il faut croire que le parc automobile s'est bien renouvelé.» Nombre de voitures à plaques françaises ont l'autocollant Crit'Air, également valable à Genève. «Les Français sont peut-être plus habitués à ce dispositif en vigueur dans de nombreuses régions», commente un agent. Les macarons genevois peuvent être achetés en ligne , dans les stations-service, mais aussi au Bureau des automobiles, où il y a aussi la queue ce mercredi matin. Deux guichets ont été expressément ouverts pour la vente des Stick'Air, une quinzaine de personnes attendent. Jean-Jacques, son sésame enfin en mains, dit qu'il a découvert l'info en lisant la Tribune de Genève ce matin même: «J'avais le macaron sur mon ancienne voiture, mais j'ai maintenant une auto toute neuve, et j'avais oublié de le racheter.» En ligne, sur le site dédié du Canton, quelque 1037 commandes avaient été enregistrées entre mardi 20 h et mercredi 9 h. En attendant de recevoir la vignette, le reçu du paiement transmis par email peut être utilisé pour justifier temporairement le classement du véhicule en cas de contrôle. «Mais c'est bien temporaire, insiste le chef des agents de la police municipale de Cologny, à Frontenex. Car pour faciliter les contrôles, le macaron doit être collé sur le pare-brise. Là, les contrôles pour les véhicules sans vignette collée au pare-brise ont facilement pris à chaque fois une minute, ça rallonge la file d'attente!» À lire également Newsletter «La semaine genevoise» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton de Genève, chaque semaine dans votre boîte mail. Autres newsletters Cathy Macherel est journaliste à la Tribune de Genève depuis 2010. Elle collabore à plusieurs rubriques, locale, Week-end et gère certains suppléments. Elle s'occupe notamment d'aménagement du territoire et affiche une prédilection pour les enquêtes et les approches magazine. Plus d'infos Marc Renfer est journaliste à la rubrique genevoise depuis début 2022. Auparavant, il a travaillé dix ans à la RTS, en partie comme datajournaliste. Plus d'infos @marcrenfer Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Pourquoi Donald Trump menace de prendre le contrôle de la ville de Washington
Pourquoi Donald Trump menace de prendre le contrôle de la ville de Washington

Le HuffPost France

time11-08-2025

  • Le HuffPost France

Pourquoi Donald Trump menace de prendre le contrôle de la ville de Washington

ÉTATS-UNIS - Sa prise de parole à 16 heures (heure française) va être très scrutée. D'après les médias américains, Donald Trump pourrait annoncer à l'occasion d'une conférence de presse le déploiement de la Garde nationale à Washington DC. Le point d'orgue d'une campagne contre la capitale fédérale dont il veut reprendre le contrôle. Retour le dimanche 3 août. Il est environ 3 heures matin quand un homme de 19 ans nommé Edward Coristine est agressé dans la ville. Selon un rapport de police qu'a obtenu Politico, deux jeunes de 15 ans ont été arrêtés alors qu'ils tentaient de fuir. Un iPhone d'une valeur de 1 000 dollars aurait été volé au cours de cette agression. Sauf qu'Edward Coristine n'est pas n'importe qui. Surnommé « Big Balls », il était l'un des visages du DOGE, le département de l'Efficacité gouvernementale créé spécialement par Donald Trump pour qu'Elon Musk et ses lieutenants démantèlent l'administration. Politico précise qu'Edward Coristine a travaillé sur plusieurs sujets dans ce cadre, notamment l'agence américaine pour le développement international et la mise en place des Gold Cards (ces visas réservés aux fortunés). La menace de Trump proférée dans le Bureau ovale Depuis la fin du DOGE, le jeune entrepreneur au CV controversé (Reuters affirme que son entreprise a travaillé avec des cybercriminels) a rejoint la Sécurité sociale. Alors autant dire que l'attaque contre Edward Corostine, qualifié de « génial » par Elon Musk, a provoqué l'ire de Donald Trump. Sur son réseau Truth Social, le président a posté un long message et une photo de « ce jeune homme incroyable » en sang. « Les crimes à Washington DC sont complètement hors de contrôle », a-t-il tempêté. « Si Washington DC ne se ressaisit pas rapidement, nous n'aurons pas d'autre choix que de prendre le contrôle fédéral de la ville, de diriger cette ville comme elle devrait l'être, et de faire savoir aux criminels qu'ils ne pourront plus s'en tirer », a-t-il continué, dénonçant la hausse de la criminalité. Qui n'est pas confirmée par les chiffres : un rapport publié début janvier par le ministère de la Justice soulignait que la criminalité violente dans la ville n'avait pas été aussi basse depuis 30 ans. Mais Donald Trump aime s'arranger avec la réalité des chiffres, et propose de juger les mineurs de plus de 14 ans comme des adultes pour répondre au fléau. Il a également, dans le Bureau ovale, évoqué la possibilité de « fédéraliser » la ville et de déployer la Garde nationale, « peut-être très rapidement ». Or comme le rappelle la chaîne ABC, « la Garde nationale de Washington DC est unique car contrairement aux autres Gardes nationales, elle n'est pas sous le contrôle d'un gouverneur ou, dans ce cas, du maire de Washington DC, mais du président ». Washington DC, une exception américaine Pourquoi une telle exception ? Parce que Washington DC a un statut tout à fait particulier dans la Constitution américaine. Le « District of Columbia » (DC) n'est pas un État ; il a pour fonction d'être « le siège du gouvernement des États-Unis ». C'est ici que sont situés la Maison Blanche, le Congrès et la Cour suprême. La Constitution précise même que DC ne doit pas excéder la taille de « 10 miles square », environ 26 km². Jusqu'en 1973, c'est le Congrès qui régissait la ville. Depuis, un maire élu et 13 conseillers municipaux sont en charge de l'administrer, bien que le Congrès ait toujours un œil sur la politique locale et peut renverser une décision prise par l'édile. Autre particularité : Washington DC, n'étant pas un État, il n'a pas de sénateur et son représentant à la Chambre a des droits limités lors des votes. Ce n'est pas pour rien que l'un des slogans de la ville est « taxation without representation », c'est-à-dire « taxé sans être représenté ». C'est d'ailleurs pour remédier à cette injustice qu'en décembre 2024, la chambre des Représentants alors dominée par les démocrates avait adopté un texte projetant de faire de DC le 51e État américain, une première. Il faut dire que les démocrates y sont en terrain conquis : Kamala Harris avait récolté 90 % des voix contre 6,5 % pour Donald Trump à la présidentielle 2024. Le déploiement de la Garde nationale par Donald Trump – qui a aussi reproché à la capitale d'être sale et d'avoir des routes en mauvais état – reviendrait à faire un spectaculaire bond en arrière. « L'enfer sur terre » Mais cette offensive de Donald Trump n'est pas nouvelle. Comme le rappelle le Washington Post, le républicain déteste DC et l'a fait savoir pendant la dernière campagne présidentielle. En janvier 2024, il affirmait ainsi que Washington DC était devenu « l'enfer sur terre ». Et il n'a pas tardé à évoquer ses plans : « Nous allons reprendre le contrôle de cette ville horriblement gérée. Horrible, horrible, horrible », a-t-il lâché quelques semaines plus tard. Une ambition répétée en février 2025 à bord de l'avion présidentiel. L'agression d'Edward Corostine a donné un bon prétexte à Donald Trump pour avancer ses pions. Dans un message publié sur Truth Social dimanche, il a exhorté les sans-abri à partir « immédiatement ». Des photos de sans domicile fixe, de tentes, et de saleté sous les ponts ont été ajoutées à son post pour corroborer ses accusations. Dans ce même message, il a annoncé sa conférence de presse qui vise à présenter un plan pour rendre Washington « plus sécurisée et plus belle ». Le déploiement de la garde nationale fait-il partie de ce plan, comme le spécule la presse depuis plusieurs jours ? D'après Reuters dimanche, des centaines de troupes sont sur le qui-vive et se préparent à être envoyées sur le terrain. Le président n'avait cependant pas encore pris sa décision au moment de la publication de l'article. Pourrait-il prendre le contrôle total de la ville ? Cette fois, il faudrait l'accord du Congrès où les démocrates pourraient se mettre en ordre de bataille ou saisir la justice.

Une motocycliste a perdu la vie après une perte de contrôle
Une motocycliste a perdu la vie après une perte de contrôle

La Presse

time04-08-2025

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Une motocycliste a perdu la vie après une perte de contrôle

Une motocycliste a perdu la vie après une perte de contrôle Une motocycliste sexagénaire a perdu la vie, dimanche après-midi, après avoir perdu le contrôle de sa moto dans une zone de travaux à Notre-Dame-de-Montauban, en Mauricie. La Presse Canadienne L'accident est survenu vers 13 h 45 sur la route Rousseau, aussi connue sous le nom de route 367, à proximité du chemin Thomas-Lavoie, a expliqué Ève Brochu-Joubert, porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ). Selon les premières informations, la motocycliste, qui circulait en groupe avec deux autres motos, a été éjectée de son véhicule, après avoir perdu le contrôle de sa moto dans une portion de la route qui était en gravier en raison de réparations. La victime a été transportée au centre hospitalier dans un état critique, où son décès a été constaté. Une autre des motos sur laquelle deux personnes prenaient place a aussi perdu le contrôle. Elles ont subi des blessures mineures. Un patrouilleur en enquête collision devait se rendre sur les lieux en après-midi afin d'analyser la scène et tenter d'établir les circonstances entourant l'évènement.

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