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Trump averti en mai que son nom figurait dans les dossiers
Trump averti en mai que son nom figurait dans les dossiers

La Presse

time2 hours ago

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Trump averti en mai que son nom figurait dans les dossiers

Le président américain Donald Trump et la procureure générale des États-Unis, Pam Bondi Trump averti en mai que son nom figurait dans les dossiers Le département de la Justice des États-Unis a mis Donald Trump au courant, lors d'une réunion en mai dernier, que son nom apparaissait parmi d'autres dans les dossiers de l'affaire Jeffrey Epstein. C'est ce que rapporte le quotidien américain The Wall Street Journal. La Presse La procureure générale des États-Unis, Pam Bondi, aurait affirmé que le nom du président américain était ressorti à plusieurs reprises lors du traitement d'une énorme quantité de documents liés à Jeffrey Epstein, riche homme d'affaires mort en cellule en 2019 avant son procès pour crimes sexuels. La cheffe de la Justice aurait aussi mentionné que les noms de « nombreuses autres personnalités connues » apparaissaient également dans les documents saisis. En ce qui concerne la divulgation des documents en question, des représentants du département de la Justice auraient dit au président qu'ils n'avaient pas l'intention d'en publier plus, notamment en raison du caractère pédopornographique de ceux-ci. « Le fait d'être mentionné dans ces documents n'est pas un signe de comportement répréhensible », précise The Wall Street Journal. Donald Trump était déjà en guerre ouverte avec The Wall Street Journal, qu'il poursuit en diffamation après la publication, jeudi dernier, d'un article lui attribuant une lettre salace adressée à Jeffrey Epstein. La polémique entourant l'affaire Epstein continue de secouer le milieu politique aux États-Unis, jusqu'au Congrès, où les démocrates ont tenté sans succès d'exiger le dévoilement total des documents de l'enquête sur Jeffrey Epstein. Mercredi, CNN dévoilait également de nouvelles photos de Jeffrey Epstein au mariage de Donald Trump. Les deux hommes ont été photographiés ensemble à plusieurs reprises dans les années 1990 et début 2000. Avec l'Agence France-Presse

Trump averti en mai de la présence de son nom dans les dossiers
Trump averti en mai de la présence de son nom dans les dossiers

La Presse

time4 hours ago

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Trump averti en mai de la présence de son nom dans les dossiers

Trump averti en mai de la présence de son nom dans les dossiers Le quotidien américain The Wall Street Journal rapporte que le département de la Justice des États-Unis avait mis Donald Trump au courant lors d'une réunion en mai dernier que son nom figurait parmi d'autres dans les dossiers de l'affaire Jeffrey Epstein. La Presse La procureure générale des États-Unis aurait affirmé que lors de l'examination d'une énorme quantité de documents liés à Jeffrey Epstein – riche homme d'affaires mort en cellule en 2019 avant son procès pour crimes sexuels – le nom du président américain apparaissait à plusieurs reprises. Plus de détails suivront.

Une lettre salace de Trump à Epstein ? Le président menace le Wall Street Journal de poursuite
Une lettre salace de Trump à Epstein ? Le président menace le Wall Street Journal de poursuite

Le Parisien

time6 days ago

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Une lettre salace de Trump à Epstein ? Le président menace le Wall Street Journal de poursuite

Donald Trump n'en a pas fini avec l'affaire Epstein. En porte-à-faux avec une partie de ses électeurs qui lui reprochent de balayer l'affaire du riche financier new yorkais accusé de crimes sexuels sur mineures, alors qu'il avait promis la transparence , Donald Trump a annoncé jeudi qu'il allait poursuivre le Wall Street Journal pour un article lui attribuant une lettre salace adressée au financier en 2003. C'est « faux, malveillant et diffamatoire », tempête le président républicain. Selon le Wall Street Journal (WSJ), les amis et la famille d'Epstein ont rédigé des lettres pour constituer un livre, « relié en cuir » note le quotidien, qui lui a été offert pour ses 50 ans en 2003. L'une des lettres a été rédigée par Donald Trump, affirme le WSJ. Le courrier comporterait plusieurs lignes de texte dactylographié et une silhouette de femme dessinée au marqueur. Deux petits arcs figurent les seins, des poils pubiens ont été dessinés, et la signature de Donald Trump se trouve sous la taille. La lettre se terminerait ainsi : « Joyeux anniversaire - et que chaque jour soit un autre merveilleux secret. » La formule fait sens à l'heure où de nombreuses voix soupçonnent Donald Trump et son administration de cacher un scandale l'impliquant. Depuis le suicide d'Epstein en prison en août 2019, un mois après son arrestation , le feu du soupçon se consume doucement mais sûrement. En toute impunité pendant des années, avec la complicité de sa compagne puis amie Ghislaine Maxwell - la seule condamnée en 2022 à 20 ans de prison pour trafic sexuel -, le riche trader a recruté des jeunes filles pour qu'elles lui prodiguent des « massages » tournant au jeu sexuel. Mondain, Epstein savait s'entourer de personnalités connues , dont certaines auraient profité des fantasmes et pratiques de leur ami. Des carnets , le manuel de bord du jet privé d'Epstein, cruellement baptisé « Lolita Express », portent la trace de nombreux amis connus, de Bill Clinton à Kevin Spacey, en passant par Naomi Campbell et le prince Andrew. Le fils de la reine Elizabeth d'Angleterre, mis en cause par au moins une des victimes d'Epstein , a été mis en retrait de la vie publique royale. La suspicion avait déjà effleuré Trump : new yorkais, comme Epstein, gravitant dans les mêmes sphères mondaines, l'ayant reçu à Mar-a-Lago, amateur de femmes plus jeunes que lui - sa femme Melania et lui ont 23 ans d'écart - et de relations sexuelles avec d'autres, comme l'a montré l' interminable affaire Stormy Daniels ou des poursuites pour agression sexuelle . Le doute s'était épaissi après les révélations sur la mansuétude dont avait bénéficié Epstein en 2008. Poursuivi en Floride après que 36 victimes de ses sollicitations avaient été identifiées par le FBI, Epstein avait passé un accord avec la justice, acceptant d'être condamné pour recours à la prostitution, au lieu d'abus sexuels sur mineures. Il avait effectué une petite peine de prison, au régime particulièrement aménagé. Le procureur fédéral de Floride, Alexander Acosta, qui avait passé l'accord - sans prévenir les victimes - était ministre du Travail de Trump en 2019 lors de l'arrestation d'Epstein. Il s'était maladroitement défendu d'avoir protégé un prédateur. Interrogé sur la lettre, Donald Trump a dénoncé « un faux ». Rupert Murdoch, propriétaire du WSJ, se trouvait dimanche dans la loge présidentielle au MetLife Stadium, près de New York, pour la finale de la Coupe du monde des clubs de football. « J'ai dit à Rupert Murdoch que c'était une escroquerie, qu'il ne devait pas (publier) cette fausse histoire. Mais il l'a fait, et maintenant je vais lui coller un procès », a écrit le président sur Truth Social. Et d'ajouter que « s'il y avait la moindre trace de vérité dans le canular Epstein, cette information aurait été révélée » bien avant par ses adversaires, politiques ou autres. Trump a espéré allumer un contrefeu en indiquant avoir demandé à sa ministre de la Justice, Pam Bondi, de rendre publics tous les témoignages « pertinents » recueillis par le grand jury - une commission de citoyens investie de pouvoirs d'enquête - dans cette affaire, « sous réserve de l'accord du tribunal ». « Cette arnaque relayée par les démocrates doit s'arrêter tout de suite », s'est-il impatienté. Bondi a répondu positivement sur X. Le FBI et le ministère de la Justice ont annoncé la semaine dernière la conclusion d'un « examen systématique » de l'affaire Epstein dans une note controversée de deux pages, non signée. L'enquête n'a trouvé « aucune preuve crédible » qu'Epstein ait « fait chanter des personnalités importantes » ou que des enquêtes contre des « tiers non inculpés » étaient justifiées, disait la note, affirmant en outre que le financier s'était bien suicidé par pendaison et qu'il n'avait jamais tenu de « liste » de puissants prétendument impliqués dans ses crimes. Trump a conclu à un « canular », entraînant l'incompréhension et la colère de ses soutiens .

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