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Solum Hydrogéologie : un fleuron de l'environnement qui doit sa pérennité à l'excellence des machines, des process et des hommes
Solum Hydrogéologie : un fleuron de l'environnement qui doit sa pérennité à l'excellence des machines, des process et des hommes

Le Figaro

time21-07-2025

  • Business
  • Le Figaro

Solum Hydrogéologie : un fleuron de l'environnement qui doit sa pérennité à l'excellence des machines, des process et des hommes

Cette entreprise de forage certifiée MASE, dédiée à l'environnement entre dépollution des sols et suivi des nappes phréatiques, forge ses succès notamment auprès d'industries critiques sur 3 piliers d'excellence : machines, process et hommes. Rencontre avec la présidente de Solum Hydrogéologie, Delphine Picault. Solum Hydrogéologie est contacté par les bureaux d'études, les entreprises de dépollution ou encore les industriels de secteurs critiques, tels Total, sur les régions Sud-Loire de Bordeaux à Lyon, pour effectuer des prélèvements de sol ou poser des piézomètres et des piézairs. L'excellence des matériels spécifiques Solum Hydrogéologie, c'est un parc de foreuses adaptées à chaque type d'intervention : Carottier portatif de type Wacker : pour des sondages peu profonds. EMCI 1.70 : pour travailler en intérieur. COMACCHIO GEO 305 : un atelier complet qui réalise tous travaux du prélèvement de sols à la pose de piézomètres et piézairs. EMCI 700 C : pour tous travaux du diagnostic de pollution à la dépollution in situ, en passant par la pose de piézomètres jusqu'à plus de 30 mètres de profondeur. EMCI 7.50 : pour des prélèvements de sols et la pose de piézomètres jusqu'à 20 mètres de profondeur. «Nous disposons aussi d'une nouvelle foreuse EMCI 7.50 à la pointe de la technologie», souligne la présidente. Delphine Picault, la présidente de Solum Hydrogéologie. Solum Hydrogéologie L'excellence des process Solum Hydrogéologie doit aussi sa belle réputation à ses process, qui lui permettent de renouveler sa certification MASE. «Ainsi, nous développons notre présence dans l'industrie pétrolière ou chimique», affirme Delphine Picault. Par exemple, chaque unité de forages dispose d'un kit raffinerie (GIES), d'un kit absorbant de gasoil ou d'huile, et les collaborateurs sont dotés d'EPI adaptés à chaque type de missions et de polluants… Les foreuses et équipements sont rigoureusement entretenus et sont périodiquement vérifiés par un bureau de contrôle. La sécurité étant au cœur des préoccupations de la dirigeante, Solum Hydrogéologie mise pour chaque chantier sur des équipes d'un minimum de deux collaborateurs, dont un breveté Sauveteur-Secouriste du travail. Ils sont tous habilités Risques chimiques N1 ou N2. «Nous avons aussi des collaborateurs formés ATEX 0, Risques mécaniques, au port de l'ARI…», explique la dirigeante. Onze collaborateurs chevronnés de Solum Hydrogéologie œuvrent sur tous les départements du Sud-Loire. Solum Hydrogéologie L'excellence des hommes Luc Badia-Sanmartin (secteur Ouest) et Christian Rudelle (secteur Est) s'assurent que chaque mission est réalisée dans les règles de l'art. Cette démarche suit les injonctions de Delphine Picault qui a repris l'entreprise en 2023 avec pour objectif : pérenniser la haute qualité des prestations à l'origine de la renommée de Solum Hydrogéologie. «Solum Hydrogéologie, ce sont 11 collaborateurs chevronnés qui œuvrent avec engagement et rigueur sur tous les départements Sud-Loire», affirme Delphine Picault, qui ajoute : «Nous suivons également nos clients partout en France». Outre leurs expertises techniques mises à l'épreuve des missions, ces talents –notamment ceux de plus de 15 ans dans l'entreprise–, ont accumulé des connaissances inédites en termes d'histoire géologique des lieux. «Ils sont la richesse de Solum Hydrogéologie», conclut la présidente. Infos : 30, allée de Chagneau, 33460 ARSAC Tél. : 05-57-71-89-05

Face aux sols pollués en Île-de-France, « une loi est nécessaire », défend le sénateur Pascal Savoldelli
Face aux sols pollués en Île-de-France, « une loi est nécessaire », défend le sénateur Pascal Savoldelli

Le Parisien

time21-07-2025

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  • Le Parisien

Face aux sols pollués en Île-de-France, « une loi est nécessaire », défend le sénateur Pascal Savoldelli

Comment financer les dépollutions ? Comment définir un sol pollué ? Comment permettre à des projets de voir le jour même sur d'anciens terrains industriels ? Les exemples de collectivités empêchées techniquement et financièrement à cause de sols contaminés sont tellement nombreux que le sénateur du Val-de-Marne Pascal Savoldelli (PCF) planche sur une proposition de loi . Voilà quelques jours, il a réuni, dans le bois de Vincennes, élus et experts de la dépollution pour débattre ensemble de ce qu'une telle loi devait apporter. « Une loi est nécessaire, pour protéger les sols de la pollution comme il en existe pour l'air et l'eau », défend Pascal Savoldelli, qui a travaillé sur la question avec l'association Cluster Eau Milieux Sols. « On nous répond parfois que c'est un sujet de niche, mais les sommes en jeu et les impacts en termes de santé sont considérables dans certains secteurs ! » Ce n'est pas un sujet nouveau pour le sénateur, qui fut également adjoint à Ivry-sur-Seine . Déjà, en 2020, il avait participé à la commission d'enquête du Sénat sur les problèmes sanitaires et écologiques liés aux pollutions des sols qui ont accueilli des activités industrielles ou minières, et sur les politiques publiques et industrielles de réhabilitation de ces sols. Cette commission était présidée par Laurent Lafon (UDI), lui aussi sénateur du Val-de-Marne et ex-maire de Vincennes. « Partout en France il existe des sols pollués et les réponses de l'État ne sont pas partout les mêmes », regrettait alors Laurent Lafon, insistant sur les enjeux en termes de santé pour la population concernée. La loi, en cours d'écriture, devrait notamment comporter la création d'une fiscalité dédiée, pour permettre la dépollution quand l'industriel à l'origine de la contamination n'existe plus. Deux propositions devraient se compléter. D'un côté la création d'une taxe de 1 euro par tonne de terre excavée. Rien qu'en Île-de-France, cette taxe rapporterait 20 à 30 millions d'euros par an, payés par des promoteurs ou des collectivités qui construisent. De l'autre, le sénateur propose qu'un certain pourcentage de la taxe dite Zucman soit consacré à la réhabilitation des sols pollués. Cette taxe, du nom de l'économiste Gabriel Zucman, consiste à ce que tous les contribuables dont les patrimoines dépassent les 100 millions d'euros payent au moins 2 % de leur fortune en impôt. Adoptée par l'Assemblée nationale mais rejetée par le Sénat, cette taxe rapporterait environ 20 milliards par an. Environ 1 800 foyers devraient alors contribuer à la dépollution des sols à hauteur de 50 millions d'euros par an.

Europlasma annonce un partenariat chinois pour produire de l'électricité en incinérant ses déchets
Europlasma annonce un partenariat chinois pour produire de l'électricité en incinérant ses déchets

Le Figaro

time10-07-2025

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Europlasma annonce un partenariat chinois pour produire de l'électricité en incinérant ses déchets

Le groupe Europlasma (solutions de dépollution et décarbonation) va incinérer ses déchets industriels pour produire de l'électricité en utilisant une technologie chinoise sur son site de Morcenx (Landes), selon un communiqué diffusé jeudi. L'entreprise cotée en Bourse, qui a réalisé 42 millions d'euros de chiffres d'affaires en 2024, a signé un «partenariat exclusif» avec la société Beijing AptBlaze Technology «en vue de l'utilisation et du développement commercial d'une gamme de chaudières à haut rendement énergétique». Cette technologie, combinée à un procédé de traitement des fumées d'incinération des déchets industriels développé par une filiale d'Europlasma, «permettra de convertir en énergie électrique des déchets industriels à fort potentiel calorifique», poursuit Europlasma dans son communiqué. Beijing AptBlaze Technology est une entreprise chinoise de haute technologie spécialisée dans la gazéification et l'incinération de déchets organiques. Publicité Réduire l'empreinte environnementale L'accord prévoit la construction d'une première centrale d'une puissance de 30 mégawatts électriques (MWe) sur le site de Morcenx-la-Nouvelle (Landes), avant un déploiement de cette solution dans les filiales du groupe, sous réserve d'autorisations. Europlasma dit vouloir ainsi réduire son empreinte environnementale et «étendre l'offre de valorisation de déchets dangereux sans avoir recours à l'enfouissement». En avril, l'industriel landais a repris les Fonderies de Bretagne, ancienne filiale de Renault basée dans le Morbihan, qu'elle compte orienter vers le domaine de la défense. En 2024, Europlasma avait racheté Valdunes, dernier fabricant français de roues de trains implanté sur deux sites dans le Nord, ainsi que la société FP Environnement, spécialisée dans la dépollution et le désamiantage. Trois ans plus tôt, Europlasma avait repris les Forges de Tarbes, fabricant de corps creux, l'enveloppe métallique des obus de 155 millimètres utilisés par les canons français Caesar. Le groupe employait environ 400 personnes à fin 2024, l'effectif ayant plus que doublé sur l'année du fait des acquisitions, selon son rapport annuel.

La Seine accessible à la baignade pour la première fois depuis un siècle
La Seine accessible à la baignade pour la première fois depuis un siècle

La Presse

time04-07-2025

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La Seine accessible à la baignade pour la première fois depuis un siècle

Une future zone de baignade sécurisée dans la Seine à Bercy, en France. La Seine accessible à la baignade pour la première fois depuis un siècle (Paris) Pour la première fois depuis plus d'un siècle, Parisiens et touristes pourront se rafraîchir dans la Seine. Ce cours d'eau, longtemps pollué, est enfin ouvert à la baignade estivale grâce à un projet de dépollution de 1,4 milliard d'euros (2,23 milliards de dollars canadiens) qui l'a rendu apte à accueillir les compétitions olympiques l'année dernière. Sylvie Corbet et Jeffrey Schaeffer Associated Press Trois nouvelles piscines sur les quais parisiens ouvriront samedi : l'une près de la cathédrale Notre-Dame de Paris, une autre près de la tour Eiffel et une troisième dans l'Est parisien. La baignade dans la Seine est interdite depuis 1923, à quelques exceptions près, en raison de la pollution et des risques liés à la navigation fluviale. La baignade en dehors des zones prévues à cet effet reste interdite pour des raisons de sécurité. La Seine a été l'une des vedettes des Jeux olympiques de Paris en 2024, que ce soit pour l'ambitieuse cérémonie d'ouverture ou pour les compétitions de triathlon et de marathon de natation. Cela n'a pas été sans embûches, comme les précipitations qui ont augmenté le taux de bactéries, ce qui a reporté certaines compétitions. Les autorités de la ville ont donné le feu vert à l'ouverture au public, avec des résultats de qualité de l'eau conformes à la réglementation européenne. La participation d'athlètes olympiques dans la rivière a été une récompense spectaculaire pour le coût des efforts de nettoyage. À l'approche des Jeux, les autorités ont inauguré de nouvelles unités de désinfection et créé un immense bassin de stockage afin d'empêcher autant que possible le déversement d'eaux usées chargées de bactéries dans la Seine en cas de pluie. Les péniches qui vidaient auparavant leurs eaux usées directement dans le fleuve ont dû se raccorder au réseau d'égouts municipal. Certaines habitations en amont de Paris ont également vu leurs eaux usées raccordées à des stations d'épuration au lieu du réseau de drainage pluvial qui se déversait directement dans le fleuve. Drapeau vert pour la baignade L'adjoint de la mairesse de Paris, Pierre Rabadan, a indiqué que l'eau était testée quotidiennement pour confirmer la sécurité de la baignade. Comme sur les plages françaises, des drapeaux de différentes couleurs indiqueront aux visiteurs s'ils peuvent ou non se baigner. « Vert signifie que la qualité de l'eau est bonne. Rouge signifie qu'elle n'est pas bonne ou qu'il y a trop de courant », a-t-il précisé. Les tests sont conformes à la réglementation européenne depuis début juin, à deux exceptions près, en raison de la pluie et de la pollution liée aux bateaux, a précisé l'adjoint. « Je ne peux pas parier sur le nombre de jours de fermeture cet été, mais la qualité de l'eau semble meilleure que l'année dernière, a-t-il ajouté. Nous sommes en milieu naturel, […] les variations météorologiques ont donc forcément un impact. » L'année dernière, plusieurs athlètes sont tombés malades après avoir participé au triathlon et aux courses en eau libre pendant les Jeux olympiques, mais, dans la plupart des cas, il n'était pas clair si la rivière était responsable de leurs maladies. World Aquatics a souligné que les conditions étaient conformes aux seuils admis par la discipline. « L'impact de ces efforts est déjà visible, la Seine étant désormais ouverte à la baignade publique – un exemple positif de la façon dont le sport peut générer des bénéfices à long terme pour la communauté », a déclaré l'organisation dans un communiqué à l'Associated Press. Le scepticisme persiste quant à la qualité de l'eau. Dan Angelescu, fondateur et PDG de Fluidion, une entreprise de technologie de surveillance de l'eau basée à Paris et Los Angeles, effectue des tests systématiques et indépendants des niveaux bactériens dans la Seine depuis plusieurs années. Bien que conforme à la réglementation en vigueur, la méthodologie officielle d'analyse de l'eau présente des limites et sous-estime les bactéries, a-t-il souligné. « Nous constatons que la qualité de l'eau de la Seine est très variable, a prévenu M. Angelescu. Il n'y a que quelques jours dans la saison de baignade où je dirais que la qualité de l'eau est acceptable pour la baignade. » « Tout ce que nous pouvons dire, c'est que nous pouvons lever la main et dire : les données scientifiques d'aujourd'hui ne corroborent pas l'évaluation actuelle de la sécurité de l'eau utilisée dans les rivières autour de Paris, et nous pensons qu'il existe un risque majeur qui n'est pas du tout pris en compte », a-t-il insisté. Certains Parisiens se montrent également sceptiques à l'idée de se baigner dans la Seine. Ce sentiment est souvent renforcé par la couleur trouble de l'eau, les déchets flottants et la présence de nombreux bateaux de touristes à certains endroits. Enys Mahdjoub, agent immobilier, a déclaré qu'il n'aurait pas peur de nager, mais plutôt « un peu dégoûté. C'est surtout la peur de se salir qu'autre chose pour le moment. » Jusqu'à fin août, les baignades seront ouvertes gratuitement à des horaires définis pour toute personne âgée de 10 ou 14 ans minimum, selon l'endroit. Les maîtres-nageurs surveilleront attentivement ces premiers plongeons. Oleg Cetinic et Alexander Turnbull ont contribué à ce reportage

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