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Mort de Thierry Ardisson : sa femme Audrey Crespo-Mara annonce porter plainte contre un journaliste
Mort de Thierry Ardisson : sa femme Audrey Crespo-Mara annonce porter plainte contre un journaliste

Le Figaro

time12 hours ago

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Mort de Thierry Ardisson : sa femme Audrey Crespo-Mara annonce porter plainte contre un journaliste

Le journaliste-blogueur Clément Garin, suivi par plus de 70.000 personnes sur X, avait annoncé dimanche la mort du présentateur, décédé le lendemain. Sa femme, la journaliste de TF1, s'en est indignée dans un communiqué. Audrey Crespo-Mara a annoncé, dans un communiqué publié sur X lundi, son intention de porter plainte contre le journaliste-blogueur, Clément Garin. Ce dernier avait annoncé dans un tweet dimanche la mort de Thierry Ardisson, décédé le lendemain matin. Celui qui se présente comme un «enquêteur média» sur X avait diffusé cette information en citant des «sources concordantes». Le jeune homme a finalement supprimé son post après un démenti : «Honte à vous ! Non mon mari n'est pas mort», avait en effet réagi la journaliste de TF1. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Le lendemain, la femme de Thierry Ardisson s'est plus longuement indignée dans un communiqué. «Quelle ignominie ! Se croire autorisé à annoncer la mort d'un homme alors qu'il est encore en train de lutter pour sa survie, entouré des siens, c'est inhumain. Se croire autorisé à révéler le combat intime d'un homme sans son consentement et harceler son épouse sur son 06 en prétendant qu'elle filme les derniers instants de vie de son mari, c'est abject», a-t-elle publié sur X lundi matin, une heure et demie avant l'annonce officielle de la mort du présentateur. Publicité Audrey Crespo-Mara, qui a épousé Thierry Ardisson en 2014, a ensuite indiqué «intenter sans attendre une action en justice contre» Clément Garin, «avec les enfants de Thierry Ardisson et les (siens)». Et de conclure : «Nous ne vous lâcherons pas.» Quelques jours plus tôt, le journaliste-blogueur suivi par plus de 70.000 personnes sur X avait annoncé l'hospitalisation de Thierry Ardisson pour son cancer et avait écrit qu'Audrey Crespo-Mara réalisait un documentaire sur ses derniers instants de vie. «Menaces de mort» Clément Garin a répondu lundi à la journaliste dans un long message publié sur son compte X, dont l'accès est désormais limité à ses abonnés. Après avoir adressé ses condoléances à la famille du défunt, le jeune homme s'est défendu en expliquant avoir fait son «travail». «Certains affirment que ce n'était pas à moi de dévoiler cette information. Je suis un média comme un autre. Je ne suis pas l'AFP, je ne suis pas TMZ, je ne suis pas Le Parisien. Mais il faut comprendre que je suis un média comme un autre. J'ai créé CGTV. Il faut accepter que CGTV soit là, et déstabilise des médias qui sont là depuis des années et qui règnent en maître», a-t-il écrit. Il a par ailleurs affirmé être la cible d'«intimidations». «Si je comprends la colère de sa femme et de son entourage, je déplore qu'un avocat me harcèle de messages WhatsApp, au lieu d'envoyer des LRAR (Lettre recommandée, accusée réception, NDLR). Je déplore également qu'une attachée de presse m'intimide en m'écrivant 'On ne va pas vous louper'. Ces procédés sont dénués de déontologie», a-t-il dénoncé, précisant être la cible de «menaces de mort et de milliers d'insultes à caractère homophobe». «J'ai vécu les 12 heures les plus effroyables de ma vie», a-t-il renchéri.

ONU: La vaccination des enfants se stabilise mais reste menacée
ONU: La vaccination des enfants se stabilise mais reste menacée

24 Heures

timea day ago

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ONU: La vaccination des enfants se stabilise mais reste menacée

Accueil | Savoirs | Sciences | La vaccination des enfants est menacée par les coupes dans l'aide et la désinformation, s'inquiète l'ONU mardi. Publié aujourd'hui à 02h11 Mis à jour il y a 3 minutes Image d'illustration. Getty Images via AFP Les taux de vaccination des enfants dans le monde se sont stabilisés après avoir diminué pendant la crise du Covid, a indiqué l'ONU mardi, mais la désinformation et les coupes dans l'aide internationale représentent de nouvelles menaces. En 2024, 85% des enfants de la classe d'âge qui doivent recevoir le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC) avaient reçu les trois doses (109 millions), la troisième dose servant de marqueur clé de la couverture vaccinale mondiale, selon les données publiées par les agences de la santé et de l'enfance des Nations unies. C'est un point de pourcentage de plus qu'en 2023, soit un million d'enfants supplémentaires. Des gains «modestes» alors que les défis sont nombreux, selon l'ONU. En 2024, 14,3 millions d'enfants dans le monde étaient dits «zéro dose»: ils n'avaient reçu aucune dose de vaccin, un chiffre en très légère baisse puisqu'ils étaient 14,5 millions il y a deux ans. Mais le chiffre reste supérieur à celui enregistré en 2019 (1,4 million), avant que la pandémie de Covid-19 ne vienne perturber les services de santé. Réduire à néant «La bonne nouvelle est que nous avons réussi à vacciner davantage d'enfants avec des vaccins qui sauvent des vies» mais «des millions d'enfants restent sans protection contre des maladies évitables», a relevé la directrice générale de l'Unicef, Catherine Russell, dans un communiqué publié avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Selon l'OMS, le monde est «mal parti» pour atteindre l'objectif de garantir 90% de couverture chez les enfants et adolescents pour les vaccins vitaux clés en 2030. «Les coupes drastiques dans l'aide, couplées à la désinformation sur la sécurité des vaccins, menacent de réduire à néant des décennies de progrès», a averti le chef de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, dans le communiqué. Le rapport montre aussi que l'accès aux vaccins reste très inégal et que les conflits ruinent les efforts déployés pour améliorer la couverture vaccinale. Cette situation pourrait encore s'aggraver avec la réduction de l'aide internationale, y compris des Etats-Unis. «Notre capacité à répondre aux épidémies dans près de 50 pays a été perturbée par les coupes budgétaires», a souligné Ephrem Lemango, responsable de la vaccination à l'Unicef, en conférence de presse. Un vaccinosceptique aux Etats-Unis Le manque d'accès aux vaccins est la principale cause de la faible couverture vaccinale dans le monde, mais les agences onusiennes soulignent aussi la menace que représente la désinformation sur les vaccins. La réduction de la confiance vis-à-vis de «l'innocuité des vaccins» contribue à un manque d'immunité collective qui peut être dangereux et au développement de flambées épidémiologiques, a expliqué Kate O'Brien, responsable de la vaccination à l'OMS, aux journalistes. Les experts alertent en particulier sur la situation aux Etats-Unis, où le ministre de la Santé Robert Kennedy Jr, un vaccinosceptique notoire, a amorcé une profonde refonte des autorités sanitaires américaines et de leur politique vaccinale. Il a été notamment accusé d'avoir diffusé de fausses informations à propos du vaccin contre la rougeole, alors que les Etats-Unis subissent depuis début 2025 la pire épidémie en plus de 30 ans. En 2024, 60 pays ont été frappés par des épidémies «importantes ou perturbatrices» de rougeole, soit près de deux fois plus qu'en 2022 (33), selon le rapport. Pourtant, deux millions d'enfants supplémentaires ont été vaccinés contre cette maladie l'an dernier par rapport à 2023. Mais le taux de couverture vaccinale mondial est loin du niveau de 95% nécessaire pour prévenir les épidémies. Le rapport fait par ailleurs état d'une bonne nouvelle, avec une progression de la couverture vaccinale contre une série de maladies dans les 57 pays soutenus par Gavi, qui soutient la vaccination dans les pays les plus pauvres. AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Sur X, plus de 90% des notes de contexte des utilisateurs ne sont jamais publiées, selon une étude
Sur X, plus de 90% des notes de contexte des utilisateurs ne sont jamais publiées, selon une étude

Le Figaro

time6 days ago

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Sur X, plus de 90% des notes de contexte des utilisateurs ne sont jamais publiées, selon une étude

Plus de 90% des notes de contexte proposées par les utilisateurs de X ne sont jamais publiées, selon une étude publiée mercredi, un chiffre qui sème le doute sur l'efficacité de cette méthode pour lutter contre la désinformation sur internet. Cette estimation, publiée par l'ONG Digital Democracy Institute of the Americas (DDIA), intervient sur fond de désinvestissement de plusieurs réseaux sociaux vis-à-vis de leurs moyens dédiés à la modération et à la vérification des contenus (fact-checking). Sur X (ex-Twitter), les utilisateurs peuvent depuis plusieurs années proposer, en dessous d'une publication, un commentaire, ou «community note», pour ajouter du contexte ou signaler une erreur factuelle. C'est ensuite aux autres utilisateurs, par un système de vote, de dire s'ils considèrent ce commentaire utile ou non. Si assez de personnes votent en sa faveur, une note est publiée pour l'ensemble des internautes, visible en-dessous de la publication d'origine. Publicité En étudiant 1,76 million de ces notes proposées entre janvier 2021 et mars 2025, le DDIA a conclu que «la vaste majorité des notes soumises - plus de 90% - ne parviennent jamais au public». «Pour un système promu comme rapide, facile à étendre et transparent, ces chiffres devraient soulever de graves inquiétudes», souligne l'ONG américaine dans son étude. En 2023, 9,5% des notes soumises en anglais étaient publiées, contre seulement 4,9% début 2025, selon le DDIA. La dynamique est cependant inverse pour les notes en langue espagnole. Une grande partie des notes qui restent non-publiées le sont par manque de consensus lors de la phase de vote, tandis que d'autres ne sont même jamais proposées au vote, selon l'étude. La hausse du nombre de notes semble provoquer un «goulot d'étranglement» pour leur visibilité, souligne la publication, estimant que «de nombreuses notes restent perdues dans les limbes, invisibles et non évaluées» par d'autres. Ces «community notes», lancées par X sous la direction de Linda Yaccarino qui a démissionné mercredi, sont désormais envisagées par les concurrents TikTok et Meta (Facebook et Instagram). Cet intérêt de la part de Meta intervient après que le géant californien a mis fin, en début d'année, à son programme de vérification des contenus publiés aux États-Unis, que le patron du groupe Mark Zuckerberg a assimilé à de la «censure», reprenant les termes du parti républicain au pouvoir. L'Union européenne, qui s'est équipée d'un texte visant à endiguer les contenus illégaux et la désinformation sur internet (le DSA), pourrait devoir bientôt trancher sur les obligations précises des réseaux sociaux à ce sujet.

Réseaux sociaux: Sur X, plus de 90% notes de contexte ne sont jamais publiées
Réseaux sociaux: Sur X, plus de 90% notes de contexte ne sont jamais publiées

24 Heures

time6 days ago

  • 24 Heures

Réseaux sociaux: Sur X, plus de 90% notes de contexte ne sont jamais publiées

Une étude publiée mercredi indique que plus de 90% des notes de contexte proposées par les utilisateurs de X ne sont jamais publiées. Publié aujourd'hui à 06h09 Mis à jour il y a 5 minutes Le logo du réseau social X (anciennement Twitter) affiché sur un smartphone, à Bruxelles, le 27 septembre 2024. AFP Plus de 90% des notes de contexte proposées par les utilisateurs de X ne sont jamais publiées, selon une étude publiée mercredi, un chiffre qui sème le doute sur l'efficacité de cette méthode pour lutter contre la désinformation sur internet. Cette estimation, publiée par l'ONG Digital Democracy Institute of the Americas (DDIA), intervient sur fond de désinvestissement de plusieurs réseaux sociaux vis-à-vis de leurs moyens dédiés à la modération et à la vérification des contenus (fact-checking). Sur X (ex-Twitter), les utilisateurs peuvent depuis plusieurs années proposer, en dessous d'une publication, un commentaire, ou «community note», pour ajouter du contexte ou signaler une erreur factuelle. Un système de vote C'est ensuite aux autres utilisateurs, par un système de vote, de dire s'ils considèrent ce commentaire utile ou non. Si assez de personnes votent en sa faveur, une note est publiée pour l'ensemble des internautes, visible en-dessous de la publication d'origine. En étudiant 1,76 million de ces notes proposées entre janvier 2021 et mars 2025, le DDIA a conclu que «la vaste majorité des notes soumises – plus de 90% – ne parviennent jamais au public». «Pour un système promu comme rapide, facile à étendre et transparent, ces chiffres devraient soulever de graves inquiétudes», souligne l'ONG américaine dans son étude. Un «goulot d'étranglement» pour leur visibilité En 2023, 9,5% des notes soumises en anglais étaient publiées, contre seulement 4,9% début 2025, selon le DDIA. La dynamique est cependant inverse pour les notes en langue espagnole. Une grande partie des notes qui restent non-publiées le sont par manque de consensus lors de la phase de vote, tandis que d'autres ne sont même jamais proposées au vote, selon l'étude. La hausse du nombre de notes semble provoquer un «goulot d'étranglement» pour leur visibilité, souligne la publication, estimant que «de nombreuses notes restent perdues dans les limbes, invisible et non évaluées» par d'autres. Des «community notes» Ces «community notes», lancées par X sous la direction de Linda Yaccarino qui a démissionné mercredi, sont désormais envisagées par les concurrents TikTok et Meta (Facebook et Instagram). Cet intérêt de la part de Meta intervient après que le géant californien a mis fin, en début d'année, à son programme de vérification des contenus publiés aux États-Unis, que le patron du groupe Mark Zuckerberg a assimilé à de la «censure», reprenant les termes du parti républicain au pouvoir. L'Union européenne, qui s'est équipée d'un texte visant à endiguer les contenus illégaux et la désinformation sur internet (le DSA), pourrait devoir bientôt trancher sur les obligations précises des réseaux sociaux à ce sujet. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

« Une guerre informationnelle » : comment la Chine veut torpiller le Rafale pour vendre ses propres avions de chasse
« Une guerre informationnelle » : comment la Chine veut torpiller le Rafale pour vendre ses propres avions de chasse

Le Parisien

time7 days ago

  • Politics
  • Le Parisien

« Une guerre informationnelle » : comment la Chine veut torpiller le Rafale pour vendre ses propres avions de chasse

Le Rafale, l'un des fleurons français , dans le viseur de Pékin ? Une analyse des services de renseignements français, consultée par l'agence Associated Press , met en lumière une campagne de désinformation menée par la Chine afin de saper la réputation de l'avion de chasse de Dassault, suite à la confrontation militaire entre l'Inde et le Pakistan . Début mai, les deux voisins ennemis se sont lancés dans une dangereuse escalade après l'attentat meurtrier attribué à un groupe islamiste au Cachemire. Au terme d'un affrontement militaire de plusieurs jours , Islamabad revendique avoir abattu cinq appareils indiens, dont trois Rafale . De son côté, New Delhi maintient le flou stratégique, ne divulguant pas le détail de ses pertes.

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