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« On a proposé un beau spectacle » : la folle échappée de Mathieu Van der Poel avec son équipier sur la 9e étape du Tour de France 2025
« On a proposé un beau spectacle » : la folle échappée de Mathieu Van der Poel avec son équipier sur la 9e étape du Tour de France 2025

L'Équipe

time9 hours ago

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« On a proposé un beau spectacle » : la folle échappée de Mathieu Van der Poel avec son équipier sur la 9e étape du Tour de France 2025

Mathieu Van der Poel s'est échappé dimanche dès le kilomètre zéro avec son équipier Jonas Rickaert, et il a bien failli signer un immense exploit en n'étant repris qu'à 800 mètres de la ligne. L'ennui n'existe pas dans le monde de Mathieu Van der Poel, toujours prêt à se défouler à l'avant, même quand l'échec est promis aux attaquants. C'était le cas dimanche mais il faut plus que 174 kilomètres tout plats pour décourager le Néerlandais, qui a embarqué un copain pour se sentir moins seul. S'il ne gagnait pas, il pouvait au moins offrir le prix de la combativité à son équipier Jonas Rickaert, parti avec lui dès le kilomètre 0. Le Belge rêvait des honneurs du podium et il a réussi son coup en étant élu coureur le plus combatif, une consolation au bout d'une journée d'efforts vains, sur des routes qui n'étaient pas propices à ce genre de folie. Mais Alpecin-Deceuninck y a cru, et c'est déjà beaucoup. « On espère toujours mais on sait aussi que ce n'est pas réaliste. C'était super à voir, et c'est décevant à la fin, résumait Christoph Roodhooft, le directeur sportif. On en a parlé car on a vu hier (samedi) les deux gars de Total (Mattéo Vercher et Mathieu Burgaudeau) au moins essayer. Ça valait le coup car on sait qu'il n'y aura rien à faire pour nous demain (lundi), autant faire quelque chose aujourd'hui (dimanche). » « C'est dur de ne pas avoir pu aller au bout » Mathieu Van der Poel Beaucoup d'équipes pouvaient suivre cette réflexion, mais Van der Poel et Rickaert se sont retrouvés seuls et ils ont creusé l'écart trop rapidement pour inciter des vaillants à les rejoindre. Ils ont compté jusqu'à 5'30'' d'avance mais les cadors du sprint ont pu compter sur des soutiens inattendus. « C'était l'objectif de tenter une échappée, on pensait que d'autres équipes y avaient intérêt mais finalement il n'y avait que nous, a constaté Silvan Dillier, qui a gêné les poursuivants en s'immisçant dans les trains. On ne voulait pas que leur boulot soit trop facile... Tout d'un coup, quasiment tout le peloton a chassé Mathieu (Van der Poel) et Jonas (Rickaert). Ça nous a un peu surpris, il n'y a que deux coureurs qui pouvaient gagner le sprint massif ici. » La victoire était pour Tim Merlier ou Jonathan Milan, et c'est finalement le Belge qui l'a arrachée. Mais Uno-X a roulé, comme Cofidis, Israel-Premier Tech, Arkéa-B & B Hotels, Jayco AlUla, et Tudor. Leur premier coureur a respectivement fini neuvième, onzième, douzième, treizième, quinzième et seizième, ce qui peut interroger la pertinence de cette stratégie. Déjà vainqueur des deux premières étapes avec Jasper Philipsen, qui a abandonné lundi, et Van der Poel, Alpecin-Deceuninck garde toutefois le sourire et va continuer d'évoluer sans pression, sur un terrain qui lui convient désormais beaucoup moins. « Je suis très heureux que Jonas ait le prix de la combativité, a soufflé Van der Poel, repris à 800 mètres de la ligne et épuisé. C'est dur de ne pas avoir pu aller au bout, mais on a proposé un beau spectacle. » Il sera toujours capable de l'assurer à des moments inattendus, comme il l'a aussi fait jeudi vers Vire, et même s'il a encore assuré qu'il ne visait pas le maillot vert.

Bernard Thévenet, tombeur d'Eddy Merckx sur le Tour de France 1975 : « Je lui ai souvent dit qu'il a fait ma pub »
Bernard Thévenet, tombeur d'Eddy Merckx sur le Tour de France 1975 : « Je lui ai souvent dit qu'il a fait ma pub »

L'Équipe

time21 hours ago

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Bernard Thévenet, tombeur d'Eddy Merckx sur le Tour de France 1975 : « Je lui ai souvent dit qu'il a fait ma pub »

Il fut le premier à battre Eddy Merckx sur le Tour de France, il y a cinquante ans. Toujours très humble, Bernard Thévenet revisite son exploit à Pra-Loup, le 13 juillet 1975, mais aussi celui dans l'Izoard, le lendemain qui l'a tout autant marqué. Quelques jours avant le départ du Tour de France, Bernard Thévenet nous a reçus chez lui, dans la vallée du Grésivaudan entre celles de Belledonne et de la Chartreuse, où il vit depuis 1977. Face à ces montagnes qui, comme beaucoup d'autres en France, ont écrit sa légende, le Bourguignon de 77 ans, désormais installé en Isère, est revenu sur l'incontournable étape de Pra-Loup, le 13 juillet 1975. Il y a cinquante ans, il devenait, ce jour-là, le premier à faire plier Eddy Merckx, quintuple vainqueur (en 1969, 1970, 1971, 1972, 1974) sur le Tour. « Ce Tour, je le refais à chaque fois qu'on m'en parle, même si ça me dérange un peu qu'on le résume toujours à l'étape de Pra-Loup. La plus importante, pour moi, c'était la suivante, qui passait par l'Izoard. » « L'étape de Pra-Loup (la 15e du Tour 1975) revient toujours en lien avec Eddy MerckxCe jour-là, la retransmission télé avait été interrompue à cause d'un incident technique. Personne n'avait d'images, les téléspectateurs comme les commentateurs. Sur le dernier plan en direct, Eddy était seul devant, et dix minutes plus tard, c'était moi. À la télé, ils ne comprenaient plus rien, ils avaient dû se reprendre pour expliquer ce qu'il s'était passé durant cette coupure. L'effet de surprise a rendu la réalité encore plus incroyable, presque au-delà même de cet exploit de battre Eddy Merckx. C'était surtout la première fois qu'il était ambition était de gagner le Tour, je me moquais devant qui... Merckx, (Joop) Zoetemelk ou (Lucien) Van Impe, peu m'importait. Je me suis rendu compte bien après que battre Eddy fait qu'on en parle encore. Je lui ai souvent dit qu'il a fait ma pub car tout le monde a presque oublié ma victoire en 1977 devant (Hennie) Kuiper et Van Impe alors que cela avait été presque plus dur que de le battre lui en 1975. « i » Quand avez-vous compris qu'il n'était pas intouchable ?Un mois plus tôt au Dauphiné. Il avait renoncé au Tour d'Italie à cause d'une bronchite et demandé à Georges Cazeneuve (l'organisateur du Dauphiné) s'il pouvait venir. Georges avait sauté sur l'occasion et ajouté, à la dernière minute, une équipe supplémentaire. À l'époque, ce n'était pas aussi réglementé que maintenant. Mais au Dauphiné, Eddy n'était pas au top. Pour la première fois peut-être, on l'a perçu comme un coureur presque normal, loin du Martien qu'il était jusque-là. Vous aviez vraiment abordé le Tour en pensant pouvoir le battre ?Maurice De Muer, qui venait d'arriver comme directeur sportif chez Peugeot, m'avait fait remarquer qu'il était moins bon en montagne. Or, il y avait cinq arrivées au sommet sur ce Tour. Il avait calculé qu'en arrivant au pied des Pyrénées avec moins de 2'30'' de retard sur lui, le coup était jouable. J'avais 2'10'' de retard, je crois (2'20'' en fait). Donc, pour la première fois, c'est vrai, j'avais vraiment l'objectif de le gagner. Je pouvais m'appuyer sur ce tableau de marche, ce qui était une nouveauté. Et comme j'étais en avance sur nos prévisions, ça me donnait encore plus d'ambition avant la montagne. Mais bon, Merckx, c'était quand même Merckx. Il se méfiait de vous ?Il avait annoncé à la sortie des Pyrénées que j'étais clairement son adversaire. Ça ne m'arrangeait pas trop, même si ça me flattait. Car s'il n'avait que moi à surveiller jusqu'à Paris, ça allait être compliqué. J'étais sans doute un petit peu complexé face à lui, mais je voulais faire ma course sans penser à lui. Il était favori évidemment mais j'avais réussi à oublier l'enjeu pour me concentrer sur le jeu. Je voulais juste faire mieux que lui. « Le chouchou, c'était Poulidor. Sur le Tour 1975, 80 % des pancartes étaient pour lui, les 20 % pour le reste du peloton » Vous êtes de la même génération (il a trois ans de moins). Imaginiez-vous que les occasions seraient de plus en plus rares ?Je n'y pensais pas. On imaginait quand même une fin à son règne. Et si j'en fus l'artisan en 1975, il a tout de même continué à gagner, comme Milan-San Remo (en 1976). Le soir de Pra-Loup (le 13 juillet), quand je lui ai pris le maillot jaune, personne ne pensait alors qu'il ne le porterait plus. Je n'étais pas rassuré, j'avais seulement 58 secondes d'avance à huit jours de la fin. J'étais condamné à un autre exploit, le lendemain. Pour entrer dans l'histoire ?J'étais trop concentré sur les écarts avec Merckx pour y penser. Le matin de l'étape Barcelonnette-Serre Chevalier (la 16e), j'avais discuté avec Louison Bobet. C'était mon idole de jeunesse mais aussi indirectement mon premier conseiller. Car je m'étais beaucoup inspiré de son bouquin En selle, où il donnait des conseils aux débutants. Ce matin-là, il me dit : "Pour être dans l'histoire du Tour, il faut passer l'Izoard en tête avec le maillot jaune sur le dos." Il l'a touché et a ajouté : "Tu as déjà fait la moitié du boulot." Quand je suis passé seul en tête dans l'Izoard, je n'y ai pas pensé, ça m'est revenu dans la descente. Vous n'avez pas trouvé tout de suite votre place dans le coeur du chouchou, c'était (Raymond) Poulidor (*). Sur le Tour 1975, 80 % des pancartes étaient pour lui, les 20 % pour le reste du peloton. Mais quand j'ai pris le maillot jaune, j'en avais 80 %. Mais je ne m'emballais pas, je savais qu'en prenant la place de quelqu'un, je la perdrais plus tard pour un autre chouchou. La gloire ne nous appartient pas, elle appartient à notre public. « J'étais très timide, ça m'a porté préjudice » Mais ça tient aussi à la personnalité du champion...J'étais très timide, j'ai toujours eu peur de trop parler, que ce soit mal interprété. Ça m'a porté préjudice.. Parfois, notamment dans l'équipe (Peugeot), j'aurais dû l'ouvrir un peu plus... Quels étaient alors vos rapports avec les journalistes ?Ça s'est gâté avec l'arrivée de De Muer, car il avait une mauvaise réputation, des méthodes d'entraînement nouvelles qui ne plaisaient pas. Vrai technicien, il n'avait rien à voir avec Gaston Plot (le DS de l'équipe de 1958 à 1974) qui savait se mettre les journalistes dans la poche. Lui, n'hésitait pas à s'engueuler avec eux et ça nous retombait dessus. La veille de l'étape de Pra-Loup, Pierre Chany, dans « L'Équipe », s'interrogeait sur votre capacité à dominer les problè de mes premières années dans le Tour, j'avais toujours un mauvais jour. Cette réputation m'a collé à la peau. Même après Pra-Loup, tout le monde s'attendait à ce que je craque. Merckx aussi certainement car jusqu'au bout il a essayé de me faire plier, même sur les Champs-Élysées. Je discutais avec (Michel) Poniatowski (alors ministre de l'Intérieur) sur la ligne alors que Félix Lévitan (le directeur de la course) avait donné le départ. Eddy en avait profité pour attaquer d'entrée. Il avait pris 50 mètres et j'avais dû sprinter pour revenir sur lui. Je ne pouvais pas lâcher le maillot jaune le dernier jour. La photo du premier podium sur les Champs-Élysées où Valéry Giscard d'Estaing vous remet le maillot jaune est restée célè Merckx, Poulidor, (Felice) Gimondi, Van Impe et (Francesco) Moser, il nous avait même invités à l'Élysée ensuite. Tout d'un coup, je m'étais senti important. On s'imaginait que ça deviendrait la coutume. Il n'y a qu'un jardin à traverser depuis le bureau du Président. Mais c'est la seule fois qu'un Président a assisté à l'arrivée. » À lire aussi Qui est le meilleur poisson-pilote ? Le week-end des sales gosses lancé avec force et beauté Le sprint français au ralenti Agressivité et flexibilité, le cocktail de Milan

Golf - Evian Champ. : Nadaud s'offre le droit de rêver, Gainer et Ruffels coleaders
Golf - Evian Champ. : Nadaud s'offre le droit de rêver, Gainer et Ruffels coleaders

Le Figaro

time2 days ago

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Golf - Evian Champ. : Nadaud s'offre le droit de rêver, Gainer et Ruffels coleaders

À l'issue du «moving day», la jeune Française est aux portes d'un incroyable exploit dans le premier Majeur de sa carrière, ce dimanche. Elle pointe à trois coups de la tête. On connaît la cruauté du golf et la capacité de Saint Andrew, saint patron de l'Écosse, berceau des golfeurs, à retourner les situations jusqu'au dernier putt. Pourtant, ce jeu a ceci de magique qu'il dessine aussi parfois d'improbables raccourcis vers l'exploit. Ce que Nastasia Nadaud est en train de vivre à l'occasion de The Amundi Evian Championship relève d'un destin fantastique autant qu'inattendu. Un truc de fou. À découvrir Le classement mondial des meilleurs joueurs de Golf « Je ne réalise toujours pas que c'est moi qui fait tout ça », expliquait-elle à l'issue du 3e tour, ce samedi, devant les micros tendus des journalistes. Pour son premier tournoi du Grand Chelem à l'âge de vingt ans, la golfeuse d'Aix-les-Bains figure parmi les prétendantes à la victoire avant le dernier tour du premier Majeur de sa carrière. Un scénario inimaginable pour la 176e joueuse mondiale, qui a bénéficié d'une invitation des organisateurs pour pouvoir entrer dans le champ initial des 132 joueuses de cette 31e édition. « C'est super pour le public qui est venu encourager Nastasia Nadaud. » Franck Riboud, président du tournoi À lire aussi Franck Riboud & Jacques Bungert : « Il faut se donner les moyens de ses ambitions » Publicité « C'est génial ce qui lui arrive, soufflait d'ailleurs Franck Riboud, Président du tournoi, tandis qu'il la regardait putter sur le green du trou n°18. Et c'est super pour le public qui est venu pour l'encourager. » Originaire d'Aix-les-Bains, également membre de l'Evian Resort Golf Club où elle bénéficie des facilités de la « Galaxy », cette plateforme qui aide les jeunes à progresser avec l'appui financier du sponsor titre Amundi, Nastasia Nadaud suscite un engouement régional et attire le public autour de sa personne. Quelques mètres plus bas, ils étaient d'ailleurs près de trois cents Aixois à attendre sagement que leur favorite en finisse, pour lui témoigner leur soutien à la sortie du chalet d'enregistrement des cartes de scores. Le score, justement, parlons-en : Nastasia Nadaud a signé un 67 lors du « Moving day », identique à celui de la veille, alors qu'elle avait joué 71 lors de la ronde initiale. Au total, la jeune prodige affiche un total de -8, à trois coups de la tête du classement. Ce samedi, Nadaud a posté six birdies pour deux bogeys : le premier sur le trou n°10 puis un second sur le dernier trou, consécutif à une mise en jeu ratée. Le tout sous les yeux de ses partenaires du jour : Nelly Korda, n°1 mondiale, et Minjee Lee, déjà vainqueur à Evian en 2021, qui vient de remporter l'USPGA 2025, son 3e tournoi majeur avec l'US Open 2022. Rien que ça. Avant la journée décisive, l'Anglaise Cara Gainer, auteur d'un remarquable 64, partage le fauteuil de leader en compagnie de l'Australienne Gabriela Ruffels (65-71-66) avec le score total de -11. Ces deux-là devancent les Australiennes Kim Grace et Minjee Lee, la Thaïlandaise Jeeno Thitikul et la Sud-Coréenne Somi Lee, toutes à -10. Une palanquée de joueuses qui tend les bras avec appétit au saladier d'argent de l'Amundi Evian Championship. Si le rêve semble à portée de mains pour Nastasia Nadaud, le plus difficile reste évidemment à accomplir pour inscrire son nom sur le trophée, deux ans après la magnifique victoire de Céline Boutier. En 21e position, la lauréate 2023 affiche un score total de -5 après son 70 du jour. Perrine Delacour (36e, -2) est en milieu de classement.

Volley - Ligue mondiale : Victoire de la confirmation pour la France
Volley - Ligue mondiale : Victoire de la confirmation pour la France

L'Équipe

time2 days ago

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Volley - Ligue mondiale : Victoire de la confirmation pour la France

Battue par le Japon sans démériter il y a deux jours (0-3), et proche de l'exploit face au Brésil après avoir mené 2 sets à 1 (2-3), l'équipe de France féminine a dominé logiquement la Bulgarie 3 sets à 1, remontant ainsi dans la première partie de classement de la Ligue des nations et confirmant ses gros progrès collectifs. À voir sur L'Équipe Le replay de France - Bulgarie Le replay de France - Cuba Les Bleus s'imposent face à Cuba Le replay de France - Cuba (set 4) Le replay de France - Cuba (set 3) Le replay de France - Cuba (set 2) Le replay de France - Cuba (set 1) Le replay de France - Bulgarie (Set 4) Le replay de France - Bulgarie (Set 3) Le replay de France - Bulgarie (Set 2) Le replay de France - Bulgarie (Set 1) Full Replay de France - Brésil Full Replay de France - Brésil Le replay de France - Brésil (Set 5) Le replay de France - Brésil (Set 4)

XV de France : dépassés par les All Blacks, les Bleus encaissent leur deuxième défaite de l'été
XV de France : dépassés par les All Blacks, les Bleus encaissent leur deuxième défaite de l'été

Le Figaro

time2 days ago

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XV de France : dépassés par les All Blacks, les Bleus encaissent leur deuxième défaite de l'été

Proches de l'exploit le week-end passé, les hommes de Fabien Galthié ont été dominés par les All Blacks (43-17), ce samedi à Wellington. Cette fois, il n'y a (presque) pas eu de match. Proche de l'exploit il y a une semaine à Dunedin (défaite 31-27), le XV de France n'a, ce coup-ci, pas fait le poids face aux All Blacks, ce samedi sur la pelouse de Wellington. Les Bleus de Fabien Galthié, qui présentait à nouveau une équipe remaniée, ont subi la loi des Néo-Zélandais (43-17), revanchards malgré leur succès lors du premier match. Après un début de rencontre entreprenant, les Bleus ont rapidement été dépassés par les évènements, encaissant quatre essais en première période (29-3 à la mi-temps). La seconde période a été plus consistante (deux essais signés Léo Barré à la 47e puis Joshua Brennan à la 77e) mais l'addition reste salée pour cette jeune équipe tricolore. Rendez-vous samedi prochain (9h05), à Hamilton, pour le troisième et dernier duel All Blacks-France de cette tournée d'été. Publicité Plus d'infos à suivre...

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