Dernières actualités avec #familleRoyale

Le Soir
a day ago
- Entertainment
- Le Soir
Le prince George intègre la Firme
Ce 22 juillet, le prince George soufflera ses 12 bougies et accédera à un nouveau statut qui implique certains changements dans son quotidien. Si pour les garçonnets de son âge, un anniversaire est l'occasion de retrouver des amis pour jouer au foot, quand on s'appelle George de Galles et que l'on est second dans l'ordre de succession au trône de Grande-Bretagne, et donc futur Roi, le cap des 12 ans est tout sauf symbolique dans l'univers très codifié de la monarchie anglaise.


Le Figaro
3 days ago
- Politics
- Le Figaro
«Le prince endormi», jeune membre de la famille royale saoudienne, meurt après 20 ans dans le coma
Il avait eu un accident de voiture en 2005, à l'âge de 15 ans, alors qu'il étudiait dans une école militaire à Londres. Al-Waleed bin Khaled bin Talal Al Saud, fils du prince Khaled bin Talal Al Saud, membre éminent de la famillle royale saoudienne, est mort ce samedi 19 juillet à l'âge de 36 ans. Il avait passé vingt ans dans le coma, depuis un accident de voiture en 2005 alors qu'il étudiait dans une école militaire à Londres. «Avec des cœurs croyant en la volonté et au décret d'Allah, et avec une profonde douleur et tristesse, nous pleurons notre fils bien-aimé : le prince Al-Waleed bin Khaled bin Talal bin Abdulaziz Al Saud, qu'Allah lui fasse miséricorde, qui est décédé aujourd'hui», a publié sur X le prince Al Waleed bin Talal, son oncle. Publicité Peu de temps après son rapatriement au Centre médical Roi Abdulaziz de Riyad, il était tombé dans le coma. Son père avait décidé de le maintenir sous assistance respiratoire. Il partageait régulièrement des photos et vidéos sur les réseaux sociaux, demandant de prier pour son fils. Plusieurs signes, une tête qui bouge ou des doigts qui s'agitent, laissaient espérer une amélioration. Le «prince endormi» s'en est finalement allé. Des prières funéraires se tiennent en ce moment.


Le Figaro
4 days ago
- Entertainment
- Le Figaro
«Il est traumatisé» : la princesse Delphine de Belgique vole au secours du prince Harry
Invitée au micro du podcast «It's Reigning Men», la princesse Delphine de Suède a évoqué la situation du prince Harry et lui apporte son soutien. Ils pourraient tous les deux être considérés comme les outsiders de leur propre famille. Invitée dans le podcast «It's Reigning Men», la princesse Delphine de Belgique a évoqué la situation que traverse le prince Harry depuis que les tensions avec les Windsor ont vu le jour. Vivant désormais à Montecito, en Californie, l'époux de Meghan Markle n'a plus beaucoup de contact avec son père, le roi Charles III, et ne parle plus à son frère, le prince William. «Je suis un peu Harry parce que Lady Diana faisait partie de ma vie quand j'étais en Angleterre... Puis elle a eu ses enfants et tout, et puis cette mort a été tout simplement horrible... Je suis vraiment désolé pour Harry parce que je pense que c'était traumatisant pour lui», a déclaré la princesse Delphine de Belgique. La fille du roi Albert II de Belgique et de la baronne Sybille de Selys Longchamps, a notamment ajouté que le duc de Sussex «a beaucoup souffert» après le décès de sa mère, en 1997. «Je pense qu'il a été traumatisé et que cela se voit maintenant», a-t-elle expliqué. À lire aussi Le prince Harry sur un champ de mines antipersonnel en Afrique : la même photo que sa mère Lady Diana trente ans plus tard «Tout le monde l'intimide» Lorsque le prince Harry a abandonné ses fonctions au sein de la famille royale, et est parti aux États-Unis, le ministère de l'Intérieur a décidé de le priver de sa sécurité policière sur le sol anglais, lors de ses visites. Depuis, il se bat pour retrouver ce droit et a notamment comparu devant la Cour royale de justice de Londres à ce sujet en avril dernier. Pour Delphine de Belgique, si le duc de Sussex a décidé de se battre, c'est notamment parce qu'il a été influencé par l'histoire de sa mère, qui a souffert d'un manque de sécurité, étant constamment suivi par les paparazzis. «Je le comprends. Il est traumatisé. Et je comprends qu'il fasse ces choses, que tout le monde l'intimide, mais qu'il ne pense pas à son traumatisme. Et je trouve ça terrible parce qu'il a été en quelque sorte abandonné», a ajouté la demi-sœur du roi Philippe de Belgique. Et si elle le comprend si bien, c'est parce que la princesse a elle aussi eu l'impression d'être abandonnée à une période de sa vie. Publicité En effet, née d'une relation adultérine qui a duré 18 ans, entre son père, ancien monarque de Belgique, et la baronne Sybille de Selys Longchamps, Delphine de Belgique s'est longtemps battue pour qu'Albert II reconnaisse sa paternité. C'est seulement en 2020, alors qu'elle était âgée de 52 ans, que la fille illégitime a pu obtenir gain de cause grâce à un test ADN prouvant que le roi Albert II était bien son père. Elle a ensuite pris le titre de princesse et le droit d'être appelée «Son Altesse Royale». Toutefois, elle ne fait pas partie de l'ordre de succession au trône de Belgique.


Le Parisien
09-07-2025
- Politics
- Le Parisien
L'adresse du Premier ministre suédois dévoilée par ses gardes du corps via l'application Strava
Une sacrée boulette. Alors qu'ils sont censés assurer sa sécurité, les gardes du corps des services secrets suédois sont accusés d'avoir mis en danger la sécurité d'Ulf Kristersson, le Premier ministre suédois , pendant plusieurs années en partageant les détails de leurs activités sportives sur Strava. Selon le quotidien suédois Dagens Nyheter , les gardes du corps ont révélé à au moins 35 reprises les itinéraires de course à pied et de vélo du chef du gouvernement sur la célèbre application d'entraînement , les rendant accessibles au public. Des partages qui ont révélé des informations confidentielles sur Ulf Kristersson comme l'emplacement de son domicile privé, qui est censé être secret, ses trajets lorsqu'il court ou encore des détails sur ses voyages d'une nuit à l'étranger. Les itinéraires partagés en ligne ont également révélé un voyage familial privé à Åland, une région autonome de Finlande, en octobre 2024. En juin 2024, alors que le Premier ministre se rendait à Bodø (Norvège) pour une réunion avec le Premier ministre norvégien Jonas Gahr Støre et le président finlandais Alexander Stubb, l'un de ses gardes du corps aurait publié une course sur Strava . Quelques mois plus tard, Ulf Kristersson a publié sur Instagram une photo des trois dirigeants courant ensemble. D'autres informations sensibles divulguées sur Strava concernaient également d'autres membres importants de la société suédoise comme la famille royale, l'ancienne Première ministre Magdalena Andersson ou encore le dirigeant démocrate Jimmie Åkesson. Les services de sécurité suédois, la Säpo, ont déclaré qu'ils prenaient cette affaire « très au sérieux » et qu'ils enquêtaient. « Ces informations pourraient servir à cartographier les activités des services de sécurité. Nous enquêtons actuellement sur leur impact potentiel », a déclaré un porte-parole de la Säpo. Ce n'est pas la première fois que des profils Strava déclenchent des problèmes pour les forces de sécurité. En 2017, Strava a été accusée d'avoir révélé la localisation de bases militaires et d'avant-postes d'espionnage partout dans le monde en publiant une carte montrant l'activité de tous ses utilisateurs, rappelle le Guardian . En juillet 2023, un commandant sous-marinier russe a été abattu pendant son jogging après avoir été suivi via les données de l'application de sport.