
«Il est traumatisé» : la princesse Delphine de Belgique vole au secours du prince Harry
Ils pourraient tous les deux être considérés comme les outsiders de leur propre famille. Invitée dans le podcast «It's Reigning Men», la princesse Delphine de Belgique a évoqué la situation que traverse le prince Harry depuis que les tensions avec les Windsor ont vu le jour. Vivant désormais à Montecito, en Californie, l'époux de Meghan Markle n'a plus beaucoup de contact avec son père, le roi Charles III, et ne parle plus à son frère, le prince William. «Je suis un peu Harry parce que Lady Diana faisait partie de ma vie quand j'étais en Angleterre... Puis elle a eu ses enfants et tout, et puis cette mort a été tout simplement horrible... Je suis vraiment désolé pour Harry parce que je pense que c'était traumatisant pour lui», a déclaré la princesse Delphine de Belgique. La fille du roi Albert II de Belgique et de la baronne Sybille de Selys Longchamps, a notamment ajouté que le duc de Sussex «a beaucoup souffert» après le décès de sa mère, en 1997. «Je pense qu'il a été traumatisé et que cela se voit maintenant», a-t-elle expliqué.
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«Tout le monde l'intimide»
Lorsque le prince Harry a abandonné ses fonctions au sein de la famille royale, et est parti aux États-Unis, le ministère de l'Intérieur a décidé de le priver de sa sécurité policière sur le sol anglais, lors de ses visites. Depuis, il se bat pour retrouver ce droit et a notamment comparu devant la Cour royale de justice de Londres à ce sujet en avril dernier. Pour Delphine de Belgique, si le duc de Sussex a décidé de se battre, c'est notamment parce qu'il a été influencé par l'histoire de sa mère, qui a souffert d'un manque de sécurité, étant constamment suivi par les paparazzis. «Je le comprends. Il est traumatisé. Et je comprends qu'il fasse ces choses, que tout le monde l'intimide, mais qu'il ne pense pas à son traumatisme. Et je trouve ça terrible parce qu'il a été en quelque sorte abandonné», a ajouté la demi-sœur du roi Philippe de Belgique. Et si elle le comprend si bien, c'est parce que la princesse a elle aussi eu l'impression d'être abandonnée à une période de sa vie.
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En effet, née d'une relation adultérine qui a duré 18 ans, entre son père, ancien monarque de Belgique, et la baronne Sybille de Selys Longchamps, Delphine de Belgique s'est longtemps battue pour qu'Albert II reconnaisse sa paternité. C'est seulement en 2020, alors qu'elle était âgée de 52 ans, que la fille illégitime a pu obtenir gain de cause grâce à un test ADN prouvant que le roi Albert II était bien son père. Elle a ensuite pris le titre de princesse et le droit d'être appelée «Son Altesse Royale». Toutefois, elle ne fait pas partie de l'ordre de succession au trône de Belgique.
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6 hours ago
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La Tucker 48 de Francis Ford Coppola à vendre
ENCHÈRES - La maison Gooding Christie's est chargée de disperser la collection de voitures du producteur et réalisateur américain à succès, en marge du concours d'élégance de Pebble Beach en août prochain. Il ne se passe quasiment plus une seule vente aux enchères sans la dispersion de la collection d'un amateur. Lors de la semaine de Pebble Beach, en août prochain, réputée pour être devenue le repaire de la vente des plus belles pièces, de nombreuses collections vont encore être mises à l'encan. En parcourant le catalogue de la maison Gooding & Company récemment rachetée par le poids lourd Christie's, on découvre que Francis Ford Coppola a décidé de se séparer de ses quelques voitures de collection. À 86 ans passés, le réalisateur à succès de Hollywood, auteur notamment du film Apocalypse Now et de la trilogie du Parrain, considère qu'il est temps de transmettre ses voitures à un nouveau «gardien» qui en prendra autant soin que lui. Sa collection que l'on pourrait qualifier d'être à taille humaine, à peine quatre voitures, montre l'intérêt de son propriétaire pour les voitures américaines de la première partie du siècle. La plus ancienne est une Ford Model T de 1913, considérée comme la première voiture produite en grande série. La Cord 810 est présentée lors du salon de New York de 1935. Mike Maez La deuxième est un monument de la production américaine des années 1930 : une Cord 810 Cabriolet de 1936. À l'époque, son style apparaît avant-gardiste avec ses phares rétractables dissimulés dans les ailes, son capot avant se terminant sur des persiennes, ses charnières de porte dissimulées et ses flancs dénoués de marchepieds. Propulsée par un V8 Lycoming, la Cord 810 est estimée entre 90 000 et 120 000 dollars. La berline Tucker 48 présente l'originalité d'une architecture à moteur arrière. Mike Maez Publicité La pièce maîtresse de la collection de Francis Ford Coppola est sans conteste la Tucker 48. C'est sa préférée. En 1988, il a réalisé un film sur l'histoire de Preston Tucker et de son entreprise qui voulait bousculer les Big Three (GM, Ford et Chrysler). Après la sortie du film, il a conservé le modèle 48 de 1948 qu'il avait utilisé pour le film. Quatorzième d'une série de 50 voitures produites, sa Tucker était exposée à Inglenook, le vignoble de la famille dans la Napa Valley. Passionné d'automobile, Preston Tucker avait commencé sa carrière chez Cadillac avant de travailler sur les chaînes de montage de Ford. On le retrouve finalement comme commercial puis directeur régional de Pierce-Arrow. C'est en se liant d'amitié avec l'ingénieur et concepteur de voitures de course Harry Miller qu'il commence à construire des voitures de course pour Ford, en 1935. L'idée de construire sa propre voiture germe durant la Seconde guerre mondiale. Il s'inspire largement du concept révolutionnaire de la Tatra T77 à l'architecture à moteur arrière conçu par Miller. Il s'agissait d'un six-cylindres avec des chambres hémisphériques et des soupapes en tête. La ligne devait porter la signature de Alex Tremulis qui venait d'Auburn et de Cord. Le moteur Miller ne répondant finalement pas aux critères de Tucker, la berline américaine devait finalement accueillir un bloc provenant de la société Air Cooled Motors spécialisée dans les moteurs d'hélicoptère. Originalité de la production américaine, la Tucker 48 est estimée entre 1,5 et 2 millions de dollars. Le prix de l'exclusivité pour ce modèle qui appartient à l'une des légendes du cinéma américain. Quant à sa quatrième voiture mise aux enchères, il s'agit d'un banal transporter Volkswagen de type Vanagon GL Westfalia de 1987. Depuis le tournage de The Rain People en 1968, M. Coppola avait adopté ce van qui lui permettait pendant les tournages de se réfugier pour se reposer ou pour écrire. Au fil des années, plusieurs vans VW se sont succédé.


Le Parisien
7 hours ago
- Le Parisien
Mort de Matthew Perry : un médecin plaide coupable d'avoir injecté de la kétamine à l'acteur de « Friends »
Il encourt jusqu'à 40 ans de prison. Le Dr Salavador Plasencia, principal médecin poursuivi dans la mort de la star de la série « Friends » Matthew Perry a plaidé ce mercredi coupable de quatre chefs d'accusation liés à la distribution de kétamine devant un tribunal de Los Angeles, selon l'agence Reuters . Le docteur a l'intention de rendre sa licence médicale dans les 45 jours, restera libre sous caution jusqu'à son procès le 3 décembre prochain. Un second médecin de Los Angeles, Mark Chavez, avait déjà reconnu avoir illégalement contribué à fournir de la kétamine à l'acteur et risque jusqu'à 10 ans d'emprisonnement. Salvador Plasencia est soupçonné d'avoir joué un rôle central dans cette affaire, même s'il n'a pas fourni la kétamine qui a tué l'acteur. Selon l'enquête, c'est lui qui aurait organisé « l'exploitation » du comédien malade. « Je me demande combien ce crétin va payer », avait-il écrit en septembre 2023, dans un SMS exhumé par les enquêteurs. Selon l'accord de plaider coupable, publié en juin, Plasencia se fournissait auprès du docteur Chavez, et se déplaçait lui-même au domicile de Matthew Perry pour lui injecter de la kétamine, ou la fournir à l'assistant de la star. Au total, il « a distribué 20 flacons » de kétamine à l'acteur sur une quinzaine de jours à l'automne 2023, selon le parquet. Les autorités ont précédemment expliqué que les flacons de kétamine coûtaient environ 12 dollars aux médecins impliqués, mais étaient revendus « 2000 dollars » à l'acteur. Cinq suspects sont poursuivis pour leur implication dans la mort de Matthew Perry. L'autre accusée au centre du dossier est Jasveen Sangha , une dealeuse connue à Hollywood comme la « reine de la kétamine ». Cette Américano-Britannique de 41 ans a vendu le flacon de kétamine qui a tué l'acteur, et risque la prison à perpétuité. Elle a plaidé non-coupable. L'assistant personnel de Matthew Perry et un intermédiaire ont, eux, plaidé coupable. La mort de Matthew Perry, retrouvé inconscient dans son jacuzzi en octobre 2023, avait choqué les fans de « Friends » et suscité une pluie d'hommages à Hollywood. L'acteur avait déjà parlé publiquement de ses problèmes d'addiction. Il prenait de la kétamine de manière supervisée dans le cadre de sessions de thérapie contre la dépression. Mais cet anesthésiant légal est parfois détourné à des fins stimulantes ou euphorisantes, et il est retombé dans l'addiction à l'automne 2023, selon le parquet fédéral. Une rechute qui l'a poussé dans les griffes de médecins « sans scrupule », d'après les autorités. Véritable phénomène culturel, la série « Friends », diffusée entre 1994 et 2004 a marqué toute une génération de téléspectateurs , en narrant les péripéties d'une bande de joyeux copains à New York. Mais en coulisses, Matthew Perry a longtemps caché un mal-être derrière son personnage jovial de Chandler. Il luttait de longue date contre son addiction aux médicaments et à l'alcool. Dans ses mémoires publiés en 2022, il avait confié avoir suivi 65 séances de sevrage, dépensant plus de neuf millions de dollars. Il avait aussi subi plusieurs opérations chirurgicales liées à ses problèmes d'addiction à la drogue, dont une intervention durant sept heures au niveau du colon en 2018, allant jusqu'à affirmer : « Je devrais être mort. » Lors d'une apparition à la télévision peu avant son décès, l'acteur avait surpris l'auditoire en admettant avoir souffert d'une grave anxiété « tous les soirs » pendant le tournage de « Friends ».


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Mort de Matthew Perry : un médecin plaide coupable d'avoir injecté de la kétamine à la star de Friends
Le docteur Salvador Plasencia est soupçonné d'avoir joué un rôle central dans le décès de l'acteur. Selon l'enquête, c'est lui qui aurait organisé «l'exploitation» du comédien malade et dépendant à la kétamine. Le médecin soupçonné d'avoir exploité l'addiction à la kétamine de Matthew Perry, la star de la série Friends, a plaidé coupable de quatre chefs d'accusation ce mercredi 23 juillet, a apporté l'agence de presse Reuters. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Le Dr Salvador Plasencia, l'un des cinq individus poursuivis dans l'affaire de la mort de l'acteur à l'âge de 54 ans, a reconnu les faits devant la cour fédérale de Los Angeles. Selon les procureurs, il risque jusqu'à 40 ans de prison lors de sa condamnation. Un second médecin de Los Angeles, Mark Chavez, a déjà reconnu avoir illégalement contribué à fournir de la kétamine à l'acteur et risque jusqu'à 10 ans d'emprisonnement. Publicité La mort de Matthew Perry, retrouvé inconscient dans son jacuzzi en octobre 2023, avait choqué les fans de Friends et suscité une pluie d'hommages à Hollywood. L'acteur avait parlé publiquement de ses problèmes d'addiction. Il prenait de la kétamine de manière supervisée dans le cadre de sessions de thérapie contre la dépression. Mais cet anesthésiant légal est parfois détourné à des fins stimulantes ou euphorisantes, et il est retombé dans l'addiction à l'automne 2023, selon le parquet fédéral. Une rechute qui l'a poussé dans les griffes de médecins «sans scrupule», d'après les autorités. Rôle central Le docteur Salvador Plasencia est soupçonné d'avoir joué un rôle central dans cette affaire, même s'il n'aurait pas fourni directement la kétamine qui a tué l'acteur. Selon l'enquête, c'est lui qui aurait organisé «l'exploitation» du comédien malade. «Je me demande combien ce crétin va payer», avait-il écrit en septembre 2023, dans un SMS exhumé par les enquêteurs. L'accord de plaider coupable publié au mois de juin par le parquet souligne que Salvador Plasencia se fournissait auprès du docteur Chavez, et se déplaçait lui-même au domicile de Matthew Perry pour lui injecter de la kétamine, ou la fournir à l'assistant de la star. Au total, M. Plasencia «a distribué vingt flacons» de kétamine à l'acteur sur une quinzaine de jours à l'automne 2023, selon le parquet. Les autorités ont précédemment expliqué que les flacons de kétamine coûtaient environ 12 dollars aux médecins impliqués, mais étaient revendus «2000 dollars» à l'acteur. Cinq suspects sont poursuivis pour leur implication dans la mort de Matthew Perry. L'autre accusée au centre du dossier est Jasveen Sangha, une dealeuse connue à Hollywood comme la «reine de la kétamine». Cette Américano-Britannique de 41 ans a vendu le flacon de kétamine qui a tué l'acteur, et risque la prison à perpétuité. Elle plaide non-coupable. L'assistant personnel de Matthew Perry et un intermédiaire ont eux accepté de plaider coupable.