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Atteint d'une maladie au cerveau, un ancien joueur universitaire de foot US tue quatre personnes à New York dans une fusillade visant la NFL
Atteint d'une maladie au cerveau, un ancien joueur universitaire de foot US tue quatre personnes à New York dans une fusillade visant la NFL

L'Équipe

timea day ago

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Atteint d'une maladie au cerveau, un ancien joueur universitaire de foot US tue quatre personnes à New York dans une fusillade visant la NFL

L'homme qui a tué quatre personnes et en a blessé cinq autres dans le centre de Manhattan ce lundi était un ancien joueur universitaire de foot US. Avant son attaque, il a exprimé son mécontentement envers la NFL et ses conséquences sur la santé. Une fusillade meurtrière est survenue lundi à New York, dans le quartier de Manhattan. Le suspect, qui a abattu quatre personnes dont un agent de police, et blessé cinq autres personnes, est décédé après s'être donné la mort selon la police. Il s'agit de Shane Tamura, un homme de 27 ans originaire de Las Vegas, qui a pratiqué le football américain à bon niveau en université. L'attaque a eu lieu dans l'immeuble où se trouve le siège de la NFL, la Ligue nationale de football américain. D'après des premiers éléments recueillis par CNN, l'assaillant a laissé une note avant son suicide, dans laquelle il exprime être atteint d'une maladie au cerveau, l'ETC (Encéphalopathie traumatique chronique), liée à sa pratique du football américain, sujet à des coups répétés à la tête. « Le football américain m'a donné une ETC et m'a fait boire des litres d'antigel », aurait écrit l'assaillant dans sa lettre, révèle CNN. « Tu ne peux pas affronter la NFL, ils vont t'écraser. » Dans son message écrit, Shane Tamura fait référence à l'ancien footballeur américain Terry Long, souffrant de la même maladie et qui s'était donné la mort en 2005. « Étudiez mon cerveau, s'il vous plaît », ajoute Shane Tamura. « Je suis désolé, désolé pour tout. » Des antécédents psychiatriques avérés D'après les premiers éléments rapportés par des médias américains, le tireur a d'abord ouvert le feu sur un policier après s'être garé en double file, avant d'entrer dans l'immeuble abritant le siège de la NFL. Il aurait ensuite donné la mort à quatre personnes, dans cet immeuble n'abritant pas uniquement le siège de la Ligue. L'un de ses employés a en revanche été grièvement blessé et est hospitalisé dans un état stable. Lors d'une conférence de presse, une commissaire de police a révélé que l'auteur des tirs avait « des antécédents psychiatriques avérés. »

« Avec la présidence Trump, c'est devenu beaucoup plus dur »  : le problème de visa qui a coûté une place en NFL au Français Wilfried Pené
« Avec la présidence Trump, c'est devenu beaucoup plus dur »  : le problème de visa qui a coûté une place en NFL au Français Wilfried Pené

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time5 days ago

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« Avec la présidence Trump, c'est devenu beaucoup plus dur » : le problème de visa qui a coûté une place en NFL au Français Wilfried Pené

Le défenseur français Wilfried Pené, recruté par les New England Patriots en mai dernier, n'a pas pu rejoindre ses coéquipiers à cause d'un problème de visa. Le souci administratif est réglé, mais sa franchise a recruté un autre joueur entre-temps, plongeant le Tourangeau de 24 ans dans l'attente. Un rêve brisé par des formalités administratives. Recruté en mai dernier en tant que rookie non drafté par les New England Patriots, le Français Wilfried Pené (1,90 m, 114 kg) pensait enfin avoir touché le graal. Mais à la fin du mois de juin, le défenseur de 24 ans a dû rentrer chez lui, en Touraine, au beau milieu de la préparation de la saison de NFL, à cause d'un problème de visa. « J'étais à l'entraînement quand je l'ai appris, ça m'a fait l'effet d'un coup de massue », a-t-il confié à la chaîne YouTube québécoise Le Sac du Quart. Une vraie dégringolade pour ce joueur de football américain venu étudier aux États-Unis en 2020, dans l'université de Virginia Tech, pour entretenir son rêve de NFL. À l'origine de cette bisbille, une simple incompréhension avec cette fac. « J'avais fini mon cursus scolaire à Virginia Tech, et sur mon visa étudiant, il me restait le semestre de printemps 2025 à faire, a-t-il retracé. En renouvelant ce visa étudiant, j'ai demandé s'il était possible de préparer la draft et ne pas aller en cours. Ils m'avaient dit oui donc je ne suis pas allé en cours, sauf que, entre-temps, mon visa a été annulé par Virginia Tech. » L'oubli aurait pu rester anecdotique, mais elle a empêché la transformation du visa étudiant en un visa de sportif professionnel, le P-1A. « Il préparait la draft, mais pendant cette période, il aurait dû rentrer en France d'un point de vue légal, explique Clément Denis, média manager du joueur. Et avec la présidence Trump, c'est devenu beaucoup plus dur d'avoir un visa de travail. Ils n'ont même pas pris le temps de regarder la situation et ont refusé net, malgré la puissance de la NFL et l'aide des Patriots dans les démarches. » Pendant ce temps-là, les Patriots ont recruté un autre joueur De retour dans l'Hexagone, le Français reste plusieurs semaines sur le carreau. Résignés face à cette situation complexe, les Patriots le relâchent et engagent, à sa place, un 91e joueur - David Olajiga, en provenance des Rams de Los Angeles. Pendant ce temps-là, Pené continue de s'entraîner et conserve le moral, comme il l'a affirmé la semaine dernière sur son compte Instagram. « Ce n'est pas la fin de mon histoire mais le début d'un nouveau chapitre. Je bosse, je m'entraîne tous les jours et je ne veux pas vous laisser tomber », a-t-il juré en s'adressant à ses fans. Avec une lumière au bout du tunnel : entre-temps, l'imbroglio administratif a été réglé, assure-t-on dans son entourage, et Pené a été accompagné par l'ambassade des États-Unis en France. « Ce qu'il manque concrètement, c'est qu'un club l'appelle, poursuit son média manager. Dès qu'on lui proposera un contrat de travail, le visa sera validé. » Une publication partagée par Wilfried Pene (@wil.2337) Il n'empêche, le retard lui coûte cher dans l'immédiat. Les camps d'entraînements, sorte de pépinière pour élaborer la liste de 53 joueurs retenus pour la saison régulière, viennent de débuter pour les 32 franchises de NFL. L'horizon est bouché chez les Patriots et demeure incertain ailleurs, malgré des contacts avec plusieurs écuries. Le chemin pour devenir le deuxième joueur français de l'histoire en saison régulière de la prestigieuse ligue nord-américaine, 33 ans après Richard Tardits, est escarpé, mais le joueur continue d'y croire. Comment Wilfried Pené se prépare à la draft NFL

Donald Trump menace la franchise de Washington et souhaite un retour de l'appellation disparue « Redskins »
Donald Trump menace la franchise de Washington et souhaite un retour de l'appellation disparue « Redskins »

L'Équipe

time21-07-2025

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Donald Trump menace la franchise de Washington et souhaite un retour de l'appellation disparue « Redskins »

Sur son réseau social Truth Media, Donald Trump a menacé les Washington Commanders, une franchise de football américain, de stopper les démarches menant à la construction d'un nouveau stade s'ils ne reprenaient pas leur ancien nom « Washington Redskins ». Après s'être invité sur le podium de la Coupe du monde des clubs, et avoir menacé l'Iran dans le Bureau ovale devant des joueurs de la Juventus, Donald Trump fait à nouveau parler de lui pour des déclarations abracadabrantesques sur le terrain du sport. Le président américain a appelé dimanche, dans un message publié sur son réseau social Truth Media, les propriétaires des Washington Commanders à revenir à leur ancien nom, « Washington Redskins ». Trump a appuyé sa demande en évoquant la possibilité de ne pas conclure d'accord sur la construction d'un stade, comme cela était initialement prévu, si la franchise de football américain conserve l'appellation « Commanders ». « Les « Washington's devraient IMMÉDIATEMENT changer de nom pour devenir les Washington Redskins Football Team, a tancé le président américain. Je pourrais leur imposer une restriction : s'ils ne changent pas le nom original de "Washington Redskins" et ne se débarrassent pas du surnom ridicule de "Washington Commanders", je ne conclurai pas d'accord pour qu'ils construisent un stade à Washington », a-t-il écrit sur son réseau social. D'après l'agence de presse AP, Donald Trump n'aurait toutefois pas la latitude pour mettre ce projet en pause puisque son prédécesseur, Joe Biden, avait signé en janvier un projet de loi transférant le terrain du gouvernement fédéral au District de Columbia. De leur côté, les dirigeants de la franchise ont affirmé leur souhait de conserver le nom actuel. « Redskins », une insulte raciale abandonnée en 2020 par la franchise de Washington La franchise américaine avait changé de nom et de logo en juillet 2020, en réaction aux pressions économiques suivant les manifestations et émeutes consécutives au meurtre de George Floyd. « Redskins », « Peau-Rouge », est une insulte raciale désignant les Amérindiens des États-Unis et les Premières Nations du Canada. Dans les dictionnaires d'anglais américain contemporains, ce terme est qualifié « d'offensant, de dénigrant ou d'insultant. » Quelques jours plus tôt, Donald Trump avait développé son point de vue en affirmant que le nom des Commanders n'avait pas « la même résonance pour (lui). Mais gagner peut tout faire sonner bien. S'ils gagnent tout d'un coup, les Commanders sonnent bien », disait-il. Dans un second message publié sur ce même réseau social, Donald Trump a visé un second club, de baseball cette fois. « Cleveland devrait faire de même avec les Cleveland Indians (rebaptisés Cleveland Guardians en 2022, ndlr). Le propriétaire de l'équipe de base-ball de Cleveland, Matt Dolan, qui est très politisé, a perdu trois élections consécutives à cause de ce changement de nom ridicule. Ce qu'il ne comprend pas, c'est que s'il reprenait le nom des Cleveland Indians, il pourrait remporter une élection. Les Indiens sont traités de manière très injuste. MAKE INDIANS GREAT AGAIN (MIGA) ! », a écrit le président américain dans un second message. Protestations anti-Trump et émeutes, Los Angeles plongé dans un climat insurrectionnel avant le début de la Coupe du monde des clubs

Trump menace un club de football américain pour qu'il reprenne « IMMÉDIATEMENT » son ancien nom raciste
Trump menace un club de football américain pour qu'il reprenne « IMMÉDIATEMENT » son ancien nom raciste

Le HuffPost France

time21-07-2025

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Trump menace un club de football américain pour qu'il reprenne « IMMÉDIATEMENT » son ancien nom raciste

ÉTATS-UNIS - Le club a changé de nom il y a cinq ans et Donald Trump le lui a reproché… le week-end dernier. Le président américain a interpellé les Washington Commanders, l'équipe de football américain de la capitale fédérale, leur demandant de reprendre leur ancien nom dans plusieurs messages publiés sur sa plateforme Truth Social ce dimanche 20 juillet. Anciennement appelé les « Redskins » (« peaux rouges »), une insulte raciste envers les autochtones amérindiens, le club a acté son changement de nom en 2020, rappellent plusieurs médias américains dont CBS News et l'agence Reuters. Alors que l'équipe mène des négociations difficiles pour obtenir un nouveau stade dans Washington D.C., Donald Trump a menacé de faire capoter le deal si elle ne reprend pas son nom raciste. « Les Washington 'Je sais pas quoi' devraient IMMÉDIATEMENT reprendre leur ancien nom 'Washington Redskins' », a d'abord écrit le locataire de la Maison Blanche, assurant qu'il y avait « une grande demande » sur le sujet. Quelques heures après, il a prévenu qu'il pourrait « ne pas conclure d'accord pour qu'ils construisent un stade à Washington D.C. » s'ils « ne se débarrassent pas du surnom ridicule 'Washington Commanders' ». Trump critique aussi le nouveau nom d'un club de Cleveland Près de 30 ans après s'être installés dans un stade dans le Maryland, à une vingtaine de kilomètres à l'est de la ville de Washington, le club local de football américain aimerait retourner dans la capitale fédérale américaine. L'objectif serait de construire un nouveau stade sur le site de l'actuel Robert F. Kennedy Memorial Stadium, bien plus proche de la ville. Ce changement de stade a dû être âprement négocié puisque le site où les Washington Commanders veulent s'installer se trouve sur le territoire fédéral. Le plan doit encore être approuvé par les élus municipaux, mais le Congrès et Joe Biden avaient donné leur feu vert en janvier dernier en accordant à la ville de Washington le contrôle sur le terrain pour 99 ans. « La capacité de Donald Trump à revenir sur cet accord reste à démontrer », juge l'agence Associated Press. Les Washington Commanders ne sont pas la seule équipe épinglée par le président américain ce week-end. Il a aussi interpellé les Cleveland Guardians qui avaient renoncé en 2021 à leur ancien nom : les « Cleveland Indians » (« les Indiens de Cleveland »). « RENDEZ LEUR GRANDEUR AUX INDIENS », a déclaré le locataire de la Maison Blanche dans un message dimanche, faisant référence à son slogan de campagne. « Notre grand peuple Indien (sic), en masse, veut que ce changement ait lieu, a prétendu Donald Trump, leur héritage et leur prestige leur sont systématiquement enlevés. » Le président des opérations de baseball du club, Chris Antonetti, a répliqué dès dimanche auprès du média local pour défendre le changement de nom. « C'est une décision que nous avons prise, a-t-il assumé,

L'ancienne championne de natation Anne-Sophie Le Paranthoën prend les rênes d'Athletica à Eaubonne
L'ancienne championne de natation Anne-Sophie Le Paranthoën prend les rênes d'Athletica à Eaubonne

Le Parisien

time16-07-2025

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L'ancienne championne de natation Anne-Sophie Le Paranthoën prend les rênes d'Athletica à Eaubonne

L'effervescence est de mise dans le hall d'accueil d' Athletica en cette matinée de juillet. Les stagiaires de la PSG Academy et de jeunes joueurs de football américain se préparent, à l'endroit même où s'entraînait la prestigieuse délégation des États-Unis, accueillie dans le cadre des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, l'an dernier à la même époque. Dans son bureau, la nouvelle directrice générale fraîchement arrivée a pris ses marques, accrochant notamment sur l'un des murs un poster la représentant en action lors du meeting international du Canet, il y a quelques années, dans un cadre exposant également un bonnet de bain à son nom.

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