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Euro féminin : décisive lors des tirs au but face à l'Espagne, la gardienne anglaise s'est aidée d'une antisèche scotchée sur son bras gauche
Euro féminin : décisive lors des tirs au but face à l'Espagne, la gardienne anglaise s'est aidée d'une antisèche scotchée sur son bras gauche

Le Figaro

time3 days ago

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Euro féminin : décisive lors des tirs au but face à l'Espagne, la gardienne anglaise s'est aidée d'une antisèche scotchée sur son bras gauche

Désignée joueuse de la finale, Hannah Hampton a stoppé les tentatives de Mariona Caldentey et d'Aitana Bonmati pour permettre à son équipe de conserver son titre (1-1, 3-1 TAB). Avec deux gardiennes de haut niveau de chaque côté (Hannah Hampton et Cata Coll), le spectacle promettait d'être total sur la pelouse du Parc Saint-Jacques de Bâle (Suisse) pour la finale de l'Euro féminin entre l'Espagne et l'Angleterre. Comme en quart de finale face à la Suède, c'est l'Anglaise qui a tiré son épingle du jeu en stoppant les tentatives de Mariona Caldentey et d'Aitana Bonmati (1-1, 3-1 TAB). Ce lundi matin, une image a fait le tour des réseaux sociaux. On y voit la joueuse de Chelsea regarder son bras gauche, où une feuille de papier a été scotchée avec des indications sur les zones préférentielles des tireuses espagnoles. Une botte secrète régulièrement utilisée par les gardiens et toujours plus ou moins bien dissimulée. Hampton a finalement été élue meilleure joueuse du match tandis que l'Angleterre a conservé son titre.

Entre les gardiennes Hannah Hampton et Cata Coll, un duel étincelant jusqu'au bout en finale de l'Euro
Entre les gardiennes Hannah Hampton et Cata Coll, un duel étincelant jusqu'au bout en finale de l'Euro

L'Équipe

time3 days ago

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Entre les gardiennes Hannah Hampton et Cata Coll, un duel étincelant jusqu'au bout en finale de l'Euro

Cata Coll et Hannah Hampton, les deux gardiennes de 24 ans, ont brillé durant cette finale de l'Euro 2025. Le dernier mot est revenu à l'Anglaise, désignée joueuse du match. Ce fut un duel à distance et il s'est étiré jusqu'au bout du match et des tirs au but. Cata Coll et Hannah Hampton, les deux gardiennes de cette finale à suspense, ont brillé et montré toutes leurs qualités dont une sacrée force de caractère, dimanche à Bâle. Pour l'Espagnole de 24 ans, la compétition s'est mal conclue après avoir mal débuté. Hospitalisée en raison d'une inflammation aux amygdales, la portière du FC Barcelone n'avait pas participé à la phase de groupes. De retour en quarts de finale face à la Suisse (2-0), la native de Portol avait reçu les félicitations d'Iker Casillas pour sa prestation en demies contre l'Allemagne (1-0 a.p.). Et elle a encore dû oeuvrer dimanche soir. Deux arrêts chacune lors des tirs au but Face à l'Angleterre, la gardienne a rappelé pourquoi elle était devenue titulaire à partir des huitièmes de finale lors de la Coupe du monde 2023, marquée par le sacre de la Roja. Hormis une erreur de relance qui l'a contrainte à réaliser une parade (19e), Coll a rendu une très bonne copie. Décisive devant Alessia Russo (3e) et Chloe Kelly (69e), elle n'a rien pu faire sur l'égalisation de la première (1-1, 57e), alors que son jeu au pied lui a permis de se dépêtrer de situations complexes. Dans une séance où les Espagnoles ont raté trois de leurs quatre tirs au but, Coll a fait parler son mental. Beth Mead l'a certes trompée une première fois, mais l'attaquante avait touché deux fois le ballon au moment de frapper ce qui implique, depuis la règle du 3 juin, de devoir retirer. L'Espagnole a alors brillamment sorti ce premier tir au but anglais, avant de claquer, de nouveau la main ferme, celui de Leah Williamson. Les notes d'Angleterre-Espagne Mais Hampton a aussi sorti le grand jeu en repoussant deux tentatives, celles de Mariona Caldentey et d'Aitana Bonmati. Et avec son envergure, elle a peut-être forcé Salma Paralluelo à trop croiser sa frappe. Une chose est sûre : déjà décisive dans l'exercice en quarts face à la Suède (2-2 a.p., 3-2 aux t.a.b.), la portière, 24 ans elle aussi, l'avait déjà été dans cette finale. Précieuse dans le jeu aérien, Hampton a aussi effectué plusieurs parades clés et été logiquement désignée joueuse du match. Après avoir surmonté les obstacles et prouvé que son strabisme aigu ne la pénalisait pas en match, la gardienne, remplaçante lors du titre de 2022, a assuré comme numéro 1. « Cette équipe est incroyable, on n'abandonne jamais, on continue, encore et encore, et c'est ce qu'on a fait aujourd'hui », a pu savourer la championne d'Angleterre avec Chelsea. Après la qualification en quarts, une scène hilarante s'était produite quand les parents de Hampton l'avaient appelée en Face Time en pleine conférence de presse, pour hurler leur bonheur. Dimanche, c'est toute l'Angleterre qui pouvait crier de joie.

Mercato : Lille suit aussi le gardien marseillais Jeffrey De Lange en cas de départ de Lucas Chevalier au PSG
Mercato : Lille suit aussi le gardien marseillais Jeffrey De Lange en cas de départ de Lucas Chevalier au PSG

L'Équipe

time4 days ago

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Mercato : Lille suit aussi le gardien marseillais Jeffrey De Lange en cas de départ de Lucas Chevalier au PSG

Lille a ajouté le nom du second gardien marseillais Jeffrey De Lange sur sa liste des possibles remplaçants de Lucas Chevalier, qui pourrait quitter le club pour le PSG cet été. Comme l'ont évoqué nos confrères de La Provence, le LOSC apprécie le profil de Jeffrey De Lange, le second gardien de l'OM, âgé de 27 ans. Arrivé des Go Ahead Eagles, en août 2024, en qualité de « numéro 1 bis », selon la direction du club phocéen, De Lange n'a pu s'exprimer qu'en Coupe de France, en compétition officielle, restant dans l'ombre d'un Geronimo Rulli impressionnant. Mais avec ses points forts, comme son jeu au pied, il a gardé la cote sur le marché, et l'Ajax s'est positionné pour le récupérer au printemps, sans dégainer d'offre, finalement. Le LOSC pourrait être plus pressant, en cas de départ de Lucas Chevalier au PSG. Du staff à la direction, De Lange plaît à tous les étages du club, et Mitchell Bakker, son ancien coéquipier dans les catégories jeunes à l'Ajax, avait notamment fait sa publicité en marge du match de Coupe de France entre l'OM et Lille, en janvier dernier, une rencontre disputée par De Lange.

« C'est important d'avoir cinq bons gardiens »
« C'est important d'avoir cinq bons gardiens »

La Presse

time20-07-2025

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« C'est important d'avoir cinq bons gardiens »

(Joliette) Rarement le Canadien aura affiché autant de profondeur entre les poteaux, depuis l'arrivée d'Éric Raymond à titre d'entraîneur des gardiens, à l'été 2021. Lorsqu'il a été embauché par Marc Bergevin, Raymond espérait compter sur Carey Price. Celui-ci a finalement intégré le programme d'aide de la LNH. Son absence a fait de la place à un jeune Samuel Montembeault, qui n'avait alors que 25 matchs d'expérience dans la LNH derrière la cravate. Se sont succédé cette année-là Jake Allen, Andrew Hammond et Cayden Primeau. Michael McNiven avait même obtenu ses premières – et seules – minutes dans la LNH. Éric Raymond mise aujourd'hui sur une meilleure profondeur. « C'est important d'avoir cinq bons gardiens de but dans une organisation. Tu ne sais jamais ce qui va arriver : les saisons sont longues, difficiles », a-t-il indiqué, lors de la Classique de Golf Dominique Ducharme à Joliette jeudi. PHOTO DARRYL DYCK, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE Kaapo Kahkonen L'acquisition de Kaapo Kahkonen est à la source de cette profondeur renouvelée. Le vétéran tentera d'arracher le poste d'auxiliaire, qui semble pour l'instant destiné à Jakub Dobes. « Avoir un vétéran comme ça qui vient mature, je pense que c'est une bonne acquisition », a commenté Raymond. « Après ça, Jakub, reste que c'est un gars qu'on aime beaucoup et que c'est un espoir. Puis on était bien contents de lui l'année passée. » Embauché à titre de joueur autonome le 1er juillet, le vétéran finlandais compte sur 140 matchs d'expérience dans la LNH. Il a surtout joué dans la Ligue américaine la saison dernière. Son expérience fait de lui le troisième gardien parfait, assez bon pour dépanner le grand club si nécessaire, assez expérimenté pour épauler un jeune avec le Rocket de Laval à temps plein. Bien qu'il soit trop tôt pour définir son rôle, selon Éric Raymond, on devine que si l'ordre des choses est respecté, c'est à Laval que Kahkonen entamera la saison. « D'avoir un vétéran de sa qualité [à Laval], c'est excellent pour l'organisation », a vanté Éric Raymond. « C'est un compétiteur, il va arriver et vouloir compétitionner pour le meilleur poste possible. En même temps, je suis certain qu'il a une ouverture d'esprit. Quand il a signé avec notre organisation, il savait ce qui pourrait arriver », a-t-il ajouté. Sur la bonne voie On peut comprendre que Dobes part avec une longueur d'avance pour un poste à Montréal, notamment en raison de ses illuminations de la dernière saison. Invaincu à ses cinq premières sorties, le Tchèque a donné un élan à l'équipe, la propulsant vers une participation en séries. PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE Jakub Dobeš « J'ai beaucoup aimé sa progression », a confié Éric Raymond. « C'était une grosse marche pour lui de partir de Laval, et même de devenir pro, à partir de la NCAA. » Mais tu sais, on ne change pas tout en une journée. Son éthique de travail s'est beaucoup améliorée. Je pense qu'il a amélioré beaucoup de choses dans son jeu, qu'il est sur la bonne voie. Éric Raymond au sujet de Jakub Dobeš En jouant en séries, Jakub Dobeš a « cassé la glace », selon lui. Il était entré en action après une blessure subie par Samuel Montembeault, au troisième match. « Il a fait face à une grande pression. Il n'y était pas habitué, puis il a bien fait ça. La prochaine fois que ça lui arrivera, il sera en contrôle, il saura à quoi s'attendre », assure Raymond. Un autre gardien de l'organisation a connu un baptême de feu en séries. Éric Raymond était un spectateur attentif lorsque Jacob Fowler a fait ses débuts chez le Rocket de Laval. Il a apprécié ce qu'il a vu. « C'est un excellent gardien de but, calme, en contrôle. Il n'y a pas grand-chose qui l'énerve. Il lit bien le jeu et les lancers. C'est juste une question d'avoir des matchs, de s'améliorer pour lui », considère-t-il. PHOTO JOSIE DESMARAIS, ARCHIVES LA PRESSE Jacob Fowler L'unifolié, encore ? Un duel est peut-être à venir pour le poste d'auxiliaire, mais Samuel Montembeault, lui, est assuré du conserver sa place au sommet de la pyramide. Lorsqu'Éric Raymond est arrivé chez le Canadien, Montembeault n'était qu'un espoir quelconque, réclamé au ballottage. Les choses ont depuis changé. Le Bécancourois a même représenté le Canada à la Confrontation des 4 nations, une reconnaissance incontestable du chemin parcouru ces dernières années. PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE Samuel Montembeault « De voir Sam si heureux d'avoir été sélectionné, et la progression qu'il a eue pendant quatre ans pour se rendre là, c'est ce qui m'importe le plus. Il a mis beaucoup d'efforts et nous rend de super services », a souligné Raymond. « Il a fait beaucoup d'améliorations depuis quelques années, mais ce n'est jamais acquis […]. Pour lui, ça devient plus facile, quand il a un mauvais match, ou une mauvaise passe. Et elles ne sont pas longues, ses mauvaises passes. Il revient rapidement avec un bon match », a-t-il analysé. Seul le temps dira si cette progression permettra de représenter le Canada à nouveau, cette fois, aux Jeux olympiques de Milan-Cortina, en 2026.

Lutte à venir et profondeur nécessaire
Lutte à venir et profondeur nécessaire

La Presse

time17-07-2025

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Lutte à venir et profondeur nécessaire

(Joliette) Rarement le Canadien n'aura affiché autant de profondeur entre les poteaux, depuis l'arrivée d'Éric Raymond à titre d'entraîneur des gardiens, à l'été 2021. Lorsqu'embauché par Marc Bergevin, Raymond espérait compter sur Carey Price. Celui-ci a finalement intégré le programme d'aide de la LNH. Son absence a fait place à un jeune Samuel Montembeault, qui n'avait alors que 25 matchs d'expérience dans la LNH derrière la cravate. Se sont succédé cette année-là Jake Allen, Andrew Hammond et Cayden Primeau. Michael McNiven avait même obtenu ses premières-et seules-minutes dans la LNH. Éric Raymond mise aujourd'hui sur une meilleure profondeur. « C'est important d'avoir cinq bons gardiens de but dans une organisation. Tu ne sais jamais ce qui va arriver : les saisons sont longues, difficiles », a-t-il indiqué, lors de la Classique de Golf Dominique Ducharme. PHOTO DARRYL DYCK, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE Kaapo Kahkonen L'acquisition de Kaapo Kahkonen est à la source de cette profondeur renouvelée. Le vétéran tentera d'arracher le poste d'auxiliaire, qui semble pour l'instant destiné à Jakub Dobes. « Avoir un vétéran comme ça qui vient mature, je pense que c'est une bonne acquisition », a commenté Raymond. « Après ça, Jakub, reste que c'est un gars qu'on aime beaucoup et que c'est un espoir. Puis on était bien contents avec lui l'année passée ». PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE Jakub Dobes Embauché à titre de joueur autonome le premier juillet, le vétéran finlandais compte sur 140 matchs d'expérience dans la LNH. Dans l'organisation des Jets, des Panthers et de l'Avalanche, il a surtout joué dans la ligue américaine la saison dernière. Son expérience fait de lui le troisième gardien parfait, assez bon pour dépanner en haut si nécessaire, assez expérimenté pour épauler un jeune en bas à temps plein. Bien qu'il soit trop tôt pour définir son rôle, selon Éric Raymond, on devine que si l'ordre des choses est respecté, c'est à Laval que Kahkonen entamera le calendrier régulier. « D'avoir un vétéran de sa qualité [à Laval], c'est excellent pour l'organisation », a vanté Éric Raymond. « C'est un compétiteur, il va arriver et vouloir compétitionner pour le meilleur poste possible. En même temps, je suis certain qu'il a une ouverture d'esprit. Quand il a signé avec notre organisation, il savait ce qui pourrait arriver », a-t-il ajouté. Sur la bonne voie On peut comprendre que Dobes part avec une longueur d'avance pour un poste à Montréal, notamment en raison de ses éclats de ses illuminations de la dernière saison. Invaincu à ses cinq premières sorties, le Tchèque a donné un élan à l'équipe, la propulsant vers une participation en séries. « J'ai beaucoup aimé sa progression », a partagé Éric Raymond. « C'était une grosse marche pour lui de partir de Laval, et même de devenir pro, à partir de la NCAA. » Mais tu sais, on ne change pas tout en une journée. Son éthique de travail s'est beaucoup améliorée. Je pense qu'il a amélioré beaucoup de choses dans son jeu, qu'il est sur la bonne voie. Éric Raymond au sujet de Jakub Dobes En participant en séries, Jakub Dobes a « cassé la glace », selon lui. Il était entré en action après une blessure subie par Samuel Montembeault, au troisième match. « Il a fait face à une grande pression. Il n'y était pas habitué, puis il a bien fait ça. La prochaine fois que ça lui arrivera, il sera en contrôle, il saura à quoi s'attendre », assure Raymond. Un autre gardien de l'organisation a connu un baptême de feu en séries. Éric Raymond était un spectateur attentif, lorsque Jacob Fowler a fait ses débuts chez le Rocket de Laval. Il a apprécié ce qu'il a vu. PHOTO JOSIE DESMARAIS, ARCHIVES LA PRESSE Jacob Fowler « C'est un excellent gardien de but, calme, en contrôle. Il n'y a pas grand-chose qui l'énerve. Il lit bien le jeu et les lancers. C'est juste une question d'avoir des matchs, de s'améliorer pour lui », considère-t-il. L'unifolié, encore ? PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE Samuel Montembeault Un duel est peut-être à venir pour le poste d'auxiliaire, mais Samuel Montembeault, lui, est assuré du conserver sa place au sommet de la pyramide. Lorsqu'Éric Raymond est arrivé chez le Canadien, Montembeault n'était qu'un espoir quelconque, réclamé au ballottage. Les choses ont depuis changé. Le Bécancourois a même représenté le Canada à la Confrontation des Quatre Nations, une reconnaissance incontestable du chemin parcouru lors des dernières années. « De voir Sam si heureux d'avoir été sélectionné, et la progression qu'il a eue pendant quatre ans pour se rendre là, c'est ce qui m'importe le plus. Il a mis beaucoup d'efforts et nous rend de super services », a félicité Raymond. « Il a fait beaucoup d'améliorations depuis quelques années, mais ce n'est jamais acquis […] Pour lui, ça devient plus facile, quand il a un mauvais match, ou une mauvaise passe. Et elles ne sont pas longues, ses mauvaises passes. Il revient rapidement avec un bon match », a-t-il analysé. Seul le temps dira si cette progression permettra de représenter le Canada à nouveau, cette fois, aux Jeux olympiques de Milan-Cortina, en 2026.

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