
Mercato : Lille suit aussi le gardien marseillais Jeffrey De Lange en cas de départ de Lucas Chevalier au PSG
Comme l'ont évoqué nos confrères de La Provence, le LOSC apprécie le profil de Jeffrey De Lange, le second gardien de l'OM, âgé de 27 ans. Arrivé des Go Ahead Eagles, en août 2024, en qualité de « numéro 1 bis », selon la direction du club phocéen, De Lange n'a pu s'exprimer qu'en Coupe de France, en compétition officielle, restant dans l'ombre d'un Geronimo Rulli impressionnant. Mais avec ses points forts, comme son jeu au pied, il a gardé la cote sur le marché, et l'Ajax s'est positionné pour le récupérer au printemps, sans dégainer d'offre, finalement.
Le LOSC pourrait être plus pressant, en cas de départ de Lucas Chevalier au PSG. Du staff à la direction, De Lange plaît à tous les étages du club, et Mitchell Bakker, son ancien coéquipier dans les catégories jeunes à l'Ajax, avait notamment fait sa publicité en marge du match de Coupe de France entre l'OM et Lille, en janvier dernier, une rencontre disputée par De Lange.

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
26 minutes ago
- Le Figaro
Tour de France Femmes : Ferrand-Prévot loin devant, Gigante expulsée du podium... Le classement général après la 9e et dernière étape
Découvrez le classement général final après l'édition 2025 du Tour de France Femmes, remporté par la Française Pauline Ferrand-Prévot. Le train est arrivé à l'heure. Partie ce dimanche matin avec 2'37 d'avance sur sa dauphine australienne Sarah Gigante, avant la neuvième et dernière étape, Pauline Ferrand-Prévot était sur la voie royale pour le sacre. Et la Française de 33 ans a tenu bon. Mieux que cela : elle a remporté cette dernière étape ! En échec ce dimanche, ladite Gigante recule à la sixième place au classement général final. C'est la Néerlandaise Demi Vollering qui termine deuxième, à 3'42 de «PFP». La Polonaise Katarzyna Niewiadoma complète le podium de l'édition 2025. Dixième ce dimanche matin, la Française Juliette Labous se classe septième de la Grande Boucle. Classement général final du Tour de France Femmes après la 9e et dernière étape, courue dimanche entre Praz-sur-Arly et Châtel : Publicité 1. Pauline Ferrand-Prévot (FRA/TVL) 29 h 54:24. 2. Demi Vollering (NED/FDJ - SUEZ) à 3:42. 3. Katarzyna Niewiadoma (POL/CSR) 4:09. 4. Dominika Wlodarczyk (POL/ALE) 5:45. 5. Niamh Fisher-Black (NZL/TFS) 6:25. Publicité 6. Sarah Gigante (AUS/AGS) 6:40. 7. Juliette Labous (FRA/FDJ - SUEZ) 9:13. ...


L'Équipe
26 minutes ago
- L'Équipe
Tour de France femmes 2025 : le classement général final après la 9e étape remportée par Pauline Ferrand-Prévôt
Encore une fois au-dessus du lot, Pauline Ferrand-Prévôt (Visma-Lease a bike) s'est offert une deuxième victoire d'étape en deux jours, en plus du classement général, ce dimanche. La Française remporte haut la main le Tour de France femmes avec Zwift. Après avoir écrasé le Tour de France femmes samedi dans le col de la Madeleine, Pauline Ferrand-Prévôt (Visma-Lease a bike) s'est offert une nouvelle victoire d'étape, maillot jaune sur les épaules, ce dimanche en conclusion de cette 4e édition. Pour sa première participation, la championne olympique de VTT a coché toutes les cases et sort grande gagnante avec 3'42'' d'avance au général sur sa dauphine Demi Vollering (FDJ-Suez). L'Australienne Sarah Gigante (AG Insurance-Soudal) a perdu gros lors de cette dernière étape : deuxième du général dimanche matin, elle termine finalement en sixième position. En plus de « PFP », trois Françaises figurent dans le top 10 : Juliette Labous (FDJ-Suez), 7e, Cédrine Kerbaol (EF Education-Oatly), 8e après avoir perdu trois places ce dimanche à cause d'une chute, et Évita Muzic (FDJ-Suez), 10e. Le top 10 de la 9e étape du Tour de France femmes 2025 1. Pauline Ferrand-Prévôt (Visma-Lease a bike) en 3h 38'23''2. Demi Vollering (FDJ-Suez), à 20''3. Katarzyna Niewiadoma (Canyon // SRAM), à 23''4. Niamh Fisher-Black (Lidl-Trek), à 23''5. Dominika Wlodarczyk (UAE Team ADQ), à 33''6. Juliette Labous (FDJ-Suez), à 1'49''7. Sarah Gigante (AG Insurance-Soudal), à 3'53''8. Cédrine Kerbaol (EF Education-Oatly), à 9'22''9. Pauliena Rooijakkers (Fenix-Deceuninck), à 9'23''10. Nadia Gontova (Winspace Orange Seal), à 9'26'' Le top 10 du classement général final 1. Pauline Ferrand-Prévôt (Visma-Lease a bike) en 29h54'24''2. Demi Vollering (FDJ-Suez), à 3'42''3. Katarzyna Niewiadoma (Canyon // SRAM), à 4'09''4. Dominika Wlodarczyk (UAE Team ADQ), à 5'45''5. Niamh Fisher-Black (Lidl-Trek), à 6'25''6. Sarah Gigante (AG Insurance-Soudal), à 6'40''7. Juliette Labous (FDJ-Suez), à 9'13''8. Cédrine Kerbaol (EF Education-Oatly), à 13'43''9. Pauliena Rooijakkers (Fenix-Deceuninck), à 13'59''10. Évita Muzic (FDJ-Suez), à 15'50''


Le Figaro
26 minutes ago
- Le Figaro
Un an après des Jeux triomphaux, des Mondiaux de rêve pour Léon Marchand
En l'espace d'une demi-heure dimanche, le nageur français a décroché l'or du 400 m 4 nages et l'argent du relais 4 × 100 m 4 nages. Deux médailles, pour un grand bonheur. En 2023, aux championnats du monde de Fukuoka, Léon Marchand parvient à glaner trois médailles d'or et un record du monde du 400 m 4 nages. Un an plus tard, il régalait le public français de quatre titres aux Jeux de Paris, sans oublier la médaille de bronze de la 3e place du relais 4 × 100 m 4 nages. La semaine qui vient de s'écouler à Singapour aura elle aussi été fertile puisque, quatre jours après son tonitruant record du monde du 200 m 4 nages en 1'52'69 et trois après son titre mondial sur la même distance, le Français s'est offert une belle soirée shopping à l'OCBC Arena avec une médaille d'or du 400 m 4 nages – portant son total en carrière à sept titres mondiaux – et une en argent sur le relais 4 × 100 m 4 nages. Le tout à seulement 23 ans. Pour faire simple, il faut remonter aux Mondiaux de Budapest en 2022, précisément le 21 juin, pour trouver trace d'une défaite de Marchand dans une grande compétition internationale. À l'époque, le Hongrois Kristof Milak avait dû améliorer son propre record du monde du 200 m papillon pour faire mettre un genou à terre au Français. Ce qui en dit long sur la domination de ce dernier, qui allait en plus prendre la plus savoureuse des revanches sur le nageur magyar à Paris lors des Jeux. À Singapour, le quadruple champion olympique a confirmé que, malgré « la tempête » - selon ses propres termes - vécue après les Jeux et la nécessité pour lui de couper davantage, il était capable de rester au sommet. Certes, avec un programme allégé, mais l'important pour lui, cette année, était de faire bien, et non de faire beaucoup. À lire aussi «Phénoménal», «lunaire», «subjuguant»… Bien qu'encore méconnu, Léon Marchand séduit le monde Publicité «J'ai toujours la flamme de la natation» Ainsi, au moment de faire le bilan de sa semaine dans la cité-État asiatique, le constat de Marchand est limpide : « Ce n'est pas parfait, car cela ne l'est jamais. Mais c'est plus que ce que j'attendais, surtout au niveau du record du monde du 200 m 4 nages. Cela démontre que j'ai toujours la flamme de la natation, que c'est ce que j'aime le plus faire. C'est une preuve, aussi, que j'ai fait les bons choix depuis les Jeux. Honnêtement, je ne suis pas sûr que j'en avais besoin, car j'en étais convaincu, mais cela fait toujours plaisir d'être sur la première marche du podium, d'entendre l'hymne national et de me remémorer ce qu'il s'était passé il y a un an. Et, enfin, cela me montre qu'il me reste beaucoup de points à améliorer d'ici les championnats d'Europe l'année prochaine à Paris (du 1er au 7 août). » En relais, les émotions sont toujours un peu décuplées par rapport à celles en individuel Léon Marchand À peine un objectif atteint que, déjà, l'insatiable compétiteur voit plus loin. Même si, avant cela, il prendra le temps de l'analyse pour comprendre pourquoi, dimanche matin en séries du 400 m 4 nages, le TGV Marchand a failli dérailler avec seulement le 7e temps. Même s'il a déjà un début de réponse lorsqu'il affirme qu'il n'est pas « un nageur matinal ». En revanche, c'est un amoureux des relais, comme il l'a prouvé dans la soirée en enchaînant en moins d'une demi-heure chrono sa finale du 400 m 4 nages et celle du relais 4 × 100 4 nages, où il a assuré le deuxième passage, celui de la brasse. « Cela a été plus difficile que je ne le pensais de récupérer en si peu de temps, confiait-il après-coup. J'avais encore les jambes en feu et même un peu envie de vomir, donc ce n'était pas dingue. Et puis, quand j'ai rejoint mes potes (Maxime Grousset, Yohann Ndoye-Brouard et Yann Le Goff) en chambre d'appel, je suis rentré dans ma course et cela allait mieux. D'autant que l'enjeu était très important. J'ai tout donné, même si j'étais un peu mort. Les émotions sont toujours un peu décuplées par rapport à celles en individuel. En plus, on fait un très bon temps (3'27'96, nouveau record de France) derrière des Russes (sous bannière neutre) qui étaient tout simplement trop forts pour nous. Aujourd'hui, en tout cas, car cette performance est excitante pour la suite. » Encore la preuve que Marchand a toujours le regard fixé vers l'avenir. Même avec le cou orné de plusieurs médailles.