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Gymnastique : championne olympique en 2021, Nina Derwael met un terme à sa carrière
Gymnastique : championne olympique en 2021, Nina Derwael met un terme à sa carrière

Le Figaro

time20 hours ago

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Gymnastique : championne olympique en 2021, Nina Derwael met un terme à sa carrière

La gymnaste belge Nina Derwael, championne olympique aux barres asymétriques en 2021 et double championne d'Europe 2025 aux barres et à la poutre, a annoncé mardi mettre un terme à sa carrière à l'âge de 25 ans. Dans un communiqué publié par l'agence qui gère ses intérêts, elle a expliqué avoir «atteint ses objectifs» et ne plus vouloir risquer de faire subir à son corps une pression prolongée. «Si je voulais encore jouer un rôle significatif aux Mondiaux ou aux Jeux olympiques, je devrais soumettre mon corps à une pression encore plus lourde et prolongée, un risque que je ne veux plus prendre», a-t-elle souligné. En mai, après ses titres européens à Leipzig, la Limbourgeoise avait pourtant affirmé son ambition de poursuivre jusqu'aux JO 2028. Outre son sacre olympique à Tokyo (2021) aux barres asymétriques, Derwael a été double championne du monde à cet appareil en 2018 et 2019, et quadruple championne d'Europe (trois fois aux barres asymétriques en 2017, 2018 et 2025, et une fois à la poutre en 2025). Elle avait terminé quatrième aux barres asymétriques aux Jeux olympiques de Paris en 2024, dix mois après une grave blessure à une épaule.

La gymnaste belge Nina Derwael, championne olympique en 2021, met un terme à sa carrière à 25 ans
La gymnaste belge Nina Derwael, championne olympique en 2021, met un terme à sa carrière à 25 ans

L'Équipe

timea day ago

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La gymnaste belge Nina Derwael, championne olympique en 2021, met un terme à sa carrière à 25 ans

Moins de deux mois après son doublé européen à Leipzig, Nina Derwael a annoncé ce mardi mettre un terme à sa carrière, à l'âge de 25 ans. La gymnaste belge était devenue la première de l'histoire de son pays à remporter un titre olympique, en 2021 aux barres asymétriques. La gymnaste belge Nina Derwael, championne olympique aux barres asymétriques en 2021 à Tokyo et double championne d'Europe 2025 aux barres et à la poutre, a annoncé mardi mettre un terme à sa carrière à l'âge de 25 ans. Dans un communiqué publié par l'agence qui gère ses intérêts, elle a expliqué avoir « atteint ses objectifs » et ne plus vouloir risquer de faire subir à son corps une pression prolongée. « Si je voulais encore jouer un rôle significatif aux Mondiaux ou aux Jeux Olympiques, je devrais soumettre mon corps à une pression encore plus lourde et prolongée, un risque que je ne veux plus prendre », a-t-elle souligné. En mai, après ses titres européens à Leipzig, la Limbourgeoise avait pourtant affirmé son ambition de poursuivre jusqu'aux JO 2028 à Los Angeles. Outre son sacre olympique à Tokyo (2021) aux barres asymétriques, Derwael a été double championne du monde à cet appareil en 2018 et 2019, et quadruple championne d'Europe (trois fois aux barres asymétriques en 2017, 2018 et 2025, et une fois à la poutre en 2025). Elle avait terminé quatrième aux barres asymétriques aux Jeux Olympiques de Paris en 2024, dix mois après une grave blessure à une épaule.

« Je ne pourrais plus faire mieux » : la gymnaste belge Nina Derwael met un terme à sa carrière à 25 ans
« Je ne pourrais plus faire mieux » : la gymnaste belge Nina Derwael met un terme à sa carrière à 25 ans

Le Soir

timea day ago

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« Je ne pourrais plus faire mieux » : la gymnaste belge Nina Derwael met un terme à sa carrière à 25 ans

La gymnaste Nina Derwael, championne olympique aux barres asymétriques en 2021, met un terme à sa carrière de sportive de haut niveau à l'âge de 25 ans. Elle l'a annoncé mardi dans un communiqué de la fédération. Les deux médailles d'or (pont et poutre) remportées aux Championnats d'Europe de Leipzig début juin sont donc les derniers exploits sportifs de Derwael. Au total, elle a remporté pas moins de 11 médailles lors de grands championnats. Derwael s'est rendue immortelle en Belgique en devenant championne olympique aux barres asymétriques à Tokyo et dans la même discipline, elle est devenue championne du monde en 2018 et 2019. Elle est également quadruple championne d'Europe, dont une fois – le mois dernier – à la poutre. « J'ai atteint ce que je voulais et ce que j'étais capable d'atteindre. J'ai pu prouver ce que j'avais en moi », a expliqué Derwael. « Jusqu'à aujourd'hui, je suis toujours allée à l'entraînement avec énormément de plaisir, parce que j'aime ça et parce que j'avais toujours un objectif. Les Championnats d'Europe de Leipzig en étaient un, même si je n'osais pas rêver de l'or. Je n'avais pas pu m'entraîner à fond sur mes exercices, et je les ai donc réalisés sur base de mon expérience. J'ai réalisé que je ne pourrais plus faire mieux. » À Leipzig, la Limbourgeoise a remporté deux médailles d'or, aux barres asymétriques et à la poutre. Cela restera donc le dernier grand moment d'une riche carrière. « Si je voulais encore jouer un rôle significatif aux Mondiaux ou aux Jeux Olympiques, je devrais soumettre mon corps à une pression encore plus lourde et prolongée – un risque que je ne veux plus prendre », a-t-elle souligné. « Ces dernières semaines, je me disais de plus en plus souvent : N'est-ce pas assez maintenant ? Est-ce que cela vaut vraiment la peine de prendre des risques pour mon corps ?' Ma conclusion s'est faite d'elle-même, limpide. Cela a été magnifique. Vraiment magnifique. » À lire aussi Euro de gym : Nina Derwael, un destin cousu de fil d'or L'hommage de la Fédération « En tant que fédération, nous sommes incroyablement fiers du parcours de Nina : de jeune talent dans nos clubs de gymnastique à championne du monde et médaillée d'or olympique », a déclaré Ilse Arys de Gymfed. « Nous sommes fiers d'avoir pu, avec Sport Vlaanderen et nos partenaires, l'accompagner dans son développement en tant qu'athlète et en tant que personne. Sa persévérance, son élégance et sa passion ne se sont pas seulement traduites par des médailles, mais aussi par un impact durable sur notre sport et sur l'ensemble de la communauté gymnique en Belgique. Nous tenons à remercier explicitement Nina pour tout ce qu'elle a apporté à notre sport. Son histoire a inspiré des milliers d'enfants et de jeunes à se lancer dans la gymnastique. Son départ n'est donc pas une fin, mais un nouveau chapitre dans la façon dont nous continuons à mettre la gymnastique sur la carte ensemble. » Pas de Jeux Universitaires Le mois dernier, Derwael a été annoncé à la surprise générale dans la sélection belge pour les Jeux Universitaires Mondiaux d'été, qui débutent mercredi en Allemagne. Mais ce sera sans la Limbourgeoise. Vendredi, elle a tout de même reçu les insignes d'honneur flamands à l'occasion de la fête flamande. Il s'agit d'une distinction honorifique pour les personnes qui ont été particulièrement méritantes et qui ont contribué à l'image positive de la Flandre grâce à leurs talents individuels exceptionnels. Auparavant, elle avait été élue à trois reprises sportive de l'année lors du Gala des sports (2018, 2019 et 2021). Elle a reçu le joyau du sport flamand en 2018, ainsi que le trophée du mérite sportif. Elle a reçu le Géant flamand à deux reprises, en 2017 et 2018. Le vendredi 22 août, Derwael recevra un hommage spécial au Mémorial Van Damme au Stade Roi Baudouin de Bruxelles. Mercredi, elle a expliqué sa décision un peu plus en détail lors d'un événement de presse.

Une entraîneuse d'Avoine-Beaumont suspendue provisoirement après l'interview de Kaylia Nemour dans « L'Équipe »
Une entraîneuse d'Avoine-Beaumont suspendue provisoirement après l'interview de Kaylia Nemour dans « L'Équipe »

L'Équipe

timea day ago

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Une entraîneuse d'Avoine-Beaumont suspendue provisoirement après l'interview de Kaylia Nemour dans « L'Équipe »

En réaction à la parution de témoignages dénonçant des abus de la part des entraîneurs d'Avoine-Beaumont, dont celui de Kaylia Nemour, dans « L'Équipe », la Fédération française de gymnastique a décidé de suspendre à titre conservatoire Georgeta « Gina » Chirilcenco, dans ses fonctions auprès de l'équipe de France juniors. « On était tellement tous sous emprise. La phrase préférée de Marc et Gina, c'est : ''La gym de haut niveau, c'est comme ça''. » Kaylia Nemour, qui s'est longuement confiée sur les méthodes en vigueur à Avoine dans un entretien accordé à L'Équipe, a été entendue par la Fédération française de gymnastique. Dans un communiqué, la présidente de la FFG, Dominique Merieux, a indiqué « suspendre à titre conservatoire Madame Georgeta Chirilcenco de ses fonctions d'encadrement à l'occasion du Festival Olympique de la Jeunesse Européenne », dans une « logique de précaution », bien que Gina Chirilcenco « demeure présumée innocente », tient à préciser Merieux. « Nous sommes pleinement conscients des conséquences que cette décision peut avoir sur certaines gymnastes, en pleine préparation », poursuit la Fédération, qui précise dans son communiqué qu'elle « apportera toute l'attention et l'accompagnement nécessaires pour sécuriser leur parcours de haut niveau ». « (Mais) aucune médaille ne justifiera jamais le silence, les compromissions ou la souffrance. Aucune pression, aucun calcul, aucune attaque ne nous fera reculer. Notre responsabilité est claire : protéger les gymnastes aujourd'hui et demain », conclut Dominique Merieux, la présidente élue en novembre dernier. Le mari de Georgeta, Marc Chirilcenco, directeur technique avoinais, a réagi en dénonçant « une nouvelle mascarade » et une « cabale qui recommence », lors d'une interview accordée à la Nouvelle République.

La lutte d'influence entre la Fédération, le ministère et le club d'Avoine-Beaumont qui a débouché sur le fiasco des JO
La lutte d'influence entre la Fédération, le ministère et le club d'Avoine-Beaumont qui a débouché sur le fiasco des JO

L'Équipe

time4 days ago

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La lutte d'influence entre la Fédération, le ministère et le club d'Avoine-Beaumont qui a débouché sur le fiasco des JO

Kaylia Nemour, médaillée d'or aux barres asymétriques sous bannière algérienne aux JO 2024 après avoir quitté le giron de la Fédération française, laquelle était en conflit avec son club d'Avoine-Beaumont, a depuis quitté celui-ci et révèle, dans « L'Équipe », les raisons qui l'ont motivée. Un nouveau chapitre, saisissant, dans un conflit à plusieurs parties qui a gangrené la gymnastique française au cours de la dernière Olympiade. En mars 2024, Nellu Pop, entraîneur de l'équipe de France féminine, est suspendu après un reportage de Stade 2 consacré à des violences et maltraitances dans la gymnastique. Au vu des témoignages relatés par France 2, le ministère des Sports, à l'époque dirigé par Amélie Oudéa-Castéra, déclenche une enquête administrative, laquelle débouche sur un article 40, l'ouverture d'une enquête préliminaire, et une suspension de Pop à titre conservatoire. Dans L'Équipe, plusieurs athlètes et membres du staff tricolore réclament sa réintégration et dénoncent une déstabilisation très dangereuse de l'équipe à quelques semaines des Jeux. En vain. Le même scénario se produit pour Véronique L., directrice du haut niveau de la fédération Française de gymnastique artistique, elle aussi mise sur la touche après le reportage de Stade 2. Tout comme Pop, elle échouera à retrouver son poste, malgré une trentaine d'attestations de collègues et de sportives de haut niveau en sa faveur. « C'est un gâchis » En réalité, se joue en coulisses une véritable lutte d'influence entre la fédé de gym qui défend ses cadres, le ministère qui prône une tolérance zéro, Marc et Gina Chirilcenco et le joyau qu'ils entraînent au club d'Avoine-Beaumont, Kaylia Nemour. Des décisions parfaitement contradictoires vont alors être rendues. Invités à se pencher sur la situation de Véronique L., les juges disciplinaires de la commission de discipline de la fédération l'absolvent complètement : « Les propos rapportés dans le reportage de Stade 2 (...) peuvent s'apparenter à une cabale contre cette dernière eu égard (...) aux témoignages qu'elle a été amenée à effectuer dans le cadre d'autres procédures », peut-on lire. La directrice de la haute performance estime en effet s'être fait de nombreuses inimitiés, en témoignant contre les méthodes pédagogiques des Chirilcenco à Avoine, mais aussi contre une entraîneuse de Dijon, dont les gymnastes qui la mettent en cause sur Stade 2 sont réputées proches. Sauf que... les Chirilcenco vont être à leur tour totalement blanchis par le Service départemental à la Jeunesse, à l'engagement et aux sports (SDJES) de l'Indre-et-Loire qui, à l'issue d'une enquête administrative et de 47 auditions, décide unanimement qu'il n'y a pas lieu à sanction. Mieux encore, les membres de la commission décident également d'alerter le ministère sur un « acharnement de la fédération française de gymnastique » à l'encontre du club d'Avoine. Une enquête pénale est toujours en cours et a connu de nombreux rebondissements ces dernières semaines avec le revirement de la famille Nemour sur les Chirilcenco. Plusieurs auditions auraient eu lieu, ce que n'a pas souhaité commenter la procureure de Tours. Quant à Nellu Pop et Véronique L., le changement de ton est total au ministère des Sports : « Les deux dossiers sont clos, indique-t-on au cabinet de Marie Barsacq. Il n'y a pas eu de poursuite. » Le parquet de Paris ne nous a pas répondu quant à la situation pénale de Monsieur Pop. « C'est un gâchis. On les a jetés en pâture », déplore leur avocat, Me Chevret. Kaylia Nemour avait remporté l'or aux JO 2024 aux barres asymétriques, mais renoncé à concourir sous drapeau français, choisissant l'Algérie, son autre nationalité. Aucune Française n'avait franchi les qualifications.

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