Dernières actualités avec #international


L'Équipe
20 hours ago
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Mercato : Arsenal annonce la résiliation du contrat de son défenseur Takehiro Tomiyasu
À 26 ans, le défenseur japonais Takehiro Tomiyasu a résilié son contrat avec Arsenal, a annoncé le club londonien. Touché à un genou, il n'a joué qu'un seul match cette saison avec les Gunners. Takehiro Tomiyasu n'est plus un joueur d'Arsenal. Le club londonien a annoncé ce vendredi le départ de son défenseur japonais « d'un commun accord ». À 26 ans, il a disputé 84 matches avec les Gunners en quatre ans et sort surtout d'une saison blanche : blessé à un genou, il n'a joué que six minutes en 2024-2025, pour une entrée en jeu contre Southampton début octobre (3-1). Tomiyasu, joueur polyvalent capable d'évoluer à tous les postes de la défense, avait rejoint Arsenal en 2021 en provenance de Bologne, contre environ 18 millions d'euros. Quatre ans plus tard, l'international japonais (42 capes, 1 but) est donc libre de s'engager pour le club de son choix.


Le Parisien
a day ago
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Médias : le groupe CMA CGM en passe de racheter la plateforme de vidéos Brut
Le groupe CMA CGM de l'homme d'affaires Rodolphe Saadé est entré en « négociation exclusive » en vue de l'acquisition du média vidéo en ligne Brut , dont il est déjà actionnaire, a-t-il indiqué vendredi dans un communiqué. CMA Media, filiale de CMA CGM , « renforcerait sa présence dans le digital avec l'arrivée de Brut », qui « s'est imposé comme une référence en France et à l'international », déclare l'armateur Rodolphe Saadé, cité dans le communiqué. Présent dans plus de 100 pays, Brut « touche chaque mois plus de 500 millions de spectateurs » via YouTube, TikTok, Instagram, Facebook et Snapchat, souligne CMA Media. Le « pure player » a levé près de 140 millions d'euros depuis son lancement en 2016 et compte parmi ses actionnaires le fondateur de Free, Xavier Niel , le milliardaire François-Henri Pinault, via la holding Artemis, ou encore Orange, rejoints en 2023 par le groupe maritime français CMA CGM. Brut, qui emploie 250 salariés et s'est réorganisé ces dernières années pour faire des économies, est rentable depuis le dernier trimestre 2023. « Cela fait deux ans que l'on travaille avec CMA CGM, un groupe familial dont nous partageons beaucoup de valeurs », a relevé auprès de l'AFP Guillaume Lacroix, cofondateur et président de Brut. « Nous intégrerions CMA Media tout en restant indépendants », a-t-il ajouté, se félicitant de pouvoir avec CMA CGM projeter des investissements, notamment dans l'innovation. Brut recourt déjà largement à l'intelligence artificielle pour analyser par exemple les commentaires générés par ses contenus. Auprès des annonceurs, il met en avant la masse de données (temps passé devant une vidéo, nombre de vues, interactions…) en sa possession, en particulier sur les jeunes audiences. « Les fondateurs et l'équipe dirigeante de Brut resteraient pleinement impliqués dans cette nouvelle phase », précise CMA Media, qui veut « préserver l'ADN » de Brut : « un journalisme exigeant, des formats natifs et une voix engagée sur les grands enjeux sociaux, environnementaux et culturels ». Le milliardaire Rodolphe Saadé bouscule depuis près de trois ans le paysage médiatique français. CMA CGM est devenu propriétaire du groupe La Provence (quotidiens La Provence et Corse Matin) en octobre 2022. Il s'est ensuite invité au capital du groupe audiovisuel M 6 fin 2022, puis à celui de Brut, avant de prendre le contrôle du journal économique La Tribune et d'en lancer une édition dominicale en 2023. À l'été 2024, CMA Media a racheté la chaîne info BFMTV, la radio RMC et les chaînes de la TNT RMC Découverte et RMC Story à Altice. En mai, le groupe a aussi signé une promesse d'achat de la chaîne télé Chérie 25, actuellement dans le giron de NRJ Group. L'acquisition de Brut « serait une nouvelle étape dans la construction d'un groupe média solide, moderne et tourné vers l'avenir », selon Rodolphe Saadé.


Le Figaro
a day ago
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«HPI, pour moi, ça veut tout et rien dire» : à 15 ans, Aloïse décroche son bac et intègre Polytechnique
Tandis que des milliers de lycéens découvrent aujourd'hui leurs résultats du bac 2025, certains jeunes sortent du lot. C'est le cas d'Aloïse, qui, à seulement 15 ans, vient de réussir son bac avec mention «très bien»... après avoir sauté trois classes. «J'ai sauté la moyenne section, le CM1, puis la 4e», raconte Aloïse. La jeune fille est passée par le lycée français international de Hong Kong, où elle déménage avec ses parents en 2018, à l'âge de 8 ans. L'établissement accueille des élèves de l'âge de 3 à 18 ans. Aloïse y a passé tout son collège, avant de finalement revenir en France pour le lycée. «Étudier à Hong Kong, ça m'a beaucoup apporté. J'étais dans un environnement international, je parlais beaucoup anglais. Cette expérience était pour moi un apport humain, social, ça m'a donné une nouvelle vision du monde. Et c'est valorisant pour le CV aussi !». Aloïse et ses parents retournent ensuite en France pour son lycée. «Ils voulaient que je fasse mon lycée ici car les enseignements français sont bons. J'ai donc intégré l'Ipesup en seconde», raconte-t-elle. Cet établissement privé hors-contrat qui dispose également de classes préparatoires, accueille des élèves dans des classes à petits effectifs. «J'ai toujours côtoyé des personnes plus âgées que moi et ça ne m'a jamais dérangé» Si Aloïse a toujours eu beaucoup d'années d'avance, elle n'a pas beaucoup ressenti un écart avec les autres élèves. «J'ai toujours côtoyé des personnes plus âgées que moi et ça ne m'a jamais dérangé. Certes, ça se ressent parfois un peu, mais je préfère le challenge plutôt que de rester dans la même classe et de m'ennuyer», explique-t-elle. Comme pour tous les élèves, le bac commence en classe de première pour la jeune fille, avec les épreuves de français. «Ce n'est pas ma matière de prédilection, je suis plus scientifique. Mais j'ai réussi à avoir 15 à l'écrit et 18 à l'oral». Elle raconte également que le lycée Ipesup lui a permis de bien s'y préparer, ce qui lui a permis d'arriver «moins stressée aux épreuves que d'autres candidats». Pour ce qui est des résultats du bac, Aloïse racontait la veille qu'elle était «très confiante». Mais le bac ne représente pas une finalité en soi, pour la jeune fille. Elle explique : «Je n'ai pas fait ma scolarité dans le but d'avoir ce diplôme, mais pour avoir de bons résultats. C'est une épreuve obligatoire à passer, mais ça n'a pas motivé toutes mes décisions». Pour autant, Aloïse a pris le bac très au sérieux. «J'ai toujours la boule au ventre avant de passer des examens importants. Mais je veux juste obtenir de bons résultats pour moi-même, pour me dire que tout mon travail vaut quelque chose». Elle est aussi admis en prépa au lycée Henri IV Au sujet de ses années d'avance, Aloïse est catégorique, cela est dû à son mérite et son travail acharné : «Aujourd'hui, on dirait peut-être que je suis HPI mais pour moi, ça veut tout et rien dire. Je ne sais pas si j'ai un avantage biologique, mais j'ai beaucoup travaillé pour en arriver là». Elle insiste donc sur le fait de ne pas vouloir être catégorisée. «Il ne faut pas croire que ceux qui ont de l'avance sont des différents. Je suis très sociable et je ne veux pas être stigmatisée. On me demande parfois si j'ai été diagnostiquée, ça reviendrait à dire que c'est une maladie. Je comprends que certains en aient besoin, mais dans mon cas, ça ne me servirait pas à grand-chose». Après le bac, cap sur le supérieur pour Aloïse. Sur Parcoursup, elle a postulé à des prépas scientifiques, avant de finalement choisir le bachelor de Polytechnique, qu'elle intégrera donc à la rentrée. Elle explique avoir été admise dans les meilleures prépas parisiennes, comme Louis-le-Grand et Henri IV. «Mon admission n'est pas due à mon dossier scolaire, mais à mes engagements personnels. Pour viser les meilleures prépas, il faut avoir des activités à côté. Personnellement, j'ai participé aux Olympiades Françaises d'Informatique et j'ai suivi des cours avec France-IOI, qui propose des contenus pour s'entraîner en informatique». Alors qu'elle comptait intégrer une prépa, elle explique son choix d'intégrer le bachelor de Polytechnique, qu'elle a accepté il y a seulement deux jours. «Mes parents ont tous les deux fait une prépa, c'était mon premier choix. Mais par la suite, plus j'ai discuté avec des gens du bachelor, plus j'ai été tentée. La prépa est une très bonne filière, mais j'ai compris que ce n'était plus la meilleure voie pour décrocher un bon travail plus tard». Ce qui l'a donc attiré dans le bachelor, c'est la diversité de cette formation. «On peut faire du sport, des projets de recherche, il y a de l'économie... Et Polytechnique a des accords avec des universités internationales». Aloïse a pour but de s'orienter vers le domaine de la biotech par la suite. «Certains diront que ce n'est pas le vrai Polytechnique. Moi, je ne vais pas là-bas pour la marque de l'école, mais pour la diversité de la formation et ce qu'elle pourra m'apporter pour le futur», conclut-elle.


Le Figaro
a day ago
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Retraités à l'étranger : ces pays où les Français payent moins d'impôts
Réservé aux abonnés PALMARÈS EXCLUSIF - Nous avons sondé neuf avocats spécialisés dans la fiscalité des expatriés. Découvrez, selon eux, les destinations où les retraités français bénéficient d'une pression fiscale moindre en matière d'impôt sur le revenu et les successions. C'est une petite musique qui revient souvent : des Français qui, excédés par la pression fiscale, optent pour l'expatriation, persuadés que l'herbe est plus verte ailleurs. L'actualité ne manque pas d'exemples, sources de crispation pour les contribuables : vote de la «taxe Zucman» sur le patrimoine des ultra riches, projets de suppression de l'abattement pour frais professionnels des retraités et de l'indexation des pensions de retraite sur l'inflation, hausse de la CSG… À cela s'ajoute la crainte d'une réforme des droits de succession ou d'un retour de l'impôt sur la fortune. Les retraités sont parmi les premiers à envisager le départ, à une période de leur vie plus propice au changement et où leurs revenus sont amenés à baisser. Si le sens commun déconseille de partir uniquement pour des raisons fiscales, force est de constater que ce ras-le-bol lié aux impôts en pousse plus d'un à quitter la France. À l'heure actuelle, le gouvernement français a signé une centaine de conventions bilatérales – plus ou moins avantageuses – avec d'autres pays afin de limiter la double imposition des revenus. Pour mieux comprendre ce qui attend nos compatriotes qui veulent s'installer à l'étranger, neuf avocats fiscalistes spécialisés dans l'expatriation nous ont livré les destinations qui, selon eux, présentent un réel avantage.


Le Figaro
2 days ago
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Le directeur général de Mr Bricolage quittera ses fonctions à la fin de l'été
Le directeur général du groupe Mr Bricolage, Christophe Mistou, quittera ses fonctions à compter du 31 août, a annoncé le groupe dans un communiqué de presse publié jeudi. «Après neuf ans à la tête du groupe et la mise en oeuvre de deux plans stratégiques successifs (...) ayant permis de redresser le groupe, Christophe Mistou quittera ses fonctions à la fin de l'été», a fait savoir Mr Bricolage dans son communiqué. Ancien de Castorama, Christophe Mistou avait été nommé directeur général du groupe en février 2016. Publicité Le groupe avait lancé fin 2016 un plan de relance et de restructuration baptisé «Rebond», qui prévoyait notamment la cession à partir de 2018 de ses 65 magasins intégrés, afin de se recentrer sur le «service aux réseaux», son activité historique auprès de ses points de vente adhérents, franchisés et affiliés. Le plan stratégique 2022-2025 baptisé «1Pacte» ambitionnait quant à lui de dépasser les mille points de vente en France et à l'international dès fin 2025. Le conseil d'administration de Mr Bricolage «a d'ores et déjà engagé l'organisation de la succession» de Christophe Mistou, selon le communiqué.