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Dernières actualités avec #location

Un guide pour louer son bien immobilier en évitant toute discrimination
Un guide pour louer son bien immobilier en évitant toute discrimination

Le Figaro

time5 hours ago

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Un guide pour louer son bien immobilier en évitant toute discrimination

Réservé aux abonnés Subir une discrimination lors d'une recherche de location immobilière reste une pratique encore trop répandue. Le Défenseur des droits publie un guide, à destination des propriétaires ou des professionnels de l'immobilier, pour rappeler le cadre légal. Handicap, identité de genre, origine ou appartenance à une religion réelles ou supposées, situation de famille : les critères de discrimination à la location sont nombreux. Dans un guide à destination des professionnels de l'immobilier (1), le Défenseur des droits en liste plus de 25, issus essentiellement du code pénal (2) et, pour certains, du droit européen. Pourquoi ce guide ? L'autorité administrative, « régulièrement saisie pour des cas de discrimination dans le domaine du logement privé », constate « une méconnaissance du sujet, y compris chez les professionnels ». Quelque 33 % des réclamations traitées en 2024 ont concerné le handicap et 26 % l'origine. « Les autres critères souvent relevés sont l'âge, la nationalité, ou encore l'état de santé », précise l'institution, qui note en outre que « certains critères jusqu'ici rarement évoqués deviennent de plus en plus fréquents, tels que la particulière vulnérabilité économique ou l'orientation sexuelle »

Ai-je le droit de quitter mon logement si le bailleur n'a pas réceptionné mon courrier lui indiquant mon congé ?
Ai-je le droit de quitter mon logement si le bailleur n'a pas réceptionné mon courrier lui indiquant mon congé ?

Le Figaro

time5 hours ago

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Ai-je le droit de quitter mon logement si le bailleur n'a pas réceptionné mon courrier lui indiquant mon congé ?

Les rédactions du Particulier vous apportent leur expertise sur les questions réglementaires, fiscales ou financières pour vous aider dans vos démarches. La loi (1) prévoit bien que le congé peut être envoyé au bailleur par lettre recommandée avec avis de réception. Mais, pour être valable, le courrier doit être réceptionné. Sinon, vous restez redevable des loyers (2). PODCAST - Mon locataire est en vacances : ai-je le droit d'entrer dans le logement pour vérifier son état ? ÉCOUTER L'ÉPISODE Publicité Mieux vaut faire délivrer le congé par un commissaire de justice ou le remettre au bailleur contre signature. Pour rappel, en location nue, le préavis du locataire (1) est d'un mois en zone tendue (3) et de 3 mois ailleurs.

Assurance, carburant, restitution… Six conseils pour une location de voiture réussie
Assurance, carburant, restitution… Six conseils pour une location de voiture réussie

Le Parisien

timea day ago

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Assurance, carburant, restitution… Six conseils pour une location de voiture réussie

Les tarifs de locations de voiture augmentent (beaucoup) cet été. Selon les données de Carigami, une agence de voyages en ligne spécialisée dans la location de voiture, les prix en France ont bondi de 17 % depuis deux mois. La semaine clignote en rouge, au prix de 372 euros en moyenne contre 319 euros en avril 2025. Vous n'avez pas le choix ? Alors voici nos conseils pour réussir votre location et éviter les désagréments au moment de la restitution du véhicule.

Une aberration ! Il rend sa voiture de location un jour avant… ça lui coûte 203 euros
Une aberration ! Il rend sa voiture de location un jour avant… ça lui coûte 203 euros

Le Parisien

timea day ago

  • Le Parisien

Une aberration ! Il rend sa voiture de location un jour avant… ça lui coûte 203 euros

Pugnace. Mikael, sûr de son bon droit, n'a rien lâché. Cet ingénieur informatique de 39 ans, domicilié à Montréal, au Canada, a effectué un aller-retour en France de quelques jours, au mois de juin, pour rapatrier outre-Atlantique ses chats, deux British shorthair. L'occasion, également, d'une petite escapade dans l'Hexagone, pour laquelle il loue, à Lyon, une Fiat 500 chez Avis Budget , pour visiter Annecy et Grenoble. « J'ai pris cinq jours au lieu de quatre parce que mon vol me faisait dépasser les quatre jours de deux heures, insiste-t-il. Réserver quatre jours m'aurait coûté 15 euros de moins, mais je voulais être 100 % dans les règles. » La réservation est prépayée : 5 jours donc, au tarif de 148,50 euros.

Acheter une maison après une séparation
Acheter une maison après une séparation

La Presse

timea day ago

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Acheter une maison après une séparation

Acheter une propriété ou continuer à louer ? C'est la question que se pose Raphaël, père célibataire de 45 ans, qui souhaite offrir un meilleur espace de vie à sa fille de 8 ans tout en ayant assez d'épargne pour ses vieux jours. Puisque les prix des propriétés ont grandement augmenté au Québec dans les dernières années, il est de plus en plus difficile de devenir propriétaire. C'est encore pire lorsqu'on est un parent séparé avec un seul salaire pour acheter une propriété de plus d'une chambre. S'il est possible d'y arriver, cela demande une planification et une grande discipline… sans négliger d'épargner pour sa retraite ! La situation Célibataire de 45 ans, Raphaël* a une fille de 8 ans en garde partagée. Il a aussi deux grands enfants rendus autonomes. Locataire depuis 2014, il vit dans un appartement qui ne lui plaît pas et souhaite acheter une maison dans les Basses-Laurentides d'ici un an et demi pour donner un meilleur espace de vie à sa fille tout en se rapprochant de ses parents. Il souhaite aussi se bâtir un patrimoine qu'il pourra léguer à ses enfants. Raphaël gagne environ 90 000 $ par année, mais n'a pas de fonds de retraite. Il n'a pas de dette, mais a seulement 30 600 $ d'épargne. Il place maintenant sa prime annuelle qui est d'environ 5000 $ et une autre somme de 4000 $ par année dans son CELIAPP et dans son régime enregistré d'épargne-retraite (REER). « Est-ce que mon plan est réaliste et combien pourrais-je me permettre d'emprunter pour acheter ma propriété, considérant les taxes que j'aurai à payer chaque mois, comme propriétaire ? », écrit-il. Enfin, il se demande sur combien d'années il devrait amortir son prêt hypothécaire, considérant qu'il prévoit prendre sa retraite dans 20 ou 25 ans. Conscient que son projet est ambitieux, il se questionne aussi pour savoir s'il serait préférable pour le moment d'acheter un condo et de l'utiliser comme levier pour acheter, plus tard, une maison unifamiliale. Le portrait financier Raphaël, 45 ans Salaire annuel avec prime : environ 90 000 $ environ 90 000 $ Coût de vie annuel : 50 000 $, dont 13 380 $ pour le loyer 50 000 $, dont 13 380 $ pour le loyer REER : 6500 $ 6500 $ CELI : 4800 $ en épargne et 3000 $ comme fonds d'urgence 4800 $ en épargne et 3000 $ comme fonds d'urgence CELIAPP : 15 600 $ 15 600 $ Cotisations REER inutilisées : 115 000 $ 115 000 $ Régime de retraite du Québec (RRQ) prévu à 65 ans : 1093 $ par mois Les conseils En regardant le cas de Raphaël, la certitude de Simon Préfontaine, planificateur financier chez Lafond Services Financiers, c'est que peu importe la décision qu'il prendra, il devra faire de gros efforts pour réaliser ses objectifs. « Il a 45 ans et il a à peine plus de 27 000 $ d'épargne pour sa retraite et il n'a pas de fonds de retraite, alors qu'il achète une propriété ou non, c'est certain qu'il a besoin de s'occuper de sa retraite », affirme-t-il. Rester locataire ou devenir propriétaire Regardons le scénario où Raphaël garde son appartement peu dispendieux et continue d'investir 9000 $ par année pour sa retraite. Prenons aussi en considération le fait qu'il arrêtera de travailler à 65 ans, donc dans 20 ans, et qu'il demandera également à cet âge sa rente du RRQ et sa pension de la Sécurité de la vieillesse. Comme espérance de vie, on met 94 ans et comme rendement, 5 % annuel. Résultat ? « Alors qu'il dit qu'il a besoin de 50 000 $ par année pour vivre, ce scénario lui donne 33 000 $. Probablement qu'il aura besoin de moins que son coût de vie actuel à la retraite parce que sa fille sera adulte, mais quand même, la différence est grande. Pour avoir 50 000 $ par année de 65 à 94 ans, il devrait épargner dès maintenant non pas 9000 $, mais 28 000 $ par année afin d'arriver à 1,1 million à 65 ans. » Si Raphaël décide d'aller de l'avant avec son projet d'acheter une propriété, le défi est qu'il devra sortir le peu d'épargne qu'il a pour sa mise de fonds. Étant donné qu'il doit mettre au moins 5 % du prix d'achat, disons qu'il magasine une maison à maximum 450 000 $ pour donner une mise de fonds de 22 500 $, afin qu'il lui en reste pour payer le notaire et les droits de mutation. Établissons également le taux d'intérêt à 5 % et un amortissement sur 20 ans pour faire en sorte qu'il n'ait plus de prêt hypothécaire à payer à sa retraite à 65 ans afin de faciliter la comparaison. Cela lui ferait plus de 2900 $ par mois à payer, en incluant la prime d'assurance prêt de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). En y ajoutant les taxes municipales et scolaire, soit environ 300 $ par mois, puis une somme pour l'entretien d'au moins 100 $, il arrivera au triple des 1115 $ qu'il paye en ce moment [en loyer]. Simon Préfontaine, planificateur financier chez Lafond Services Financiers Il devra aussi continuer d'épargner pour sa retraite. « Comme sa maison serait payée lorsqu'il prendra sa retraite, il aurait besoin d'un portefeuille d'environ 400 000 $ pour maintenir son train de vie jusqu'à 94 ans, donc il devrait épargner environ 11 500 $ par année, précise-t-il. Ce n'est pas réaliste, à moins qu'il trouve un nouvel emploi avec un salaire plus élevé, ou qui a un généreux fonds de retraite ou un REER collectif auquel l'employeur contribue. » Un entre-deux Le planificateur financier a toutefois pensé à une autre option qui pourrait être plus viable. Il suggère d'acheter un condo à maximum 300 000 $ pour mieux répondre à ses besoins et à ceux de sa fille, mais de se préparer à le revendre à 65 ans pour redevenir locataire. Ainsi, le père de famille pourrait avoir accès à l'épargne forcée qu'il a faite avec son condo au moment où il aura besoin de liquidités pour vivre à la retraite. « Disons qu'il achète un condo à 300 000 $ qui prend 3 % de valeur par année, cela signifie qu'il pourra le revendre dans 20 ans 550 000 $, illustre Simon Préfontaine. Comme son prêt hypothécaire sera déjà remboursé, il pourra investir toute cette somme pour sa retraite. S'il continue d'épargner à partir de maintenant seulement son boni de 5000 $ par année, il pourrait vivre avec environ 44 000 $ une fois à la retraite. Simon Préfontaine, planificateur financier chez Lafond Services Financiers Raphaël doit aussi faire ses calculs pour voir s'il est certain qu'il pourra payer les versements hypothécaires d'environ 1900 $ en plus des taxes et des charges de copropriété, ce qui devrait faire grimper sa facture mensuelle pour son logement à environ 2500 $. « Cela représente de gros sacrifices dans d'autres types de dépenses », précise Simon Préfontaine. Il le met également en garde. « Normalement, quelqu'un qui achète une propriété pour y habiter investit beaucoup plus dedans pour des questions de goût personnel et de confort que si c'était juste un investissement en immobilier, explique le planificateur financier. Raphaël n'aura pas ce luxe. » Raffiner son projet S'il décide d'aller de l'avant avec l'achat, Simon Préfontaine lui conseille de s'assurer que le condo et son immeuble sont en bon état en faisant réaliser une inspection, en lisant les procès-verbaux des assemblées générales des copropriétaires des dernières années et en s'assurant de la santé financière du fonds de prévoyance. « Il pourrait difficilement se permettre des dépenses supplémentaires liées à des imprévus », précise-t-il. De plus, à moins que sa situation au travail ne s'améliore grandement, il ne lui conseillerait pas de le revendre dans quelques années pour acheter une maison plus dispendieuse. « Il y a des frais associés aux transactions et aux déménagements et, surtout, il ne pourra pas augmenter ses dépenses mensuelles liées à sa résidence », évalue Simon Préfontaine. S'il prend la décision d'acheter, Raphaël pourrait envisager différents scénarios pour adoucir sa réalité. « Par exemple, il pourrait décider d'amortir le prêt hypothécaire sur 25 ans et de travailler au moins jusqu'à 70 ans, indique l'expert. Ça ferait descendre ses mensualités d'un peu plus de 200 $ et réduirait un peu son besoin d'épargne. » C'est certain aussi qu'il faudra qu'il se prépare mentalement à redevenir locataire à la retraite. « C'est toujours possible que, d'ici là, sa situation s'améliore, soit parce qu'il trouve un emploi avec de meilleures conditions de travail, soit parce qu'il reçoit un héritage, indique le planificateur financier. Mais, il doit être prêt à ça. » Il lui conseille de rencontrer un planificateur financier pour aller plus en détail dans son scénario une fois qu'il aura pris sa décision. *Bien que le cas mis en lumière dans cette rubrique soit réel, le prénom utilisé est fictif.

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