Dernières actualités avec #maillot


L'Équipe
2 days ago
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« Le bleu, le jaune, le vert et le blanc sont les couleurs qu'il faut garder » : face au tollé, le Brésil ne jouera pas en rouge à la Coupe du monde 2026
Alors qu'un projet de maillot extérieur rouge était dans les tuyaux pour le Brésil en vue de la Coupe du monde 2026 le président de la Confédération brésilienne de football (CBF) a déclaré mardi à la chaîne Sportv avoir « demandé l'arrêt de la production ». Un maillot rouge pour la Seleçao à la Coupe du monde 2026 ? L'idée d'apparence saugrenue a été écartée par le président de la Confédération brésilienne de football (CBF) qui a révélé mardi avoir mis fin à la production de ce modèle. Une décision prise après une pluie de critiques portant notamment sur la connotation politique de cette couleur. Les premières rumeurs sur un maillot écarlate pour les quintuples champions du monde ont commencé à circuler en avril. Samir Xaud, devenu président de la CBF en mai, a déclaré à la chaîne Sportv avoir « demandé l'arrêt de la production » des maillots rouges lors d'une « réunion d'urgence » avec Nike, l'équipementier du Brésil depuis 1996. Au Brésil, pays profondément polarisé politiquement, la couleur rouge est généralement associée au Parti des Travailleurs de l'actuel président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, communément abrégé Lula. Et le maillot jaune de l'équipe nationale a été massivement adopté par les partisans de son prédécesseur d'extrême droite Jair Bolsonaro (2019-2023). « J'étais totalement contre le rouge, mais pas pour des raisons politiques, que ce soit bien clair, a affirmé Samir Xaud. Le bleu, le jaune, le vert et le blanc sont les couleurs de notre drapeau et ce sont les couleurs qu'il faut garder », a-t-il poursuivi. Le projet d'un maillot rouge, doté du logo Air Jordan au lieu de la virgule de Nike, a vu le jour sous la présidence de son prédécesseur, Ednaldo Rodrigues, destitué en mai sur décision judiciaire. Il était censé faire partie des jeux de tuniques disponibles - en plus du jaune - pour la Seleçao lors de la Coupe du Monde 2026, organisée au Mexique, au Canada et aux États-Unis. Mais M. Xaud a assuré mardi que le second maillot du Brésil sera bien bleu lors de ce Mondial, comme c'est le cas depuis des décennies. Insultes, moqueries, l'accueil au Brésil des pro-Lula envers Neymar

L'Équipe
2 days ago
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« Objet marketing » et quête d'originalité : pourquoi les clubs accordent autant d'importance à leur troisième maillot
En développant des designs originaux pour leur troisième maillot, les clubs de football cherchent à toucher un public toujours plus large. Si cela peut leur permettre de se faire davantage connaître, les retombées financières s'avèrent, en général, assez faibles. Couleurs de la Côte d'Azur du côté de l'OGC Nice, hommage aux dockers à l'OM ou inspiration du marché des Lices pour le Stade Rennais : depuis la fin du mois de juillet, les clubs de Ligue 1 dévoilent tour à tour la troisième pièce de leur collection 2025-2026. Une quatrième tunique devrait même suivre pour les équipes engagées en Europe. Cette extension du dressing des clubs français n'est pas nouvelle. D'après Thomas Prouteau, créateur du site Footpack, spécialisé dans l'actualité des équipementiers, elle s'est démocratisée en France à la fin des années 1990 : « À l'époque, c'était vraiment des maillots de rechange. Les marques ont commencé à s'y intéresser à la fin des années 2000, quand le marché des maillots a explosé. » Lors de la saison 2024-2025, tous les clubs de Ligue 1 - à l'exception du FC Nantes - possédaient trois tenues dans leur placard. Sept écuries en comptaient quatre et Monaco a même poussé jusqu'à cinq. Encore loin des 12 tuniques de Naples, mais significatif d'une inflation. « Aujourd'hui, l'argument numéro un n'est plus sportif, même s'il n'est pas négligeable quand il y a un clash de couleurs. C'est plus un objet marketing », explique Thomas Prouteau. Malgré leurs motifs et couleurs flashy, les troisièmes tenues (communément appelées maillot « third ») ne dérangent pas les fervents supporters. « Les études démontrent que le consommateur classique ne va pas en tenir rigueur au club s'ils sont un peu plus transgressifs, tant que l'identité est conservée sur les tenues domicile et extérieur », selon Nicolas Chanavat, professeur à l'université Jean Monnet de Saint-Étienne. Un public plus large ciblé Le 30 juillet, les supporters lensois ont découvert la troisième tunique de leur club au sein de l'extension locale du Louvre. Les coloris choisis, crème et doré, l'ont été pour célébrer les 120 ans du club. « Un maillot est toujours attendu par les gens. Il faut qu'on trouve comment marquer le coup », estime Henri Neveu, directeur de la marque RC Lens. « Ça passe par le maillot mais aussi par la révélation, la vidéo, le shooting photo. » Loin des classiques tuniques domicile sang et or, ce maillot third est considéré comme plus épuré par le directeur de la marque lensoise. Un choix fait pour convaincre davantage de consommateurs : « Les plus jeunes sont plus adeptes d'un vêtement qu'ils peuvent porter au quotidien, contrairement au fan hardcore, qui veut son maillot sang et or. On se doit de proposer une diversité pour contenter tout le monde. » Le Paris Saint-Germain a été l'un des premiers en France à prendre des libertés sur ses maillots. Depuis 2018, le PSG collabore avec Jordan Brand, filiale de Nike pour développer des collections qui détonnent souvent avec les classiques parisiens. « Aujourd'hui, le maillot de Paris est devenu un symbole culturel, qui dépasse le cadre du sport pour s'imposer comme un objet de style », constate Fabien Allègre, responsable de la marque PSG, dans des propos transmis par le club. Cette collaboration a permis au champion d'Europe de renforcer son côté lifestyle, tout en développant ses relations avec le marché américain et asiatique. Olive et Tom pour faire rayonner Valenciennes Tenter l'original peut s'avérer être un véritable coup marketing pour certains clubs, y compris au-delà de la Ligue 1. En juillet, le VAFC, pensionnaire de National, a ainsi dévoilé sa tenue extérieure reprenant ses couleurs habituelles, le rouge et le blanc, mais avec un design faisant référence au manga Olive et Tom. Le club nordiste a même changé son traditionnel logo, en mettant un grand V rouge à la place du N de la Newteam. Un design pensé pour rendre hommage aux origines japonaises de son sponsor Toyota, qui fête les 25 ans de son implantation dans le Hainaut. « Quand c'est original, soit ça passe, soit ça casse. C'est passé au-delà de nos espérances », se réjouit François Launay, directeur de la communication du club. Quelques jours après la sortie de cette pièce originale, les 500 exemplaires de la tunique avaient déjà trouvé preneurs, avec des acheteurs parfois installés dans d'autres régions et à l'international. Plutôt pas mal, quand on sait que la saison dernière, le VAFC avait vendu, en tout et pour tout, 2 000 maillots. « Les médias ont beaucoup parlé du maillot en France, mais c'est aussi le cas dans le reste du monde, dans les pays où le dessin animé est populaire. Ça nous a permis de faire rayonner la marque VAFC », complète Yohann Godin, le directeur général valenciennois. Bénéfices limités et enjeux environnementaux Si ces maillots peuvent être un succès du point de vue de l'image, les clubs retirent peu de bénéfices de leur vente et la diversification n'y change pas grand-chose, selon l'économiste Christophe Lepetit. « En multipliant les possibilités d'achat pour les fans, vous augmentez les ventes. Mais les clubs ne récupèrent que 15 % en moyenne sur un maillot », souligne le responsable du pôle économie au Centre de droit et d'économie du sport (CDES). La sortie de plusieurs maillots par an alimente cependant un modèle de consommation qui se heurte à des enjeux environnementaux. Si certains clubs comme le PSG assurent adopter des méthodes plus durables de conception, Laval et Versailles ont, de leur côté annoncé ne pas changer de maillot cette saison. Selon l'économiste, « ça devient aussi un message marketing, avec la volonté de faire exception ».

L'Équipe
3 days ago
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Souvenirs glorieux ou esthétique vintage, vous avez élu les maillots les plus emblématiques de Ligue 1... Mais quel est le plus beau de tous ?
À l'occasion d'une consultation organisée sur notre site, vous avez choisi le maillot le plus emblématique de chaque club de Ligue 1. Désormais, selon vous, quel est le plus beau de tous ? L'iconique maillot de l'OM de Didier Deschamps (1992-1993) avec les trois bandes bleues de l'équipement historique du club a été élu vainqueur (51,01 %) contre le maillot de 1971-1972 (6,55 %) et la tunique de 1990-1991 (42,44 %). Quel est le plus beau de tous les maillots emblématiques de Ligue 1 ? Dans un vote très serré, c'est finalement le maillot de la campagne de Ligue des champions 2024-2025 historique du PSG qui a été désigné comme le plus emblématique (37,04 %) face à ceux de 1995-1996 (29,14 %) et de 1973-1974 (33,81 %). Un vote très serré pour le maillot du PSG Karim Benzema arbore le maillot du dernier des sept titres d'affilée de l'OL lors de la saison 2007-2008, le plus emblématique du club selon les internautes (46,35 %). Les tuniques de 1972-1973 (30,61 %) et de 2001-2022 (23,04 %) finissent donc derrière. Le maillot domicile du septième et avant-dernier titre de champion de Monaco en 1999-2000, porté ici par Marcelo Gallardo, a largement fini devant dans le sondage (60,78 %) face à ceux de 1960-1961 (10,53 %) et de 1977-1978 (28,69 %). La tunique du FC Nantes de 1994-1995, ici portée par Japhet N'Doram s'est imposée (51,48 %). Il y a eu 43,01 % des suffrages pour 1979-1980 et 5,5 % pour 1965-1966. Rigobert Song sous une tunique du RC Lens couleur or, portée lors de la saison 2002-2003, élue comme la plus emblématique des Sang et Or (38,27 %). Un vote serré avec les maillots de 1975-1982 (26,16 %) et du début des années 1990 (35,57 %). La tunique de la saison 1978-1979, portée ici par Arsène Wenger, (45,09 %) l'a emporté sur les maillots de 1993-1994 (34,87 %) et 1996-1997 (20,04 %). Pascal Cygan avec le maillot 2001-2002 du LOSC largement vainqueur (52,84 %) face aux tuniques des années 1952-1961 (22,82 %) et des années 1980 (24,34 %). La tunique emblématique du club icaunais, selon les internautes, est celle de la saison 1995-1996, année du doublé Coupe-Championnat pour l'Auxerre de Laurent Blanc (49,63 %). Elle a été élue face à celles de 1979-1980 (15,66 %) et de 1992-1993 (34,71 %) Selon les internautes, le maillot JVC Nivico (1975-1976) est l'incontournable de l'histoire de l'OGC Nice de Jean-Marc Guillou (50,76 %) contre ceux de 1958-1959 (19,99 %) et de 1972-1973 (29,26 %). Mohamed Bayo et Josué Casimir portant la tunique du Havre lors de la saison 2023-2024, celle du premier maintien du club doyen dans l'élite au XXIe siècle, a été élue comme étant élue la plus emblématique du club (49,13 %). La marinière européenne, portée ici par Ludovic Ajorque la saison passée, a été élue au détriment des tuniques de 1979-1980 (11,79 %) et de 1981-1982 (67,74 %). Le maillot du FC Metz porté par Robert Pirès lors de la saison 1997-1998 (47,62 %), vainqueur contre les 39,12 % de 1984-1985 et les 13,27 % du maillot de la saison 2015-2016, qui signait le retour de la Croix de Lorraine. Les incontournables rayures de 2016-2017, portées ici par Ismaël Traoré, ont largement pris le dessus sur les maillots vintages de 1968-1969 (14,48 %) et de 1992-1993 (20,15 %). Hatem Ben Arfa porte la tunique de la saison 2018-2019, synonyme de victoire en Coupe de France contre le PSG, le premier et seul titre de l'ère Pinault, qui a battu à plate couture ses concurrents de 1964-1965 (14,46 %) et de 1985-1986 (18,78 %). C'est le maillot domicile de la dernière saison du Paris FC en Première Division, il y a 46 ans en 1978-1979 (41,4 %) qui s'impose face à celui de 2015-2016 (34,39 %) et celui de la saison passée pour la montée dans l'élite (24,21 %). Lors de la saison 2006-2007, le Toulouse de Johan Elmander arbore pour la première fois des rayures verticales et se classe 3e de L1. De quoi lui attribuer le rôle du maillot le plus emblématique (50,73 %) contre celui de 1986-1987 (39,84 %) et celui de 2021-2022 (9,43 %) La tunique de 2009-2010 (50,34 %), portée ici par Kevin Gameiro, a dépassé celles de 1926 (24,17 %) et de 2001-2002 (25,49 %).


Le Figaro
4 days ago
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Ligue 1 : les premières images du nouveau maillot «third» du PSG
Le club de la capitale portera son maillot «third» à Nantes ce dimanche, lors de la première journée de Ligue 1. C'est un rituel au début de la saison, chaque club dévoile son maillot third, en France et en Europe. C'est au tour du PSG. Une tunique rouge vif, qui «reprend les lignes de coupe légendaires» de l'univers graphique Total 90, «qui a marqué le début des années 2000». «Avec sa palette tranchée, ses lignes affirmées et sa coupe modernisée, cette création fait dialoguer les codes du passé avec les ambitions du présent», précise le club de la capitale, qui a dévoilé ce maillot lors d'un «événement immersif» organisé avec Nike. À découvrir Le calendrier complet du PSG Vitinha, hakimi, Marquinhos, Dembélé et Doué à l'affiche. La légende parisienne Pauleta a posé aux côtés de plusieurs joueurs de l'effectif actuel, ses compatriotes portugais João Neves, Gonçalo Ramos et Vitinha, ainsi que le titi parisien Warren Zaïre-Emery. Le PSG y voit un «passage de flambeau entre générations». «Tous ont pu fièrement arborer ce nouveau maillot, incarnant passion des supporters et énergie du club, dans une parfaite symbiose entre hier et demain», explique-t-on. Les joueurs de Luis Enrique porteront ce nouveau maillot dès leur déplacement à Nantes ce dimanche (20h45), lors de la première journée de Ligue 1.


Le Parisien
4 days ago
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Nantes-PSG : Paris dévoile son troisième maillot qu'il portera ce dimanche à la Beaujoire
Bleu, blanc, rouge. On sait désormais à quoi ressemblent les trois principaux maillots du Paris Saint-Germain pour la saison de Ligue 1 2025-2026. Jeudi dernier, dans le plus grand secret, le club de la capitale a présenté sa troisième et dernière tunique. Qui de mieux que les joueurs eux-mêmes pour présenter le maillot ? Alors Warren Zaïre-Emery, Vitinha, Gonçalo Ramos et João Neves, à peine rentrés d'Udine où ils ont remporté la Supercoupe d'Europe (2-2, 4-3 aux t.a.b.), ont dévoilé ce nouveau maillot. Classique et urbain Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le modèle devrait raviver les souvenirs des amoureux du PSG. Ce dernier est en effet inspiré du maillot porté durant la saison 2004-2005 (qui comportait une bande latérale bleue) où Paris avait terminé 9e de Ligue 1. Le maillot original, avec sa publicité Thomson, est d'ailleurs rééditée cette saison et disponible à la vente. Le troisième maillot du PSG combine donc deux nuances de rouge et de légères touches de bleu. Quelques bandes verticales sont aussi présentes sur le torse. Une alliance entre le mythique T90 et l'inspiration urbaine choisie cette saison. À voir aussi Pour faire voyager davantage les supporters dans le passé, Pedro Miguel Pauleta était de la fête. « Ça me rappelle les années 90. (…) Même si je n'ai jamais joué avec un maillot tout rouge comme ça. C'est un peu différent mais c'est très joli. De toutes façon tous les maillots du PSG sont jolis. Il suffit du logo pour les rendre beaux. »