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« Danse avec le Diable » : le domicile du pasteur de la « secte TikTok » perquisitionné dans une enquête pour trafic sexuel et fraude
« Danse avec le Diable » : le domicile du pasteur de la « secte TikTok » perquisitionné dans une enquête pour trafic sexuel et fraude

Le Parisien

timea day ago

  • Entertainment
  • Le Parisien

« Danse avec le Diable » : le domicile du pasteur de la « secte TikTok » perquisitionné dans une enquête pour trafic sexuel et fraude

Sortie fin mai 2024, la série documentaire Netflix intitulée « Danse avec le diable » avait attiré l'attention sur les activités de Robert Shinn, fondateur et pasteur de l'église Shekinah Church, mais aussi dirigeant de l'agence 7M Films, qui recrute plusieurs danseurs sur TikTok . Le pasteur est accusé de violences sexuelles , de manipulation et d'extorsion. Robert Shinn et 7M Films ont fermement démenti les accusations dont ils faisaient l'objet dans le documentaire et les liens financiers supposés entre l'agence de talents et la Shekinah Church. Mais vendredi 25 juillet, le domicile de Robert Shinn, situé à Tujunga, au nord de Los Angeles, a été perquisitionné par les autorités fédérales et locales dans le cadre d'une enquête pour trafic sexuel et fraude, a indiqué le Los Angeles Times . La perquisition a eu lieu à 6 heures du matin. Le mandat mentionnait une série d'allégations, notamment de trafic sexuel, de blanchiment d'argent, d'évasion fiscale et de fraude liée à la pandémie de Covid-19. Le service d'inspection postale américain, qui est l'une des principales agences chargées de l'enquête, a refusé de fournir des détails sur ce qu'il a qualifié d'« affaire en cours ». Aucune arrestation n'a cependant été effectuée. Plusieurs danseurs interrogés dans « Danse avec le Diable », passés par 7M Films, ont évoqué une « secte » et affirmé que le pasteur les a éloignés de leurs familles en leur disant que pour être sauvés, ils devaient « mourir » aux yeux de leurs proches qui ne suivaient pas ses enseignements. Il leur aurait également dit que s'ils étaient suffisamment « pieux », ils sauveraient également leurs familles de la damnation.

L'éditorial de Patrick Saint-Paul : «Guerre en Ukraine, Donald Trump l'Apprenti»
L'éditorial de Patrick Saint-Paul : «Guerre en Ukraine, Donald Trump l'Apprenti»

Le Figaro

time22-07-2025

  • Politics
  • Le Figaro

L'éditorial de Patrick Saint-Paul : «Guerre en Ukraine, Donald Trump l'Apprenti»

Réservé aux abonnés Le président américain a enfin compris ce qui était une évidence pour tous : il se faisait manipuler. En Ukraine, Vladimir Poutine veut tout. En affaires comme en politique, Donald Trump a toujours observé une règle, essentielle dans son manuel du « winner ». Ne jamais admettre ses torts. Y compris lorsqu'il opère une volte-face spectaculaire. Énième président américain à avoir tenté un « reset » avec Vladimir Poutine, Trump n'a retenu aucune des leçons de ses prédécesseurs. Son « calcul géopolitique » - offrir au maître du Kremlin une victoire aux frais de l'Ukraine en espérant une réconciliation tout en l'arrachant au giron de la Chine - paraissait pour le moins hasardeux. Quant à sa méthode - faire des cadeaux (pas d'entrée de l'Ukraine dans l'Otan, reconnaissance de la Crimée, annexion de facto des territoires conquis par la force) en attendant des cadeaux russes en échange –, elle était bien naïve face à un ancien espion rompu à l'art du mensonge. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Qu'importe ! « Il a dupé Clinton, Bush, Obama, Biden. Il ne m'a pas dupé », a claironné Donald Trump. Et d'expliquer dans son langage fleuri : « Poutine…

Aurélie Jean : «Quand une IA menace de révéler des relations extraconjugales»
Aurélie Jean : «Quand une IA menace de révéler des relations extraconjugales»

Le Figaro

time17-07-2025

  • Le Figaro

Aurélie Jean : «Quand une IA menace de révéler des relations extraconjugales»

Réservé aux abonnés FIGAROVOX/CHRONIQUE - En entraînant une intelligence artificielle, une entreprise a découvert que l'IA pouvait aller jusqu'à menacer de révéler les relations adultérines de ses employés pour éviter d'être remplacée par un autre modèle. Notre chroniqueuse tire les leçons de cette expérience. Aurélie Jean est docteur en sciences et entrepreneuse. Elle a notamment publié Le code a changé. Amour et sexualité au temps des algorithmes (L'Observatoire, 2024). À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Les cas d'IA soi-disant manipulatrices vis-à-vis de leurs utilisateurs ont beaucoup fait parler ces dernières semaines. Le dernier en date est le test réalisé sur l'IA Claude Opus 4 par la société Anthropic, qui aurait menacé un employé fictif d'une entreprise toute aussi fictive d'avouer à sa femme qu'il la trompait pour éviter de se voir remplacer par un autre modèle. Sans évoquer l'usage abusif de mots maladroitement choisis pour décrire la situation (comme «menace» ou «chantage»), ce test démontre une chose : le comportement humain est prévisible ! Dans ce type d'expérience, des employés fictifs échangent des mails et utilisent l'IA comme un assistant virtuel de travail. Ces mêmes employés évoquent possiblement des aspects de leur vie personnelle voire intime toujours par mail mais aussi par une organisation orientée…

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