Dernières actualités avec #miracle


Le Parisien
10 hours ago
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Angleterre-Italie (2-1 a.p.) : au bout du suspense, les Anglaises retrouvent la finale de l'Euro
Encore un miracle pour l'Angleterre à l'Euro 2025 . Après un quart de finale arraché face à la Suède (2-2 a.p., 3-2 t.a.b.), rebelote en demi-finale contre l'Italie (2-1 a.p.). Dans les deux scenarii, les tenantes du titre ont été menées au score. Dans les deux scenarii, elles sont passées proches de l'élimination surprise. Et dans les deux scenarii, elles s'en sortent et disputeront une deuxième finale de suite. Ce sera dimanche soir face à l'Espagne ou l'Allemagne. Pour la cinquième fois en cinq matchs dans cet Euro, l'Italie a pourtant ouvert le score. En contre-attaque, elle a surpris son adversaire et marqué grâce à Barbara Bonansea, seule au deuxième poteau, d'un enchaînement du gauche sous la barre (0-1, 33e). Pour les « Lionnesses », deux occasions seulement lors du premier acte : Alessia Russo, d'abord (19e), mais sa frappe fuit le cadre. Lauren James, ensuite (38e), mais son tir dans la surface est repoussé par Laura Giuliani. Après la pause, l'Angleterre s'est ajustée avec l'entrée de Beth Mead, l'attaquante d'Arsenal. Les occasions ont été plus nombreuses, par Lauren Hemp (51e) ou Lucy Bronze (80e, 81e). Sans sa capitaine, Cristiana Girelli, sortie blessée à l'heure de jeu, l'Italie a su résister, s'arrachant physiquement… jusqu'à la 97e minute. Michelle Agyemang récupère le ballon dans la surface et ajuste Giuliani (1-1, 97e). Miraculées, les Anglaises s'offrent une prolongation. Qu'elles ont dominée. Agyemang, encore elle, trouve la barre transversale (117e). Avant une décision arbitrale discutable et un pénalty pour une faute légère sur Beth Mead. Chloe Kelly, auteure d'un doublé contre la Suède, se charge de frapper et manque sa tentative, repoussée par Giuliani. Mais elle s'arrache pour inscrire le deuxième but sur le rebond (2-1, 119e). Voilà les Anglaises encore en finale. Par la petite porte.


Le Figaro
12-07-2025
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- Le Figaro
Euro féminin : «Tout est possible», lance le coach des Pays-Bas avant d'affronter les Bleues
Alors que les Pays-Bas doivent battre la France avec trois buts d'écart pour se qualifier en phase finale de l'Euro, le sélectionneur des Néerlandaises reste confiant. Andries Jonker, le sélectionneur des Néerlandaises qui doivent battre les Bleues avec trois buts d'écart samedi à Bâle pour se qualifier pour les quarts de finale de l'Euro-2025, croit un «miracle» possible. «Nous avons une très bonne équipe et parfois il y a des miracles qui se passent», a assuré samedi devant la presse à Bâle le coach, à la veille du troisième et dernier match de la phase de poule, faisant référence à deux reprises à la «remontada» de 2017 entre le PSG et le FC Barcelone (4-0, 6-1). Publicité «Il faut croire en nous, à la victoire, on a parlé de confiance en soi et de conviction, il faut le montrer sur le terrain», a poursuivi le sélectionneur, ajoutant: «je m'en fiche des statistiques». Selon lui, son équipe «va essayer de faire un exploit que personne n'oubliera jamais. J'aimerais bien créer le miracle de Bâle». «Tout est possible» Après avoir été sèchement battu par l'Angleterre mercredi (4-0), «maintenant on va jouer contre la France qui est une super équipe, la performance n'était pas bonne contre l'Angleterre, ok, maintenant on tourne la page», a-t-il affirmé. «J'ai effectivement dit que notre plan n'était pas bon car il avait été mal exécuté. Mais c'est bien mes idées, on en avait discuté avec mon staff. C'est ma faute. On propose une tactique aux joueuses, et elles ont la possibilité de donner leur avis. Cette défaite leur reste en travers de la gorge. Elles ont été blessées», a reconnu Andries Jonker. «Je crois en notre équipe et dans le football tout est possible», a affirmé la milieu néerlandaise de l'OL Lyonnes Danielle van de Donk, qui pourrait jouer son dernier match en grande compétition avec son équipe nationale, a-t-elle annoncé.


L'Équipe
12-07-2025
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« Rappelez-vous la remontada de Barcelone face au PSG » : Andreas Jonker, le sélectionneur des Pays-Bas, espère l'exploit face aux Bleues
Andries Jonker, le sélectionneur des Pays-Bas, veut croire au « miracle » avant le match de dimanche soir contre la France, décisif pour la qualification en quarts de finale de l'Euro. Il a même évoqué le scénario de 2017 entre les Catalans et les Parisiens. « Andries Jonker, vous avez été critiqué sur le plan de jeu face à l'Angleterre et vous aviez un peu accusé vos joueuses. Le regrettez-vous ?J'ai effectivement dit que notre plan n'était pas bon car il avait été mal exécuté. Mais c'est bien mes idées, on en avait discuté avec mon staff. C'est ma faute. On propose une tactique aux joueuses, et elles ont la possibilité de donner leur avis. Cette défaite leur reste en travers de la gorge. Elles ont été blessées. Vous devez beaucoup marquer (gagner par trois buts d'écart pour être qualifié, NDLR). Comment allez-vous faire sans trop vous exposer ?Ce sera un sacré match, et on pense qu'on a une grosse équipe. Il n'y a qu'une chose à faire : se relever, avoir confiance dans nos qualités. On ne va pas se tourner encore plus vers l'attaque au risque de nous déséquilibrer. Ce serait contre-productif. La France ne saura pas trop comment jouer aussi, peut-être. Ils ne vont pas nous sous-estimer, ils savent qu'on peut bien jouer. Les miracles existent, rappelez-vous la remontada du FC Barcelone face au PSG. Cela n'était jamais arrivé ! Donc, c'est possible ! Je me fiche des statistiques. On va essayer de faire un exploit que personne n'oubliera jamais. J'aimerais bien créer « le miracle de Bâle ». Pourquoi Daniëlle van de Donk n'a pas débuté contre l'Angleterre ?La veille du match, j'ai présenté ma stratégie après le petit-déjeuner, Daniëlle a participé à l'entraînement, mais on a voulu être prudent par rapport à ses adducteurs. On l'a écoutée, elle avait quelques douleurs. On a pensé qu'elle pourrait jouer 20-30 minutes. Mais juste avant le match, elle pensait pouvoir jouer beaucoup plus, elle se sentait mieux. Mais on n'a pas changé nos plans à la dernière minute. »


L'Équipe
10-07-2025
- Sport
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Pedro Severino, le footballeur brésilien rescapé
Le footballeur Pedro Severino, fils de l'ex-transfert le plus cher du Stade Rennais en 2000, a frôlé la mort lors d'un accident de la route. Trois mois après, son père parle de miracle. L'autoroute BR-050 devait le conduire vers son rêve. Celui de jouer en Première Division brésilienne et d'imiter son père, Lucas Severino, ex-attaquant prolifique de l'Athletico Paranaense, buteur emblématique au Japon (au FC Tokyo entre 2004-2007 et 2011-2013) mais joueur énigmatique au Stade Rennais, où son transfert sensation (21,3 M€) avait fait flop au début des années 2000. Comme son père, c'est au Botafogo de Ribeirao Preto, là où Socrates et Rai ont débuté, que Pedro Severino a fait ses gammes avant d'aller voir plus haut. En début d'année, il est prêté au Red Bull Bragantino, qui l'attend le 4 mars pour intégrer l'effectif. Afin de rallier Atibaia, à 300 km de sa ville natale, son père fait appel à un chauffeur confirmé. Avec Pedro Castro, un milieu de terrain de 18 ans, ils prennent la route au petit matin. Mais vers 5 heures, le chauffeur, dont le taux d'alcoolémie se révélera négatif, s'endort au volant. Son véhicule s'encastre à pleine vitesse dans le châssis arrière d'un camion. Le conducteur et Pedro Castro s'en sortent avec des égratignures. Assis sur le siège passager, Pedro Severino est victime d'un traumatisme crânien « extrêmement grave » et est transporté à l'hôpital dans un état critique. Un protocole de mort cérébrale est même ouvert et certains médias annoncent le pire. Mais le jeune homme finit par réagir, d'abord en toussant puis en serrant la main de sa mère. « Ce réflexe a révélé une activité neurologique et donc une possibilité de vie », résume Gil Teixeira, coordinateur des soins intensifs de l'hôpital Unimed de Ribeirao Preto. Souffrant aussi de multiples fractures de la face et de la base du crâne, l'attaquant subit quatre interventions, dont l'une afin de reconstruire une partie de son crâne avec une prothèse en ciment osseux fixée par des plaques de titane. Après plusieurs jours de soins intensifs, il parvient à articuler « mãe » (maman) puis à écrire le mot « obrigado » (merci) sur un carnet. Plus d'un mois après l'accident, son père confirme que son fils va s'en sortir. Puis « après 80 jours d'angoisse, de pleurs, de surprises et de joie, Pedro est vivant et vivra », annonce-t-il, avant de saluer un groupe venu sur le parking de l'hôpital pour prier et allumer des bougies en guise de soutien. De retour chez lui, 98 jours après le drame, Pedro, qui parvient à se déplacer et même à shooter dans un ballon, va poursuivre sa rééducation. « Il présente un déficit moteur côté gauche. Mais il est conscient, orienté et verbal, se félicite son neurologue. Il a bien récupéré pour quelqu'un qui était entre la vie et la mort il y a encore trois mois. » Son père parle de « long chemin vers la réhabilitation » mais surtout de « joie et de bonheur » car son fils pourra « recevoir notre amour, celui de ses frères et de ses chiens. Dieu nous a bénis et a accompli un miracle », a conclu l'ex-attaquant du Stade Rennais dans une vidéo de remerciements bouleversante.


Le Figaro
06-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
«Le bébé aurait pu tomber de mes bras»: l'incroyable sauvetage par un homme d'une famille bloquée dans un appartement en feu à Paris
VIDÉO - Bloquée par les flammes, une famille a été extraite de son appartement du 18e arrondissement de la capitale grâce à l'aide héroïque d'un voisin, perché pendant plusieurs minutes sur la corniche de l'immeuble. Vendredi 4 juillet au soir, un départ de feu est signalé au deuxième étage d'un immeuble situé au 49, rue de la Chapelle, dans le 18e arrondissement de Paris. Très vite, les flammes affluent aux étages, accompagnées d'une épaisse couche de fumée. Naomie, sa voisine et ses quatre enfants empruntent alors les escaliers pour s'extraire mais sont vite stoppés par les fumées toxiques et se retrouvent bloqués au sixième étage de l'immeuble. Prisonniers des flammes. Puis survient le «miracle». La scène à peine croyable, captée par une voisine, montre alors un homme venir porter secours aux sinistrés. Publicité Bravant la peur, Fousseynou Samba a enjambé sa fenêtre, avançant à petit pas sur les rebords de l'immeuble. Seuls quelques centimètres de taule le séparaient du vide. Sur la vidéo, on le voit saisir consécutivement, un premier enfant, un nourrisson, puis un deuxième, suivi de près par la mère de famille. Le moindre faux geste aurait pu virer au drame. Les bébés portés à bout de bras au-dessus du vide sont donnés à une personne restée dans l'appartement épargné. À nos confrères de TF1, le sauveteur raconte avoir été «obligé d'y aller», compte tenu des deux nourrissons présents : « Le corps nous guide, on se dit qu'il faut y aller». Fousseynou Samba explique avoir eu peur pour la vie d'un des enfants, qui «aurait pu tomber de mes bras». Mais c'était sans compter son incroyable sang-froid, qui a permis à tout le monde de sortir de cette situation sans être blessé. La famille a été conduite à l'hôpital Robert-Debré. Selon Ian Brossat, Co-président du groupe communiste au Conseil de Paris, au moins treize résidents de l'immeuble ont été intoxiqués par les fumées. Huit d'entre elles étaient encore hospitalisées samedi soir tandis que dix-huit personnes ont dû être relogées. Naomie, qui a été sauvée des flammes avec ses enfants a raconté au Parisien avoir «tout perdu» dans le sinistre.