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Pourquoi la baisse de la natalité met en péril le modèle social français
Pourquoi la baisse de la natalité met en péril le modèle social français

Le Figaro

timea day ago

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Pourquoi la baisse de la natalité met en péril le modèle social français

Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Pour la première fois, le nombre des décès a dépassé celui des naissances. Fondé sur la solidarité intergénérationnelle, le système est mis à mal par cette nouvelle pyramide des âges. De moins en moins de cotisants et de plus en plus de bénéficiaires. L'équation est simple mais sa résolution, infiniment complexe : face au vieillissement des Français et à l'état dégradé des finances, le système de sécurité sociale, imaginé par le communiste Ambroise Croizat à la sortie de la guerre, doit se réinventer. Lors de la présentation de ses orientations budgétaires, François Bayrou l'a répété : « Nous devons (…) reconfigurer notre système social, (qui) a 80 ans. » Pour étayer sa démonstration, le premier ministre peut s'appuyer sur les chiffres : selon la dernière étude de l'Insee, publiée en début d'année, les Français vivent de plus en plus longtemps (80 ans en moyenne pour les hommes et 85,6 ans pour les femmes) ; à l'opposé de la pyramide, les naissances sont en chute libre. « Le haut ne cesse de gonfler par le vieillissement et le bas de se réduire par une baisse de la natalité », résume Maxime Sbaihi, directeur stratégique du Club Landoy et auteur…

Et si on pouvait choisir notre ville comme lieu de naissance de nos enfants ?
Et si on pouvait choisir notre ville comme lieu de naissance de nos enfants ?

Le Parisien

time2 days ago

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  • Le Parisien

Et si on pouvait choisir notre ville comme lieu de naissance de nos enfants ?

« Être né quelque part, pour celui qui est né, c'est toujours un hasard », chantait Maxime Le Forestier en 1987. Le phénomène de concentration des maternités , déjà à l'œuvre en France à cette époque, dessine pourtant une autre réalité. Le nombre de structures hospitalières pratiquant des accouchements est passé de 1 747 en 1972 à un peu plus d'un millier quinze ans plus tard… et à moins de 500 aujourd'hui. De sorte que la carte des naissances s'est considérablement rétrécie en l'espace d'un demi-siècle. Être né quelque part, c'est de moins en moins un hasard.

Choisir la commune de naissance de son enfant : « Ce qui fait identité, c'est la ville dans laquelle on vit »
Choisir la commune de naissance de son enfant : « Ce qui fait identité, c'est la ville dans laquelle on vit »

Le Parisien

time2 days ago

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Choisir la commune de naissance de son enfant : « Ce qui fait identité, c'est la ville dans laquelle on vit »

Spécialiste de la géographie des naissances , le recteur Gérard-François Dumont a notamment dirigé l'ouvrage collectif « Populations, peuplement et territoires en France ». Aujourd'hui, moins de 500 communes sur les 35 000 que compte la France accueillent plus de 99 % des accouchements. Comment en est-on arrivé à ce phénomène de concentration des naissances ?

Pour la première fois depuis 1945, le nombre des décès dépasse celui des naissances en France
Pour la première fois depuis 1945, le nombre des décès dépasse celui des naissances en France

Le Figaro

time7 days ago

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Pour la première fois depuis 1945, le nombre des décès dépasse celui des naissances en France

En mai 2025, le nombre de décès enregistrés sur douze mois consécutifs a excédé celui des naissances sur la même période. Un basculement révélateur de la chute démographique. La chute démographique a franchi un point de bascule en France. En mai 2025, pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, le nombre de décès enregistrés sur douze mois consécutifs a excédé celui des naissances. Selon les données compilées par l'économiste François Geerolf de l'Observatoire français des conjonctures économiques, à partir des données de l'Insee, la France comptabilisait en mai dernier 651.000 décès contre 650.000 naissances sur un an. En d'autres termes, «le solde naturel est négatif», précise l'économiste, rappelant que les projections tablaient plutôt sur 2027 pour un tel retournement. «C'était un basculement attendu», réagit auprès du Figaro le démographe Gérard-François Dumont, qui annonçait pour sa part ce cap dès janvier dernier à l'échelle de la France métropolitaine. «J'ai été surpris que les médias n'en fassent pas les gros titres». Lui considère que l'Insee a été «très lent à réagir», et aurait biaisé la réalité des chiffres en ajoutant les Outre-mers aux statistiques métropolitaines. «En ajoutant Mayotte, la Guyane et La Réunion, l'Insee a pu atténuer la chute. Mais c'est additionner des réalités totalement différentes», estime le démographe, pour qui cette réalité est une «conséquence des rabotages sur la politique familiale». Publicité Jusqu'alors, la France pouvait se targuer de maintenir un taux de natalité supérieur à la moyenne européenne, préservant ainsi une dynamique favorable à son système de retraite et de solidarité. Désormais, cet avantage s'effrite. En métropole comme dans les territoires ultramarins, la tendance est au repli avec près de 20 % de naissances en moins par rapport à 2010. «Cela fait dix ans que la natalité est en baisse par une perte de confiance dans la politique sur la famille», déclare Gérard-François Dumont. La mortalité, elle, progresse naturellement, portée par le vieillissement des générations du baby-boom. De janvier à mai 2025, le nombre de décès quotidien moyen a augmenté de 3,6% par rapport à 2024. D'après l'Insee, le nombre d'actifs continuerait de croître légèrement jusqu'en 2040 avant de décroître, pour retomber à 29 millions à l'horizon 2070. Certaines régions pourraient même connaître ce reflux dès 2036.

Raphaël et Arthur en hausse, Olivia chute… Le classement des prénoms dans les Hauts-de-Seine en 2024
Raphaël et Arthur en hausse, Olivia chute… Le classement des prénoms dans les Hauts-de-Seine en 2024

Le Parisien

time10-07-2025

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Raphaël et Arthur en hausse, Olivia chute… Le classement des prénoms dans les Hauts-de-Seine en 2024

Ils s'appellent Jade ou Noah, et ils font partie des prénoms les plus appréciés en 2024 dans les Hauts-de-Seine. Comme chaque année, l'Insee a publié le classement des prénoms les plus donnés en France . Celui du 92 réserve son lot de confirmations et de nouveautés. Cette année, le palmarès révèle un mélange de classiques bien installés et de prénoms plus récents. Chez les garçons, c'est Gabriel qui arrive en tête, avec 215 bébés ainsi prénommés. Il devance Adam et Raphaël, qui forment le trio de tête. Côté filles, c'est Louise qui prend la première place avec 125 naissances, suivie d'Alma et Emma. Dans le reste du classement, on retrouve aussi des choix plus récents comme Lina ou Sofia, qu'un prénom classique comme Alice. Notamment, certains prénoms très présents dans d'autres départements d'Île-de-France, comme Aaron en Val-de-Marne ou Jeanne à Paris, sont absents du palmarès local cette année. Le classement complet des prénoms féminins et masculins les plus donnés dans les Hauts-de-Seine en 2024 est à retrouver ci-dessous. 1. Gabriel 2. Adam 3. Raphaël 4. Noah 5. Arthur 6. Louis 7. Isaac 8. Liam 9. Lucas 10. Léo 1. Louise 2. Alma 3. Emma 4. Jade 5. Sofia 6. Alice 7. Lina 8. Julia 9. Nour 10. Olivia

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