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Elle gît par 800 mètres de fond : l'épave d'un navire japonais de la Seconde Guerre mondiale retrouvée au large des îles Salomon
Elle gît par 800 mètres de fond : l'épave d'un navire japonais de la Seconde Guerre mondiale retrouvée au large des îles Salomon

Le Figaro

time6 days ago

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  • Le Figaro

Elle gît par 800 mètres de fond : l'épave d'un navire japonais de la Seconde Guerre mondiale retrouvée au large des îles Salomon

Une ONG américaine a fait cette découverte de taille, alors que la zone est explorée à l'approche du 80e anniversaire du conflit. Une découverte de taille sous les eaux de l'océan Indien, au sens propre et figuré. Une équipe de recherche internationale a localisé l'épave d'un navire de guerre japonais de la Seconde Guerre mondiale au fond de la mer, au large des îles Salomon, à l'approche du 80e anniversaire du conflit. Une équipe de l'ONG américaine Ocean Exploration Trust a découvert le Teruzuki, un destroyer de la marine impériale japonaise long de 134 mètres, à plus de 800 mètres de profondeur au large de ce petit État insulaire situé au nord-est de l'Australie. Publicité Poupe et torpilles Une vidéo de l'épave montre des parties du Teruzuki, torpillé par l'armée américaine en 1942, éclairées faiblement par les projecteurs des drones sous-marins de l'équipe. On y distingue notamment de la peinture rouge sur la coque, des canons rouillés et une imposante poupe. Mis en service en 1942, le Teruzuki - qui signifie «Lune brillante» en japonais - avait été conçu pour protéger les porte-avions des attaques aériennes, a précisé l'ONG. Mais quelques mois seulement après son entrée en service, il a été touché par des torpilles américaines et a sombré. La majorité de l'équipage a survécu, à l'exception de neuf hommes, selon Ocean Exploration Trust. Drone La poupe du navire militaire nippon a été retrouvée à plus de 200 mètres de la coque, grâce à des relevés effectués par sonar haute résolution, a précisé l'équipe. Cette découverte a été faite alors que l'équipe explorait la zone à l'aide de drones, dans l'espoir d'y localiser des épaves non identifiées ou d'autres objets.

« L'impression de m'être fait tabasser » : sauriez-vous reconnaître le chikungunya ?
« L'impression de m'être fait tabasser » : sauriez-vous reconnaître le chikungunya ?

Le Soir

time16-07-2025

  • Science
  • Le Soir

« L'impression de m'être fait tabasser » : sauriez-vous reconnaître le chikungunya ?

C'est un vendredi soir comme un autre pour David, passé en famille au restaurant. La quarantaine sportive, il est en pleine forme. Mais à 2 h du matin survient un réveil brutal : « J'avais des douleurs atroces aux pieds, aux chevilles et aux jambes, avec l'impression de m'être fait tabasser. » David ne s'étonne pas très longtemps : il est médecin, vit à La Réunion, sa femme et ses trois enfants ont eu le chikungunya il y a quinze jours. C'est donc son tour. Un moustique-tigre lui a transmis le virus, comme à des dizaines de milliers d'habitants de l'île de l'océan Indien avant et après lui.

Mayotte : deux morts après le chavirage d'une embarcation de migrants
Mayotte : deux morts après le chavirage d'une embarcation de migrants

Le Parisien

time15-07-2025

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  • Le Parisien

Mayotte : deux morts après le chavirage d'une embarcation de migrants

Un chavirage mortel près des côtes mahoraises. Deux personnes sont mortes ce mardi 15 juillet au large de Mayotte après la collision entre un « kwasa-kwasa » transportant des migrants et une vedette de la police nationale, a annoncé la préfecture dans un communiqué. « Ce mardi 15 juillet, aux alentours de 04h30 (03h30 à Paris), un kwasa-kwasa transportant des migrants a effectué un refus d'obtempérer et est entré en collision avec un intercepteur de la police nationale au large de la côte ouest de Mayotte », est-il précisé dans le communiqué. Le choc a provoqué le chavirement de l'embarcation, précipitant ses occupants à la mer. Dix-sept personnes ont pu être secourues mais « deux décès sont à déplorer », selon la même source. Une enquête a été ouverte par le procureur de la République. Auprès de nos confrères de La 1ère , le préfet de Mayotte indique que ce « drame rappelle les risques de l'immigration clandestine, alimentée par des passeurs qui mettent en danger la vie d'hommes, de femmes et d'enfants ». Il condamne « avec la plus grande fermeté ces agissements ». Seuls 70 km séparent Mayotte de l'île comorienne d'Anjouan, d'où partent sur de rudimentaires barques en bois de nombreux candidats à l'émigration vers la France. Le bras de mer qui sépare les deux îles est une route migratoire particulièrement meurtrière. Un rapport sénatorial publié en 2012, un an après l'incorporation de Mayotte parmi les départements français, estimait entre 7 000 et 12 000 le nombre de morts ou disparus lors de traversées depuis 1995. En novembre 2024, au moins 25 personnes avaient péri dans le naufrage de leur embarcation au large des Comores, un drame attribué par des survivants et l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) à des passeurs ayant volontairement coulé le bateau.

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