
« L'impression de m'être fait tabasser » : sauriez-vous reconnaître le chikungunya ?

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Articles connexes

Le Soir
3 days ago
- Le Soir
Des oligo-éléments vitaux pour notre santé
Dans une conférence, Bernard Meunier, directeur de recherche émérite au CNRS, expliquait qu'au naturel, le corps humain est constitué d'oligo-éléments tels que l'azote, le phosphore, l'oxygène, le carbone et l'hydrogène, sans oublier la quadrilogie des sodium, potassium, calcium et magnésium. Mais parmi les oligo-éléments figurent aussi des métaux essentiels, dont notre organisme a besoin, mais qu'il ne produit pas lui-même, comme le fer, le cobalt, le zinc, le sélénium, le cuivre et le molybdène, ou encore des métaux dits « de transition » : le manganèse et le chrome. Pour en bénéficier, il faut donc les consommer. Seule une alimentation équilibrée nous permettra de profiter de leurs bienfaits. Attention, tous les métaux ne sont pas bons pour notre organisme qui doit parvenir à se munir en métaux essentiels, mais aussi à éliminer des ions métalliques tels que le mercure et le plomb susceptibles de nous rendre malades.

Le Soir
5 days ago
- Le Soir
Carence en iode : à l'industrie et à l'Etat d'agir
Ah, vous allez à la mer ce week-end ! Vous allez faire le plein d'iode ! » Basée sur un fond de vérité (nous manquons tous d'iode, essentiel à notre bonne santé), cette rengaine n'a pourtant rien de formellement correct. Ce n'est pas un bon bol d'air marin qui va y remédier. Indispensable au bon fonctionnement de l'organisme, l'iode constitue la base chimique des hormones thyroïdiennes, essentielles à la régulation de nombreux processus métaboliques. Ces hormones agissent dans la plupart des organes du corps humain, notamment le cerveau, le cœur et le tube digestif. « S'il n'y a pas d'iode, on ne peut pas synthétiser les hormones thyroïdiennes », résume le D r Rodrigo Moreno-Reyes, chef de clinique au service de médecine nucléaire de l'Hôpital universitaire de Bruxelles (HUB).

Le Soir
21-07-2025
- Le Soir
On mise sur les crudités cet été
« Avant, on disait qu'il fallait manger davantage en hiver qu'en été, pour se réchauffer par un apport calorique plus important : cette idée n'est plus d'actualité », nous explique le D r Vanessa Rolland, médecin nutritionniste au CHU Saint-Pierre à Bruxelles. Si nos besoins nutritionnels ne varient plus vraiment selon la saison, en été, certains comportements alimentaires sont à proscrire et d'autres à encourager…