Dernières actualités avec #famille


Le Figaro
5 hours ago
- Entertainment
- Le Figaro
«Le bébé aurait pu tomber de mes bras»: l'incroyable sauvetage par un homme d'une famille bloquée dans un appartement en feu à Paris
VIDÉO - Bloquée par les flammes, une famille a été extraite de son appartement du 18e arrondissement de la capitale grâce à l'aide héroïque d'un voisin, perché pendant plusieurs minutes sur la corniche de l'immeuble. Vendredi 4 juillet au soir, un départ de feu est signalé au deuxième étage d'un immeuble situé au 49, rue de la Chapelle, dans le 18e arrondissement de Paris. Très vite, les flammes affluent aux étages, accompagnées d'une épaisse couche de fumée. Naomie, sa voisine et ses quatre enfants empruntent alors les escaliers pour s'extraire mais sont vite stoppés par les fumées toxiques et se retrouvent bloqués au sixième étage de l'immeuble. Prisonniers des flammes. Puis survient le «miracle». La scène à peine croyable, captée par une voisine, montre alors un homme venir porter secours aux sinistrés. Publicité Bravant la peur, Fousseynou Samba a enjambé sa fenêtre, avançant à petit pas sur les rebords de l'immeuble. Seuls quelques centimètres de taule le séparaient du vide. Sur la vidéo, on le voit saisir consécutivement, un premier enfant, un nourrisson, puis un deuxième, suivi de près par la mère de famille. Le moindre faux geste aurait pu virer au drame. Les bébés portés à bout de bras au-dessus du vide sont donnés à une personne restée dans l'appartement épargné. À nos confrères de TF1, le sauveteur raconte avoir été «obligé d'y aller», compte tenu des deux nourrissons présents : « Le corps nous guide, on se dit qu'il faut y aller». Fousseynou Samba explique avoir eu peur pour la vie d'un des enfants, qui «aurait pu tomber de mes bras». Mais c'était sans compter son incroyable sang-froid, qui a permis à tout le monde de sortir de cette situation sans être blessé. La famille a été conduite à l'hôpital Robert-Debré. Selon Ian Brossat, Co-président du groupe communiste au Conseil de Paris, au moins treize résidents de l'immeuble ont été intoxiqués par les fumées. Huit d'entre elles étaient encore hospitalisées samedi soir tandis que dix-huit personnes ont dû être relogées. Naomie, qui a été sauvée des flammes avec ses enfants a raconté au Parisien avoir «tout perdu» dans le sinistre.


Le Parisien
5 hours ago
- Politics
- Le Parisien
« C'est souvent moins cher qu'une salle de réception » : le business florissant de la location de jardins
Quelques tables alignées d'un côté, des jeux de l'autre, les enfants ne savent plus où donner de la tête. Leur va-et-vient ne dérange personne, le jardin de 600 mètres carrés est là pour ça. L'après-midi commence à peine en ce samedi de printemps à Cergy (Val-d'Oise), mais déjà les premiers invités sont là, tandis que les hôtes terminent la mise en place de larges plateaux de mini-burgers, wraps faits maison très appétissants. « Tu as loué la maison ? » interroge un couple d'amis tout juste arrivé. « Non, seulement le jardin ! » souffle Aldyne, leur hôte. La quadragénaire est en effet passée par Jardins-prives pour organiser sa triple fête : l'anniversaire de sa fille aînée de 27 ans, celui de sa cadette de tout juste 1 an, née le même jour, et ses onze ans de mariage. « J'aurais pu recevoir dans notre appartement, il est suffisamment grand, mais j'avais envie de marquer le coup », glisse-t-elle.


La Presse
a day ago
- Politics
- La Presse
Petit bonheur dans Hochelaga
Zoé Grenier-Laroche et son chien Brocoli, dans leur maison rénovée du quartier Hochelaga Pendant la pandémie, Zoé Grenier-Laroche s'est retrouvée à la recherche d'un appartement, avec un bébé naissant et un chien. Mission impossible ? Presque. Mais heureusement, celle qui a plus d'un tour dans son sac – dont celui d'être designer – a su prendre les choses en main pour créer un nid douillet à sa famille. « On s'est fait refuser de multiples logements à cause du chien, et de multiples logements à mots couverts à cause de notre enfant », lance d'emblée Zoé Grenier-Laroche. Elle nous raconte cette histoire alors qu'elle nous reçoit dans sa jolie maison, où elle est aujourd'hui installée avec son amoureux, leur enfant de 5 ans et leur chien Brocoli. Mais si tout ce cauchemar semble bien loin aujourd'hui, le chemin pour en revenir a été semé d'embûches. Après des mois de recherches dans un contexte pandémique marqué par la surenchère, ils ont fini par mettre la main sur un appartement… mais la propriétaire les a aussitôt avertis qu'elle le reprendrait un jour. Zoé s'est donc activée à trouver un toit permanent pour abriter sa famille, d'où il serait impossible de les évincer. « On cherchait, mais on ne trouvait rien à notre goût. On a visité beaucoup de choses qui ne nous convenaient pas nécessairement. On avait un budget de jeune famille, aussi », poursuit celle qui a fondé la boîte de design Maison Fauves. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES L'aménagement global de la maison a été revu, dont l'emplacement de l'escalier. C'est ainsi qu'un jour, ils ont visité la maisonnette qui allait devenir la leur, dans le quartier Hochelaga. Seul bémol : il n'y avait qu'une chambre, dans une grande aire ouverte à l'étage. Mais Zoé et son conjoint – qui travaille aussi en aménagement – ont tout de suite vu le potentiel d'en ajouter une autre. Ils ont donc acquis la résidence à un prix raisonnable, et se sont attelés à la mettre à leur goût… et à doubler le nombre de chambres. « Avec un peu d'imagination, et quand même beaucoup de travaux, on a réussi à en faire ce que c'est aujourd'hui », résume Zoé. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES La cuisine compte tout l'espace nécessaire pour accueillir la famille. La porte-fenêtre donne sur une petite cour, à l'arrière. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES Après avoir été rénovée, la cuisine s'avère maintenant sobre et efficace. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES Les planchers de pin, les tuiles de terracotta et les arches entre les pièces font partie des éléments de décor ajoutés par les propriétaires. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES Le salon se situe à l'avant de la maison. Il donne sur une petite rue calme. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES La cuisine compte tout l'espace nécessaire pour accueillir la famille. La porte-fenêtre donne sur une petite cour, à l'arrière. 1 /4 Le cachet retrouvé Puisque tout le cachet de la maison d'origine avait disparu lors des rénos précédentes, le couple a voulu en remettre des touches ici et là. En font foi les tuiles de terracotta dans la cuisine et la salle de bains, ainsi que les arches entre les pièces. Aussi, le plancher flottant a été remplacé par du pin, plutôt typique des constructions québécoises anciennes, souligne Zoé. Ça avait l'avantage d'être assez abordable. Aussi, on a essayé de ramener un peu d'histoire dans la place. Zoé Grenier-Laroche, copropriétaire et fondatrice de Maison Fauves Il y a tout l'espace nécessaire pour cuisiner et manger dans la grande cuisine fonctionnelle. Celle-ci donne sur la cour, où leur fils peut jouer dans le carré de sable pendant que les parents préparent le souper. « Pour la grandeur, on est un peu mieux que n'importe quel condo qu'on aurait acheté », résume la propriétaire. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES La chambre principale est munie d'un coin bureau, dont la table rétractable permet d'économiser de l'espace. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES La chambre du petit est munie d'une penderie PAX, qui provient du magasin IKEA. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES Il y a même de l'espace pour des petits coins ludiques dans la chambre de l'enfant. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES La chambre principale est munie d'un coin bureau, dont la table rétractable permet d'économiser de l'espace. 1 /3 L'étage supérieur a été complètement réaménagé pour y intégrer deux chambres – dont les dimensions sont tout à fait raisonnables, malgré le scepticisme du courtier vendeur ! La chambre principale contient même un coin pour le télétravail, avec bureau rétractable. Celle du petit est équipée d'une penderie PAX de chez IKEA, où il peut ranger ses vêtements et ses jouets. Là-haut, de la chambre des parents, on a une vue sur le pont Jacques-Cartier et La Ronde, grâce à l'emplacement à la limite sud-ouest du quartier. C'est très urbain, mais en même temps, hyper calme. Zoé Grenier-Laroche, copropriétaire et fondatrice de Maison Fauves Quant à la salle de bains, qui se trouvait au deuxième niveau quand ils ont acquis la maison, elle a été déplacée au rez-de-chaussée. Elle se situe dans le couloir entre le salon et la cuisine. De dimension modeste, elle est néanmoins dotée de tout ce qu'il faut : un bain profond pour le petit, un grand lavabo, une laveuse et une sécheuse superposées… « Il y avait vraiment une volonté, dans ma démarche, de rationaliser les espaces, affirme la designer. Oui, c'est l'fun quand c'est vaste. Mais la réalité budgétaire et écologique dans la vie, c'est qu'il faut qu'on restreigne un peu. » PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES On y retrouve le terracotta, mais aussi de fines tuiles blanches. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES La salle de bains est compacte et parfaitement fonctionnelle ! PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES L'entrée est maintenant tout à fait fonctionnelle. La porte à droite donne accès au rangement sous l'escalier. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES On y retrouve le terracotta, mais aussi de fines tuiles blanches. 1 /3 L'entrée ainsi que la disposition de la cage d'escalier n'ont pas échappé aux remaniements. « On a transformé tout le dessous de l'escalier en rangement », explique celle qui se décrit comme « multicurieuse ». Elle peut ainsi y entreposer les nombreux objets et équipements que requièrent ses multiples intérêts. C'est bien beau de rêver, mais la vraie vie, c'est des maisons où il y a un peu de bordel, des livres qui traînent, des dessins d'enfants accrochés au mur… Zoé Grenier-Laroche, copropriétaire et fondatrice de Maison Fauves Et comme toute bonne chose a une fin, la petite famille compte déménager d'ici la fin de l'été dans la région de Kamouraska, d'où Zoé est originaire. Ils auront ainsi tout l'espace voulu pour exercer leurs nombreuses passions. Et cette maison de Montréal, rénovée avec amour, attend une autre famille qui pourra y construire son propre bonheur. Consultez le site de Maison Fauves


Le Figaro
a day ago
- Business
- Le Figaro
La Chine inaugure son premier Legoland
Malgré les températures caniculaires, le premier parc de Lego a ouvert ses portes aujourd'hui en Chine, profitant du rebond du tourisme intérieur. 318.000 mètres carrés, ou le plus grand Legoland du monde. Des milliers de fans de Lego ont afflué dans le tout premier parc Legoland de Chine malgré la température caniculaire, qui a ouvert ses portes à Shanghai samedi. Et ce dans un contexte où le tourisme intérieur progresse fortement dans le pays malgré la faible croissance économique. «J'adore jouer avec les Lego et nous en avons beaucoup à la maison. Je voulais donc venir à Legoland dès que possible», a confié Shi, un habitant de 35 ans de la ville voisine de Hangzhou, qui visite le parc avec sa femme et son enfant. Malgré la faible croissance de l'économie chinoise ces dernières années, le marché du tourisme intérieur a progressé de 18,6% au premier trimestre, par rapport à l'année dernière, selon les statistiques officielles. «Depuis la pandémie (de Covid 19), j'ai fait très peu de voyages à l'étranger», explique Shi, ajoutant que sa famille se rend désormais «plusieurs fois par an» dans les parcs à thème de Chine. Pékin a annoncé des subventions pour rendre les voyages dans l'intérieur du pays plus abordables pour les citoyens chinois, et incite les pouvoirs provinciaux à commercialiser largement leurs attractions sur les réseaux sociaux. Publicité Spider-Man, Harry Potter... La concurrence est rude Legoland va faire face à une rude concurrence: une nouvelle attraction «Spider-Man» à Shanghai Disneyland a été inaugurée en mai, tandis que Warner Brothers s'apprête à ouvrir un parc Harry Potter, également à Shanghai, d'ici 2027. Et le géant américain du jouet Hasbro a annoncé cette semaine que son parc géant Peppa Pig dans la métropole du sud de la Chine était désormais «en phase de conception créative». Le fabricant chinois de jouets à collectionner Pop Mart a de son côté ouvert à Pékin une attraction présentant des versions grandeur nature de ses populaires jouets Labubu. «Les différentes provinces déploient beaucoup d'efforts pour développer leur industrie touristique, et toutes ont des attractions spéciales», remarque Xu, 34 ans, qui visite Legoland avec ses enfants. Mais la rentabilité reste un problème, en particulier pour les entreprises locales dont la marque est moins connue. À la fin de l'année 2024, environ 40% des parcs ne parvenaient toujours pas à dégager des bénéfices, selon les médias d'État. Les analystes soulignent cependant qu'une population croissante de retraités et les changements sur le marché de l'emploi sont des facteurs clés qui poussent davantage de Chinois à visiter les attractions nationales. «Le marché du travail devient plus flexible», estime Ernan Cui, analyste chez Gavekal Research, «davantage de personnes disposent de temps libre pour voyager».


Le Parisien
a day ago
- Entertainment
- Le Parisien
Dans le secret du couple : ils ont choisi de ne pas avoir d'enfant
Ses deux grandes sœurs, même son petit frère… tous sont désormais parents . À 31 ans, Louise est quatre fois « tata ». Un rôle qu'elle prend très à cœur. « Mes nièces et mes neveux sont les plus beaux enfants du monde », lance-t-elle, un peu gaga. Ils ont entre 6 mois et 7 ans, et la Nantaise se plaît à les garder de temps à autre. « Ce sont toujours de bons moments que je partage avec eux », assure-t-elle. Toutefois, leurs grosses crises de larmes et leurs petites chamailleries l'ont confortée dans son envie de ne pas avoir d'enfant.