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Bouger pour ne pas diminuer son espérance de vie
Bouger pour ne pas diminuer son espérance de vie

Le Soir

timea day ago

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Bouger pour ne pas diminuer son espérance de vie

Dans « La santé sans ordonnance », un ouvrage publié aux éditions du Rocher, le médecin lillois Olivier Vankemmel met en lumière les cinq principales sources d'énergie de notre santé : l'air, l'eau, le soleil, l'activité physique et l'alimentation. Ce chirurgien urologue, diplômé en cancérologie, qui a aussi été athlète de haut niveau, est conscient que la médecine n'offre que des médicaments « anti-quelque chose » (antibiotique, antiallergique, antihypertenseur…) et que, ce faisant, elle ignore notre « pharmacie intérieure », c'est-à-dire « les forces vives naturelles du corps » qui doivent servir à le maintenir en bonne santé. Dans le chapitre qu'il consacre au mouvement, l'une de ces cinq sources d'énergie, le D r Vankemmel met en garde contre le danger vital que représente la sarcopénie – le vrai terme pour « fonte musculaire ». C'est un mal qui survient avec le temps, essentiellement chez les personnes qui ne pratiquent pas ou plus d'exercice physique.

Agression d'un médecin à Lille: deux hommes condamnés à un an de prison ferme
Agression d'un médecin à Lille: deux hommes condamnés à un an de prison ferme

Le Figaro

time7 days ago

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Agression d'un médecin à Lille: deux hommes condamnés à un an de prison ferme

Deux hommes de 22 et 29 ans, ont été condamnés à un an de prison ferme, pour avoir agressé un médecin de SOS Médecins à Lille. Les deux prévenus, un oncle et son neveu vêtus de t-shirts noir et blanc ont été reconnus coupables de «violence aggravée» en réunion, suivie d'incapacité n'excédant pas huit jours. Le tribunal a suivi les réquisitions du parquet et les a condamnés à 12 mois d'emprisonnement ferme, peine avec bracelet. Ils sont également condamnés à 1.000 euros de dommages pour préjudice moral et interdiction de paraître à l'antenne de SOS Médecins. L'agression commise le 2 juillet en fin de journée à l'antenne lilloise de SOS Médecins, à Lille-Moulins (sud de la ville) avait entraîné une grève de SOS médecins, qui avait évoqué une «expédition punitive». À l'audience, ils ont reconnu partiellement les faits, et exprimé des regrets. Selon des témoins, plusieurs fois, ils auraient traité le médecin de «pédophile». À la barre, le plus jeune a reconnu qu'«il n'y a aucune logique à dire pédophile, ma sœur est majeure». Publicité Sans antécédents judiciaires, les deux hommes, le plus âgé travaillant dans l'hôtellerie, le plus jeune étudiant et ambulancier, ont expliqué être venus pour des explications avec le médecin après que le plus jeune eut appris que sa sœur, 21 ans, était rentrée d'une consultation en pleurs. La jeune femme avait été reçue pour des maux de ventre en début d'après-midi par ce médecin, exerçant depuis 26 ans à l'antenne lilloise de SOS Médecins. Elle aurait dit à sa mère au téléphone que le médecin l'avait questionnée, lui avait posé la main sur le ventre, et suggéré de perdre du poids. Elle a depuis porté plainte pour agression sexuelle, a indiqué la présidente du tribunal. «On est dans un dossier où il n'y a que la connerie humaine» «Je reconnais que ce qui a été fait n'est pas à faire, s'introduire dans un cabinet médical, c'est quelque chose qu'on regrette», a déclaré le plus jeune, fines lunettes et cheveux mi-longs. Ayant entendu la conversation téléphonique entre sa sœur et sa mère, il s'est rendu chez SOS Médecins avec son oncle, faisant irruption dans le cabinet du médecin en obligeant des patients présents à partir. Le médecin, insulté, reçoit du plus jeune, boxeur confirmé, trois coups au front, et un coup de la paume du plus âgé, avant qu'un autre médecin fasse fuir le duo. «On est dans un dossier où il n'y a que la connerie humaine» a déclaré à la barre la victime, chemise claire et cheveux gris. «Le simple fait de dire non, c'est quelque chose qui est extrêmement pénible», a-t-il ajouté. Pour l'avocat du conseil de l'ordre des médecins du Nord et l'ordre national, Florian Munga et sa consoeur Julien Paternoster cette audience a été «très éprouvante pour tous les médecins. Les médecins ont un message a faire passer: plus jamais ça.» Dans ses réquisitions, la procureure a estimé que les prevenus avaient présenté des «excuses de façade». «Ils débarquent à SOS médecins, utilisent un faux prétexte» sont «décrits avec un ton agressif», insultent le médecin, disent «on va te tuer» au standardiste. Selon la procureure, ils voulaient «régler leurs comptes pour des prérogatives qu'ils se sont arrogées de justiciers».

« Une décision très préoccupante » : fin des opérations des cancers digestifs à la clinique de Villeneuve-Saint-Georges
« Une décision très préoccupante » : fin des opérations des cancers digestifs à la clinique de Villeneuve-Saint-Georges

Le Parisien

time7 days ago

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« Une décision très préoccupante » : fin des opérations des cancers digestifs à la clinique de Villeneuve-Saint-Georges

« Pourquoi nous retirer quelque chose que l'on fait très bien ? » À la clinique Ramsay de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne), cette médecin anesthésiste ne décolère pas. Elle a appris récemment qu'à compter du 15 septembre, il n'y aurait plus de chirurgie oncologique viscérale et digestive à la clinique. Plus d'opération des cancers digestifs . La nouvelle est tombée par un courrier de l'agence régionale de santé (ARS) Île-de-France. Celle-ci notifie en effet aux établissements de santé les autorisations d'activités de traitement, du cancer notamment. À Villeneuve-Saint-Georges, elle a donné son aval à la poursuite de la chirurgie oncologique urologique et celle dite « indifférenciée » (soit l'oncologie des organes ne rentrant pas dans les autres catégories), pour une durée de sept années.

« Depuis quand une angine nécessite de mater les seins ? » : le médecin de Romilly soupçonné d'agressions sexuelles avait reçu une aide à l'installation
« Depuis quand une angine nécessite de mater les seins ? » : le médecin de Romilly soupçonné d'agressions sexuelles avait reçu une aide à l'installation

Le Parisien

time08-07-2025

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« Depuis quand une angine nécessite de mater les seins ? » : le médecin de Romilly soupçonné d'agressions sexuelles avait reçu une aide à l'installation

Le médecin généraliste de Romilly-sur-Seine mis en examen pour agressions sexuelles et outrage sexiste avait pratiquement été accueilli comme le messie voici moins de trois dans la commune de l'Aube. En plein désert médical, il s'était installé dans la commune en novembre 2022 à la suite du départ inattendu et brutal d'un médecin du centre-ville. Venu de Trappes en région parisienne, le généraliste avait accepté de venir reprendre le cabinet quatre jours par semaine tout en conservant sa patientèle des Yvelines. La ville de Romilly-sur-Seine avait alors accepté de lui verser une aide à l'installation de 500 euros par mois durant trois ans (assortie d'une obligation d'exercer durant cinq ans). Un coup de pouce financier qui avait, croyait-on à l'époque, permis de soulager la détresse de « plus de 2 500 patients sans suivi médical », comme l'avait alors indiqué la maire adjointe à la santé Marie-Thérèse Lucas dans le quotidien local L'Est-Eclair . Cible d'une enquête de la brigade de gendarmerie de Romilly-sur-Seine depuis le mois d'avril, le médecin de 47 ans est aujourd'hui suspecté d'une vingtaine d'agressions sexuelles, y compris sur mineurs de plus de 15 ans. Il a été placé sous contrôle judiciaire avec notamment l'interdiction d'exercer toute activité de médecine. Aussi stupéfiant que cela puisse paraître les soupçons le concernant s'étalaient au grand jour sur les réseaux sociaux bien avant la révélation de l'affaire. « J'ai eu un rendez-vous avec ce docteur ce matin même après une gêne dans mon oreille. Ponctuel et sympathique, il me diagnostique une otite. L'auscultation s'est bien passée jusqu'à ce que ce monsieur se permette de tapoter mon ventre en me demandant s'il y avait un bébé dedans. À quel moment on se permet de toucher les personnes comme ça, et quand va-t-on arrêter de demander à une femme de forte corpulence si elle est enceinte ou non ? », s'interroge ainsi une patiente dans un avis posté. Même sentiment de pratique « invasive » pour une autre femme qui se plaint d'un geste déplacé. « Ce médecin m'a ausculté. J'avais un débardeur. Sans me demander, il l'a soulevé avec mon soutien-gorge alors que ce sont des résultats de mon bilan que je ramenais. J'étais gênée…. Il se colle alors sur mes seins en se mettant devant moi. En plus, il s'avère que j'étais en prédiabétique… Il m'a juste dit de faire attention au sucre et c'est tout », écrit la patiente pour le moins déroutée. Le médecin, qui semble avoir un penchant pour la nudité des femmes, n'en est pas apparemment pas à son coup d'essai. « Je suis venue pour une angine et ce docteur m'a demandé d'enlever mon tee-shirt, m'a tapoté le ventre en me demandant s'il y avait un bébé dedans… puis m'a demandé de soulever mon soutien-gorge. Depuis quand une angine nécessite de mater les seins ? », questionne une autre femme. De son côté, une maman, soulève carrément la notion d'incompétence. « Je sors des urgences de Provins pour ma fille de deux mois. Nous avons été voir le docteur, si on peut appeler cela un docteur, pour la petite. Il lui a diagnostiqué une bronchiolite qu'au final, elle n'avait pas et lui a donné un traitement de cheval pas adapté qui, au final, l'a rendue encore plus malade. Fuyez vraiment ce médecin ! » D'autres, toujours sur réseaux sociaux, soulignent une curieuse habitude du praticien : celle de fermer la porte de la salle d'osculation à clé lorsqu'il est en présence d'un patient. Sur la foi de l'enquête des gendarmes, le parquet de Troyes a ouvert mercredi une information judiciaire pour des faits « d'agressions sexuelles par personne abusant de l'autorité conférée par sa fonction », y compris sur des mineurs de plus de 15 ans, et d'outrage sexiste. Ce qui a conduit à la mise en examen du praticien à l'issue d'une première comparution devant le juge d'instruction désigné. En outre, a précisé la procureure Charlène Mahot, il a été suspendu par le Conseil de l'Ordre des médecins, qui a ouvert une procédure disciplinaire. De leur côté, les gendarmes de l'Aube n'excluent pas de recevoir de nouveaux témoignages.

« Il n'y a pas d'autres choix » : dans l'Oise, les téléconsultations en pharmacie explosent
« Il n'y a pas d'autres choix » : dans l'Oise, les téléconsultations en pharmacie explosent

Le Parisien

time08-07-2025

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« Il n'y a pas d'autres choix » : dans l'Oise, les téléconsultations en pharmacie explosent

En 2024, la commune de Mouy ( Oise ) a perdu un de ses deux médecins généralistes, parti en arrêt maladie. Panique pour les quelque 5 400 habitants pour qui un seul praticien ne suffisait pas. « Nous avions énormément de demandes à ce moment-là, les gens avaient besoin d'un dépannage », explique l'un des responsables de la pharmacie Vermont. Alors, pour répondre à ce besoin, l'officine a déployé un système de cabine de téléconsultation médicale . Un dispositif qui, depuis, a été maintenu. Besoin d'antibiotique ou d'un conseil, problème et renouvellement d'ordonnance, malgré le retour récent d'un autre médecin dans la ville de Mouy, cette alternative reste appréciée des habitants.

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