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Wilson, la vedette du film «Seul au monde», a été retrouvé dans cet archipel paradisiaque du Pacifique
Wilson, la vedette du film «Seul au monde», a été retrouvé dans cet archipel paradisiaque du Pacifique

Le Figaro

time8 hours ago

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  • Le Figaro

Wilson, la vedette du film «Seul au monde», a été retrouvé dans cet archipel paradisiaque du Pacifique

À l'occasion des 25 ans du film, le ballon de volley qui tient compagnie à Tom Hanks pendant quatre ans sur une île déserte est au cœur d'une campagne de promotion touristique émouvante. C'est l'une des robinsonnades les plus connues du cinéma. Celle de Chuck Noland, un cadre de l'entreprise de livraison FedEx joué par Tom Hanks, qui s'échoue sur une île de l'océan Pacifique après le crash de son avion. Quelques jours après le début de son «séjour» (qui durera quatre années au total), il trouve un semblant de compagnie auprès de Wilson, un ballon de volleyball apporté par les vagues qu'il personnifie en y dessinant un visage avec son sang. Vingt-cinq ans après la sortie du film de Robert Zemeckis, Seul au monde, le célèbre ballon devient la mascotte de la nouvelle campagne de promotion de l'office de tourisme des Fidji. «Tourism Fiji célèbre les 25 ans de Seul au monde avec un hommage réconfortant, 'Wilson et son destin heureux', réunissant le personnage emblématique avec Fidji. La campagne met en avant le charme des Fidji et leur statut croissant en tant que destination de choix pour le cinéma et les voyages», souligne-t-il sur les réseaux sociaux. Un million de visiteurs en 2024 Publicité Dans le court-métrage de promotion d'une minute et demie baptisé Wilsons Happily Ever After («Wilson heureux pour toujours» en français), on y voit le ballon échouer sur la plage du Serenity Island Resort. Wilson est récupéré par une fillette et sa mère se promenant au bord de l'océan. Elles l'adoptent et l'emmènent dans leur vie quotidienne insulaire, à la découverte de la Côte de corail, de forêts tropicales luxuriantes, de villages paisibles et de plages secrètes. Une invitation originale à découvrir cet archipel de l'océan Pacifique encore relativement confidentiel. Peuplé d'environ 930.000 habitants, le pays a accueilli un million de visiteurs en 2024, dont seulement 6800 en provenance de France. À 2000 km de la Nouvelle-Zélande et 3000 km de Sydney, la destination aux 322 îles est un lieu idéal pour se sentir comme seul au monde.

«Une insulte au peuple» : à Cuba, une ministre démissionne après avoir nié l'existence de mendiants sur l'île
«Une insulte au peuple» : à Cuba, une ministre démissionne après avoir nié l'existence de mendiants sur l'île

Le Figaro

time6 days ago

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«Une insulte au peuple» : à Cuba, une ministre démissionne après avoir nié l'existence de mendiants sur l'île

Dans un pays étranglé par la pauvreté, une déclaration de la ministre du Travail a provoqué une rare vague de critiques populaire qui l'a contrainte à démissionner. C'est une polémique assez inhabituelle à Cuba, où les critiques contre le gouvernement communiste sont rares et peuvent conduire en prison. La ministre cubaine du Travail, Marta Elena Feito Cabrera, a été contrainte de démissionner sous la pression populaire pour avoir relativisé la pauvreté qui étrangle l'île, dans un contexte économique de plus en plus difficile, rapporte la BBC. Marta Elena Feito Cabrera a en effet nié devant le Parlement l'existence de «mendiants» à Cuba, estimant que les nombreuses personnes qui fouillaient les ordures le faisaient par choix, pour gagner «de l'argent facile». La ministre les a même accusés d'être des «travailleurs illégaux des services de recyclage». Cette sortie a déclenché une vague de critiques publiques, rares dans un pays où toute dissension peut être sévèrement réprimée. À lire aussi Du black-out à la lumière, Cuba passe à l'énergie solaire grâce aux Chinois Publicité Le pays continue de faire face à une crise économique Plusieurs activistes et intellectuels cubains ont publié une lettre ouverte appelant à la destitution de la ministre, qualifiant ces déclarations d'«insulte au peuple cubain». Les niveaux de pauvreté et les pénuries alimentaires se sont aggravés sur l'île ces derniers mois, alors que le pays continue de faire face à une crise économique que le gouvernement attribue à l'embargo américain. Dans ce contexte, il est devenu plus courant d'apercevoir des Cubains fouiller les poubelles pour y trouver de la nourriture. Face à cette vague de colère, le président cubain Miguel Diaz-Canel lui-même a critiqué sans la nommer Marta Elena Feito Cabrera lors d'une session parlementaire, affirmant que le gouvernement ne pouvait pas «agir avec condescendance» et être «déconnecté des réalités» du peuple. Sous la pression, la ministre a été contrainte de présenter sa démission, qui a été acceptée par le parti communiste et le gouvernement.

« L'impression de m'être fait tabasser » : sauriez-vous reconnaître le chikungunya ?
« L'impression de m'être fait tabasser » : sauriez-vous reconnaître le chikungunya ?

Le Soir

time6 days ago

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« L'impression de m'être fait tabasser » : sauriez-vous reconnaître le chikungunya ?

C'est un vendredi soir comme un autre pour David, passé en famille au restaurant. La quarantaine sportive, il est en pleine forme. Mais à 2 h du matin survient un réveil brutal : « J'avais des douleurs atroces aux pieds, aux chevilles et aux jambes, avec l'impression de m'être fait tabasser. » David ne s'étonne pas très longtemps : il est médecin, vit à La Réunion, sa femme et ses trois enfants ont eu le chikungunya il y a quinze jours. C'est donc son tour. Un moustique-tigre lui a transmis le virus, comme à des dizaines de milliers d'habitants de l'île de l'océan Indien avant et après lui.

Le silence d'une « île morte »
Le silence d'une « île morte »

La Presse

time12-07-2025

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Le silence d'une « île morte »

Un enfant regarde l'île de Cartí Tupile à partir de l'île de Cartí Sugdupu, pratiquement désertée en raison des menaces posées par les changements climatiques. Un an après un exode forcé par la montée de la mer et les changements climatiques, les Kunas de l'îlot de Cartí Sugdupu, dans l'archipel de San Blas, refont leur vie sur le continent alors qu'une poignée de résidants a refusé de partir. MARTIN BERNETTI Agence France-Presse Migration planifiée PHOTO MARTIN BERNETTI, AGENCE FRANCE-PRESSE La quasi-totalité des habitants indigènes de Cartí Sugdupu a déserté la petite île panaméenne des Caraïbes que la mer va inexorablement submerger. Le calme sur l'îlot de Cartí Sugdupu contraste aujourd'hui avec l'agitation de ces jours de juin 2024 où environ 1200 Kunas ont été emmenés par bateau vers une nouvelle vie dans un quartier construit sur la terre ferme, l'une des premières migrations planifiées en Amérique latine à cause du changement climatique. Les rues autrefois remplies de rires d'enfants sont devenues silencieuses. « Sortir les gens d'une île pour les emmener ailleurs montre la réalité de la planète que nous devons déjà affronter », a déclaré à l'AFP la directrice générale de la COP30, Ana Toni. Lisez le reportage « Abandonner son île avant d'être englouti » PHOTO MARTIN BERNETTI, AGENCE FRANCE-PRESSE Cartí Sugdupu est l'une des 49 îles habitées sur les 365 qui composent l'archipel paradisiaque de San Blas – situé dans la comarque (territoire autonome) indigène Guna Yala, sur la côte nord du Panamá –, dont la disparition, selon des études scientifiques, surviendra avant la fin du siècle. PHOTO MARTIN BERNETTI, AGENCE FRANCE-PRESSE Des salles de classe vides et poussiéreuses, voilà tout ce qui reste d'une école qui grouillait autrefois d'enfants. « Les amis ne sont plus là, les enfants qui jouaient ont disparu, tout est silencieux, comme une île morte », se désole Delfino Davies, qui possède un petit musée dans l'île. PHOTO MARTIN BERNETTI, AGENCE FRANCE-PRESSE De nombreuses maisons en bois de l'île sont cadenassées. « Il n'y a personne ici. Parfois, je suis triste quand je suis seule ici », explique Mayka Tejada, 47 ans, dans le petit magasin où elle vend des bananes, des citrouilles, des vêtements, des jouets et des cahiers. Sa mère et ses deux enfants de 16 et 22 ans ont, eux, quitté l'îlot. PHOTO MARTIN BERNETTI, AGENCE FRANCE-PRESSE Une centaine de personnes ont décidé de rester dans l'île de 400 m de long sur 150 m de large, soit environ la superficie de cinq terrains de soccer. PHOTO MARTIN BERNETTI, AGENCE FRANCE-PRESSE Certains réfugiés climatiques partagent leur temps entre Cartí Sugdupu et Isber Yala (sur le territoire continental du Panamá), tandis que d'autres se rendent occasionnellement dans l'île pour vérifier l'état de leur maison, fermée ou prêtée à des habitants d'autres îles. PHOTO MARTIN BERNETTI, AGENCE FRANCE-PRESSE Assise dans un hamac dans sa maison au sol en terre battue et à l'odeur d'herbes médicinales, Luciana Perez, 62 ans, dit qu'elle n'avait pas l'intention de partir. « Je suis née à Cartí et j'y mourrai. Rien ne coule. Les scientifiques ne le savent pas, il n'y a que Dieu. » PHOTO MARTIN BERNETTI, AGENCE FRANCE-PRESSE Steven Paton, scientifique à l'Institut de recherche tropicale Smithsonian, établi à Panamá, a expliqué qu'en raison des changements climatiques, le niveau de la mer devrait augmenter de 80 centimètres dans la région d'ici la fin du siècle. « La plupart des îles de Guna Yala se trouvent à environ 50 centimètres au-dessus du niveau de la mer, a-t-il dit à l'AFP. Elles seront sous l'eau. » PHOTO MARTIN BERNETTI, AGENCE FRANCE-PRESSE L'arrivée de la saison des pluies a laissé des flaques d'eau sur les routes de terre de Cartí Sugdupu. PHOTO MARTIN BERNETTI, AGENCE FRANCE-PRESSE En revanche, dans la nouvelle colonie d'Isber Yala – « terre de loquats » en langue kuna –, les rues sont asphaltées et dotées de trottoirs. Les maisons en béton de près de 50 mètres carrés (500 pieds carrés) sont équipées de toilettes à chasse d'eau et il y a un terrain pour cultiver des légumes. PHOTO MARTIN BERNETTI, AGENCE FRANCE-PRESSE Le nouveau quartier, qui compte 300 maisons construites par le gouvernement panaméen, est situé à 2 km de la côte, soit 15 minutes de bateau, plus 5 minutes supplémentaires par la route. PHOTO MARTIN BERNETTI, AGENCE FRANCE-PRESSE « [À Cartí Sugdupu] nous vivions entassés les uns sur les autres, et je devais aller chercher de l'eau à la rivière dans un petit bateau », raconte Magdalena Martinez, une enseignante à la retraite de 75 ans qui vit avec sa petite-fille dans le nouveau quartier. À Isber Yala, l'eau est disponible pendant une heure le matin. « Je peux remplir les seaux. Et j'ai de l'électricité 24 heures sur 24. »

Parfum de vacances chez H&M Home
Parfum de vacances chez H&M Home

La Presse

time11-07-2025

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Parfum de vacances chez H&M Home

La nouvelle collection de H&M Home en collaboration avec l'hôtel Palm Heights H&M Home s'est allié avec l'hôtel cinq étoiles Palm Heights pour créer une collection vitaminée pour la maison. Verres ambrés, objets tissés, coussins aux rayures jaunes et brunes et peignoirs sont quelques-uns des articles à l'esthétique rétro-chic inspirés par l'hôtel de luxe de l'île Grand Caïman. PHOTO FOURNIE PAR H&M HOME Verres ambrés et objets tissés sont en vedette. PHOTO FOURNIE PAR H&M HOME L'esthétique rétro-chic est inspirée de l'hôtel, situé dans l'île Grand Caïman. 1 /2 La collection comprend également des accessoires – bougeoirs, bol, vase et boîte – en grès qui rappellent le glamour des années 1970. La collection est l'œuvre de Gabriella Khalil, directrice créative de l'hôtel Palm Heights, qui a voulu faire voyager l'esprit luxueux et ludique de l'établissement jusqu'aux foyers. Consultez la collection

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