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Quoi de neuf du côté de nos petites bêtes ?
Quoi de neuf du côté de nos petites bêtes ?

La Presse

timean hour ago

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Quoi de neuf du côté de nos petites bêtes ?

Les nouvelles concernant nos animaux de compagnie ne sont pas toutes réjouissantes, avec notamment l'enregistrement par la SPCA d'un nombre record d'abandons. Pour nous réconforter, une étude se penche sur la popularité de nos amis à poils et à plumes sur les réseaux sociaux, tandis qu'une plateforme de jumelage avec des races de chien annonce une évolution. Hausse des abandons C'est le genre de chiffres que l'on n'aime pas voir monter en flèche : les abandons ne cessent de se multiplier année après année et, au fil des quatre premiers mois de 2025, plus de 1200 animaux ont été confiés à la SPCA. Il s'agit d'une hausse de 26 % par rapport à la même période en 2024, et de la cinquième année consécutive au cours de laquelle on enregistre une augmentation des abandons. PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE Domino, un chien en attente d'adoption à la SPCA, ne dit pas non à une gâterie. La directrice générale de la SPCA, Laurence Massé, voit plusieurs causes pouvant expliquer cette vague, notamment la bombe à retardement des adoptions massives réalisées pendant la pandémie de 2020. L'organisme s'attendait à une croissance brutale des abandons juste après la sortie de crise, mais la réalité a été tout autre. Nous pouvons désormais affirmer que la fin de la pandémie a eu un impact sur les abandons d'animaux, mais beaucoup plus tard, et plus fort, que nous l'avions anticipé. Laurence Massé, directrice générale de la SPCA Mme Massé est préoccupée par ces hausses qui se poursuivent, sans jamais atteindre un plafond. Outre les impacts liés à la crise sanitaire, la SPCA pointe les difficultés à se loger avec un animal sur dans un marché locatif de plus en plus tendu. Les frais vétérinaires et le poids de l'inflation pèsent aussi dans la balance. L'organisme fait ainsi appel au public pour le soutenir dans sa mission, tout en incitant les personnes qui prévoient se séparer de leur compagnon à ne pas attendre la fin du mois de juin ou le début de juillet pour ce faire. « Être prévenus en amont nous permet d'offrir un meilleur accueil à l'animal, et parfois même de lui éviter un séjour au refuge », souligne Mme Massé. Les frais d'adoption pour certaines espèces seront également réduits lors d'évènements organisés au cours des prochaines semaines. Ça clique pour les contenus animaliers PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE Les contenus mettant en vedette des animaux sur les réseaux sociaux ont été analysés par deux chercheuses. Sur la photo, Henri, un vizsla populaire sur Instagram, où il fait tourner les têtes et les clics avec la complicité de sa sœur Margot. Ce n'est un secret pour personne, les publications mettant en vedette chatons, chiens, oiseaux et autres animaux font exploser les compteurs de vues sur les réseaux sociaux. Pourquoi un tel engouement ? Des chercheuses de l'Université Concordia ont ausculté la question, en analysant le parcours et en décortiquant les diverses étapes de ce genre de publications, de leur ébauche à leur diffusion, ainsi qu'en sondant des créateurs de contenu mettant en vedette leurs adorables compagnons. Elles ont ainsi mis le doigt sur la génération d'une « rencontre affective numérique », c'est-à-dire une expérience en ligne suscitant des émotions positives, bien au-delà de la dictature du clic. La diffusion de contenu animalier crée aussi du lien social, bâtissant des communautés numériques ayant soif de bonne humeur. Diverses stratégies sont adoptées (comme l'ajout de texte et de mots-clés) et plusieurs codes (comme des références culturelles) pour s'adresser à une communauté d'amoureux des bêtes, mais aussi pour dépasser ce cadre et atteindre un public bien plus large (avec la création de mèmes, par exemple). Chouette, non ? Lisez le compte rendu complet paru dans JCR (en anglais) Toutous pour tous PHOTO PATRICE LAROCHE, ARCHIVES LE SOLEIL Élisabeth Turcotte, fondatrice de la plateforme Déniche ton chien La plateforme numérique québécoise Déniche ton chien, qui aide notamment les aspirants adoptants et propriétaires de chiens à trouver quelle race correspondrait le mieux à leur style de vie et à leur personnalité, a annoncé une évolution importante dans son cheminement. Ses services seront désormais accessibles gratuitement, et l'algorithme de jumelage conçu en partenariat avec des professionnels sera désormais à la portée du public. Outre des guides et conseils, Déniche ton chien recense des adresses québécoises de toiletteurs, de vétérinaires, de télémédecine, de garderies et autres, avec une carte interactive. Ces recommandations ont été rigoureusement contrôlées pour s'assurer que ces établissements ont adopté des pratiques responsables et respectueuses du bien-être animal. La plateforme revendique plus de 1000 jumelages depuis sa transformation, espérant aider à créer des duos chien-propriétaire gagnants et ainsi réduire les risques d'abandon. Visitez la plateforme Déniche ton chien

Malaisie : en dépit de l'aide du Fonds mondial, les progrès de la lutte contre le sida restent fragiles
Malaisie : en dépit de l'aide du Fonds mondial, les progrès de la lutte contre le sida restent fragiles

Le Figaro

time7 hours ago

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Malaisie : en dépit de l'aide du Fonds mondial, les progrès de la lutte contre le sida restent fragiles

Réservé aux abonnés RÉCIT - L'aide internationale a permis à de nombreux pays de contrôler la pandémie. Mais la crainte de l'arrêt des financements américains pourrait conduire à un redémarrage de l'épidémie, en Asie et dans le reste du monde. Depuis 1994 Andrew vit avec le virus du sida. Quand il l'a appris, sa vie s'est effondrée. Et pour cause, en 1994, la perspective de survivre était infime. Plus encore, quand comme lui, on vit en Malaisie, un pays musulman où les relations homosexuelles sont punies de coup de fouet, être séropositif est une condamnation à la mort sociale. «À l'époque, les services de l'état appelaient chez vous, ou venaient frapper à la porte pour annoncer sans ménagement le résultat du test, se souvient Andrew. Dans mon cas, ce fut le téléphone, c'est ma mère qui a décroché. » Andrew s'en est sorti. Après un an à attendre la mort, à sa grande surprise, il était toujours en vie. Il contacte alors des médecins pour se soigner et bénéficie des premiers traitements de trithérapies. Son homosexualité, il ne l'avait jamais évoquée devant sa famille, « on ne parlait pas de ces choses-là », résume-t-il. Mais avant de tomber malade, tous les soirs après dîner, il allait rejoindre un ami. Ses parents le…

Petit bonheur dans Hochelaga
Petit bonheur dans Hochelaga

La Presse

timea day ago

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Petit bonheur dans Hochelaga

Zoé Grenier-Laroche et son chien Brocoli, dans leur maison rénovée du quartier Hochelaga Pendant la pandémie, Zoé Grenier-Laroche s'est retrouvée à la recherche d'un appartement, avec un bébé naissant et un chien. Mission impossible ? Presque. Mais heureusement, celle qui a plus d'un tour dans son sac – dont celui d'être designer – a su prendre les choses en main pour créer un nid douillet à sa famille. « On s'est fait refuser de multiples logements à cause du chien, et de multiples logements à mots couverts à cause de notre enfant », lance d'emblée Zoé Grenier-Laroche. Elle nous raconte cette histoire alors qu'elle nous reçoit dans sa jolie maison, où elle est aujourd'hui installée avec son amoureux, leur enfant de 5 ans et leur chien Brocoli. Mais si tout ce cauchemar semble bien loin aujourd'hui, le chemin pour en revenir a été semé d'embûches. Après des mois de recherches dans un contexte pandémique marqué par la surenchère, ils ont fini par mettre la main sur un appartement… mais la propriétaire les a aussitôt avertis qu'elle le reprendrait un jour. Zoé s'est donc activée à trouver un toit permanent pour abriter sa famille, d'où il serait impossible de les évincer. « On cherchait, mais on ne trouvait rien à notre goût. On a visité beaucoup de choses qui ne nous convenaient pas nécessairement. On avait un budget de jeune famille, aussi », poursuit celle qui a fondé la boîte de design Maison Fauves. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES L'aménagement global de la maison a été revu, dont l'emplacement de l'escalier. C'est ainsi qu'un jour, ils ont visité la maisonnette qui allait devenir la leur, dans le quartier Hochelaga. Seul bémol : il n'y avait qu'une chambre, dans une grande aire ouverte à l'étage. Mais Zoé et son conjoint – qui travaille aussi en aménagement – ont tout de suite vu le potentiel d'en ajouter une autre. Ils ont donc acquis la résidence à un prix raisonnable, et se sont attelés à la mettre à leur goût… et à doubler le nombre de chambres. « Avec un peu d'imagination, et quand même beaucoup de travaux, on a réussi à en faire ce que c'est aujourd'hui », résume Zoé. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES La cuisine compte tout l'espace nécessaire pour accueillir la famille. La porte-fenêtre donne sur une petite cour, à l'arrière. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES Après avoir été rénovée, la cuisine s'avère maintenant sobre et efficace. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES Les planchers de pin, les tuiles de terracotta et les arches entre les pièces font partie des éléments de décor ajoutés par les propriétaires. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES Le salon se situe à l'avant de la maison. Il donne sur une petite rue calme. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES La cuisine compte tout l'espace nécessaire pour accueillir la famille. La porte-fenêtre donne sur une petite cour, à l'arrière. 1 /4 Le cachet retrouvé Puisque tout le cachet de la maison d'origine avait disparu lors des rénos précédentes, le couple a voulu en remettre des touches ici et là. En font foi les tuiles de terracotta dans la cuisine et la salle de bains, ainsi que les arches entre les pièces. Aussi, le plancher flottant a été remplacé par du pin, plutôt typique des constructions québécoises anciennes, souligne Zoé. Ça avait l'avantage d'être assez abordable. Aussi, on a essayé de ramener un peu d'histoire dans la place. Zoé Grenier-Laroche, copropriétaire et fondatrice de Maison Fauves Il y a tout l'espace nécessaire pour cuisiner et manger dans la grande cuisine fonctionnelle. Celle-ci donne sur la cour, où leur fils peut jouer dans le carré de sable pendant que les parents préparent le souper. « Pour la grandeur, on est un peu mieux que n'importe quel condo qu'on aurait acheté », résume la propriétaire. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES La chambre principale est munie d'un coin bureau, dont la table rétractable permet d'économiser de l'espace. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES La chambre du petit est munie d'une penderie PAX, qui provient du magasin IKEA. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES Il y a même de l'espace pour des petits coins ludiques dans la chambre de l'enfant. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES La chambre principale est munie d'un coin bureau, dont la table rétractable permet d'économiser de l'espace. 1 /3 L'étage supérieur a été complètement réaménagé pour y intégrer deux chambres – dont les dimensions sont tout à fait raisonnables, malgré le scepticisme du courtier vendeur ! La chambre principale contient même un coin pour le télétravail, avec bureau rétractable. Celle du petit est équipée d'une penderie PAX de chez IKEA, où il peut ranger ses vêtements et ses jouets. Là-haut, de la chambre des parents, on a une vue sur le pont Jacques-Cartier et La Ronde, grâce à l'emplacement à la limite sud-ouest du quartier. C'est très urbain, mais en même temps, hyper calme. Zoé Grenier-Laroche, copropriétaire et fondatrice de Maison Fauves Quant à la salle de bains, qui se trouvait au deuxième niveau quand ils ont acquis la maison, elle a été déplacée au rez-de-chaussée. Elle se situe dans le couloir entre le salon et la cuisine. De dimension modeste, elle est néanmoins dotée de tout ce qu'il faut : un bain profond pour le petit, un grand lavabo, une laveuse et une sécheuse superposées… « Il y avait vraiment une volonté, dans ma démarche, de rationaliser les espaces, affirme la designer. Oui, c'est l'fun quand c'est vaste. Mais la réalité budgétaire et écologique dans la vie, c'est qu'il faut qu'on restreigne un peu. » PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES On y retrouve le terracotta, mais aussi de fines tuiles blanches. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES La salle de bains est compacte et parfaitement fonctionnelle ! PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES L'entrée est maintenant tout à fait fonctionnelle. La porte à droite donne accès au rangement sous l'escalier. PHOTO FOURNIE PAR MAISON FAUVES On y retrouve le terracotta, mais aussi de fines tuiles blanches. 1 /3 L'entrée ainsi que la disposition de la cage d'escalier n'ont pas échappé aux remaniements. « On a transformé tout le dessous de l'escalier en rangement », explique celle qui se décrit comme « multicurieuse ». Elle peut ainsi y entreposer les nombreux objets et équipements que requièrent ses multiples intérêts. C'est bien beau de rêver, mais la vraie vie, c'est des maisons où il y a un peu de bordel, des livres qui traînent, des dessins d'enfants accrochés au mur… Zoé Grenier-Laroche, copropriétaire et fondatrice de Maison Fauves Et comme toute bonne chose a une fin, la petite famille compte déménager d'ici la fin de l'été dans la région de Kamouraska, d'où Zoé est originaire. Ils auront ainsi tout l'espace voulu pour exercer leurs nombreuses passions. Et cette maison de Montréal, rénovée avec amour, attend une autre famille qui pourra y construire son propre bonheur. Consultez le site de Maison Fauves

100.000 emplois menacés par les faillites depuis le début de l'année
100.000 emplois menacés par les faillites depuis le début de l'année

Le Figaro

time2 days ago

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100.000 emplois menacés par les faillites depuis le début de l'année

Réservé aux abonnés INFO LE FIGARO - Au premier semestre, le nombre de défaillances d'entreprises atteint un niveau record, supérieur d'un quart à celui d'avant la pandémie de Covid. C'est une mauvaise nouvelle de plus pour l'économie française. Après une annus horribilis en 2024, le nombre d'entreprises en difficulté ne désenfle pas. Au premier semestre 2025, le nombre de défaillances (redressements judiciaires, procédures de sauvegarde et liquidations) a atteint 34.100, en hausse de 0,4 % par rapport à la même période de l'an passé. Si la menace d'un « mur des faillites » que craignaient certains à la sortie du Covid semble bel et bien écartée, les chiffres du Centre national des administrateurs judiciaires et des mandataires judiciaires (CNAJMJ) sont inquiétants. Le nombre de défaillances d'entreprises demeure exceptionnellement élevé. Il est ainsi supérieur de 24 % à son niveau de 2019, avant la pandémie de Covid. La multiplication des prêts garantis par l'État avait alors permis une chute des faillites en 2020 et 2021. Derrière les 34.000 défaillances du premier semestre, plus de 100.000 emplois se trouvent menacés par des procédures collectives. Un spectre…

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