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24 Heures
41 minutes ago
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Un sexagénaire perd la vie dans le Sihlsee
Des plaisanciers sont parvenus à sortir la victime de l'eau avant de la confier aux secours. Mais ces derniers ne sont pas parvenus à la réanimer. Publié aujourd'hui à 12h08 La police cantonale de Schwytz avait été alertée lundi en fin de journée après la découverte d'un corps flottant à la surface du lac de Sihl. Getty Images Un tragique accident s'est produit lundi dans les eaux du lac de Sihl, dans le canton de Schwytz. La police cantonale a été alertée à 17 h 25 après la découverte d'un corps flottant à la surface du lac. Des plaisanciers qui naviguaient dans le secteur ont repéré la victime, un homme de 61 ans. Ils sont parvenus à le sortir de l'eau avant de le confier aux secours lacustres. Les sauveteurs ont rapidement acheminé l'homme jusqu'à la rive, dans le secteur dit du «Grüene Aff» près de Willerzell. Veines tentatives de réanimation Sur place, les équipes du service d'urgence et de la Rega ont immédiatement entrepris des manœuvres de réanimation. Malgré leurs efforts, les tentatives de sauvetage sont restées vaines et ont dû être interrompues après plusieurs minutes. Le sexagénaire a été déclaré décédé sur les lieux du drame. Le parquet du canton de Schwytz s'est rendu sur place aux côtés des secours pour les besoins de l'enquête. Les circonstances exactes de ce décès restent à déterminer. Un sauvetage réussi Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Claude Béda est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 heures. Licencié en sciences sociales et politiques, passionné par les sujets de société et la vie des gens d'ici, il a couvert plusieurs régions du canton, avant de rejoindre la rédaction lausannoise. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


La Presse
3 days ago
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Un nouveau règlement de la Ville fait des vagues
Les bateaux, l'hiver, occupent l'espace de stationnement en asphalte entre les parcs Marcil et Delpha-Sauvé. Une promenade en bois longe la berge. La saison chaude a beau battre son plein, les plaisanciers d'une des plus importantes marinas du Québec ne pensent qu'à une chose : l'hiver. La municipalité de Salaberry-de-Valleyfield leur interdit désormais d'entreposer leurs bateaux à la marina pendant la saison froide, leur faisant craindre pour l'avenir de leur passion. Dès l'hiver 2026-2027, l'hivernage sera interdit à la Marina de Valleyfield, après avoir été autorisé pendant des décennies. L'une des plus grandes de la province, elle abrite 400 places à quai permanentes, et 100 places pour les visiteurs temporaires. Devant ce nouveau règlement municipal, plusieurs propriétaires et membres de la marina se résignent à deux options : déménager ailleurs à longueur d'année, ou tout simplement vendre leur embarcation. Les propriétaires de bateaux rencontrés par La Presse sont clairs : ils craignent carrément pour la survie de la marina, qui « rythme les saisons » à Salaberry-de-Valleyfield. Par ricochet, ils s'inquiètent pour la vitalité économique que peut perdre le centre-ville et l'érosion tranquille de leur culture du nautisme, un « patrimoine immatériel ». Une séparation déchirante « Mon voilier, c'est un héritage de mon père. La voile, c'est une passion pour moi, mais je ne peux pas mettre encore plus d'argent là-dedans », déplore Léonie Gascon-Codebecq, résidante de Salaberry-de-Valleyfield. PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE Plusieurs propriétaires ont déjà mis leurs bateaux en vente, comme Léonie Gascon-Codebecq. « On va devoir aller ailleurs. Mais ailleurs, il n'y a plus de place. Les marinas avoisinantes sont pleines. Il faut soit aller loin en Ontario, ou dépasser la ville de Québec. Les gens sont en train de mettre leurs bateaux en vente parce qu'ils ne savent plus quoi faire avec », raconte-t-elle. « Rester à Salaberry-de-Valleyfield n'est pas une option permanente pour moi. Sans hivernage, ça va réduire ma saison. Je pense à déménager. Ça va changer ma trajectoire de vie », témoigne Michel Racicot, qui a grandi en naviguant sur les eaux de la baie Saint-François. PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE Le père de Michel Racicot, qui a consacré sa vie à la marina, s'est éteint il y a quelques années. Je ne suis pas capable de laisser mon voilier partir. C'est mon père qui l'a construit, et c'est mon dernier lien fort avec lui. Michel Racicot « Nos tarifs ont déjà augmenté de 48 % il y a deux ans. C'est une grosse dépense. Rendu là, je suis obligée de vendre mon voilier en pièces ou de déménager ailleurs », laisse tomber Léonie Gascon-Codebecq, qui vient pourtant de se former en navigation côtière et en météo maritime pour transmettre ses connaissances à la relève locale. « Ils ne comprennent pas qu'une marina, ça ne fonctionne pas seulement 5 mois sur 12 », renchérit Victor Meyer, lui aussi résidant et propriétaire d'un voilier. « Ce qui m'a fait rester à Salaberry-de-Valleyfield, c'est la possibilité de faire de la voile. On a un plan d'eau d'une richesse incomparable, une liberté et un esprit de fraternité dans cette marina. » « L'un des gros problèmes, c'est la notification sans consultation. Jamais ils ne nous ont consultés », s'exaspère-t-il, décrivant l'annonce comme une « douche froide » pour les plaisanciers. PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE « Là, normalement, c'est mon bateau. » Victor Meyer désigne l'endroit vide derrière lui, nous disant qu'il l'a ancré plus loin en attendant une solution. Afin de montrer l'opposition au projet, Victor Meyer a mis en ligne une pétition pour le maintien de l'hivernage à Salaberry-de-Valleyfield, le 27 juin. Elle compte plus de 1100 signatures au moment de publier. La municipalité ne bronche pas « Associer la survie d'une marina avec l'entreposage hivernal est un faux dilemme », soutient le maire Miguel Lemieux, avec conviction. Lors de notre visite à l'hôtel de ville, l'élu municipal se tient droit. Il semble irrité de la réaction citoyenne à sa décision, surtout celle qui a suivi sur les réseaux sociaux. « De dire que la marina est en danger, je suis 100 % en désaccord. Ses années de gloire sont à venir. » PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE Miguel Lemieux, maire de Salaberry-de-Valleyfield On n'anticipe aucune place libre. S'ils décident de partir, ce sera leur choix, mais notre niveau d'inquiétude [quant au fait] que nos quais ne soient pas remplis est de 0 %. Miguel Lemieux, maire de Salaberry-de-Valleyfield Le maire soutient que de fausses rumeurs ont circulé, voulant notamment que la municipalité construise des condos à la marina. « C'est assez pathétique comme procédé, dit-il. Assez triste qu'un certain groupe en ligne ait inventé ça. » Le grand projet de la Ville : la réfection du parc Marcil, à l'ouest, pour le relier à l'emblématique parc Delpha-Sauvé, un peu plus à l'est. Un chantier de 10 à 20 millions. Aux yeux de M. Lemieux, le stationnement où les bateaux sont remisés, au centre, devient « 7 mois sur 12 » un obstacle qui empêche « une meilleure connexion entre les parcs ». Plus largement, Salaberry-de-Valleyfield cadre le nouveau règlement avec l'embauche d'un nouvel opérateur municipal, qui prendra en charge la marina dès 2026. Jusqu'en octobre 2024, celle-ci était administrée par une OBNL, dont le contrat a été résilié avant terme par la municipalité – entre autres pour « mauvaise gestion interne ». Quant à l'absence de dialogue notée par les citoyens, le maire lève les mains, en signe d'impuissance. « Je les ai notifiés deux saisons à l'avance. Ils ont reçu l'alerte le jeudi et le vendredi, certains disaient qu'il n'y avait aucune option. Ce petit groupe qui se plaint a clairement décidé que c'était trop compliqué pour eux. » « Nous, on a 215 noms sur la liste d'attente pour une place à quai. Les marinas semblables à nous au Québec qui n'offrent pas d'hivernage, elles sont toutes pleines », conclut-il.


La Presse
3 days ago
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Noyade d'un quarantenaire en Montérégie
Alors qu'il profitait du beau temps, un homme a sombré dans le fleuve Saint-Laurent après avoir glissé d'un cap rocheux dans une région isolée de Pointe-des-Cascades, rapporte la Sûreté du Québec (SQ). Les services d'urgence ont été alertés vers 16 h 30 pour se diriger vers le chemin du Fleuve, à Pointe-des-Cascades, près de l'intersection de la rue Centrale. Selon les informations de la SQ, un homme et une femme, âgés de 41 et 43 ans, se seraient aventurés jusqu'à un cap rocheux dans cette zone. « À un certain moment, l'homme a perdu pied, et il est tombé dans l'eau du fleuve », explique Geneviève Bruneau, porte-parole de la SQ. La femme a tenté de porter secours à la victime, mais en vain. Elle a été secourue par des plaisanciers en ponton, un peu plus loin. Les secours ont réussi à localiser la victime vers 18 h, grâce aux témoignages recueillis sur place, mais son décès a été constaté environ deux heures plus tard, à l'hôpital. D'après les premiers témoignages recueillis par la SQ, les deux individus concernés par l'incident ne portaient pas de gilet de sauvetage. Pour le moment, rien n'indique que l'incident soit de nature criminelle, selon la SQ. Une enquête est actuellement en cours pour établir les circonstances de l'évènement.


Le Parisien
6 days ago
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- Le Parisien
« Le bateau a été retrouvé vide » : une ado, son père et son grand-père retrouvés morts dans la baie de Saint-Brieuc
Une famille de plaisanciers a été retrouvée morte noyée dans la nuit de mercredi à jeudi au large de Binic-Étables-sur-mer (Côtes-d'Armor), a-t-on appris de sources concordantes. Selon BFMTV , il s'agit d'une adolescente, de son père et de son grand-père. Les corps des trois victimes ont été retrouvés jeudi matin au large de la commune voisine de Saint-Quay-Portrieux, a indiqué le vice-procureur de la République de Saint-Brieuc, Antoine Loussot. Vers une heure du matin dans la nuit de mercredi à jeudi, une femme a alerté « sur le non-retour de trois personnes d'une balade en mer » commencée dans l'après-midi, indique une source de la gendarmerie. Un hélicoptère et les sauveteurs en mer de la SNSM sont alors mobilisés. Leur embarcation, qui serait un zodiac, est alors retrouvée vide par les secours. Les corps des plaisanciers ont été découverts dans la baie. « Une enquête en recherche des causes de la mort a été ouverte et confiée à la gendarmerie maritime et à la gendarmerie de Binic-Étables-sur-mer », précise le vice-procureur de la République de Saint-Brieuc, Antoine Loussot. « Il s'agissait d'un grand-père, un jeune adulte et une ou un mineur (…) Le bateau a été retrouvé vide », a-t-elle précisé. Selon Ouest-France , cette famille est originaire de Saint-Brieuc.