Dernières actualités avec #politique


Le Parisien
3 hours ago
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« On va encore nous mettre la tête sous l'eau » : les patrons dans la crainte d'un alourdissement de la fiscalité
Les Rencontres économiques d'Aix-en-Provence ( Bouches-du-Rhône ) ont souvent le chic de s'inviter au milieu des crises. Comme pour y faire raisonner un peu le chaos du monde dans les amphis bondés, installés pour l'occasion dans le parc Jourdan. Et réfléchir ensemble aux moyens, économiques et politiques, d'y répondre. En 2024, ce grand rendez-vous annuel de l'économie française avait ainsi eu lieu pile-poil pendant l'entre-deux tours des élections législatives après la dissolution. Pour cette vingt-cinquième édition, opportunément intitulée « Affronter le choc des réalités », il précède de quelques jours seulement la présentation du plan d'économie de quarante milliards d'euros (du jamais-vu) sur le prochain budget , par le Premier ministre François Bayrou.


Le Figaro
3 hours ago
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Dominique de Villepin, la vraie-fausse campagne d'un «Mélenchon des beaux quartiers»
Réservé aux abonnés RÉCIT - À gauche comme à droite, on observe avec curiosité l'ancien premier ministre qui lance son mouvement, «La France Humaniste», et publie un livre, Le pouvoir de dire non. Qui l'aurait cru ? En ce week-end de fin septembre, à la Fête de L'Humanité, Dominique de Villepin est accueilli en héros. Applaudi à tout rompre, l'ancien premier ministre de Jacques Chirac ne semble plus être «l'ennemi de classe» d'il y a une vingtaine d'années, lorsque son projet de «contrat première embauche» (CPE) mettait la jeunesse de gauche dans la rue. Il faut se pincer pour croire la scène, qui aurait presque de quoi faire rougir un communiste. «C'est la parole libre qui fait peur, et c'est ce que je viens chercher ici avec vous», lance le septuagénaire à l'estrade. Dominique de Villepin sait comment séduire le public. Il affirme qu'Emmanuel Macron aurait dû «donner sa chance» au Nouveau Front populaire, la coalition arrivée en tête du second tour aux dernières législatives. Une sortie opportune, alors que la «première-ministrable» du NFP, Lucie Castets, avait laissé entendre durant l'été qu'elle aurait pu l'appeler dans son gouvernement, si Emmanuel Macron l'avait nommée…


Le Parisien
4 hours ago
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Ambroise Méjean, président des Jeunes avec Macron : « Le macronisme a vocation à perdurer »
Les Jeunes avec Macron , qui fêtent leurs dix ans, ce samedi 5 juillet, au Cirque d'Hiver à Paris, sont contraints de changer de nom puisque les mandats du chef de l'État s'achèvent. Leur président, Ambroise Méjean , qui nous dévoile la nouvelle appellation, jure que ce n'est pas « la fin du macronisme » pour autant. Et même qu'il soutiendrait Emmanuel Macron s'il se représentait en 2032. Quel sera le nouveau nom des Jeunes avec Macron (JAM) ?


La Presse
5 hours ago
- La Presse
Les hauts et les bas d'Elon et de Donald
Les hauts et les bas d'Elon et de Donald Entre Elon Musk, homme le plus riche de la planète, et Donald Trump, président de la première puissance mondiale, les accrochages, volte-face et trahisons en tous genres ne datent pas d'hier. Voici, en citations, quelques points tournants de leur relation tumultueuse. 4 novembre 2016 Elon Musk : « Je suis un peu plus convaincu qu'il n'est probablement pas la bonne personne. Il ne semble pas avoir le genre de caractère qui donne une bonne image des États-Unis. » 2 février 2017 Elon Musk : « En décembre, j'ai accepté de rejoindre le Comité consultatif présidentiel afin de donner mon avis sur les questions qui me semblent importantes. » 1er juin 2017 Elon Musk : « Je quitte le comité consultatif présidentiel. Les changements climatiques sont réels. Quitter l'Accord de Paris n'est pas bon pour l'Amérique ou le monde. » 22 janvier 2020 Donald Trump : « [Elon Musk] est un de nos grands génies et nous devons protéger nos génies […] Il va construire une très grosse usine aux États-Unis. Il doit le faire. Parce que nous l'aidons, il doit nous aider. » 28 mai 2020 Donald Trump : « Je tiens à remercier Elon, qui est un ami de longue date et pour qui j'ai beaucoup de respect. » PHOTO ODD ANDERSEN, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE Elon Musk en visite à une usine Tesla en Allemagne, en 2020 10 mai 2022 Elon Musk : « Ce n'était pas bien de bannir Donald Trump [de Twitter], je pense que c'était une erreur […] J'annulerais ce bannissement permanent. » 17 mai 2022 Elon Musk : « Historiquement, j'ai voté en grande majorité pour des démocrates. Je ne suis pas sûr, je n'ai peut-être jamais voté pour un républicain, pour être clair. Maintenant, lors de cette élection, je le ferai. » 10 juillet 2022 Donald Trump : « [Musk] a dit l'autre jour : 'Oh, je n'ai jamais voté pour un républicain.' Je ne le savais pas. Il m'a dit qu'il avait voté pour moi. C'est donc un autre baratineur (bullshit artist). » 11 juillet 2022 Elon Musk : « Je ne déteste pas l'homme, mais il est temps pour Trump de raccrocher son chapeau et de naviguer vers le coucher du soleil. Trump aurait 82 ans à la fin de son mandat, ce qui est trop vieux pour être le chef exécutif de quoi que ce soit, et encore moins des États-Unis d'Amérique. » 12 juillet 2022 Donald Trump : « Quand Elon Musk est venu à la Maison-Blanche me demander de l'aide pour tous ses nombreux projets subventionnés […] j'aurais pu lui dire 'mets-toi à genoux et supplie', et il l'aurait fait… » 28 octobre 2022 Donald Trump : « Je suis très heureux que Twitter soit désormais entre des mains saines, et qu'il ne soit plus dirigé par des fous et des maniaques de la gauche radicale qui haïssent vraiment notre pays. » 27 septembre 2023 Elon Musk : « Nous avons besoin d'un mur et nous devons exiger des gens qu'ils fournissent un semblant de preuve pour demander l'asile afin d'entrer. » PHOTO JIM WATSON, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE Elon Musk au côté de Donald Trump lors de la campagne présidentielle américaine de 2024 5 octobre 2024 Elon Musk : « Trump doit gagner pour préserver la Constitution. Il doit gagner pour préserver la démocratie en Amérique. » 12 novembre 2024 Donald Trump : J'ai le plaisir d'annoncer que le grand Elon Musk, en collaboration avec le patriote américain Vivek Ramaswamy, dirigera le ministère de l'efficacité gouvernementale (« DOGE »). Ensemble, ces deux merveilleux Américains ouvriront la voie à mon administration pour démanteler la bureaucratie gouvernementale […]. 2 février 2025 Elon Musk : Le DOGE travaille 120 heures par semaine. Nos adversaires bureaucratiques travaillent, de manière optimiste, 40 heures par semaine. C'est pourquoi ils sont en train de perdre si rapidement. 11 mars 2025 Donald Trump : « Je vais acheter une Tesla flambant neuve demain matin en signe de confiance et de soutien à Elon Musk, un grand Américain. » PHOTO KEVIN LAMARQUE, ARCHIVES REUTERS Elon Musk et le président Donald Trump dans le Bureau ovale en février 2025 27 mai 2025 Elon Musk : « Je pense que j'ai probablement passé un peu trop de temps sur la politique […] J'ai considérablement réduit cela au cours des dernières semaines. » 3 juin 2025 Elon Musk : « Je suis désolé, mais je n'en peux plus. Ce projet de loi de dépenses du Congrès, massif et scandaleux, est une abomination dégoûtante. Honte à ceux qui ont voté en sa faveur. » 5 juin 2025 Elon Musk : « Il est temps de lâcher la grosse bombe. @realDonaldTrump est dans les dossiers Epstein. C'est la vraie raison pour laquelle ils n'ont pas été rendus publics. Bonne journée, DJT ! » 5 juin 2025 Donald Trump : « Le moyen le plus simple d'économiser de l'argent dans notre budget, des milliards et des milliards de dollars, est de mettre fin aux subventions et aux contrats gouvernementaux d'Elon. » PHOTO ALEX BRANDON, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Le président américain Donald Trump 5 juin 2025 Donald Trump : « J'ai supprimé son projet de loi sur les véhicules électriques qui obligeait tout le monde à acheter des voitures électriques dont personne ne voulait […], et il est devenu complètement FOU ! » 11 juin 2025 Elon Musk : « Je regrette certaines de mes publications sur le président @realDonaldTrump la semaine dernière. Elles allaient trop loin. » 28 juin 2025 Elon Musk : « Le dernier projet de loi du Sénat détruira des millions d'emplois en Amérique et causera d'immenses dommages stratégiques à notre pays ! Ce projet de loi est totalement insensé et destructeur. » 1er juillet 2025 Donald Trump : « Elon reçoit peut-être plus de subventions que n'importe quel être humain dans l'histoire, et sans subventions, Elon devrait probablement fermer boutique et rentrer chez lui en Afrique du Sud. » 1er juillet 2025 Donald Trump : « Nous allons devoir examiner ça [l'expulsion d'Elon Musk]. Peut-être allons-nous devoir mettre le DOGE sur le cas d'Elon. » Sources : X, Truth Social, Bloomberg, Business Insider, Financial Times, Ars Technica, CNBC, The American Presidency Project


24 Heures
13 hours ago
- Politics
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Bosnie: Le mandat d'arrêt contre le chef des Serbes Milorad Dodik annulé
Recherché, le chef des Serbes de Bosnie, Milorad Dodik, a choisi de se rendre à la justice bosnienne pour être interrogé par le parquet. Publié aujourd'hui à 22h37 Milorad Dodik, à Sarajevo, le 24 avril 2025. AFP La justice bosnienne a annulé vendredi le mandat d'arrêt contre le chef politique des Serbes de Bosnie, Milorad Dodik, recherché dans un dossier pour «attaque contre l'ordre constitutionnel» , après la décision du suspect d'être interrogé par le parquet, a-t-on annoncé de source judiciaire. «Le suspect Milorad Dodik s'est volontairement présenté le 4 juillet devant le Parquet de Bosnie-Herzégovine, en compagnie de son avocat, pour être interrogé en qualité de suspect dans le cadre de l'enquête», ont déclaré le parquet et la Cour d'État de Bosnie dans un communiqué commun, précisant que la demande de sa mise en détention avait été «annulée» et qu'il avait aussitôt été remis en liberté conditionnelle. «Procès politique» Milorad Dodik, 66 ans, qui est président de l'entité serbe de Bosnie (la Republika Srpska), est recherché depuis le 18 mars par la justice locale pour avoir préconisé l'interdiction pour la police et la justice centrales du pays d'exercer sur le territoire de l'entité serbe. Il s'agissait de sa réaction à la condamnation par la Cour d'État de Bosnie, à Sarajevo, à un an de prison et à six ans d'inéligibilité pour le non-respect des décisions du Haut représentant international, chargé de faire respecter l'accord de paix dans le pays. Il s'agit d'un verdict de première instance et une décision en appel devrait bientôt être annoncée. Mais Milorad Dodik avait rejeté ce verdict en dénonçant un «procès politique». Et il avait alors incité le Parlement de la Republika Srpska à adopter aussitôt des lois pour interdire aux institutions policières (Sipa) et judiciaires centrales du pays d'exercer dans l'entité serbe, soit sur 49% du territoire du pays. Arrestation trop risquée Le Parquet d'État a ensuite ouvert une enquête sur ses activités jugées sécessionnistes, mais son arrestation paraissait impossible et trop risquée dans un pays divisé où la paix semble fragile, trente ans après un sanglant conflit intercommunautaire (1992-1995). Cependant, Milorad Dodik a effectué plusieurs voyages à l'étranger, en Serbie, en Russie et en Hongrie. La Bosnie d'après-guerre est divisée en deux entités autonomes, la RS et la Fédération croato-musulmane, associées par un faible gouvernement central. En lire plus sur la Bosnie Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.