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Dernières actualités avec #potager

Récolter sans se fatiguer : voici notre top 5 des légumes qui poussent (presque) tous seuls !
Récolter sans se fatiguer : voici notre top 5 des légumes qui poussent (presque) tous seuls !

Le Parisien

timea day ago

  • Science
  • Le Parisien

Récolter sans se fatiguer : voici notre top 5 des légumes qui poussent (presque) tous seuls !

Désherber, arroser, palisser, surveiller les maladies, traiter… cultiver un potager peut vite devenir fastidieux pour des récoltes incertaines. Toutefois, certains légumes, robustes et très adaptables, peuvent pousser presque partout… et presque tous seuls. Voilà qui est parfait pour les débutant s et pour tous ceux qui préfèrent savourer plutôt que de bêcher ! La courgette est à la fois simple à cultiver et très généreuse au moment de la récolte. Une fois semée ou repiquée après les dernières gelées, elle s'installe rapidement en terre et produit pendant tout l'été. Ce légume vert adore le soleil et les sols riches avec un apport régulier en eau. La seule contrainte de la culture de courgette : de l'espace. Elle peut vite s'étaler, surtout en pleine terre, mais certaines variétés non-coureuses, comme 'Black Beauty'ou 'Gold Rush', conviennent bien aux petits jardins ou aux grands bacs. Une fois en place, la courgette pousse vigoureusement sans avoir besoin de traitements, à condition d'éviter un excès d'humidité stagnante, qui favoriserait l'oïdium. Le radis est un champion de la culture rapide. En à peine 3 à 4 semaines, vous pouvez déjà déguster vos premières récoltes. C'est pourquoi il est souvent utilisé pour initier les enfants au jardinage. Peu exigeant, il se contente d'un sol léger et meuble, que ce soit en pleine terre ou en jardinière. Pour éviter qu'il ne pique ou ne se creuse, un arrosage régulier est essentiel. En le semant régulièrement en petites quantités, vous profiterez de récoltes échelonnées du printemps à l'automne. Parmi les nombreuses variétés de laitues, celles dites « à couper » (comme la 'Feuille de chêne' ou la 'Lollo rossa') sont peu contraignantes et très productives. Elles ne forment pas de pommes, mais permettent de récolter les feuilles au fur et à mesure de la croissance. Ces laitues poussent vite, même en bac, et supportent assez bien les expositions mi-ombragées. Un arrosage modéré mais régulier suffit, surtout en été pour éviter la montée en graines. En semant tous les 15 jours, comme pour les radis, vous profiterez de salades fraîches toute la saison. Moins capricieuse que ses grandes sœurs, la tomate cerise est plus résistante aux maladies et ne nécessite que peu d'entretien. Certaines variétés comme 'Red Cherry', 'Gold Nugget' ou 'Tomate Poire Jaune' sont particulièrement productives. Elle se développe sans problème en pot, à condition d'avoir un bon drainage, un arrosage régulier (sans excès), et un minimum de 6 heures de soleil par jour. Un simple tuteur suffit pour la guider, en retour elle vous offrira des grappes sucrées à picorer au jardin jusqu'aux premiers frimas. On croit souvent la culture de la pomme de terre contraignante alors qu'il n'en est rien. Il suffit de planter un tubercule germé dans une terre meuble, de le butter au fil de sa croissance et d'arroser modérément en cas de sécheresse prolongée. La pomme de terre se cultive aussi en sacs, en tour à patates ou même en bac, un sacré avantage dans les petits espaces ! Les variétés précoces comme 'Amandine' ou 'Belle de Fontenay' sont idéales pour une récolte rapide et sans efforts. Même les légumes les plus autonomes ont besoin d'un minimum d'eau pour bien produire. L'indispensable au jardin reste donc l'arrosage, néanmoins vous pouvez aisément limiter cette corvée quotidienne en utilisant des oyas ou un système d'arrosage automatique !

Ces jardiniers protègent leurs carottes des mouches… avec cette simple plante !
Ces jardiniers protègent leurs carottes des mouches… avec cette simple plante !

Le Parisien

timea day ago

  • Science
  • Le Parisien

Ces jardiniers protègent leurs carottes des mouches… avec cette simple plante !

La mouche de la carotte est l'un des pires fléaux du potager. À l'état larvaire, elle s'attaque directement aux racines, rendant les carottes impropres à la consommation. Mais certains jardiniers ont trouvé une parade simple et sans traitement : associer l'ail à leurs semis de carottes. Explication. La carotte se sème entre mars et juin , selon les régions, dans une terre bien meuble, sans cailloux et exposée au soleil. On l'arrose régulièrement pour garder le sol légèrement humide jusqu'à la levée. Une fois les jeunes pousses sorties, un éclaircissage est nécessaire pour éviter qu'elles ne se gênent. Mais tout ce soin peut être anéanti par un petit insecte volant… La mouche de la carotte ( Psila rosae ) pond ses œufs au pied des jeunes plants. Les larves, très voraces, creusent des galeries dans les racines. Résultat : des carottes tordues, grignotées, parfois noires à l'intérieur. La mouche est attirée par l'odeur spécifique dégagée par les fanes lorsqu'on les touche ou qu'on les coupe. Et c'est là que l'ail entre en jeu. Plutôt que de recourir à des traitements chimiques, certains jardiniers glissent quelques gousses ou plants d'ail entre les rangs de carottes. Pourquoi ? Parce que l'ail dégage une odeur forte et soufrée qui perturbe les insectes, notamment la mouche de la carotte. Cette astuce simple fonctionne en masquant les effluves de la carotte. Résultat : la mouche passe son chemin. Bonus : l'ail et la carotte ne se gênent pas mutuellement et poussent parfaitement côte à côte. Ce type d'association s'inscrit dans ce que l'on appelle la culture en compagnonnage . Certaines plantes se protègent mutuellement ou s'apportent des nutriments complémentaires. D'autres, comme l'ail ici, servent de barrière naturelle contre les nuisibles. En diversifiant les plantations, le potager gagne ainsi en résilience, sans recours aux produits phytosanitaires.

Pourquoi le marc de café n'est pas toujours votre meilleur allié au potager
Pourquoi le marc de café n'est pas toujours votre meilleur allié au potager

Le Figaro

time4 days ago

  • Science
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Pourquoi le marc de café n'est pas toujours votre meilleur allié au potager

Le marc de café est souvent présenté comme l'allié miraculeux du potager. Sa richesse en azote lui octroierait des propriétés répulsives et fertilisantes. Or, son utilisation pour vos plantations pourrait présenter des inconvénients insoupçonnés. De nombreux jardiniers amateurs utilisent le marc de café et vous en faites peut-être partie. Le marc est ajouté directement au pied des plantes ou au compost. L'idée est de fertiliser le sol de façon naturelle, grâce à son apport en azote. Et pourtant, sachez que cette pratique, bien que répandue, n'est pas sans risque pour votre potager. Mais l'azote qu'il contient n'est pas toujours un atout, notamment son influence sur le pH des sols, les effets indésirables sur la vie du sol, comme la perturbation de l'équilibre microbien ou encore l'attraction des nuisibles. Le marc de café peut entraîner une perte de productivité Le marc de café désigne le café moulu et encore humide qu'il vous reste après avoir fait du café. Selon un article de l'Actualité chimique (mai 2020), il contient de l'azote à hauteur de 2,30 % environ, du potassium (0,6 %) et du phosphore (0,06 %). Sa richesse en azote, élément nutritif constitutif de la chlorophylle et essentiel à la photosynthèse des plantes, favorise la croissance des feuilles. En effet, peu de plantes parviennent à capter l'azote de l'air. Elles doivent donc le trouver dans le sol. Publicité Cependant, un excès d'azote peut avoir des effets négatifs sur votre potager : il va stimuler la croissance des feuilles au détriment de celle des fleurs et des fruits. Autrement dit, vos cultures seront luxuriantes, mais peu productives. Par ailleurs, le phosphore, le potassium et le magnésium que contient le marc de café sont en quantités trop faibles pour couvrir l'intégralité des besoins de vos cultures. Enfin, le marc de café a un pH légèrement acide, situé autour de 6,2. L'ajout trop fréquent de marc de café sur votre sol peut donc l'acidifier et nuire aux cultures qui ont besoin d'un sol neutre ou alcalin. Il est donc essentiel que vous connaissiez les préférences de chaque légume ou fruit avant de recourir au marc de café. Les effets indésirables du marc de café sur la vie du sol Si le marc de café utilisé à bon escient est un fertilisant naturel idéal, son usage trop fréquent peut nuire à la qualité du sol. Voici ses effets : Un déséquilibre de l'écosystème : le sol est riche en micro-organismes, qui participent aussi bien à la libération des nutriments nécessaires à vos cultures qu'à la décomposition de la matière organique. Or, le recours fréquent au marc de café peut nuire à cet équilibre et à la diversité des micro-organismes. • Un sol plus compact : le marc de café a une texture bien plus fine que celle de la terre de votre potager. Qui dit compaction dit mauvaise circulation de l'air comme de l'eau. Les racines de vos cultures risquent par conséquent de souffrir d'un manque d'irrigation et d'oxygénation. • L'attraction des nuisibles : le marc de café est humide et peut ainsi attirer des limaces, des escargots et des mouches de terreau, qui vont ensuite s'attaquer à vos fruits et légumes. Autrement dit, commencez par analyser votre sol pour connaître son pH et ses carences et ainsi ajustez vos apports en conséquence. Le marc de café peut être un complément utile à votre potager, mais son utilisation doit être mesurée et réfléchie. Enfin, alternez les sources de matière organique : fumier, compost, marc de café, engrais verts.

Chat, renard, rat : comment les repérer dans votre jardin et les faire fuir sans leur faire de mal ?
Chat, renard, rat : comment les repérer dans votre jardin et les faire fuir sans leur faire de mal ?

Le Parisien

time5 days ago

  • Science
  • Le Parisien

Chat, renard, rat : comment les repérer dans votre jardin et les faire fuir sans leur faire de mal ?

Le potager semble paisible à l'aube, mais la nuit venue, il devient un véritable couloir de passage. Tomates disparues, semis retournés, feuilles mâchonnées… ces petits dégâts trahissent une activité nocturne intense. Des visiteurs venus profiter du calme pour fouiller, gratter, picorer ou même s'installer. Encore faut-il savoir qui fait quoi pour adapter votre jardin en conséquence. Avant de sortir les grands moyens, observez. La nature laisse toujours une trace. Grattage au pied d'un plant, restes alimentaires, odeur, empreintes ou crottes : chaque détail est un indice. En les identifiant, vous comprendrez rapidement quels animaux s'invitent chez vous. Les conséquences de ces visites varient. Certaines sont bénignes, d'autres plus sérieuses : Pas question de faire la guerre à la faune locale. Mieux vaut apprendre à cohabiter intelligemment. Voici quelques stratégies douces pour préserver vos récoltes : Un potager bien observé est un potager bien protégé. Avant d'agir, prenez le temps d'écouter ce que le sol vous raconte. Ces signes discrets, parfois simplement une petite crotte, vous guideront vers un jardin plus équilibré, plus vivant, et mieux protégé.

Fraisiers : obtenez de magnifiques récoltes grâce à cette méthode appréciée des jardiniers pro !
Fraisiers : obtenez de magnifiques récoltes grâce à cette méthode appréciée des jardiniers pro !

Le Parisien

time7 days ago

  • Science
  • Le Parisien

Fraisiers : obtenez de magnifiques récoltes grâce à cette méthode appréciée des jardiniers pro !

Si vous possédez un fraisier dans votre potager ou votre jardin, sans doute aimeriez-vous le multiplier afin d'obtenir de belles récoltes. La manipulation pour créer de nouveaux pieds n'est pas difficile mais il convient de la faire correctement ! Appelée technique du marcottage, cette méthode permet de produire de nouveaux plants à partir des stolons des fraisiers, ces tiges rampantes qui émergent du pied mère et donnent naissance à de jeunes pousses. Pour ce faire, il suffit d'enterrer ces stolons dans la terre afin qu'ils prennent racine. Voilà six conseils à suivre pour s'assurer de faire de cette opération un succès. Pour multiplier vos pieds de fraisiers, mieux vaut s'y prendre au printemps, notamment en avril ou mai. Cette période de l'année est la plus favorable pour l'enracinement de nombreuses plantes, avec une température et une humidité modérées. La fin de l'été et l'automne sont déconseillés. Il est possible de faire vos boutures et marcottages en été, mais nos confrères recommandent dans ce cas de procéder lors d'une journée nuageuse afin d'éviter un excès d'ensoleillement et de chaleur. Pour maximiser vos chances de réussite, assurez-vous que la terre dans laquelle vos futurs pieds de fraisiers doivent pousser offre un environnement propice à leur développement. Pour cela, que vous fassiez un marcottage au sol ou en pot, pensez à drainer la terre et à l'alimenter avec un compost bien mûr. Vous pouvez vérifier l'acidité de la terre - les fraisiers aimant les sols riches - et ameublir la zone sur 30 cm de profondeur afin d'éviter le pourrissement des racines par un excès d'humidité. Pour obtenir de futurs pieds en bonne santé, il faut évidemment sélectionner des pousses vigoureuses. Pour cela, concentrez-vous sur vos fraisiers les plus forts et identifiez les stolons qui vous semblent porteurs. Pour votre marcottage, sélectionnez uniquement les stolons qui comportent de belles feuilles, voire qui ont déjà commencé à faire des racines. Retirez également les stolons en mauvaise santé car leur présence ne fait qu'affaiblir le pied mère. Si vous réalisez vos boutures en terre, préparez bien son futur emplacement avant d'enfoncer la tige dans le sol. Si vous marcottez en pot, préparez-le en amont avec du terreau bien frais. Une fois le stolon planté, laissez-le accroché au pied mère pendant deux semaines, en arrosant régulièrement et éventuellement en posant du paillis pour apporter tous les nutriments nécessaires à la jeune pousse. Vous pourrez couper délicatement le stolon du pied de fraisier au bout de 2 semaines. Une fois le stolon marcotté et bouturé, n'oubliez pas d'arroser régulièrement et modérément pour éviter à la fois la sécheresse et un excès d'humidité. Afin que les plants aient tout l'espace pour se développer, notamment en souterrain, aérez le sol autour d'eux et désherbez régulièrement . L'idéal reste d'avoir sélectionné en amont une zone dégagée pour leur développement. Les fraisiers sont sensibles à plusieurs maladies comme l'oïdium et la moisissure grise, mais aussi à des parasites et insectes nuisibles comme les pucerons ou les acariens. N'oubliez donc pas d'inspecter régulièrement vos plants et leurs feuilles afin d'agir et traiter au plus vite en cas d'infestation. Précisons enfin qu'un fraisier s'épuise avec le temps. N'oubliez pas de renouveler vos pieds au bout de deux ou trois ans afin de ne pas perdre la beauté de la plante et la saveur de ses fruits.

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