Dernières actualités avec #recherches


Le Parisien
14 hours ago
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« Mon fils n'a ni mangé ni bu depuis 5 jours » : Damien, 37 ans, a disparu dans une forêt près de Besançon
C'est une nouvelle journée de recherches qu'entament les proches de Damien Defontaine, 37 ans, disparu depuis 5 jours dans une forêt près de Besançon (Doubs). Alors qu'un appel à témoins a été diffusé par la police pour retrouver cet amateur de marche qui n'est jamais revenu de sa chasse aux champignons, une nouvelle battue citoyenne est organisée. Samedi, le trentenaire part dans le massif forestier de de Chailluz pour y trouver des morilles, selon ses proches. Décrit comme un « bon marcheur », le jeune homme adresse un SMS à sa mère, selon l'Est Républicain : « Je suis dans la forêt. Première rencontre avec un renard ». Puis plus rien. Les SMS et les appels restent sans réponse. Les recherches de la police avec l'aide de chiens pisteurs et de drones n'ont rien donné. Selon sa sœur Ninon, à l'Est Républicain, « Damien est passionné par la forêt, les champignons, les animaux. C'est un bon marcheur et il a l'habitude de se rendre dans les bois. (…) Le 12 juillet, il a quitté le domicile de ma mère, où il réside depuis quelques mois. Il a laissé un mot pour indiquer qu'il allait se rendre en forêt. (…) Il prévient quand il part et quand il revient. Ce n'est pas du tout dans son caractère de disparaître sans rien dire à personne. » Depuis, ses proches sont gagnés par l'inquiétude. « Mon fils n'a ni mangé ni bu depuis 5 jours, et quand je pense à son état probable et à ses nuits, je me demande qui peut supporter cela pour son enfant ? Ou pour tout être dans une telle situation critique ? Qui le supporterait parmi ceux qui me liront ? ! (…) Où es-tu mon tendre enfant ? », implore sa mère sur Facebook, appelant à rejoindre une nouvelle battue citoyenne organisée ce jeudi matin. Selon l'appel à témoins de la police, Damien a les cheveux châtains, raides et les yeux marron. Il mesure 1m79 et est de corpulence mince. Il a un grain de beauté sous l'œil droit. Les témoins sont appelés à contacter l'hôtel de police de Besançon au 03.81.21.12.40 ou 03.81.21.11.22.


Le Figaro
3 days ago
- Politics
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Disparition inquiétante d'une sexagénaire au nord de Saint-Nazaire
Une femme de 64 ans a disparu de chez elle, à Herbignac, dans la nuit du samedi 12 au dimanche 13 juillet. Les gendarmes ont lancé un appel à témoins. Malgré deux jours de recherches, elle demeure introuvable et injoignable. Elle n'a plus donné signe de vie depuis le samedi 12 juillet. La gendarmerie nationale a lancé, dimanche, un appel à témoins pour essayer de retrouver la trace d'Annie Rouiller, une habitante d'Herbignac, commune située à 20 kilomètres au nord de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique). gée de 64 ans, la disparue aurait quitté à pied son logement, dans la nuit de samedi à dimanche, entre 23h30 et 6h30. Depuis, elle reste introuvable. Haute de 1,61 mètre, mince, les cheveux longs et bruns, la sexagénaire pourrait être sortie de chez elle, rue du Père Laurent, en portant des chaussures et des vêtements noirs. Elle possède pour signes distinctifs deux tatouages : un ange sur le côté droit de la poitrine, ainsi qu'un dauphin, sur l'omoplate gauche. Publicité Une enquête a été ouverte par la communauté de brigades de Guérande. Les gendarmes ont procédé à des recherches à partir de dimanche, à Herbignac et dans les environs, en utilisant notamment plusieurs drones ainsi qu'une brigade cynophile. Jointe mardi matin par Le Figaro, la communauté de brigades de Guérande confirme la poursuite des recherches. Toute personne disposant d'information au sujet de la disparue est invitée à joindre au plus vite la gendarmerie au 02.40.24.90.42.


24 Heures
4 days ago
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Caraïbes: Sept migrants meurent dans un naufrage en République dominicaine
Trois jours après le naufrage d'une embarcation transportant des migrants en République dominicaine, le bilan est désormais de sept morts. Publié aujourd'hui à 02h18 Des membres de la défense civile dominicaine récupèrent le corps d'une victime de naufrage près de Punta Cana, en République dominicaine, le 11 juillet 2025. AFP La défense civile a fait état de sept corps retrouvés dimanche, dans un nouveau bilan, après le naufrage au large de la République dominicaine d'une embarcation transportant une quarantaine de migrants , à l'issue d'une troisième journée de recherches. Le bateau se dirigeait vers Porto Rico, un territoire des États-Unis situé à environ 130 km de la côte est de la République dominicaine, lorsqu'il a fait naufrage. Selon les témoignages de survivants, il transportait entre 40 et 50 personnes mais les autorités n'ont pu à ce stade confirmer le nombre exact de personnes à bord. «Nous terminons aujourd'hui avec la découverte d'un autre corps», a déclaré à l'AFP le directeur provincial de la défense civile, Fernando Castillo. La défense civile a confirmé dimanche le bilan de 17 survivants, parmi lesquels se trouvent des Haïtiens et des Dominicains. Un enfant figure parmi les personnes sauvées. Les recherches continuent «Nous continuons les recherches car des corps continuent d'apparaître, mais on ne sait pas exactement combien de personnes étaient à bord de l'embarcation», a ajouté Fernando Castillo. Les équipes de secours reprendront les recherches lundi et, en fonction des résultats, évalueront s'il convient ou non de mettre fin aux opérations pour retrouver les disparus. «Nous avons miraculeusement vu apparaître des personnes au bout de quatre, cinq ou six jours» lors de précédentes catastrophes, a dit à l'AFP le directeur de la Défense civile, Juan Salas. Plusieurs personnes secourues ont affirmé avoir vu d'autres personnes en vie dans l'eau et les autorités n'excluent pas que certains migrants aient pu s'accrocher à des objets flottants ou aient réussi à atteindre le rivage. «Le champ d'action a donc été élargi. Aujourd'hui, on va survoler à nouveau la zone avec des appareils de plus grande capacité», a indiqué Juan Salas. Yola Les bateaux appelés «yola», comme celui qui a fait naufrage, sont construits en bois ou en fibre de verre et ne respectent pas les normes de sécurité, selon les autorités. Une yola peut transporter jusqu'à 100 personnes. Les migrants paient jusqu'à 7000 dollars (5600 francs) pour un aller simple vers Porto Rico depuis la République dominicaine, qui partage l'île d'Hispaniola avec Haïti, pays en proie à des gangs violents accusés de nombreuses exactions. La marine dominicaine a pour sa part précisé que les migrants «essayaient de voyager illégalement vers Porto Rico, au large des côtes de Juanillo, dans la province de La Altagracia», à l'extrême est de l'île, tout près de Punta Cana. L'immigration illégale de la République dominicaine vers Porto Rico est un phénomène en augmentation depuis la dernière décennie. En lire plus Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


La Presse
4 days ago
- Science
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Les secours suspendent les recherches en raison de nouveaux risques de crues
La pluie tombe sur un mémorial improvisé pour les victimes des inondations le long de la rivière Guadalupe, le 13 juillet 2025, à Kerrville, au Texas. Les secours suspendent les recherches en raison de nouveaux risques de crues (Kerrville) Les équipes d'urgence ont suspendu dimanche matin leurs recherches pour retrouver les victimes des inondations catastrophiques dans le centre du Texas, à la suite de nouvelles alertes annonçant que des pluies supplémentaires provoqueraient à nouveau des crues. Gabriela Aoun Associated Press C'est la première fois qu'une nouvelle vague de fortes intempéries interrompt les recherches depuis les inondations du début du mois. Les pompiers d'Ingram ont ordonné aux équipes de recherche d'évacuer immédiatement le corridor de la rivière Guadalupe, dans le comté de Kerr, jusqu'à nouvel ordre, avertissant du risque élevé de crue soudaine. Les équipes de recherche et de sauvetage recherchent les victimes disparues dans les inondations depuis la fin de semaine du 4 juillet. Les opérations de recherche et de sauvetage devraient reprendre lundi, en fonction du débit de la rivière, a indiqué Brian Lochte, porte-parole des pompiers. « Nous travaillons avec quelques équipes, des hydroglisseurs et des bateaux de recherche et de sauvetage », a précisé M. Lochte. PHOTO ERIC GAY, ASSOCIATED PRESS Une femme marche sous la pluie le long d'une rue fermée près de la rivière Guadalupe, le 13 juillet 2025, à Kerrville, au Texas. Alors que de fortes pluies s'abattaient dimanche, les météorologues du Service météorologique national ont averti que la rivière Guadalupe pourrait monter jusqu'à près de 4,6 mètres d'ici dimanche après-midi, soit environ 1,5 mètre au-dessus du niveau d'inondation, ce qui serait suffisant pour submerger le pont de l'autoroute 39 près de la communauté de Hunt. « De nombreuses routes secondaires et ponts sont inondés et très dangereux », a indiqué un avertissement du service météorologique. Les eaux destructrices et rapides de la rivière Guadalupe ont augmenté de 8 mètres en seulement 45 minutes avant l'aube du 4 juillet, emportant maisons et véhicules. Depuis, les secours ont utilisé des hélicoptères, des bateaux et des drones pour rechercher les victimes et secourir les personnes bloquées dans les arbres et les campements isolés par les routes emportées par les eaux. PHOTO ERIC GAY, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Des équipes de recherche et de sauvetage ratissent les rives de la rivière Guadalupe après qu'une crue soudaine a balayé la région, le 12 juillet 2025, à Kerrville, au Texas. Les inondations ont dévasté la région de Hill Country, au Texas. Les berges et les collines du comté de Kerr regorgent de chalets de vacances, de terrains de camping et de colonies de vacances pour jeunes, dont le Camp Mystic. Situé dans une zone de basse altitude le long de la rivière Guadalupe, connue sous le nom de « zone des crues soudaines », ce camp d'été chrétien centenaire réservé aux filles a perdu au moins 27 campeuses et moniteurs, ainsi que son propriétaire de longue date, Dick Eastland. L'inondation a été bien plus grave que le phénomène centennal prévu par l'Agence fédérale de gestion des urgences, selon les experts, et s'est propagée si rapidement en pleine nuit qu'elle a pris de court de nombreuses personnes dans un comté dépourvu de système d'alerte. La quantité de pluie était impressionnante. L'ancien scientifique en chef de la National Oceanic and Atmospheric Administration, Ryan Maue, météorologue indépendant, a calculé le 5 juillet que la tempête avait déversé 120 milliards de gallons d'eau sur le comté de Kerr, qui a été le plus durement touché. Cet été, les crues soudaines provoquées par de fortes pluies ont fait des ravages ailleurs au Texas. À San Antonio, en juin, plus de 18 centimètres de pluie sont tombés en quelques heures, ce qui a nécessité des dizaines de sauvetages face à la montée rapide des eaux et a fait au moins 13 morts.


La Presse
6 days ago
- Politics
- La Presse
« Il n'y a plus d'espoir de retrouver de survivants »
Des bénévoles retirent des débris des inondations meurtrières dans le fleuve Guadalupe à Center Point, au Texas, vendredi. « Il n'y a plus d'espoir de retrouver de survivants » Des montagnes d'arbres déracinés. Des carcasses de véhicules récréatifs encastrées dans plusieurs mètres de boue. Et cette odeur, poignante : celle de la putréfaction. Six jours après la crue subite du fleuve Guadalupe, la dévastation est totale au parc de roulottes Keys Resort, dans le comté de Kerr, dans le centre-sud du Texas. Des dizaines de bénévoles s'acharnent encore à retirer les débris, couche après couche, à l'aide de tronçonneuses et de tracteurs. Des policiers ont aussi été dépêchés sur place jeudi après-midi, lors de mon passage : ils suspectaient la présence d'un cadavre sous les décombres. Ce qui leur a mis la puce à l'oreille : l'odeur putride, et les nuages de mouches, qui virevoltent dans l'air lourd de cette journée à 35 degrés. Un signe que les recherches viennent de passer à un nouveau stade. La mission pour sauver les 170 personnes disparues lors de l'inondation du 4 juillet s'est transformée en opération de récupération des corps. Y compris ceux d'une trentaine de fillettes, qui séjournaient au Camp Mystic, non loin d'ici. Leurs petites dépouilles s'ajouteront aux 120 cadavres retrouvés jusqu'ici. Bilan préliminaire : près de 300 morts. PHOTO MAXIME BERGERON, LA PRESSE Le bénévole Jay Arredondo devant une scène de dévastation au parc de roulottes Keys Resort « On ne néglige aucune piste, on fouille vraiment partout, mais il n'y a plus d'espoir de retrouver de survivants », m'explique le bénévole Jay Arredondo, qui travaille d'arrache-pied depuis six jours au parc détruit de Keys Resort, dans la petite ville de Center Point. Le grand gaillard de 38 ans ne cherche aucun coupable pour expliquer la tragédie. Il se braque, même, lorsque j'aborde le sujet. Il n'y a personne à accuser ici. Personne ne peut contrôler une catastrophe naturelle. Jay Arredondo Des propos repris presque mot pour mot par le président Donald Trump, qui s'est rendu dans la région dévastée vendredi avec sa femme, Melania, et sa secrétaire à la Sécurité intérieure, Kristi Noem. Il a fait une tournée des zones les plus touchées avant de se prêter à une conférence de presse. PHOTO MAXIME BERGERON, LA PRESSE Le parc de roulottes Keys Resort, dans le comté de Kerr Les autorités ont fait un travail irréprochable pour limiter les dommages, a vociféré M. Trump à une journaliste, qui le questionnait sur la défaillance des mesures préventives. « Seule une personne diabolique oserait demander une telle chose. » C'est pourtant la question que tout le monde se pose depuis une semaine. Comment un tel ratage a-t-il pu se produire, dans ce comté aisé du Texas, habitué depuis des décennies aux débordements sporadiques de son principal cours d'eau ? Les hypothèses abondent. Alertes cellulaires envoyées trop tard, réseau sans fil déficient dans la vallée du fleuve Guadalupe, coupes budgétaires imposées au bureau des services météorologiques par l'administration Trump : l'enquête sera longue pour retisser le fil précis des évènements. Mais ce qui ressort de plus en plus, c'est qu'un mécanisme très simple aurait pu sauver des vies : de bonnes vieilles sirènes tonitruantes. Un tel réseau aurait permis d'alerter les centaines de personnes qui dormaient à poings fermés en bordure du cours d'eau, lorsque son niveau a bondi de huit mètres en moins de deux heures en pleine nuit. L'alarme sonore aurait aussi pu réveiller ceux qui étaient abonnés à des alertes d'urgence sur leur portable, mais qui n'avaient aucune réception cellulaire dans ce secteur de villégiature isolé. PHOTO GERALD HERBERT, ASSOCIATED PRESS Des enfants ont visité vendredi le monument commémoratif à la mémoire des victimes des inondations, à Kerrville. Ce n'est pas à défaut d'avoir essayé d'implanter un système de sirènes. Le comté de Kerr a demandé du financement à au moins trois reprises au gouvernement de l'État du Texas, et à l'Agence fédérale de gestion des situations d'urgence (FEMA). Sans succès : aucune autorité n'a voulu payer la facture d'un peu moins de 1 million de dollars. Plusieurs se mordent aujourd'hui les doigts, mais personne n'accepte le blâme… Le comté de Kerr, à une heure au nord de San Antonio, est ultrarépublicain. Ses 53 000 résidants ont voté à plus de 75 % pour Donald Trump depuis 2016. Le « Hill Country » compte des dizaines de montagnes verdoyantes, une quarantaine de colonies de vacances et le magnifique fleuve Guadalupe, prisé par les vacanciers de tout le Texas. C'est une communauté tissée serré, comme en témoigne la présence de centaines de bénévoles qui continuent à ratisser les berges du matin au soir pour trouver des victimes. Mais c'est aussi un comté à tendance néolibérale, où l'on abhorre les interventions du gouvernement. La possibilité d'installer des sirènes a fait l'objet d'âpres discussions depuis 2016. Des fonds fédéraux ont été proposés à un certain moment, mais plusieurs résidants ont refusé de les accepter. Ils ne voulaient pas que leur comté soit « acheté » par des subventions de Washington, relate une enquête du Texas Tribune. PHOTO MAXIME BERGERON, LA PRESSE La sirène récemment installée à la caserne de pompiers de Comfort. Elle a été utilisée pour la première fois le 4 juillet dernier. Seules deux localités possèdent des sirènes d'urgence, dans toute la région. La petite ville de Comfort, située au croisement du fleuve Guadalupe et d'un ruisseau, a utilisé la sienne, flambant neuve, pour la première fois le 4 juillet dernier. Danny Morales, le directeur adjoint des pompiers volontaires, est celui qui a insisté pour l'installation d'un tel système dans sa bourgade de 2300 habitants. Ce n'est pas le gouvernement du Texas qui a payé, mais plutôt un organisme sans but lucratif local. Coût du système : 50 000 $. « L'État n'aurait jamais payé pour ça, puisque la sécurité publique n'est pas de sa responsabilité », m'explique l'homme de 71 ans, rencontré dans le petit poste de commandement de sa caserne. PHOTO MAXIME BERGERON, LA PRESSE Danny Morales, directeur adjoint des pompiers volontaires de Comfort Il m'a montré plusieurs cartes et graphiques, qui détaillent la montée des eaux dramatique du 4 juillet dernier. La crue du fleuve Guadalupe menaçait d'inonder – encore une fois – le ruisseau qui sillonne sa ville. Il a activé les sirènes 30 minutes avant la montée des eaux. Quelques propriétés riveraines ont subi des dommages, mais on n'a déploré aucun décès. Un tel système aurait sans aucun doute pu épargner des vies dans le comté voisin de Kerr, croit le pompier volontaire. « Je ne sais pas si ça aurait pu sauver tout le monde, mais ça aurait sûrement aidé… » PHOTO MAXIME BERGERON, LA PRESSE La vieille sirène de Comfort, autrefois utilisée pour les incendies, qui a été rénovée et réinstallée dans un autre secteur de la ville. Comfort avait déjà une vieille sirène, autrefois utilisée pour les incendies, qui a été remise à neuf au coût de 20 000 $. Elle a été réinstallée dans un autre secteur de la ville et s'est aussi déclenchée avant l'inondation. La ville en compte maintenant deux, pour un total de 70 000 $. Une facture moyenne de 30 $ par habitant… Le comté de Kerr est toujours sous le coup de mesures d'urgence massives. Les recherches se poursuivront jusqu'à ce qu'un maximum de dépouilles soient retrouvées, ce qui pourrait prendre des mois. PHOTO JACQUELYN MARTIN, ASSOCIATED PRESS Le fleuve Guadalupe, vendredi Tout comme le président Trump, le gouverneur du Texas, Greg Abbott, rejette la recherche de coupables en lien avec la défaillance des mesures d'urgence. Le mot « blâme » est un « langage de perdants », a-t-il lancé à des journalistes plus tôt cette semaine. Les centaines de familles des victimes, tout comme les adversaires politiques du gouverneur républicain, n'accepteront pas cette réponse.