Dernières actualités avec #rénovation


Le Parisien
2 days ago
- Business
- Le Parisien
Cette scie électrique à moins de 26 euros fait des merveilles
Que vous soyez amateur de bricolage ou passionné de rénovation, la scie sabre électrique DayPlus est l'outil qu'il vous faut pour tous vos travaux de coupe. Dotée d'un moteur de 900 W et d'une vitesse réglable jusqu'à 2800 SPM, elle assure des découpes nettes et précises. Elle est efficace sur différents matériaux comme le bois, le métal, le PVC ou l'aluminium. Sa longueur de course de 28 mm garantit une bonne profondeur de coupe et son système de lames à changement rapide vous permet de passer d'un matériau à l'autre en quelques secondes. Parfait pour vos travaux à la maison, en atelier ou au jardin, ce modèle offre une prise en main confortable grâce à son revêtement antidérapant. La scie sabre électrique DayPlus s'affiche à 25,19 euros au lieu de 31,49 euros sur AliExpress. Alimentée en 230 V, la scie sabre électrique de la marque DayPlus est livrée avec 5 lames : 2 pour le bois, 1 bois longue, 1 pour le métal et 1 pour le PVC. Son cordon de 3 mètres offre une grande liberté de mouvement. Elle est également dotée d'un interrupteur de sécurité pour une utilisation en toute sérénité. Son poids de 2,88 kg la rend stable et maniable. Notée 4,7 étoiles sur 5, avec plus de 60 avis positifs, cette scie électrique est appréciée pour son efficacité et son excellent rapport qualité-prix. Ne tardez pas à passer commande avant la fin des stocks disponibles. Faites vite ! Plus de 240 exemplaires ont été vendus par AliExpress. Bonus : la livraison à domicile est offerte. Cliquez ici pour profiter de l'offre sur AliExpress scie électrique Le top 10 des meilleures offres sur AliExpress :


Le Parisien
3 days ago
- Business
- Le Parisien
Logements : l'adaptation aux canicules n'est pas une priorité pour tous les bailleurs sociaux
S'adapter aux fortes chaleurs de ce début d'été ne fait pas encore partie de toutes les stratégies de rénovation des bâtiments des bailleurs sociaux, qui se penchent sur cet enjeu de façon hétérogène, selon une étude publiée mercredi par l 'Agence nationale de contrôle du logement social (Ancols). Parmi les 40 bailleurs sociaux interrogés, l'Ancols a constaté que les plus mobilisés face à l'enjeu d'amélioration du confort d'été « ont en général un parc important, ou un territoire exposé aux fortes chaleurs (typiquement le sud de la France et les grandes métropoles exposées aux îlots de chaleur urbains), ou encore de forts enjeux de vieillissement de leurs locataires ». Ces bailleurs considèrent l'adaptation comme « une priorité, au même titre que la décarbonation », alors que d'autres se concentrent sur le confort thermique d'hiver et l'amélioration de la performance énergétique, poursuit l'Ancols dans son rapport. « Enfin, un certain nombre de bailleurs amorcent leur réflexion sur le confort d'été et commencent à structurer une stratégie », mais d'autres contraintes à respecter les ralentissent. L'agence préconise d'améliorer le suivi des risques et vulnérabilités des bâtiments et de rendre systématique la question du confort d'été dans les stratégies patrimoniales et les projets de réhabilitation. L'absence de réglementation spécifique au confort d'été n'aide pas à faire remonter cet enjeu dans les priorités des bailleurs sociaux, à la différence de la performance énergétique, avec l' interdiction de louer les logements les plus énergivores . « Les bailleurs interrogés ont une connaissance partielle des caractéristiques de leur parc immobilier pour ce qui concerne les éléments spécifiques au confort d'été (protections solaires, type et isolation des toitures, caractère traversant) « , selon l'Ancols, qui voit là un « frein majeur », perçu comme « difficile à combler à court terme » par les bailleurs. En cas de travaux, « la grande majorité des bailleurs privilégie des solutions passives, dites simples et robuste s (occultations et ventilations manuelles, isolation, etc.) « , plutôt que des solutions qui peuvent être plus performantes mais dont le coût et la maintenance rebutent. « Les bailleurs interrogés ont unanimement une politique de non-climatisation des logements fondée sur des problématiques économiques pour le locataire et de maintenance», ajoute l'agence de contrôle. En outre-mer, les bailleurs sociaux interrogés, « confrontés à d'autres priorités telles que la sécurité, l'état des logements et l'accessibilité, ne disposent pas forcément des ressources nécessaires pour approfondir » la question du confort thermique, et manquent d'indicateurs et d'outils spécifiques à leurs territoires.


Le Parisien
4 days ago
- Business
- Le Parisien
DPE : 850 000 logements vont sortir du statut de passoires énergétiques
C'est une décision hautement politique de la part du Premier ministre, François Bayrou, dont les retombées vont profiter dès 2026 à environ 850 000 propriétaires de passoires thermiques , ces logements dont le diagnostic de performance énergétique (DPE) les classes F ou G, les deux pires notes du classement. Créé en 2001, le DPE est devenu un repère incontournable pour les locataires et les acquéreurs en obligeant à leur rénovation en cas de mise en location ou renouvellement de bail . Pour les G, cette interdiction est en vigueur depuis le 1er janvier tandis que pour les logements classés F le seront à compter du 1er janvier 2028.


Le Figaro
4 days ago
- Science
- Le Figaro
Palais de la découverte : la pétition dépasse les 100 000 signatures en trois semaines
Les inquiétudes autour de l'avenir de l'institution ont déclenché un fort mouvement de soutien dans la communauté scientifique en France et à l'étranger. La pétition pour le maintien du Palais de la découverte dans ses locaux historiques, au sein du Grand Palais à Paris, a dépassé les 107 000 signatures en trois semaines, ont annoncé mardi 8 juillet, ses initiateurs. « Depuis quelques mois, le ministère de la Culture [une de deux tutelles du Palais de la découverte avec celui de la Recherche, NDLR] et la direction du Grand Palais RMN remettent en cause de façon opaque et incompréhensible » sa réinstallation, ont déploré les salariés à l'origine de la pétition lors d'un rassemblement devant l'Académie des Sciences. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour La « situation est bloquée » et la réouverture du Palais de la découverte, fermé pour des travaux de rénovation depuis 2020, « reportée sine die », ont-ils dénoncé, pointant le risque de voir « jeter à la poubelle les presque 20 millions d'euros déjà investis dans le projet, ainsi que des années de travail ». Les inquiétudes autour de l'avenir du Palais de la découverte ont déclenché un fort mouvement de soutien dans la communauté scientifique en France et à l'étranger. Publicité Au cours des cinq dernières années, les équipes ont élaboré un « programme scientifique totalement renouvelé », qui aborde « les grandes questions d'aujourd'hui », comme l'intelligence artificielle, le changement climatique, « la recherche en train de se faire », et qui est « prêt à être déployé », a souligné l'astrophysicien Karim Benabed, un des neuf commissaires scientifiques nommés par le CNRS. Le conseil de Paris hausse le ton Le Palais de la découverte est « une incroyable machine à déclencher des vocations » et il faut « avoir un gouvernement absolument aveugle pour ne pas se rendre compte de l'importance fondamentale de déclencher des vocations en sciences », a lancé le mathématicien Michel Talagrand, lauréat du prestigieux prix Abel. La semaine dernière, le Conseil de Paris a également demandé au gouvernement d'apporter des « garanties fermes » et un « calendrier précis de réouverture ».


Le Parisien
4 days ago
- Business
- Le Parisien
Viaduc de Vélizy, A6, N315… Pour les automobilistes franciliens, c'est l'été de tous les chantiers
Les automobilistes franciliens vont devoir s'armer de patience pour circuler dans la région cet été. La Direction des routes d'Île-de-France (Dirif) prévoit d'importants travaux sur le réseau routier en juillet et août, profitant d'une moindre affluence. La Dirif mène ainsi 10 grandes opérations de rénovation de chaussées, représentant un linéaire d'environ 68 km, pour un coût de plus de 14 millions d'euros, répartis dans les départements des Yvelines, du Val-d'Oise, des Hauts-de-Seine, du Val-de-Marne et de la Seine-et-Marne.