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« On s'inquiète d'un accident » : le casse-tête des maires de villages pour financer la réfection des routes
« On s'inquiète d'un accident » : le casse-tête des maires de villages pour financer la réfection des routes

Le Parisien

time3 days ago

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  • Le Parisien

« On s'inquiète d'un accident » : le casse-tête des maires de villages pour financer la réfection des routes

En France, il n'y a plus d'argent nulle part . Trois toutes petites communes de Seine-et-Marne en font les frais. Fublaines, Montceaux-lès-Meaux et Villemareuil — des villages situés du nord du département cumulant 2 410 habitants — n'ont pas les moyens de réparer la voie communale n° 5 (VC5) qui les relie entre eux et qui est fortement endommagée. Route très étroite, accotements instables et trous un peu partout , voici la physionomie qu'offre cet axe routier. Pour ne pas mettre en péril la vie des usagers, les trois maires (sans étiquette) des communes concernées se sont mis d'accord pour passer la route à sens unique et réduire la vitesse (de 50 à 30 km/h sur une portion et de 70 à 50 km/h sur l'autre). Ces mesures sont effectives depuis le lundi 7 juillet.

L'étudiant propalestinien Mahmoud Khalil attaque l'administration Trump en justice pour sa détention
L'étudiant propalestinien Mahmoud Khalil attaque l'administration Trump en justice pour sa détention

Le Figaro

time10-07-2025

  • Politics
  • Le Figaro

L'étudiant propalestinien Mahmoud Khalil attaque l'administration Trump en justice pour sa détention

Le militant propalestinien Mahmoud Khalil a déposé plainte jeudi contre l'administration Trump pour réclamer réparation après 104 jours de détention «politique», réclamant 20 millions de dollars ou des excuses publiques du gouvernement américain, a-t-il annoncé dans un communiqué. Le leader du mouvement de contestation de l'université Columbia, à New York, réclame 20 millions de dollars de dommages et intérêts, «qu'il utiliserait pour aider d'autres personnes visées de la même manière», a dit dans un communiqué le Centre pour les droits constitutionnels (CCR), qui le représente en justice. Mais «il accepterait, en lieu et place du paiement, des excuses officielles et l'abandon de la politique inconstitutionnelle de l'administration», a ajouté l'organisation. L'étudiant, diplômé en 2024, estime que les «mauvais traitements subis» lui ont causé «une grave détresse émotionnelle, des difficultés économiques, des dommages à sa réputation et une atteinte significative à ses droits», selon le CCR. Né en Syrie de parents palestiniens, titulaire d'une carte de résident américain, Mahmoud Khalil avait été arrêté le 8 mars au pied de sa résidence universitaire par des agents en civil de la police fédérale des frontières (ICE). Il avait été transféré dans un centre de détention pour migrants en Louisiane, à des milliers de kilomètres, d'où il n'a pu assister à la naissance de son fils. Ses avocats ont toujours dénoncé une arrestation «politique» et injustifiée, qui aurait pour but de museler toute contestation de la guerre menée par Israël à Gaza. Publicité «Soutien du Hamas» L'administration Trump l'accuse au contraire d'être un «soutien du Hamas» et justifie la procédure d'expulsion par le risque qu'il ferait courir à la «politique étrangère» américaine. L'étudiant a été libéré par la justice le 21 juin, mais sa procédure d'expulsion est toujours en cours. «Rien ne peut remplacer les 104 jours qui m'ont été volés. Le traumatisme, la séparation d'avec ma femme, la naissance de mon premier enfant que j'ai été obligé de manquer», déclare-t-il dans le communiqué. Contacté par l'AFP, le ministère de la Sécurité intérieure (DHS) a qualifié ses accusations d'«absurdes». «L'administration Trump a parfaitement agi dans le cadre de son autorité statutaire et constitutionnelle pour détenir Khalil, comme elle le fait avec tout étranger qui prône la violence, glorifie et soutient les terroristes, harcèle les juifs et endommage des biens», a aussi répondu une porte-parole du DHS, Tricia McLaughlin.

L'étudiant propalestinien Mahmoud Khalil attaque l'administration Trump en justice
L'étudiant propalestinien Mahmoud Khalil attaque l'administration Trump en justice

La Presse

time10-07-2025

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L'étudiant propalestinien Mahmoud Khalil attaque l'administration Trump en justice

Mahmoud Khalil estime que les « mauvais traitements subis » lui ont causé « une grave détresse émotionnelle, des difficultés économiques, des dommages à sa réputation et une atteinte significative à ses droits », selon le Centre pour les droits constitutionnels. (New York) Le militant propalestinien Mahmoud Khalil a déposé plainte jeudi contre l'administration Trump pour réclamer réparation après 104 jours de détention « politique », réclamant 20 millions de dollars ou des excuses publiques du gouvernement américain, a-t-il annoncé dans un communiqué. Agence France-Presse Le leader du mouvement de contestation de l'université Columbia, à New York, réclame 20 millions de dollars de dommages et intérêts, « qu'il utiliserait pour aider d'autres personnes visées de la même manière », a dit dans un communiqué le Centre pour les droits constitutionnels (CCR), qui le représente en justice. Mais « il accepterait, en lieu et place du paiement, des excuses officielles et l'abandon de la politique inconstitutionnelle de l'administration », a ajouté l'organisation. L'étudiant, diplômé en 2024, estime que les « mauvais traitements subis » lui ont causé « une grave détresse émotionnelle, des difficultés économiques, des dommages à sa réputation et une atteinte significative à ses droits », selon le CCR. Né en Syrie de parents palestiniens, titulaire d'une carte de résident américain, Mahmoud Khalil avait été arrêté le 8 mars au pied de sa résidence universitaire par des agents en civil de la police fédérale des frontières (ICE). Il avait été transféré dans un centre de détention pour migrants en Louisiane, à des milliers de kilomètres, d'où il n'a pu assister à la naissance de son fils. Ses avocats ont toujours dénoncé une arrestation « politique » et injustifiée, qui aurait pour but de museler toute contestation de la guerre menée par Israël à Gaza. L'administration Trump l'accuse au contraire d'être un « soutien du Hamas » et justifie la procédure d'expulsion par le risque qu'il ferait courir à la « politique étrangère » américaine. L'étudiant a été libéré par la justice le 21 juin, mais sa procédure d'expulsion est toujours en cours. « Rien ne peut remplacer les 104 jours qui m'ont été volés. Le traumatisme, la séparation d'avec ma femme, la naissance de mon premier enfant que j'ai été obligé de manquer », déclare-t-il dans le communiqué. Contacté par l'AFP, le ministère de la Sécurité intérieure (DHS) a qualifié ses accusations d'« absurdes ». « L'administration Trump a parfaitement agi dans le cadre de son autorité statutaire et constitutionnelle pour détenir Khalil, comme elle le fait avec tout étranger qui prône la violence, glorifie et soutient les terroristes, harcèle les juifs et endommage des biens », a aussi répondu une porte-parole du DHS, Tricia McLaughlin.

Affaire abbé Pierre : l'Église de France exprime son « effroi » après 12 nouveaux témoignages de violences sexuelles
Affaire abbé Pierre : l'Église de France exprime son « effroi » après 12 nouveaux témoignages de violences sexuelles

Le Parisien

time10-07-2025

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  • Le Parisien

Affaire abbé Pierre : l'Église de France exprime son « effroi » après 12 nouveaux témoignages de violences sexuelles

Un an après les premiers témoignages , l'Église de France a dit jeudi son « effroi » après la révélation, mercredi, de douze nouvelles accusations de violences sexuelles visant l'abbé Pierre . L'épiscopat a souligné sa « détermination » à mener un processus de réparation. « La Conférence des évêques de France (CEF) a reçu avec effroi le témoignage de douze nouvelles personnes victimes de l'abbé Pierre , dont sept mineures au moment des faits. Les évêques assurent ces personnes de leur proximité », a déclaré l'Église de France dans un communiqué. Le cabinet spécialisé Egaé a fait état mercredi de ces victimes dans un rapport qui porte à 45 le nombre d' accusations de violences sexuelles visant l'abbé Pierre, décédé en 2007. Emmaüs a de son côté annoncé mercredi la mise en place avec la CEF d'un dispositif de réparation, opérationnel à compter de septembre 2025, et qui sera porté par la Commission reconnaissance et réparation (CRR). Cette instance a été mise en place après les révélations, en 2021 sur la pédocriminalité dans l'Église depuis les années 1950. « Il s'agit avant tout d'un dispositif d'accueil, d'écoute, de reconnaissance, de réparation financière et d'accompagnement des personnes victimes pour les aider à se reconstruire », précise la Conférence des évêques de France. Au passage, la CEF encourage également, « dans un souci de vérité et de clarté » toute personne ayant subi des violences par l'abbé Pierre « à se rapprocher de l'un des dispositifs d'écoute et d'accompagnement de l'Église », notamment via le numéro d'appel dédié (01.41.83.42.17) ou les cellules d'écoute des diocèses. Figure iconique en France et fondateur d'Emmaüs, l'abbé Pierre est depuis juillet 2024 visé par une série d'accusations de violences sexuelles commises entre les années 1950 et 2000.

L'Église de France affirme son «effroi» et sa «détermination» après les nouvelles accusations de violences sexuelles portées contre l'abbé Pierre
L'Église de France affirme son «effroi» et sa «détermination» après les nouvelles accusations de violences sexuelles portées contre l'abbé Pierre

Le Figaro

time10-07-2025

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L'Église de France affirme son «effroi» et sa «détermination» après les nouvelles accusations de violences sexuelles portées contre l'abbé Pierre

«La Conférence des évêques de France (CEF) a reçu avec effroi le témoignage de douze nouvelles personnes victimes de l'abbé Pierre, dont sept mineures au moment des faits. Les évêques assurent ces personnes de leur proximité», déclare l'épiscopat dans un communiqué. Au lendemain des douze nouvelles accusations de violences sexuelles portées contre l'abbé Pierre, l'Église de France a affirmé ce jeudi son «effroi» face à ces révélations et souligné sa «détermination» à mener un processus de réparation. «La Conférence des évêques de France (CEF) a reçu avec effroi le témoignage de douze nouvelles personnes victimes de l'abbé Pierre, dont sept mineures au moment des faits. Les évêques assurent ces personnes de leur proximité», déclare l'épiscopat dans un communiqué. À lire aussi Affaire de l'Abbé Pierre : quelles pourraient être les suites judiciaires? Publicité Un dispositif de réparation mis en place Le cabinet spécialisé Egaé a fait état mercredi de ces victimes dans un rapport qui porte à 45 le nombre d'accusations de violences sexuelles visant l'abbé Pierre, décédé en 2007. Emmaüs a de son côté annoncé mercredi la mise en place avec la CEF d'un dispositif de réparation, opérationnel à compter de septembre 2025, et qui sera porté par la Commission reconnaissance et réparation (CRR), une instance mise en place par la CEF après les révélations, en 2021, sur la pédocriminalité dans l'Église depuis les années 1950. «Il s'agit avant tout d'un dispositif d'accueil, d'écoute, de reconnaissance, de réparation financière et d'accompagnement des personnes victimes pour les aider à se reconstruire», précise la CEF dans son communiqué. La CEF encourage également, «dans un souci de vérité et de clarté» toute personne ayant subi des violences par l'abbé Pierre «à se rapprocher de l'un des dispositifs d'écoute et d'accompagnement de l'Église», notamment via le numéro d'appel dédié (01.41.83.42.17) ou les cellules d'écoute des diocèses.

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